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La FFR et ses magouilles
#1201
Posted 20 September 2017 - 15:34 PM
#1202
Posted 20 September 2017 - 15:38 PM
Non, mais il a raison le médecin: vous imaginez poser des points à un joueur dans des locaux comme ça, ou même plus grave: s'occuper d'un protocole commotion avec un diagnostic neurologique à faire?
Et l'autre qui donne des leçons de morale à tout le monde !
- cetotomatos, jm12 and Pâquerette like this
#1203
Posted 20 September 2017 - 15:55 PM
J en ai parlé a mon pote kine qui a halluciné en voyant çaNon, mais il a raison le médecin: vous imaginez poser des points à un joueur dans des locaux comme ça, ou même plus grave: s'occuper d'un protocole commotion avec un diagnostic neurologique à faire?
Et l'autre qui donne des leçons de morale à tout le monde !
Mourad devient de plus en plus sympa, un président à la aulas
- Le Marseillais, jm12 and Pâquerette like this
#1204
Posted 20 September 2017 - 16:18 PM
J en ai parlé a mon pote kine qui a halluciné en voyant ça
Mourad devient de plus en plus sympa, un président à la aulas
MOURAD, évolue en CORPO....ALTRAD , c est un autre "monde" la CHAMPION/S LIGUE....
Ces mecs n 'ont pas pour habitude d 'être contrariés, encore moins remis en causes et surtout de faire ce qu 'ils veulent dans tous les sens du terme et d 'obtenir par tous les moyens ce qu 'ils veulent!
Je le disais on aurait souhaité pour le bien du rugby FRANCAIS que tous ces parachutés entrent un peu dans le moule sans trop en faire et en respectant à défaut l ' éthique , au moins les règles de la LNR....sportivement cela , n 'aurait en rien empêché le M HR d ' ATRAD d 'être titré !!!!
Mais il est trop impatient, imbu de sa personne, et sans valeurs que celles du pouvoir à travers son pognon....c 'est en cela qui j 'ai toujours dit depuis des mois qu 'il était très dangereux pour le rugby FRANCAIS....Aujourd'hui ce qui me gêne au plus haut point, c 'est que la LNR est lézardée , fragilisée, but recherché par ces mecs là...la bienveillance de MOURAD si elle ne me surprend pas est révélatrice ......et le silence de JACKY assourdissant, tout ça pour récupérer des tunes afin de prolonger le grand DAN
Ca sent pas bon tout ça.....on a mis avec ces gadjos les loups dans la bergerie et ça ne fait que commencer !!!
- pieremanuel likes this
#1205
Posted 20 September 2017 - 16:28 PM
Altrad le mafieux.
#1207
Posted 20 September 2017 - 16:43 PM

Les miniclips du fil Twitter de la FFR le montrent dans l'exercice où, de tout temps, il s'est révélé le plus à son aise : au contact des entraîneurs dans les clubs amateurs, sur le terrain avec des jeunes licenciés, balle en main, à multiplier les passes. Un jour à Annecy et l'autre à Saint-Omer. Un peu plus tard au milieu de bénévoles micro en main : « Je peux vous dire que la Fédération française de rugby va tout faire pour simplifier la vie de ses bénévoles. C'est une des réformes majeures de notre mandat. Parce que, effectivement, on disait pendant la campagne qu'être dirigeant d'un club aujourd'hui, c'est 90 % d'emmerdes et 10 % de bonheur. On va essayer d'inverser les choses. » Le candidat Laporte avait promis de continuer d'écumer le rugby des villages une fois élu. Il tient parole. Son administration, elle, tentera de le faire, samedi, à Avignon, lors d'une assemblée générale extraordinaire en faisant adopter les propositions de modification des statuts et du règlement intérieur de la FFR. Parmi elles, des mesures fortes visant à « redonner le pouvoir aux clubs », selon une formule amplement usitée tout au long de la course à la présidence. Le vote décentralisé, la limitation à deux mandats du président ou la mise en place de référendums électroniques sur des questions qui touchent à l'intérêt supérieur du rugby sont objectivement des décisions positives et modernes et son affichage est naturel. L'idée fédérale n'est pas de donner une illusion de normalité au cœur d'une séquence polluée par l'affaire de favoritisme présumée de la Fédération envers le président du club de Montpellier Mohed Altrad. C'est bien de continuer d'avancer sur les réformes et sur le brûlant dossier de candidature France 2023 entré cette semaine dans sa dernière ligne droite. Sur le terrain, l'ancien sélectionneur du quinze de France semble d'ailleurs garder la confiance de la base de son électorat et d'une partie du rugby amateur, toujours heureux de le voir débarquer avec sa gouaille et sa bonhomie. Celui-ci reste même convaincu du bien-fondé de ses idées sur la formation, par exemple, ou de la refonte de certains calendriers. Une injection d'ondes positives salutaire pour le patron du rugby français quand il s'accorde ces bains de foule en terrain conquis et qui tranchent avec les crispations ambiantes hors cadre ou hors rectangle vert.
