En tout cas, une chose est sûre ; depuis que Bernard Lemaitre est devenu président du RCT, je n'achète plus AUCUNE poche de nutrition intraveineuse de sa société.

SALARY CAP
#2191
Posté 28 mai 2025 - 11:15
#2192
Posté 28 mai 2025 - 11:56
En tout cas, une chose est sûre ; depuis que Bernard Lemaitre est devenu président du RCT, je n'achète plus AUCUNE poche de nutrition intraveineuse de sa société.
t'es revenu au Capri-sun ?
- Velveteethol et Arverne03 aiment ceci
#2193
Posté 29 mai 2025 - 14:47
Samedi dernier l’Union Bordeaux-Bègles s’est imposée en finale de la Champions Cup contre Northampton.
Grâce à cette victoire, les Girondins ont remporté le premier titre majeur du club.
Les joueurs de l’UBB verront-ils leur salaire augmenter suite à ce premier titre majeur ?
Interrogé sur le sujet via Sud-Ouest, le président de l’Union Bordeaux-Bègles, Laurent Marti a fait un point sur la situation.
Il explique que l’UBB est au maximum du salary cap et qu’aucun salaire ne sera donc revu à la hausse.
A lire ci-dessous :
« Non ! On est au maximum du salary cap, les joueurs sont payés au juste prix. À Toulouse, ils acceptent parfois moins parce qu’ils savent qu’ils vont gagner des titres. Ici, je ne vais pas leur demander d’accepter moins pour autant ! »
Commentaire perso :
Marti, que j'aime bien pourrait renseigner les lecteurs en disant qu'il va quand même utiliser les 500k de coup de pouce de la LNR sur le SC (pour le titre gagné) pour verser des primes à son effectif...
Vu qu'il a reproché ceci à Toulouse pour les années passées...
- Velveteethol, Paolinito et Alex chocolatines aiment ceci
#2194
Posté 29 mai 2025 - 14:53
L’UBB est dans l’incapacité d’augmenter les salaires de ses joueurs : Explications !Samedi dernier l’Union Bordeaux-Bègles s’est imposée en finale de la Champions Cup contre Northampton.
Grâce à cette victoire, les Girondins ont remporté le premier titre majeur du club.
Les joueurs de l’UBB verront-ils leur salaire augmenter suite à ce premier titre majeur ?
Interrogé sur le sujet via Sud-Ouest, le président de l’Union Bordeaux-Bègles, Laurent Marti a fait un point sur la situation.
Il explique que l’UBB est au maximum du salary cap et qu’aucun salaire ne sera donc revu à la hausse.
A lire ci-dessous :
« Non ! On est au maximum du salary cap, les joueurs sont payés au juste prix. À Toulouse, ils acceptent parfois moins parce qu’ils savent qu’ils vont gagner des titres. Ici, je ne vais pas leur demander d’accepter moins pour autant ! »
Commentaire perso :
Marti, que j'aime bien pourrait renseigner les lecteurs en disant qu'il va quand même utiliser les 500k de coup de pouce de la LNR sur le SC (pour le titre gagné) pour verser des primes à son effectif...
Vu qu'il a reproché ceci à Toulouse pour les années passées...
Merki m'ssieur xdderf, tu m'as fait ma fin de semaine
#2195
Posté 20 juin 2025 - 17:16
- xdderf63 aime ceci
#2196
Posté 20 juin 2025 - 18:11
J'aime beaucoup le 1er commentaire !
On peut sans difficultés imaginer qu'à fraude égale, si c'est Toulouse (ou Castres, #souvenirs1993), il y aurait un retrait de 2 ou 3 points, et une relégation en fédérale 3 pour nous.
#2197
Posté 20 juin 2025 - 18:19
Est ce que ça concerne Toulouse ou que le Top14?
- Paolinito aime ceci
#2198
Posté 20 juin 2025 - 18:39
Est ce que ça concerne Toulouse ou que le Top14?
lol le premier commentaire évoqué par Maga pose la question
#2199
Posté 20 juin 2025 - 18:55
Et alors l'histoire de Jaminet et du ST c'est passé sous le tapis?
#2200
Posté 20 juin 2025 - 18:58
Vrai boulot
Comment se fait l'échange Carbonnel / Hervé alors que les 2 joueurs sont sous contrat et que le salaire de Carbonnel doit être ×2 de celui de Hervé
Salaire payé à moitié par le SF comme il le fond toujours pour Fickou ?
