Coupe du monde 2023 : le GIP et le GIE pourraient attaquer Atcher, Laporte et Martinez pour fautes de gestion
Aaaaaaah Laporte au tribunal, depuis le temps qu'on attend la nouvelle saison.
Posted 09 April 2025 - 09:20 AM
Coupe du monde 2023 : le GIP et le GIE pourraient attaquer Atcher, Laporte et Martinez pour fautes de gestion
Aaaaaaah Laporte au tribunal, depuis le temps qu'on attend la nouvelle saison.
Posted 09 April 2025 - 09:26 AM
Faut aussi se rappeler que Laporte a été élu. Et avait déjà une grosse batterie de cuisine au cul avant même son 1er mandat. Les dirigeants de club ont leur part dans ce marasme. Du plus bas au plus haut, y'en a pour tout le monde.
Là où moi j'ai les boules, c'est que j'ai jamais profité de Canal + gratos pour voir les matchs. Si j'aurais su, j'aurais voté pour l'aut'.
Posted 09 April 2025 - 11:18 AM
On est pas fichus de gagner notre CdM, et en plus on perd de l'argent..
Posted 09 April 2025 - 11:37 AM
Mais est ce qu'on la perdue parce que l'on avait acquis les droits de façon opaque et à un prix anormal?
Je n'ai pas compris.
Posted 09 April 2025 - 15:07 PM
Posted 09 April 2025 - 17:49 PM
Posted 15 April 2025 - 12:10 PM
Disparition de Medhi Narjissi : l'ex-manager des rugbymen français U18 placé en garde à vue Medhi Narjissi, 17 ans, est mort en août 2024 lors d'un stage de la sélection française U18 en Afrique du Sud. Sébastien Cambos, en charge de l'équipe à l'époque, a été placé en garde à vue, ce mardi 15 avril.
L'ex-manager de l'équipe de France de rugby des moins de 18 ans, encadrant du jeune Medhi Narjissi disparu en mer en Afrique du Sud l'été dernier, a été placé ce mardi en garde à vue dans l'enquête pour homicide involontaire, a-t-on appris de source policière.
Stéphane Cambos est entendu à Agen par des policiers de la Division de la criminalité organisée et spécialisée (DCOS), a précisé à l'AFP cette source.
Ils agissent sous commission rogatoire dans le cadre de l'information judiciaire ouverte pour homicide involontaire par un juge d'instruction d'Agen après la disparition de Medhi Narjissi, 17 ans, lors d'un stage de la sélection française U18 en Afrique du Sud, a indiqué le parquet local à l'AFP, confirmant des informations du quotidien Sud Ouest.
Conseillers techniques suspendus
L'équipe séjournait dans ce pays à l'occasion d'un tournoi international quand, le 7 août, le jeune joueur du Stade Toulousain a été emporté par les flots sur une plage réputée dangereuse près du cap de Bonne-Espérance. Les joueurs y faisaient une séance de récupération organisée par leur encadrement.
Le parquet d'Agen avait été saisi fin août par la famille du joueur.
Mi-septembre, la Fédération française de rugby (FFR) a mis en cause, dans un rapport d'enquête interne, l'encadrement des U18 présent lors du rassemblement. "La décision d'organiser une séance de récupération dans l'eau sur la plage de Dias Beach a été prise sans considérer la dangerosité du site", a-t-elle notamment estimé.
Après ce drame, les conseillers techniques sportifs de l'équipe des U18 ont "été suspendus à titre conservatoire" par le ministère des Sports à la demande de la FFR.
Stéphane Cambos, de son côté, a déposé une plainte visant la FFR pour dénonciation calomnieuse. Son avocat, Me Arnaud Dupin, estime que la fédération a tenté de "clouer au pilori" l'encadrant pour lui faire porter la responsabilité de la disparition du jeune international.
30 lignes et même pas foutus de se relire....
Sébastien, Stéphane....
Posted 15 April 2025 - 12:58 PM
Posted Today, 10:50 AM
Affaire Narjissi ….
Le Parisien s’est procuré les conclusions de l’enquête administrative de l’inspection générale sur les circonstances de la disparition en mer du jeune rugbyman, en août 2024.
Dans sa quête de vérité et de responsabilités, Jalil Narjissi, reçu lundi avec son épouse par la ministre des Sports, Marie Barsacq, va désormais pouvoir s’appuyer sur un document implacable : le rapport de l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche sur les circonstances de la disparition en mer de son fils, Medhi, le 7 août dernier en Afrique du Sud, et sur la gestion de crise par la Fédération Française de Rugby. Une enquête administrative accablante envers les encadrants de cette tournée et guère favorable à la FFR dans son suivi du drame.