Après un très bref épisode d'abattement, Bernard Laporte s'est requinqué pour devenir carrément offensif. Depuis le début de l'affaire, l'ex-secrétaire d'État aux Sports est persuadé d'être victime d'un complot de la Ligue nationale de rugby (LNR), l'organe qui gère les clubs professionnels et la manne des droits télé (74 millions d'euros par an jusqu'en 2019). Le 1er septembre, deux jours après la décision de la ministre des Sports, Laura Flessel, d'ouvrir une enquête à son sujet, et alors que six des treize membres de la commission d'appel de la FFR ont déjà démissionné, le président de la FFR téléphone à Vincent Bolloré, propriétaire du groupe Vivendi (Canal +, Universal, Havas…) avec lequel il a un lien direct, pour lui faire part de ses soupçons.

Selon lui, il serait victime d'un coup fomenté par l'Anglais Simon Gillham, un des bras droits de Bolloré, directeur de la communication de Vivendi et accessoirement président du club de rugby de Brive depuis 2016. La preuve ? Philippe Peyramaure, l'avocat par qui le scandale est arrivé – c'est lui qui accuse Laporte d'avoir fait pression sur la commission d'appel de la FFR –, est briviste, actionnaire du club (25 000 euros versés entre 2009 et 2011 pour aider le club menacé à l'époque de dépôt de bilan). Bernard Laporte croit-il vraiment à cette « machination » ? Il semblerait que oui, alors que Canal + (qui s'est vu attribuer les droits télé pour la période 2019-2023) reste sous la menace d'une procédure toujours en cours de son rival, le groupe Altice, devant l'autorité de la concurrence (pour appel d'offres trop précoce de la LNR).
En tout cas, le mardi 5 septembre, une vive explication a lieu entre les deux hommes, à la demande de Gillham, deux jours avant d'accueillir dans les locaux de Vivendi la grande famille du rugby pour une opération de soutien à la candidature France 2023. Depuis mars dernier, le groupe industriel est en effet un soutien officiel de la France et le montant de son aide s'élève à 300 000 euros. D'abord tendu, l'entretien aurait finalement convaincu Laporte. Selon nos informations, Simon Gillham sera même du voyage à Londres, lundi prochain, pour la présentation officielle de la candidature française devant les membres de World Rugby (qui voteront le 15 novembre).
