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[Alligator427]

Très content pour lui. Il serait fait chi#&##& à l'asm 2U.

[Gourine63]

Content pour lui, c'est mérité pour récompenser enfin son immense talent, un seul Brennus c'était un scandale quand tu vois la régularité du mec depuis son début de carrière.

[Sastre au Ventoux]

Content pour lui, c'est mérité pour récompenser enfin son immense talent, un seul Brennus c'était un scandale quand tu vois la régularité du mec depuis son début de carrière.

 

Pas en club, mais un Grand Chelem quand même, non ?

[Gourine63]

 
Pas en club, mais un Grand Chelem quand même, non ?

Oui je parlais en club uniquement.

[Bad Zé]

Content pour lui, c'est mérité pour récompenser enfin son immense talent, un seul Brennus c'était un scandale quand tu vois la régularité du mec depuis son début de carrière.

L'histoire du rugby français est pleine de mecs hyper réguliers qui ont jamais rien gagné.

[Caplan]

Content pour lui, c'est mérité pour récompenser enfin son immense talent, un seul Brennus c'était un scandale quand tu vois la régularité du mec depuis son début de carrière.

 

Il a tout gagné: 

 

Top 14 

Champions Cup

Challenge Cup

Grand chelem 

[Gourine63]

 
Il a tout gagné: 
 
Top 14 
Champions Cup
Challenge Cup
Grand chelem 

J'avais zappé le challenge mais tu as raison de le rajouter, un titre est un titre, ce que je voulais dire c'est qu'il lui fallait "regagner" en club.

C'est désormais chose faite et bravo à lui et à ses coéquipiers pour cette victoire largement méritée.

[el landeno]

L’UBB championne : Damian Penaud, la consécration d’un prodige

  Lecture 2 min

Accueil Sport Rugby Champions Cup Finale UBB - Northampton

Damian Penaud a inscrit 14 essais en Champions Cup, record de la compétition. © Crédit photo : Photo Fabien Cottereau/SO

Par Vincent Romain, envoyé spécial - v.romain@sudouest.fr

Publié le 25/05/2025 à 15h09.

Mis à jour le 25/05/2025 à 15h50.

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Comme l’UBB, l’ailier international français a remporté sa première Champions Cup, dont il finit meilleur marqueur d’essais Après son Tournoi victorieux avec les Bleus, il peut boucler une immense saison

Il croyait y échapper. « Je suis obligé ? » , soupirait-il. « Oui », a bluffé un confrère. Alors, Damian Penaud s’est arrêté en zone mixte, dans les entrailles du Principality Stadium, avant de monter dans le car de l’équipe. L’ailier de 28 ans n’a jamais apprécié prendre la lumière devant les micros. Même après un sacre continental, son premier avec l’UBB qu’il a ralliée à l’été 2023.

Pourtant, le grand bonhomme de l’Union Bordeaux-Bègles dans cette Champions Cup, c’est lui. Son doublé en première période a pesé lourd dans l’issue de la finale contre Northampton (28-20) et lui a permis d’améliorer son record d’essais dans la compétition. Le voici à quatorze, son numéro de maillot, désormais loin devant la précédente marque établie par Chris Ashton (11). L’ancien Clermontois a logiquement été élu meilleur joueur de cette Champions Cup.

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Avant de célébrer le titre de champion à Bordeaux, les joueurs de l’UBB ont débuté les festivités au Pays de Galles dans la nuit de ce samedi à ce dimanche, après la victoire en finale face à Northampton (20-28)

Au nom du père

« Franchement, je m’en fous un peu, admettait-il. Si j’avais pu ne rien marquer et avoir l’étoile quand même, j’aurais été content. L’important, c’est cette étoile. » Lui et l’ASM avaient raté l’occasion en 2017, face aux Saracens, lors d’une finale dont il avait disputé la dernière demi-heure. Cette fois, il n’a pas raté l’occasion, malgré une entorse à la cheville en demi-finale qui lui avait tiré des larmes de désespoir mais dont il s’est remis à temps.

« Avec la Coupe du monde, c’est le titre qui me manquait. J’avais envie de le gagner, aussi pour mon père (Alain) qui l’avait fait en 1997. » Déjà contre une équipe anglaise, déjà à Cardiff, déjà un an après une défaite en finale du championnat contre Toulouse qui alimentait un désir de revanche. « Cette victoire, elle est pour lui aussi », glissait l’homme aux 56 sélections, qui avait déjà conquis la Challenge Cup en 2019.

