tailleuse de haies...
. . . de Saint Claude
Posté 03 février 2018 - 09:31
tailleuse de haies...
. . . de Saint Claude
Posté 03 février 2018 - 11:20
Posté 03 février 2018 - 13:34
L'équipe nous apprend que les communes lésées par l'abandon du projet du grand stade demandent réparation à hauteur de 54 millions d'euros, encore du boulot pour le service juridique de la ffr, il va falloir embaucher avec tous ces procès en cours !
Posté 03 février 2018 - 17:32
Avec toutes les provisions qu'il va falloir faire ,pas prêt de voir l'oseille, les clubs amateurs
Vont p'tet même devoir aider à payer ces fameuses provisions... Vont mettre la main à la poche... vide !
Posté 03 février 2018 - 21:03
Le monde 4/02/2018
« On est engagés dans quelque chose de lourd » L’ancien sélectionneur du XV de France met en cause les méthodes de la fédération pour l’écarter
C’est Guy Novès qui pose les questions. Qui vous prend à témoin, paire de lunettes sur la table, mains en mouvement, visage affecté : « Ils me font quand même passer pour un idiot, ça vous parle, ça ? » Ce pronom désigne la Fédération française de rugby (FFR). En particulier les personnes de Bernard Laporte, son président, et Serge Simon, son vice-président. Les deux associés ont infligé à l’entraîneur le plus titré du pays un record d’un autre genre : le voilà devenu, depuis le 27 décembre 2017, le premier sélectionneur de l’équipe de France limogé à mimandat pour « faute grave ». Rendez-vous dans le centreville de Toulouse chez son avocat, Me Laurent Nougarolis. Le prochain « match » se prépare loin de Saint-Denis. Loin de ce Stade de France où les Bleus doivent ouvrir sans lui le Tournoi des six nations, samedi 3 février, contre l’Irlande. « L’honneur d’une personne, quel que soit son statut social, c’est important », insiste l’ancien totem du Stade toulousain, le regard soucieux de vous faire comprendre que ces mots-là sont à prendre au sérieux. Guy Novès conteste la légalité de cette rupture prématurée de contrat. Un licenciement sans préavis, sans entretien préalable, bref, sans manière. « Ce ne sont pas mes incompétences qui ont fait qu’on m’a écarté de la fédération », précise-t-il, à quelques mois de cette Coupe du monde 2019 au Japon qu’il avait pour horizon. La ligne de défense est claire : « Il est constant que M. Bernard Laporte a porté dans le cadre de la campagne électorale qui l’a conduit à la présidence de la Fédération française de rugby, l’information selon laquelle il mettrait fin à l’engagement de M. Guy Novès dès son élection, même s’il a, avant cette échéance, diffusé un message contraire », détaille un communiqué de l’avocat, en date du 15 janvier. Quelles preuves, quelles certitudes ? « Vous les aurez, les éléments concrets. » Mais pas maintenant. « Si jamais une procédure est engagée, nous sommes prêts à le prouver. J’ai reçu des centaines de SMS. Une somme énorme de témoignages. Les choses arrivent toutes seules. Certains me témoignent avec sincérité leur amitié, leur respect, leur admiration, d’autres savent des choses importantes. » Entre le duo Laporte-Simon et Guy Novès, l’approche n’est pas la même : « Ils sont spécialistes de la communication. Moi, je suis contre la communication, je préfère travailler dans l’ombre et sortir à tout moment comme la vipère ou l’aspic. Quand le Portugal s’est entraîné à Marcoussis [Essonne] pour l’Euro de football, ils ont fait mettre des bâches partout. Nous, non, il fallait tout donner, tout communiquer, pour les partenaires. » Pas la peine d’insister, l’ancien professeur d’éducation physique gardera pour lui le motif de la faute grave invoquée dans sa notification de licenciement. Faute qu’il dit incompréhensible. Le 26 décembre 2017, Bernard Laporte avait appelé Guy Novès. Un jour seulement avant l’officialisation de son éviction, quatre jours déjà après les premières rumeurs annonçant l’arrivée de Jacques Brunel à sa place. « Il n’a pas eu de mots précis, se remémore le Toulousain. Il m’a dit qu’il était embêté, qu’il fallait faire quelque chose, que le rugby français avait de moins en moins de licenciés, que les partenaires n’étaient pas contents. » Courant décembre, un audit téléphonique de Serge Simon avec des dirigeants de clubs aurait aussi avancé l’argument d’un manque de coordination entre le XV de France et les formations du championnat de France. Réplique immédiate : « Quand vous vous déplacez sur un terrain, vous voyez un match, vous passez beaucoup de temps à serrer des mains et à faire des photos, mais les choses passent très vite. Quand vous restez chez vous, vous en voyez plusieurs », commente l’ex-sélectionneur, qui laissait à ses adjoints le soin d’aller auprès des clubs. Un temps d’arrêt. Nouvelle question de l’interviewé : « Comment peut-on accorder une certaine valeur à un audit fait par, entre guillemets, la personne qui m’a mis des bâtons dans les roues pendant un an ? » Serge Simon, pour ne pas le nommer.