Climat de suspicion au sein de la FFRDu côté de Marcoussis, en revanche, l'inquiétude née des premières révélations n'est pas retombée. Le 30 août dernier, Sébastien Conchy, le directeur général de la FFR, invitait par mail les salariés à échanger avec leur patron dès le lendemain, et en ces termes : « Vous l'avez suivi dans la presse, Bernard Laporte a fait l'objet d'une campagne médiatique intense ces derniers jours, qui d'ailleurs peut largement être qualifiée de diffamatoire, au moins de la part de certains médias. Mais audelà de sa personne, c'est l'institution et ses prérogatives mêmes qui ont été visées. » Dans l'auditorium du CNR, à 11 h 30, deux membres du service des ressources humaines sont notamment intervenus. Le premier a demandé pourquoi une haute autorité de la transparence (chantier mené par Me Francis Szpiner) avait été créée alors qu'une commission d'éthique existait déjà ? Ce à quoi Laporte a rétorqué qu'« une commission qui ne se réunissait pas n'existait pas ». Habile. Le second intervenant s'est voulu un brin plus corrosif. Soulignant le caractère néfaste des polémiques sur l'image de la FFR et des valeurs qu'elle dit porter, celui-ci a interrogé son président sur sa position sur le conflit d'intérêts présumé. Là encore, aux dires de plusieurs employés présents en cette fin de matinée, l'ancien manager du RCT a été bon pour faire diversion, sans toutefois convaincre totalement l'ensemble de l'assistance.
Comme souvent après un changement de gouvernance à la tête d'une si grosse institution, les services sont chamboulés et les départs à des postes importants inévitables. Les nouveaux dirigeants placent des hommes de confiance à la vision stratégique raccord. La base, en revanche, reste relativement stable. Or la FFR, qui recense une grosse centaine de collaborateurs, a déjà connu la bagatelle de onze départs dans des départements majeurs, dont certains n'ont toujours pas été remplacés. La chasse à la taupe lancée en interne pour démasquer celui qui aurait pu faire fuiter le contrat entre Altrad et BL Communication – publié dans les colonnes du JDD le 27 août – a instillé un climat général de suspicion. Certains salariés préfèrent aujourd'hui utiliser leur ligne de téléphone personnelle plutôt que le mobile mis à disposition par la Fédération pour discuter entre eux ou vers l'extérieur. La messe basse est devenue la nouvelle fréquence de communication dans les couloirs et les bureaux plombant un peu plus une confiance déjà copieusement ébranlée. '
- Uderzo likes this
#1208
Posted 20 September 2017 - 16:44 PM
Je lis dans le post précédent que Bernie pense qu'il "serait victime d'un coup fomenté par l'Anglais Simon Gillham"
Donc Mohed a raison, c'est encore une preuve du problème de l'intégration des Présidents étrangers dans le rugby Français...
- Le Manouche and cetotomatos like this
#1209
Posted 20 September 2017 - 16:47 PM

RUGBY Créateur d’un groupe employant 38 000 personnes dans le monde, propriétaire du Montpellier Hérault Rugby et sponsor de l’équipe de France, Mohed Altrad agace certains dirigeants du rugby français par ses méthodes issues de l’entreprise. Ils lui reprochent notamment de faire flamber les salaires. Parce que le Groupe Altrad a signé un contrat de 150 000 euros, aujourd’hui annulé, avec une société gérée par Bernard Laporte pour quatre interventions dans des séminaires d’entreprise, le président du MHR est accusé de vouloir acheter le rugby français et d’exercer une influence sur le président de la FFR qui aurait usé de son pouvoir pour réduire des sanctions touchant le MHR… Des accusations dont Mohed Altrad s’est défendu, lundi, devant ses pairs, à l’occasion d’une réunion des présidents des clubs professionnels. Il poursuit le match pour Le Figaro…
LE FIGARO. - Regrettez-vous d’avoir signé ce contrat avec Bernard Laporte ?
Mohed ALTRAD. - Ce contrat n’enfreint aucune loi, ni règle édictée par la Fédération française de rugby. Personnellement, je ne regrette pas d’avoir signé ce contrat. Laporte a préféré l’annuler pour éteindre une polémique. Mais aujourd’hui, le mal est fait. Notamment parce que certains présidents se sont permis de dire tout et n’importe quoi sans avancer les preuves de leurs accusations. Comme l’a dit un jour Mitterrand, « Toutes les explications du monde ne justifieront pas qu’on ait pu livrer aux chiens l’honneur d’un homme ».
À qui pensez-vous ?