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Longtemps en quête des deuxièmes lignes surpuissants, du profil des Skelton et Meafou, l’UBB a pu compter sur l’affirmation d’Adam Coleman et de Cyril Cazeaux ces dernières semaines pour la mener jusqu’au titre

Cet après-midi galloise a été un concentré de Damian Penaud. Une efficacité redoutable dans la zone de finition, 46 mètres gagnés, trois franchissements, une grosse présence sous les chandelles tapées par Maxime Lucu, mais aussi cinq plaquages. Pas rien pour un joueur dont l’efficacité défensive a souvent été questionnée tout au long de sa carrière. « Il fait un match génial », résumait son coéquipier et ami de l’aile opposée, Louis Bielle-Biarrey.

Durant la semaine de préparation, Penaud n’en a « pas fait beaucoup » rigolait « LBB ». Dans les heures qui ont précédé la finale, il a pris la parole au côté de Matthieu Jalibert, « en disant qu’ils seraient presque plus contents pour Laurent Marti que pour eux-mêmes, ils avaient envie que le club gagne », ajoutait Romain Buros.

Après le coup de sifflet final, il s’est installé sur la mascotte de la Champions Cup, un zèbre. « Pas mal de monde m’appelle comme ça. Donc je me suis dit ‘allez, je vais monter dessus’. Mais une fois en haut, je ne savais pas quoi faire, donc je suis redescendu… » Jusqu’au bout, l’instinct avant tout.

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« Un seul, c’est bien »

Il faisait évidemment partie de la petite délégation missionnée pour « doucher » Yannick Bru, Jefferson Poirot et Maxime Lucu en conférence de presse. « Il n’en faut pas plusieurs, des mecs comme lui, sinon ça peut mettre le bordel. Un seul, c’est bien », se marrait Buros. « Vous voyez le joueur qui marque des essais, qui est un peu tête en l’air, mais il est ultra-pro dans sa récupération, sa routine. J’apprends beaucoup à ses côtés. C’est grâce à un mec comme lui que j’arrive à performer », saluait Bielle-Biarrey.

Après le Tournoi des VI Nations en mars, Penaud remporte donc un deuxième trophée majeur dans une saison où il a moins brillé en championnat : sept essais en douze titularisations tout de même (14 lors de l’exercice précédent). Avec encore au minimum trois matchs à disputer encore entre la saison régulière et la phase finale pour laquelle l’Union est déjà qualifiée. Qu’un ailier de sa trempe ne compte qu’un seul Brennus au palmarès (2017) ressemble à une anomalie. Il reste un mois, à lui et ses partenaires, pour entrer encore un peu plus dans l’histoire.

 

 

[Alex chocolatines]

Content pour lui, c'est mérité pour récompenser enfin son immense talent, un seul Brennus c'était un scandale quand tu vois la régularité du mec depuis son début de carrière.

Putain, et ce brave Roro, il la méritait pas la coupe des Champions ? 

[cetotomatos]

Putain, et ce brave Roro, il la méritait pas la coupe des Champions ? 

Rolland en a décidé autrement.

[ELSAZOAM]

Damian Penaud vu par son papa, Alain, avant UBB-Toulon : "Je lui envie sa légèreté, moi j'étais incapable d'avoir son recul"

 

Il y a tout bientôt un mois, l’Union Bordeaux Bègles remportait la Champions Cup à Cardiff. Damian Penaud marchait alors dans les pas de son père, Alain, qui avait remporté le trophée, 28 ans plus tôt, avec Brive. Un moment évidemment spécial pour l’ancien numéro 10 du CA Brive qui sera dans les tribunes, à Lyon, pour assister à la demi-finale de l'UBB, ce samedi.

 

Dans les médias, la parole des Penaud est rare. Mais quand on a demandé à Alain s’il accepterait de confier ce qu’il a ressenti en voyant son fils soulever la coupe d’Europe, 28 ans après lui avec le CA Brive, le numéro 10 de légende n’a pas hésité longtemps. Un mois après le sacre de l’UBB, les souvenirs sont encore évidemment encore chauds. Et les émotions fortes.