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Ses conclusions ne laissent pas de place au doute quant aux fautifs. Elle pointe du doigt l’énorme responsabilité du préparateur physique, Robin Ladauge, dans l’organisation de cette séance de récupération sur une plage réputée dangereuse non loin du cap de Bonne-Espérance, et celle de Stéphane Cambos, le manager, pour ne pas l’avoir empêchée. Le premier cité avait porté plainte contre la FFR pour «dénonciation calomnieuse» et le second a été placé en garde à vue mi-avril dans le cadre de l’information judiciaire «pour homicide involontaire» ouverte par le procureur d’Agen.
Ce rapport d’enquête de 121 pages, rédigé par trois inspecteurs généraux de l’éducation, du sport et de la recherche après plusieurs mois d’investigation – et dont le Parisien s’est procuré les conclusions en exclusivité – a été présenté ce lundi 28 avril à Jalil et Valérie Narjissi au ministère des Sports. Il documente «des faits susceptibles d’une qualification pénale» et a d’ailleurs été transmis au procureur de la République d’Agen.
À lire aussi Rugby : disparition de Medhi Narjissi, le manager des U18 dépose plainte contre la FFR
Ses rédacteurs l’affirment : «le préparateur physique porte la responsabilité principale de la mauvaise organisation de cette séance», en l’occurrence Robin Ladauge. Ce dernier «ne connaissait pas la dangerosité de la plage» et «n’avait jamais vu les panneaux» déconseillant fortement la baignade à cet endroit. Ils ajoutent que, sans s’être informé de «l’aisance aquatique des joueurs», il ne renonce pas à cette séance «après avoir constaté les conditions, des vagues puissantes, qu’il qualifie lui-même de solides, et la faible température de l’eau.» Le rapport ajoute que Robin Ladauge sollicite peu de collègues pour l’aider à encadrer les 25 jeunes joueurs.
Le manager de la tournée, Stéphane Cambos, n’est pas épargné non plus, en particulier son absence d’opposition «ferme» à l’initiative de son subordonné. Même s’il affirme le contraire. Il entrera pourtant lui aussi dans l’eau sans «prendre la décision de mettre fin à un exercice qu’il ne cautionne pas». Les inspecteurs notent enfin «une panique généralisée et une absence de mise en œuvre d’un protocole d’urgence préalablement identifié et maîtrisé par le staff.»
Une gestion de crise «inadaptée», une fois le drame survenuLe rapport pointe ensuite la gestion de crise «inadaptée», une fois le drame survenu, Confirmant les accusations, dans nos colonnes, de Jalil Narjissi envers le président de la FFR, Florian Grill. Premier point critiqué, «les conditions du rapatriement des jeunes, leur accompagnement par la suite et la relation avec les familles ne sont pas à la hauteur de ce qu’appelle le traumatisme vécu. (…) Cela manquait de professionnalisme et traduisait de l’incompétence.»
Quant à l’enquête interne diligentée dans la précipitation par la FFR (pour se dédouaner de ses responsabilités, a insisté Jalil Narjissi lors de son interview au Figaro), les trois inspecteurs s’interrogent sur sa «légitimité contestable» et relèvent qu’elle a été conduite «dans de mauvaises conditions». En cause, la légitimité de la Fédération, et de sa DTN, pour la mener. À la fois juge et partie. Encore plus concernant la personne choisie pour la mener, ami avec Stéphane Cambos «depuis l’adolescence». Il n’a cependant pas rédigé lui-même le rapport, confiant cette charge au secrétaire général et au directeur général adjoint de la FFR.
« La position du président est directement liée au contexte judiciaire, qui l’inquiète du fait de la possibilité de voir sa responsabilité pénale engagée. »Un processus curieux que le rapport justifie par un certain cynisme. «Les premiers travaux rendus par le manager haute performance n’aboutissent pas à l’identification de responsabilités de la FFR et orientent vers la thèse d’un accident. Aux yeux de la mission, il s’agit d’une forme de déni collectif.» Les rédacteurs du rapport d’enquête vont plus loin encore en soulignant que le président de la FFR, Florian Grill, a insisté auprès d’eux sur son «impossibilité d’exercer son autorité sur la DTN et ses cadres d’État. (…). S’il n’y a pas autorité hiérarchique, il ne peut pas y avoir de responsabilité, et encore moins pénale.»
Le but avoué de ce simulacre d’enquête interne, orientée et bâclée (ses conclusions furent rendues dès le 12 septembre 2024), est clair selon les inspecteurs généraux. «La position du président est directement liée au contexte judiciaire, qui l’inquiète du fait de la possibilité de voir sa responsabilité pénale engagée.» Une conclusion sans équivoque qui conforte, une fois de plus, les dires de Jalil Narjissi.
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