Les présidents de Clermont, de La Rochelle et de Pau se sont permis de porter des accusations. Ces derniers veulent régler des comptes personnels. Vincent Merling (La Rochelle) et Bernard Pontneau (Pau) disent que les contrats du groupe Altrad avec la fédération peuvent engendrer la compromission des membres de la commission d’appel et celle du corps arbitral. Or, la saison dernière, 29 recours ont été examinés. À l’issue, 20 sanctions ont été revues à la baisse. Quel club s’est plaint de l’une de ces décisions arguant qu’elle faussait l’équité du Top 14 ? De son côté, Eric de Cromières (Clermont) dit que les liens Laporte/Altrad font peser un risque sur la nomination des arbitres. C’est le produit de l’imagination d’un homme qui ne pense pas. Cette insinuation signifie quoi ? Que l’ensemble des arbitres sont vendus ? Il y a aussi les présidents de Grenoble, Bordeaux-Bègles et Agen qui se permettent de raconter n’importe quoi. Je ne veux pas m’abaisser à débattre avec eux.
Certains présidents vous ont également reproché d’approcher des joueurs encore sous contrat… Ce qui ne se faisait pas jusqu’alors dans le rugby.
Vous croyez ? Quand, en 2015, Scott Spedding quitte Bayonne pour Clermont, il était en précontrat avec Montpellier. Vous croyez que de Cromières m’a appelé pour me dire qu’il allait débaucher ce joueur ? En fait, si, il m’a appelé pour me demander de baisser la facture liée à l’annulation de ce précontrat. Nous sommes dans une économie libérale. Il y a des lois et je les respecte. Si on y contrevient, on est sanctionné et c’est normal. Mais le rugby n’échappe pas aux règles du commerce international, ni au droit du travail.
Il n’empêche, vous demeurez très critiqué. Comment l’expliquez-vous ?
Je dérange une poignée d’imbéciles à Clermont, Pau, La Rochelle et Agen… Si je dérange, c’est parce que je dépareille. Je le dis sans fanfaronner: le Groupe Altrad est la plus belle réussite industrielle française des vingt dernières années. Je suis un entrepreneur soucieux d’un management rationnel. Dans toutes mes activités, je veux être numéro un mondial. Peut-être que je n’y arriverai pas. Mais c’est mon objectif, y compris pour le MHR. Je suis né en Syrie. Je suis arrivé en France à 18 ans. Je dois tout à la France. Mais je viens avec mes méthodes d’entrepreneur, mes moyens, et mes exigences. Le rugby, contrairement au foot, n’a pas encore réussi sa transformation économique et sociale.
Que voulez-vous dire ?
D’un point de vue social, le football a su intégrer les différentes vagues d’immigration : Kopa, Platini, Zidane, sont des enfants et petit-enfants issus de l’immigration. Le rugby a intégré tardivement des joueurs d’origine étrangère en équipe de France. C’est la même chose avec les présidents (du Top 14). Je suis français, mais le seul né à l’étranger. D’un point de vue économique et dans la vie en général, c’est quand on réussit qu’on est critiqué. À mon arrivée, le MHR ne dérangeait personne parce qu’il n’était pas perçu comme un favori. On ne nous a pas vus venir. Nous vivons dans un monde d’argent. Je n’y suis pour rien. Mes contempteurs ont leurs armes. J’ai les miennes. On s’en prend à nous alors que nous ne sommes même pas le plus gros budget du Top 14. Hors Altrad, le chiffre d’affaires généré par les partenaires du club s’élève à 14 millions d’euros. Il était de 5,80 M€ à mon arrivée. Et notre modèle serait moins vertueux que celui de La Rochelle ?
Êtes-vous un mécène ou un investisseur ?