#2201
Posté 20 juin 2025 - 19:10
Ĺequipe ne loupera jamais une occasion de mettre en avant leur enquête donc non pas oubliéEt alors l'histoire de Jaminet et du ST c'est passé sous le tapis?
On n'a pas le fin mot de l'histoire après enquête de l'ex DNACG
Lequipe écrit "Toulouse qui aurait cherché à détourner..."
Ben ils ont "détourné ou pas détourné" mais juste chercher sans le faire = pas détourné
Il n'ont triché sur aucun salaire de leur joueur
L'affaire Jaminet c'est une magouille qu'a priori tous font pour payer le transfert par un sponsor et afin que le joueur qui se libere lui meme ne paye pas d'impôts donc ilégal mais connu dans le milieu voir accepté
Les salaires des joueurs toulousains semblent en accord avec les normes puisque il n'y a aucune affaire sur les salaires des toulousains ni plainte.
Juste parfois des présidents qui acquiescent que Toulouse à un avantage car il gagne des titres et qu'ils peuvent redistribuer les primes de 500.000 accordées par titres afin que les joueurs qui viennent accepte de gagner moins sur le salaire de base
C'est Marti qui le dit
Mais il ne dit jamais que Toulouse triche sur les salaires
Maintenant Marti va pouvoir le faire aussi...
- lecoon aime ceci
#2202
Posté 20 juin 2025 - 19:12
Et alors l'histoire de Jaminet et du ST c'est passé sous le tapis?
Un tapis à 1,3 Million
reste qu’une fois de plus il risque d’y avoir un gouffre entre l’intention affichée l’application de la sanction
tu enlèves 3 points au ST il s’en fout
le SF ou l’USAP moins
ensuite le Savary Cap est opposable en droit du travail, le jour ou un président le dénonce c’est terminé
et puis si jamais vraiment il le faut, alors on dégainera « l’intérêt supérieur du rugby »
- lecoon aime ceci
#2203
Posté 24 juin 2025 - 20:56
Le 9 mai, Uzair Cassiem écrit à Jean-Baptiste Aldigé, président du Stade Niçois, pour dénoncer son « précontrat de travail ». Dans cette lettre, dont L'Équipe a eu connaissance, le troisième-ligne sud-africain (35 ans, 8 sélections avec les Springboks) détaille les raisons qui le poussent à vouloir revenir sur son choix de rejoindre ce club qui terminera la saison à la dernière place de Pro D2, synonyme de relégation en Nationale, le troisième échelon du rugby français.
« Vos services m'ont adressé le 20 février 2025 à 13 heures une proposition d'engagement en me demandant de la retourner signée avant le 21 février à midi, notifie le joueur de 35 ans, à qui l'Aviron Bayonnais a fait savoir que leur quatrième saison de collaboration, pourtant fructueuse (20 apparitions dont 18 comme titulaire), serait la dernière. Ne maîtrisant que très partiellement la langue française, ne disposant pas de conseils appropriés pour étudier en détail le document et en l'absence de version rédigée en anglais, je vous ai retourné la proposition signée en m'appuyant sur les messages WhatsApp en anglais que vous m'aviez adressés le même jour. »
A posteriori, donc en un sens trop tard, Cassiem se renseigne « afin de mesurer la portée et les conséquences juridiques » du contrat qu'il vient de parapher. Verdict : « J'ai été averti des problématiques que constitue la signature d'un engagement basé concomitamment sur un contrat de travail avec un club, un contrat d'image avec une autre société (en l'occurrence Gavekal) et une indemnisation par France Travail, poursuit-il dans son courrier. Il m'a été répondu que je courais et faisais courir à ma famille un grave risque à formaliser un tel engagement, tant au niveau de l'URSSAF, que du fisc et de France Travail. Je suis donc au regret de vous informer que je ne peux donner suite à votre proposition de contrat. Y souscrire reviendrait à accepter une part de responsabilité dans un montage juridique et financier illégal. »
Une partie du problème vient de la démarche solitaire de Cassiem. Déçu de ne pas être conservé à Bayonne, soucieux de ne voir rien venir par ailleurs, le Sud-Africain, impatient, s'est détourné de son agent historique pour finalement négocier en direct avec Aldigé. Aux dernières nouvelles, le président niçois ne veut toujours rien entendre des arguments de Cassiem. Il lui rétorque que s'il souhaite se désengager, il lui faudra s'acquitter de la clause pénale prévue au contrat, chiffrée à 200 000 €. Sinon, il est attendu sur le terrain le 15 juillet. Le numéro 8 sud-africain a alerté la direction des Affaires juridiques de la FFR afin qu'elle casse ou suspende l'homologation d'un contrat qu'un des signataires juge a minima irrégulier. Il y a quelques jours, la FFR a informé le joueur qu'elle ne pouvait ni ne voulait se prononcer, refilant la patate chaude à Provale, le syndicat des joueurs. « Seul un recours devant les prud'hommes pourrait trancher ce litige », s'accordent à dire plusieurs sources.
