
La FFR et ses magouilles
#9751
Posté 26 février 2025 - 20:13
57 boules en plein incurie ,notre palois fera le chèque,aller un petit impot sur les billets ? Le trufadou ?La bibine ?
On rajoute à cela le détournement du SC de Toulouse pour Jaminet, c'est cool le rugby en ce moment et l'apparition prématuré des champions de la doublette...
Si Grill avait été bien vicieux il aurait dû laisser la place au Codorniou
#9752
Posté 26 février 2025 - 20:15
La technique du mec qui pète dans l'ascenseur et laisse une femme seule toute rouge quand d'autres viennent pour rentrer. Laporte sera prompt à prétendre que Gill pue.
Tu as les mêmes vannes que Urios
- Jesus Hans Hubert Vorme aime ceci
#9753
Posté 13 mars 2025 - 21:09

Voilà un nouvel épisode au feuilleton de la future concession du Stade de France qui ne va pas manquer de faire parler. Alors que l'État est entré en négociations exclusives avec GL Events pour l'attribution de la gestion de l'enceinte de Saint-Denis à partir d'août prochain et qu'une finalisation des discussions était attendue pour fin janvier au plus tard, le dossier n'est toujours pas bouclé. Pour qu'il aboutisse définitivement, la société lyonnaise doit obtenir l'accord des Fédérations de football (FFF) et de rugby (FFR). Si elle a avancé avec cette dernière, les négociations semblent au point mort avec la première. Sans l'une des deux, toute la procédure pourrait être déclarée infructueuse.
Un courrier en date du 25 janvier, signé par Christophe Cizeron, président de GL Events Venues, et adressé à Jérémie Lecha, directeur général de la FFR, que L'Équipe a pu consulter, jette un trouble sur les relations entre les deux parties. Il est ainsi proposé au dirigeant du rugby de bénéficier « à titre gratuit du Matmut Gerland (35 000 places) pour un à deux matches par an organisés par la Fédération française de rugby dont a minima, un match tous les deux ans de l'Équipe masculine de Rugby à XV ». Cette proposition est présentée par GL comme une volonté « d'accompagner le développement du rugby sur les territoires ».
Mais elle intervient dans une lettre où il est essentiellement question du Stade de France, de la possibilité pour la FFR d'être associée « statutairement à la future gouvernance de la société concessionnaire » mais aussi de permettre à la FFF de « monter au capital » de cette société.
Cette démarche fait naître plusieurs questions. Est-ce que l'accord donné par la FFR à GL Events pour le Stade de France a été conditionné par la mise à disposition gratuite de Gerland ? Est-il normal que ce soit le patron de GL Events qui propose l'enceinte lyonnaise à la FFR alors que c'est le club du LOU Rugby qui dispose du bail emphytéotique administratif de Gerland ?
« Nous n'avons pas répondu à ce courrier, se défend Florian Grill, le président de la FFR. D'abord car il ne nous intéresse pas, plus exactement la solution capitalistique ne nous intéresse pas. Deuxièmement, le stade de Gerland peut nous intéresser comme n'importe quel stade mais certainement pas pour les garçons au regard de sa capacité. Ça nous intéressait éventuellement pour les féminines et les moins de 20 ans si ça montait en puissance. Notre négociation avec GL est bouclée dans les grandes lignes, (avec 4 matches, un loyer fixe revu, etc.) mais pas dans les détails. Il y a encore des points de négociation mais aucun n'est lié à Gerland. Nous avons été très clairs : le contrat Stade de France est à part. On ne le mélange pas à toute autre discussion que l'on peut avoir par ailleurs. »
Dans ce dossier sensible, qui fait l'objet d'un recours devant le Conseil d'État du consortium Vinci-Bouygues, candidat malheureux à sa propre succession, certains ont vite fait de voir dans le courrier une offre de GL pour convaincre à tout prix la FFR de s'engager pour le SDF. « On est dans le mélange des genres, croit un connaisseur du dossier. Le président-directeur général délégué du LOU est Pierre-Antoine Ginon qui n'est autre que le fils d'Olivier Ginon, le patron de GL Events. »
#9754
Posté 14 mars 2025 - 12:05
Ça devrait améliorer 1 peux les finances
- InASMWeTrust aime ceci
#9755
Posté 14 mars 2025 - 13:52
les clubs qui ont des inters ont une compensation, si j ai bien compris ..
qui paie ces primes ?
et puis il faudrait les limiter à 6 maxi par club ...