Les deux, et ce n’est pas incompatible. En tant que propriétaire du MHR, je suis un mécène, car je sais que je ne récupérerai jamais l’argent injecté dans le club. Serge Kampf, Jacky Lorenzetti, Michelin, les laboratoires Pierre Fabre l’ont fait avant moi. En revanche, quand je sponsorise le maillot de l’équipe de France, je suis un investisseur, car le sponsoring offre une visibilité à Altrad qui est un groupe mondial. À cet égard, la défiance de certains ne repose sur rien, sinon des préjugés et des suspicions de principe et de fausses allégations qui cachent un règlement de comptes orchestré. Ils montrent que le système actuel est immature.
Vous allez encore vous faire des amis…
Je vais aller plus loin. Ces jugements lapidaires empreints d’ordre moral d’une minorité de dirigeants sont comme les soubresauts d’un monde craintif, complaisant sur son passé, tournant le dos à son avenir au lieu d’explorer avec confiance et détermination les pistes de son indispensable renouveau.
Devant les critiques, pourriez-vous renoncer à ce que vous entreprenez dans le rugby ?
Non. Face à l’adversité, je suis très fort. J’ai vécu d’autres épreuves autrement plus difficiles dans la vie. Ce ne sont pas des mecs comme eux qui vont me faire trembler. On ne joue pas dans la même catégorie. Ces gens parlent de valeurs du rugby, mais ils n’ont pas le monopole du cœur.
Vous avez évoqué la création d’une fondation pour le rugby amateur. Quels moyens comptez-vous lui accorder ?
Le montant qu’il faudra. Pour avoir une bonne équipe de France, il faut une formation de haut niveau. Combien de clubs peinent aujourd’hui à acheter des ballons ? Ce n’est pas acceptable. Le rugby doit être présent dans les écoles comme en Nouvelle-Zélande ou en Écosse.
Votre équipe est actuellement leader du Top 14. Craignez-vous qu’elle soit atteinte par ces polémiques extrasportives ?
Le club a beaucoup mûri avec l’arrivée du nouveau staff. Ils font la part des choses. Ils sont concentrés sur le jeu et rien d’autre.
- Uderzo likes this
#1210
Posted 20 September 2017 - 16:52 PM
C'est le vrai galthié qui a répondu ?
A priori le prénom n'est pas le même "Faitbien"
#1211
Posted 20 September 2017 - 17:18 PM
Les spectateurs du MHR ont beaucoup de chances d'avoir un Président comme le leur, ils pourraient être à Brive, Perpignan ou encore à La Rochelle...
- bazooka and Pâquerette like this
#1212
Posted 20 September 2017 - 17:19 PM
Les spectateurs du MHR ont beaucoup de chances d'avoir un Président comme le leur, ils pourraient être à Brive, Perpignan ou encore à La Rochelle...
Voire même de Clermont, les cons !!!
- Pâquerette likes this
#1213
Posted 20 September 2017 - 17:22 PM
Breaking news!!! le MHR vient de passer en tête du club que je ne peux plus voir devant le racing et Toulon.
mdr, c'est Altrad le chevalier blanc qui va sauver le rugby français, avec son équipe quasi exclusive de sud afs.
#1214
Posted 20 September 2017 - 17:32 PM
Breaking news!!! le MHR vient de passer en tête du club que je ne peux plus voir devant le racing et Toulon.
mdr, c'est Altrad le chevalier blanc qui va sauver le rugby français, avec son équipe quasi exclusive de sud afs.
Il est là pour mettre des ronds à la FFR pour aider la formation des jeunes joueurs Français, tout de même...!!! Et on lui met des bâtons dans les roues !!
Il est pas là pour former les jeunes pour son club (enfin si mais en AfSud...), l'altruiste Mohed Altrad au grand coeur...
On va avoir une des plus belles générations de jeunes Français grâce à son pognon et ses idées novatrices.. !!! Ce serait fou de s'en priver...
J'ai bon ??
#1215
Posted 20 September 2017 - 17:55 PM
"Si on y contrevient, on est sanctionné et c’est normal. Mais le rugby n’échappe pas aux règles du commerce international, ni au droit du travail."
Cette phrase là je l'ai particulièrement goûtée ! Il me manquait toutefois la braise dans le barbecue...
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