« Conditions tragiques de travail »
Des exemples ? En mars 2017, une manifestation est organisée à Paris pour protester contre la fusion entre le Stade français et le Racing. A quelques jours d’un match du Tournoi des six nations contre les Gallois, les stadistes Djibril Camara et Jonathan Danty demandent la permission de quitter quelques heures le siège de la FFR, à Marcoussis. Novès dit non, mais Simon dit oui. « Qui est le patron des joueurs ? Qui a l’autorité ? Comment voulez-vous que les joueurs ne se disent pas que de toute façon, Guy, il peut dire oui ou non, on ira voir l’autre ? » En juin 2017, la France s’effondre en test-match contre l’Afrique du Sud. Serge Simon demande à prendre la parole après le sélectionneur : « J’ai les compétences dans ce domaine, une légitimité auprès des joueurs. Lui n’en a aucune, il arrive de nulle part. Il n’a jamais été dirigeant, jamais président, jamais entraîneur. » Guy Novès livre un dernier argument pour la route : la tournée de novembre et ce match intercalé en semaine contre les réservistes de la Nouvelle-Zélande, en partie pour des raisons commerciales, entre deux test-matchs contre les All Blacks et les SudAfricains. Volonté de Serge Simon, là encore : « Le match de mardi nous a mis en l’air la tournée de novembre. » Bilan de Guy Novès en 2016 et 2017 : vingt et un matchs dont treize défaites et un match nul, pour conclure, contre le Japon, soit le pire ratio de l’ère professionnelle pour un sélectionneur du XV de France. Pour quelles responsabilités ? « Quand on met l’accent sur une personne, sachant que cette personne est depuis le début dans des conditions tragiques de travail, je trouve que c’est de la malhonnêteté intellectuelle », objecte l’intéressé. A bientôt 64 ans, Guy Novès n’a pas encore le temps, assure-t-il, de songer à son futur dans le rugby. En attendant, il lâche cette phrase aux interprétations multiples : « On m’a surpris en me débarquant. Pourquoi les autres me feraient des surprises et moi je n’en ferais pas ? » Ses deux adjoints en équipe de France, Yannick Bru et Jean-Frédéric Dubois, ont également quitté l’ambiance pesante de Marcoussis. Tous deux ont mis un terme à leurs différends avec la « fédé », moyennant indemnisation. Tous deux avaient été convoqués, à l’inverse du sélectionneur, à un entretien préalable. Guy Novès a rendez-vous le 22 mai avec les représentants de la FFR pour une audience de conciliation devant les prud’hommes de Toulouse. En cas de licenciement jugé abusif, des premières estimations évoquent des indemnités autour de 2 millions d’euros, en additionnant les deux ans de salaires impayés et l’éventuelle somme due pour préjudice moral. Haussement d’épaules. « Là, pour le moment, on est engagés dans quelque chose de lourd, qui me fatigue énormément, qui m’empêche quelquefois de dormir, qui m’atteint, et je sens que ma famille est touchée. » Vrai, à en juger le visage de son épouse, également dans la salle. « Descendez avec moi tout à l’heure, vous verrez. Les gens me connaissent, me reconnaissent, et, à part mes très proches, c’est compliqué de s’imaginer ce qu’ils pensent de moi. » Au Stade toulousain (1988-2015), le manageur les avait bien davantage accoutumés aux hourras : dix titres en championnat de France, quatre en Coupe d’Europe.