À Nice, on fait comprendre que le joueur n'a pas signé sous la contrainte et que son revirement coïncide avec une promesse d'embauche émise par Biarritz, région où la famille Cassiem se plaît beaucoup. Le nouveau président du BO, Cyril Arrosteguy, a indiqué à Sud-Ouest qu'il n'était pas question de payer les 200 000 euros, mais que « si son précontrat est invalidé pour telle ou telle raison, Cassiem est un joueur qui peut nous intéresser. » Contacté, Jean-Baptiste Aldigé n'a pas souhaité répondre à nos questions pour le moment.
L'argumentaire de Cassiem, transmis à la FFR, s'appuie notamment sur plusieurs messages WhatsApp échangés entre lui et Aldigé. Dans l'un d'eux, le président du Stade Niçois répondait à l'inquiétude de sa future recrue liée à une baisse de rémunération au sixième mois. Le message crypté est le suivant :
7000 - 4500 = 2500
2500 x 6 = 15 000
15 000 IR more
Essayons d'y voir plus clair. Pour faire venir Cassiem à Nice, l'ancien président du Biarritz Olympique lui a vendu un package avec une rémunération de 7 000 euros bruts qui comprend une partie « salaire de base » versée par le club (2 500 €) et une partie « indemnités chômage » (4 500 €, pas loin du maximum autorisé fixé à 4 900€), la recrue devant s'inscrire à France Travail pour y ouvrir ses droits à l'ARE (Allocation d'aide au retour à l'emploi) dès la fin de son contrat avec Bayonne actée, soit au 1er juillet. Sauf qu'au bout de six mois, la compensation chômage décroît et c'est ce qui inquiète Cassiem. Mais Aldigé a la parade et assure qu'il aura ses 7 000 euros chaque mois. Comment ? Via le paiement de droits d'image (IR = image rights). Quand, au bout de six mois, l'ARE baissera, Aldigé compensera pour le semestre suivant par 15 000 euros de droits d'image, soit six mensualités de 2 500.
En agissant ainsi, Aldigé remplace du salaire par du droit d'image contractualisé, non pas avec le club mais avec la société Gavekal, immatriculée à Hong-Kong. Et cela soulève une autre problématique, celle d'une soustraction aux charges sociales et patronales de ce qui, manifestement, est considéré au départ comme du salaire. Le paiement déguisé de salaire par du droit d'image est devenu une perversion rugbystiquement transmissible. En Top 14, un des bénéfices directs se comprend aisément : en procédant ainsi, le club déclare moins de masse salariale et peut donc dépasser le plafond de manière détournée. En Pro D2 ou Nationale, le salary cap n'étant pas encadré, il s'agit plutôt de se soustraire aux cotisations obligatoires, à commencer par l'assurance chômage, dont certains n'ont aucun scrupule à solliciter l'assistance.