 

« Je vais demander un passeport gallois » 

 

« Je pense que je vais demander un passeport gallois parce que j’ai vraiment une relation intime avec Cardiff. Mon premier match avec le XV de France, c’était à l’Arms Park, contre le pays de Galles en 1992. Le jour de la naissance de Damian, le 25 septembre 1996, je suis à… Cardiff avec les Bleus pour défier les Gallois. Et puis il y a ce 25 janvier 97 et notre victoire contre Leicester. Voir Damian sacré à Cardiff 28 ans après, cela boucle en quelque sorte la boucle », confie Alain Penaud.

 

 

Un Alain Penaud qui a finalement retrouvé le plaisir du rugby grâce à Damian, en tribunes, en famille. « C’est vrai qu’à la fin de ma carrière, je n’avais pas forcément très envie de revenir dans le monde du rugby. Mais on y a tous replongé, tous ensemble. On vit des choses très fortes en famille. C’est franchement spécial », confie le père de famille de 55 ans qui avoue peu parler rugby avec son fils.

 

« Je parle beaucoup plus de rugby pur, de jeu et de vision avec le petit frère de Damian, Adam. Avec Damian, on a très vite voulu mettre une certaine distance sur ce point. Je suis là pour le soutenir, pour lui amener quelque chose d’autre que le rugby. Je ne vais pas lui apprendre à jouer au rugby. Il a des entraîneurs pour cela », poursuit Alain Penaud qui confesse jalouser son fils sur un point : sa préparation des rencontres.

 

« Je lui envie sa légèreté. Quand j’étais joueur, je n’ai jamais réussi à relativiser. Damian, il est dans son univers. Le côté nonchalant qu’on peut lui attribuer parfois lui permet surtout d’évacuer la pression. Cela fait partie de sa routine. Il parvient à dédramatiser les situations. »

 

Une spontanéité rafraîchissante qui donne souvent lieu à des images qui prêtent à sourire. Le 24 mai dernier, on a plus vu circuler sur les réseaux sociaux des photos du Bordelais assis sur un… zèbre, aux couleurs d’un des partenaires de la coupe d’Europe, qu’avec le trophée entre les mains.

 

 

« Il avait simplement envie de monter dessus et il en est vite redescendu parce qu’il se sentait un peu con, se marre son paternel. Il est comme ça. Il ne réfléchit pas à l’image qu’il peut renvoyer. Il vit les choses à fond, comme il l’entend. »

 

Et force est de constater que cette approche des rencontres fonctionne. Élu meilleur joueur de la Champions Cup avec 14 essais inscrits en… 8 matchs, Damian Penaud n’est aussi plus qu’à un essai de battre le record de Serge Blanco avec le XV de France. À seulement 28 ans.  « Ce sont des chiffres que les gens aiment ressortir mais ce n’est absolument pas une de ses priorités. Damian ne regarde jamais cela. »

 

Ce qu’il regarde, en revanche, ce sont ses potes en tribunes. A la fin de chaque rencontre marquante, Damian Penaud a toujours le même rituel. Aller voir sa famille, sa compagne et sa bande de copains de toujours. Entre Brive et Malemort, ses deux clubs formateurs. 

 

« Il n’a jamais oublié d’où il venait. Les potes, c’est sacré pour Damian. Ils ont grandi ensemble et se suivent encore. » Ce samedi, ils seront évidemment dans les travées du Groupama Stadium, à Lyon. Comme le papa, Alain, qui oscillera entre tension, « il m’arrive d’être accroché au siège tellement je suis tendu » et délivrance si Damian décroche une deuxième finale de rang. 

 

Benjamin Pommier (LM - 21/06/25)

[Very Good Eshvili]

Il prolonge jusqu’en 2028

[cocotte 63]

Logique ! 😭

[Lima]

Décision parfaitement logique.

 

Je le vois bien tenter une expérience à l'étranger après ce contrat.

[PPR]

Décision parfaitement logique.
 
Je le vois bien tenter une expérience à l'étranger après ce contrat.

3 finales en 2 ans. Champion d'Europe. Quand on se souvient de certains messages se demandant ce qu'il allait chercher a Bordeaux.
Excellent choix, je lui souhaite quelques titres de plus.