Adrien Pécout
Posté 03 février 2018 - 23:53
Je ne me rappelle plus du joueur,
J'ai aimé le sélectionneur,
Je ne supportais pas le bandit-menteur,
Je me suis moqué quand il jouait au pubeur,
Le ministre ne faisait pas honneur,
Je redoutais l’entraîneur,
Le candidat était hâbleur,
Le Président est un menteur...
Avec lui, l'ovalie perd ses valeurs !
Tout est dit...
Posté 04 février 2018 - 08:32
Je ne me rappelle plus du joueur,
J'ai aimé le sélectionneur,
Je ne supportais pas le bandit-menteur,
Je me suis moqué quand il jouait au pubeur,
Le ministre ne faisait pas honneur,
Je redoutais lentraîneur,
Le candidat était hâbleur,
Le Président est un menteur...
Avec lui, l'ovalie perd ses valeurs !
Tout est dit...
Posté 05 février 2018 - 14:24
Vont p'tet même devoir aider à payer ces fameuses provisions...
Vont mettre la main à la poche... vide !
te fais pas de soucis ca fait un moment que les clubs amateurs payent a la fede et que cette derniere fait pas de cadeau, laporte ou pas laporte au passage
entre les licences les amendes les arbitres, les interventions csd ......
faut racker pour tout
Posté 05 février 2018 - 14:47
Je ne me rappelle plus du joueur,
J'ai aimé le sélectionneur,
Je ne supportais pas le bandit-menteur,
Je me suis moqué quand il jouait au pubeur,
Le ministre ne faisait pas honneur,
Je redoutais l’entraîneur,
Le candidat était hâbleur,
Le Président est un menteur...
Avec lui, l'ovalie perd ses valeurs !
Tout est dit...
Rachida Dati likes this
Posté 06 février 2018 - 10:19
En attendant il est toujours président de la FFR et ça risque de durer....
Posté 06 février 2018 - 12:08
Le monde 4/02/2018
« On est engagés dans quelque chose de lourd » L’ancien sélectionneur du XV de France met en cause les méthodes de la fédération pour l’écarter
C’est Guy Novès qui pose les questions. Qui vous prend à témoin, paire de lunettes sur la table, mains en mouvement, visage affecté : « Ils me font quand même passer pour un idiot, ça vous parle, ça ? » Ce pronom désigne la Fédération française de rugby (FFR). En particulier les personnes de Bernard Laporte, son président, et Serge Simon, son vice-président. Les deux associés ont infligé à l’entraîneur le plus titré du pays un record d’un autre genre : le voilà devenu, depuis le 27 décembre 2017, le premier sélectionneur de l’équipe de France limogé à mimandat pour « faute grave ». Rendez-vous dans le centreville de Toulouse chez son avocat, Me Laurent Nougarolis. Le prochain « match » se prépare loin de Saint-Denis. Loin de ce Stade de France où les Bleus doivent ouvrir sans lui le Tournoi des six nations, samedi 3 février, contre l’Irlande. « L’honneur d’une personne, quel que soit son statut social, c’est important », insiste l’ancien totem du Stade toulousain, le regard soucieux de vous faire comprendre que ces mots-là sont à prendre au sérieux. Guy Novès conteste la légalité de cette rupture prématurée de contrat. Un licenciement sans préavis, sans entretien préalable, bref, sans manière. « Ce ne sont pas mes incompétences qui ont fait qu’on m’a écarté de la fédération », précise-t-il, à quelques mois de cette Coupe du monde 2019 au Japon qu’il avait pour horizon. La ligne de défense est claire : « Il est constant que M. Bernard Laporte a porté dans le cadre de la campagne électorale qui l’a conduit à la présidence de la Fédération française de rugby, l’information selon laquelle il mettrait fin à l’engagement de M. Guy Novès dès son élection, même s’il a, avant cette échéance, diffusé un message contraire », détaille un communiqué de l’avocat, en date du 15 janvier. Quelles preuves, quelles certitudes ? « Vous les aurez, les éléments concrets. » Mais pas maintenant. « Si jamais une procédure est engagée, nous sommes prêts à le prouver. J’ai reçu des centaines de SMS. Une somme énorme de témoignages. Les choses arrivent toutes seules. Certains me témoignent avec sincérité leur