Il ne faudrait cependant pas croire que ces façons de faire sont nées du dernier brainstorming d'Aldigé. Ancien président de la FFR, Pierre Camou disait souvent sur le ton du dépit : « Hélas, je le sais, beaucoup d'équipes devraient porter le logo Pôle emploi (devenu France Travail) sur leur maillot. » Comme n'importe quel sponsor. Et si on y réfléchit une seconde, la phrase « On te prend au chômage », classique des négos de transfert en Pro D2 et Nationale, devrait préoccuper tout le monde. « Je suis tout à fait opposé à cette pratique des faux chômeurs, clame Alain Carré, président de Colomiers (Pro D2) et de l'UCPR, le syndicat patronal des clubs pros. Notre système d'aide et de solidarité est formidable, mais il arrive qu'il soit dévoyé, et je trouve ça scandaleux. Il y a des clubs qui ont eu recours à l'ARE pour au moins sept ou huit joueurs. Souvent, la première année, c'est tout bénef. C'est quand vient la seconde que ça se gâte, parce que l'aide diminue puis s'arrête. On en a discuté en bureau, en comité directeur. Régis Dumange (président de Nevers, Pro D2) et moi sommes montés au créneau sur ce sujet et il a été décidé qu'à partir de la saison prochaine, le nombre maximum de joueurs chômeurs par club pro serait plafonné à deux. »
Pourquoi deux ? « Je militais pour un, indique Dumange, mais c'est tout de même un pas dans le bon sens. Le système d'Aide au retour à l'emploi est vertueux et certains en ont abusé en le détournant de son sens premier. Et après on se plaindra quand il y aura moins de protection. Ces aides ne sont pas faites pour nous, pas faites pour le rugby pro. Des clubs ont demandé à un ou des joueurs arrivés en fin de contrat chez eux de s'inscrire à France Travail pour le ou les reprendre aussitôt, mais moins cher. C'est une honte. Mais c'est désormais interdit par la convention collective. » Nous avons même trouvé trace de précontrats de travail portant la mention : « Le joueur devra être inscrit sur la liste Provale des joueurs sans club et revêtir la qualité de joueur sans club au sens des statuts et règlements édictés par la LNR. »

Et pour apparaître sur cette liste Provale, il faut au préalable ouvrir ses droits France Travail. C'est ce qu'ont fait le 1er juillet 2024 Mathieu Acebes, Enzo Selponi, Jessy Jegerlehner ou Cornell du Preez, tous chômeurs de la 25e heure et nouveaux joueurs du Biarritz Olympique. C'est aussi ce qui est préconçu noir sur blanc, dès février, dans le précontrat entre le Stade Niçois et Cassiem, puisque la première saison le salaire mensuel brut payé par Nice est de 2500 € et qu'il passe à 7000 € celle d'après. La différence ? Les allocs France Travail ont cessé de tomber.
Pour prétendre à l'ARE, il faut maintenir son inscription comme demandeur d'emploi. Or, si on en revient à l'exemple de Cassiem, comment pourrait-il se déclarer en recherche d'emploi en juillet, août, septembre, octobre, etc., alors qu'il en occupe un, plein et entier, scellé pour deux ans par un précontrat signé quatre mois avant ? Décaler la prise d'effet des contrats au 15 ou au 20 juillet, au lieu du 1er, permet donc de créer une période de carence artificielle. « Je tiens à vous préciser que je serai techniquement dans l'impossibilité de m'inscrire auprès de France Travail au 1er juillet pour me faire indemniser dans le cadre de la recherche d'un emploi pour lequel je dispose d'une promesse de votre part », écrit Cassiem à Aldigé dans un nouveau courrier. Ce serait à tout le moins une escroquerie intellectuelle.
- Velveteethol, OliveR, Toorop et 3 autres aiment ceci
#2204
Posté 25 juin 2025 - 06:50
Ça fait des années que ça existe ! Pourquoi Brent Russel était allé jouer à Lille après nous à votre avis?
Merci la France et l'ARE.
Comme d'habitude faut attendre 10/15 ans pour que les instances réagissent quand des aides sont dévoyées !
- xdderf63 aime ceci
#2205
Posté 26 juin 2025 - 09:13
Je pense que Yann Roubert à plus de travail à faire de côté là pour assainir la situation
Que de faire des lois qui sanctionne DUREMENT les tricheurs au SC pour 1 cas tous les 4 ans
Des mecs comme Aldigé sont sans scrupule
Faire payer 200.000 à un mec qui n'a jamais joué pour toi...
Vivement que les joueurs refusent ces magouilles et les dénoncent comme c'est le cas ici
Malgré tout, il y en aura toujours 1 pour accepter sinon le contrat lui passe sous le nez
7.000 par mois
200K / 7k = 28 mois...
Pour Aldigé, dépense de 2.5k par mois : 200k / 2.5k = 80 mois
Equitable... Gagnant/Gagnant...
Humm...
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