- Alligator427 aime ceci
#9756
Posté 28 mars 2025 - 07:03

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Si la victoire des Bleus dans le Tournoi constitue une éclaircie notable, la FFR doit encore faire face à d’importants déficits. Finances, XV de France, influence à World Rugby… Avant de se rendre à Bordeaux, ce vendredi, le président fait le tour des dossiers
Le XV de France et les moins de 20 ans viennent tous deux de remporter le Tournoi. Quelle valeur accordez-vous à ces succès ?
C’est un doublé historique depuis que les Six-Nations des moins de 20 ans existe. En termes d’image, c’est très satisfaisant. On constate d’ailleurs une amélioration sur la billetterie. Même s’il n’y a eu que deux matchs à domicile cette année, on a rempli les stades dans les deux catégories. Budgétairement, on a rattrapé le problème de France - Japon, un match où on n’a eu que 50 000 personnes.
La victoire du XV de France est-elle une bonne opération financière pour la FFR ?
Ça améliore les comptes de la FFR. On avait budgétisé une deuxième place, compte tenu des primes perçues auprès du Six-Nations, c’est donc 500 000 euros de mieux.
Un rapport de la Cour des comptes a estimé le déficit du Groupement d’intérêt économique (GIE), en charge de l’organisation de la Coupe du monde 2023, à 35 millions d’euros. Une somme à laquelle s’ajoutent 20 millions d’euros de redressement fiscal. Comment appréhendez-vous ces chiffres ?
Il y a deux déficits. Celui dont on a hérité, à la FFR, avec 18 millions d’euros de déficit d’exploitation. Celui-là, on est capable de le gérer. On a commencé à mettre en place toute une série d’actions. Notre objectif est de le résorber en trois ans grâce à la billetterie et à nos partenaires, mais aussi par des réductions de charges. On a demandé des efforts à tout le monde. Par contre, les 54 millions de pertes de la Coupe du monde qui viennent s’additionner, c’est hors de proportion : si on devait les payer demain, on serait en dépôt de bilan.
Quelles solutions s’offrent à vous ?
On discute à tous les niveaux avec l’État. Le rapport de la Cour des comptes va bientôt être publié : il pointe une carence de contrôle, notamment de la part du pouvoir public. Si on dépose le bilan, que se passera-t-il ? L’État sera contraint d’intervenir. Il faut trouver des solutions pertinentes. Pour l’instant, on a beaucoup de déclarations d’amour. Moi, je veux des preuves d’amour.
« On a de quoi être dominant dans le rugby mondial pour les 10 prochaines années »
Dans ce contexte, avez-vous demandé un effort aux joueurs du XV de France au sujet de leurs primes de victoire ?
Bien sûr. Je ne donnerai pas les montants. Mais je suis très fier de leur attitude. Ils ont été parfaitement compréhensifs. En deux réunions avec les représentants des joueurs, l’affaire était bouclée. Ils font preuve de solidarité vis-à-vis du rugby amateur. […] Je le répète, les 18 millions, on y arrivera. Pour les 54 millions de déficit, il faudra la solidarité de tout le monde ! Je considère que la Ligue doit contribuer à aider les clubs alors qu’on a une vraie difficulté au niveau amateur. On a de quoi être dominant dans le rugby mondial pour les dix prochaines années. Ce sera beaucoup plus compliqué pour les dix suivantes si on n’a pas relancé le rugby des villages et des villes moyennes.
Vous avez donné votre accord à GL Events qui est entré en négociation exclusive avec l’État pour la reprise de la concession du Stade de France. Quelles sont les implications de ce dossier ?