amitié, leur respect, leur admiration, d’autres savent des choses importantes. » Entre le duo Laporte-Simon et Guy Novès, l’approche n’est pas la même : « Ils sont spécialistes de la communication. Moi, je suis contre la communication, je préfère travailler dans l’ombre et sortir à tout moment comme la vipère ou l’aspic. Quand le Portugal s’est entraîné à Marcoussis [Essonne] pour l’Euro de football, ils ont fait mettre des bâches partout. Nous, non, il fallait tout donner, tout communiquer, pour les partenaires. » Pas la peine d’insister, l’ancien professeur d’éducation physique gardera pour lui le motif de la faute grave invoquée dans sa notification de licenciement. Faute qu’il dit incompréhensible. Le 26 décembre 2017, Bernard Laporte avait appelé Guy Novès. Un jour seulement avant l’officialisation de son éviction, quatre jours déjà après les premières rumeurs annonçant l’arrivée de Jacques Brunel à sa place. « Il n’a pas eu de mots précis, se remémore le Toulousain. Il m’a dit qu’il était embêté, qu’il fallait faire quelque chose, que le rugby français avait de moins en moins de licenciés, que les partenaires n’étaient pas contents. » Courant décembre, un audit téléphonique de Serge Simon avec des dirigeants de clubs aurait aussi avancé l’argument d’un manque de coordination entre le XV de France et les formations du championnat de France. Réplique immédiate : « Quand vous vous déplacez sur un terrain, vous voyez un match, vous passez beaucoup de temps à serrer des mains et à faire des photos, mais les choses passent très vite. Quand vous restez chez vous, vous en voyez plusieurs », commente l’ex-sélectionneur, qui laissait à ses adjoints le soin d’aller auprès des clubs. Un temps d’arrêt. Nouvelle question de l’interviewé : « Comment peut-on accorder une certaine valeur à un audit fait par, entre guillemets, la personne qui m’a mis des bâtons dans les roues pendant un an ? » Serge Simon, pour ne pas le nommer.
« Conditions tragiques de travail »
Des exemples ? En mars 2017, une manifestation est organisée à Paris pour protester contre la fusion entre le Stade français et le Racing. A quelques jours d’un match du Tournoi des six nations contre les Gallois, les stadistes Djibril Camara et Jonathan Danty demandent la permission de quitter quelques heures le siège de la FFR, à Marcoussis. Novès dit non, mais Simon dit oui. « Qui est le patron des joueurs ? Qui a l’autorité ? Comment voulez-vous que les joueurs ne se disent pas que de toute façon, Guy, il peut dire oui ou non, on ira voir l’autre ? » En juin 2017, la France s’effondre en test-match contre l’Afrique du Sud. Serge Simon demande à prendre la parole après le sélectionneur : « J’ai les compétences dans ce domaine, une légitimité auprès des joueurs. Lui n’en a aucune, il arrive de nulle part. Il n’a jamais été dirigeant, jamais président, jamais entraîneur. » Guy Novès livre un dernier argument pour la route : la tournée de novembre et ce match intercalé en semaine contre les réservistes de la Nouvelle-Zélande, en partie pour des raisons commerciales, entre deux test-matchs contre les All Blacks et les SudAfricains. Volonté de Serge Simon, là encore : « Le match de mardi nous a mis en l’air la tournée de novembre. » Bilan de Guy Novès en 2016 et 2017 : vingt et un matchs dont treize défaites et un match nul, pour conclure, contre le Japon, soit le pire ratio de l’ère professionnelle pour un sélectionneur du XV de France. Pour quelles responsabilités ? « Quand on met l’accent sur une personne, sachant que cette personne est depuis le début dans des conditions tragiques de travail, je trouve que c’est de la malhonnêteté intellectuelle », objecte l’intéressé. A bientôt 64 ans, Guy Novès n’a pas encore le temps, assure-t-il, de songer à son futur dans le rugby. En attendant, il lâche cette phrase aux interprétations multiples : « On m’a surpris en me débarquant. Pourquoi