Que ce soit avec Bouygues - Vinci ou GL Events, on avait posé quatre conditions non négociables. Un : on s’engage sur quatre matchs minimum. Pour ne pas être obligé d’organiser une rencontre pour laquelle on sait très bien qu’on n’attirera pas 80 000 personnes et qu’on perdra de l’argent. Deux : on a obtenu un pourcentage sur les loges et les hospitalités conforme à ce qui nous est proposé en province. Trois : on voulait un contrat de 30 ans, mais une clause de sortie à 12 ans. Quatre : on voulait un loyer fixe revu à la baisse. Au global, sur les 18 millions qu’on doit trouver pour rééquilibrer les finances de la FFR, on peut générer quatre à six millions grâce à cette renégociation. Mais le contrat n’est pas encore signé.
« Il ne s’agit pas de faire du lobbying pour être mieux entendu que les Irlandais ou les Néo-Zélandais »
Abdelatif Benazzi a été élu à la tête du comité du Six-Nations. Quel sens donnez-vous à cette nomination ?
On veut pousser des sujets à World Rugby. Notamment ceux qui concernent la sécurité des pratiquants. On se bat ainsi pour l’abaissement de la ligne de plaquages. On donne des arguments. Et on sait très bien que la France sera plus forte si elle parle dans le cadre du Six-Nations. On va pouvoir s’aligner sur d’autres sujets comme le rugby féminin ou à sept. Voire de s’aligner sur un autre dossier que l’on pousse : que les décisions des commissaires à la citation soient éclairées par des datas. Aujourd’hui, le commissaire est indépendant - c’est très bien - mais il n’a aucun outil pour prendre sa décision. Pour garantir une meilleure cohérence des décisions, on veut qu’ils soient dotés d’outils pour analyser l’ensemble des décisions prises sur des phases de jeu similaires.
Songez-vous au fait que Tadhg Beirne et Andrew Porter, les deux Irlandais impliqués sur la blessure d’Antoine Dupont, n’ont pas été convoqués en commission de discipline en dépit de votre demande de citation ?
Voilà. On ne polémique pas, ce n’est pas notre style. Par contre, on peut faire progresser la cohérence des décisions. Il ne s’agit pas de faire du lobbying pour être mieux entendu que les Irlandais ou les Néo-Zélandais.
N’y a-t-il tout de même pas un enjeu sur ce point en vue de la Coupe du monde en Australie ?
Je le dis depuis le début : on sera champion du monde en 2027 si on est très fort sportivement, si on est très présent dans toutes les décisions politiques, si on est influent pour faire évoluer les règles de jeu. Il faut être présent partout à l’international.
- Frédéric58 aime ceci
#9757
Posté 08 avril 2025 - 10:23
La Cour des comptes dénonce dans un rapport publié ce mardi "des dysfonctionnements" dans l'organisation de la Coupe du monde de rugby 2023 en France, dans un document que la direction des sports de Radio France a pu consulter.
La Cour des comptes dénonce dans un rapport publié ce mardi "des dysfonctionnements" dans l'organisation de la Coupe du monde de rugby 2023 en France (du 8 septembre au 28 octobre 2023) et "des engagements financiers auprès de World Rugby mal maîtrisés et insuffisamment expertisés quant à leur mise en œuvre opérationnelle".
Dans ce document, que la direction des sports de Radio France a pu consulter, les magistrats de la rue Cambon mettent l'accent sur les manquements "qui ont marqué la gestion du dossier de candidature, comme la gouvernance et le fonctionnement du comité d’organisation France 2023".
Déficit de 35 millions d'eurosL'événement a été un succès sportif et populaire en France, mais il n'a pas bénéficié à la Fédération française de rugby (FFR) qui espérait un ruissellement des résultats escomptés. Si World Rugby, "fédération internationale propriétaire de l’événement, a réalisé en 2023 le meilleur résultat financier de son histoire (proche de 500 millions d'euros)", le "résultat final s'établit" à un déficit de "35 millions d'euros" pour le GIE en charge de l'organisation, pointe sévèrement la Cour des comptes. C'est "bien en-deçà de l’objectif de 68 millions d'euros avancés lors de la candidature" de la France.
En cause selon ce rapport, des "engagements excessifs" qui "ont durablement pesé sur l’organisation de la Coupe du monde. Le soutien de l’État à la candidature de la FFR a été apporté sans examen préalable approfondi de la soutenabilité et de la cohérence du budget de candidature", regrettent les auteurs du rapport. Par ailleurs, "les principaux choix stratégiques liés à l’organisation de la Coupe du monde ont été décidés selon des procédures opaques et sans études préalables sérieuses".
L'Etat pointé du doigt par la Cour des comptesSi Claude Atcher, le premier patron de la candidature de la Coupe du monde, est épinglé dans ce rapport, l'Etat est aussi largement désigné pour expliquer ce désastre. Il est reproché à Claude Atcher, directeur général du comité d'organisation jusqu'à sa révocation en octobre 2022, "des choix décidés selon des procédures opaques", "à l'origine des pertes substantielles".
Selon la Cour des Comptes, l'Etat porte une grande part de responsabilité, avec un soutien accordé souvent "sans examen approfondi" et résumé ainsi : "l'Etat n'a ni pu, ni su, ni voulu assurer le contrôle nécessaire sur les décisions prises". Une délégation de pouvoirs disproportionnée a par exemple été accordée à Claude Atcher par une convention signée notamment par le Premier ministre de l'époque.
Des comités d'éthique et d'audit avaient certes été mis en place, mais ils étaient dépendants "des informations parfois superficielles" transmises par la direction générale. La Cour des comptes estime, en conclusion, que "le manque de transparence du directeur général ne saurait excuser l'aveuglement de l'Etat".
- Frédéric58 et Buckaroo aiment ceci
#9758
Posté 08 avril 2025 - 10:30
En gros, de l'incompétence et du j'm'en-foutisme (quand ce n'est pas de la crapulerie pure et simple) à tous les étages. Franchement, qui est surpris ?
- Frédéric58 aime ceci
#9759
Posté 08 avril 2025 - 10:40
En gros, de l'incompétence et du j'm'en-foutisme (quand ce n'est pas de la crapulerie pure et simple) à tous les étages. Franchement, qui est surpris ?
Atcher et Laporte sont certainement surpris.
Encore la preuve d'un complot contre eux.
- Buckaroo aime ceci
#9760
Posté 08 avril 2025 - 10:41
C'est également impossible de déléguer quasiment tous les pouvoirs à Atcher, pour des sommes aussi importantes.
Puis que WR encaissé 500 M ça veut dire que l'événement était rémunérateur. Impossible de perdre 35 M.
C'est du détournement de fonds publics, c'est parti dans les fouilles de qui???
#9761
Posté 08 avril 2025 - 11:55
C'est juste impossible de l incompétence des autorités de contrôle de ce niveau là.
C'est également impossible de déléguer quasiment tous les pouvoirs à Atcher, pour des sommes aussi importantes.
Puis que WR encaissé 500 M ça veut dire que l'événement était rémunérateur. Impossible de perdre 35 M.
C'est du détournement de fonds publics, c'est parti dans les fouilles de qui???
Ça veut surtout dire que dans tes coup tu dois en premier lieux faire un chèque à WR.
C est une des conditions pour accueillir lévénement
- ASM.fanclub.metz aime ceci
#9762
Posté 08 avril 2025 - 12:28
Ça veut surtout dire que dans tes coup tu dois en premier lieux faire un chèque à WR.
C est une des conditions pour accueillir lévénement
Jusque là je comprends le mécanisme. Payer des Royalties.
Mais après tout est louche. Opaque. Comme la boîte qui a jamais rendu le pognon des hospitalités .
#9763
Posté 08 avril 2025 - 13:24
Qui était premier ministre à l'époque ??? Qui a protégé qui ou a laissé faire les copaings ???