les autres me feraient des surprises et moi je n’en ferais pas ? » Ses deux adjoints en équipe de France, Yannick Bru et Jean-Frédéric Dubois, ont également quitté l’ambiance pesante de Marcoussis. Tous deux ont mis un terme à leurs différends avec la « fédé », moyennant indemnisation. Tous deux avaient été convoqués, à l’inverse du sélectionneur, à un entretien préalable. Guy Novès a rendez-vous le 22 mai avec les représentants de la FFR pour une audience de conciliation devant les prud’hommes de Toulouse. En cas de licenciement jugé abusif, des premières estimations évoquent des indemnités autour de 2 millions d’euros, en additionnant les deux ans de salaires impayés et l’éventuelle somme due pour préjudice moral. Haussement d’épaules. « Là, pour le moment, on est engagés dans quelque chose de lourd, qui me fatigue énormément, qui m’empêche quelquefois de dormir, qui m’atteint, et je sens que ma famille est touchée. » Vrai, à en juger le visage de son épouse, également dans la salle. « Descendez avec moi tout à l’heure, vous verrez. Les gens me connaissent, me reconnaissent, et, à part mes très proches, c’est compliqué de s’imaginer ce qu’ils pensent de moi. » Au Stade toulousain (1988-2015), le manageur les avait bien davantage accoutumés aux hourras : dix titres en championnat de France, quatre en Coupe d’Europe.
Adrien Pécout
Novès,on a pu l'adorer ou le trouver quelquefois insupportable quand il entrainait Toulouse.
en attendant,personne n'a le droit d'attenter à son honneur comme viennent de le faire Laporte et Simon.
j'espère que les prud'hommes lui donneront raison,et qu'il touchera,en plus,des indemnités pour licenciement abusif.
Posté 07 février 2018 - 11:28
Novès,on a pu l'adorer ou le trouver quelquefois insupportable quand il entrainait Toulouse.
en attendant,personne n'a le droit d'attenter à son honneur comme viennent de le faire Laporte et Simon.
j'espère que les prud'hommes lui donneront raison,et qu'il touchera,en plus,des indemnités pour licenciement abusif.
Pourquoi faire une différence entre Novès et les autres sous prétexte de palmarès ?
J'ai quand même du mal à comprendre tout ça.
Posté 07 février 2018 - 11:39
Pourquoi faire une différence entre Novès et les autres sous prétexte de palmarès ?
J'ai quand même du mal à comprendre tout ça.
Posté 07 février 2018 - 12:31
Pourquoi faire une différence entre Novès et les autres sous prétexte de palmarès ?
J'ai quand même du mal à comprendre tout ça.
ou 20 ans de boite ! on s'en fout aux prudhomme ,surtout quand tu est cadre et signé un contrat avec obligation de resultat, ça fait parti du job ! Il y a pas les résultats ,t'es viré, après la façon du licenciement est vexatoire et peut être abusif ,cela le tribunal qui décidera,mais j'aimerai savoir quelle est la faute Grave que Laporte évoque ?
2 millions d'euros le Monde ne semble pas informés des nouvelles dépositions du code de travail concernant le nombre de mois salaire,d'autan plus qu'il est viré pour faute grave !
pour la conciliation du mois de Mai il y aura un renvoi comme c'est trop souvent le cas,le temps de mieux préparer la défense ,Guytou tiens bon!
Posté 07 février 2018 - 12:34
Il n'y a aucune allusion au palmarès de Novès dans le message de Claude.
En revanche ce qui est sûr, c'est que le licenciement de Novès est plus qu'abusif, et n'importe qui d'autre à sa place aurait pu attaquer Laporte pour les mêmes raisons.
Que ce soit Guy ou Antoine Delacruche, entraîneur de Mornand en Forez, l'honneur bafoué est le même et j'espère que la binocle et consorts vont raquer sévère.
Ce que je veux dire, c'est que ce n'est ni le premier ni le dernier entraineur à se faire renvoyer comme un malpropre.
Par contre, c'est un pataquès dans tous les médias pour dire qu'on avait pas le droit de faire ça à Guy Novès. Je ne comprends pas cette logique.
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