#9764
Posté 08 avril 2025 - 13:31
Qui était premier ministre à l'époque ??? Qui a protégé qui ou a laissé faire les copaings ???
à mon avis Atcher a eu le temps de nuire sous plusieurs PM : Philippe puis Castex puis Borne entre 2017 et 2023
- Bad Zé aime ceci
#9765
Posté 08 avril 2025 - 13:38
Rugby : la Cour des comptes dénonce "des dysfonctionnements" dans l'organisation de la Coupe du monde en 2023 en France
La Cour des comptes dénonce dans un rapport publié ce mardi "des dysfonctionnements" dans l'organisation de la Coupe du monde de rugby 2023 en France, dans un document que la direction des sports de Radio France a pu consulter.
La Cour des comptes dénonce dans un rapport publié ce mardi "des dysfonctionnements" dans l'organisation de la Coupe du monde de rugby 2023 en France (du 8 septembre au 28 octobre 2023) et "des engagements financiers auprès de World Rugby mal maîtrisés et insuffisamment expertisés quant à leur mise en œuvre opérationnelle".
Dans ce document, que la direction des sports de Radio France a pu consulter, les magistrats de la rue Cambon mettent l'accent sur les manquements "qui ont marqué la gestion du dossier de candidature, comme la gouvernance et le fonctionnement du comité d’organisation France 2023".
Déficit de 35 millions d'eurosL'événement a été un succès sportif et populaire en France, mais il n'a pas bénéficié à la Fédération française de rugby (FFR) qui espérait un ruissellement des résultats escomptés. Si World Rugby, "fédération internationale propriétaire de l’événement, a réalisé en 2023 le meilleur résultat financier de son histoire (proche de 500 millions d'euros)", le "résultat final s'établit" à un déficit de "35 millions d'euros" pour le GIE en charge de l'organisation, pointe sévèrement la Cour des comptes. C'est "bien en-deçà de l’objectif de 68 millions d'euros avancés lors de la candidature" de la France.
En cause selon ce rapport, des "engagements excessifs" qui "ont durablement pesé sur l’organisation de la Coupe du monde. Le soutien de l’État à la candidature de la FFR a été apporté sans examen préalable approfondi de la soutenabilité et de la cohérence du budget de candidature", regrettent les auteurs du rapport. Par ailleurs, "les principaux choix stratégiques liés à l’organisation de la Coupe du monde ont été décidés selon des procédures opaques et sans études préalables sérieuses".
L'Etat pointé du doigt par la Cour des comptesSi Claude Atcher, le premier patron de la candidature de la Coupe du monde, est épinglé dans ce rapport, l'Etat est aussi largement désigné pour expliquer ce désastre. Il est reproché à Claude Atcher, directeur général du comité d'organisation jusqu'à sa révocation en octobre 2022, "des choix décidés selon des procédures opaques", "à l'origine des pertes substantielles".
Selon la Cour des Comptes, l'Etat porte une grande part de responsabilité, avec un soutien accordé souvent "sans examen approfondi" et résumé ainsi : "l'Etat n'a ni pu, ni su, ni voulu assurer le contrôle nécessaire sur les décisions prises". Une délégation de pouvoirs disproportionnée a par exemple été accordée à Claude Atcher par une convention signée notamment par le Premier ministre de l'époque.
Des comités d'éthique et d'audit avaient certes été mis en place, mais ils étaient dépendants "des informations parfois superficielles" transmises par la direction générale. La Cour des comptes estime, en conclusion, que "le manque de transparence du directeur général ne saurait excuser l'aveuglement de l'Etat".
Quand 2 voyous font mains basses sur les bijoux de famille…..
Je n’ose pas croire qu’aujourd’hui des personnes accordent du crédit à messieurs LAPORTE et Achter …
Combien de personnes sont en prison pour moins que ça ?
« Un très bon cas d'école d'échec de gestion publique » : Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes, sur la Coupe du monde 2023 en France
https://www.lequipe....-france/1552579
- Lima aime ceci
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