30726 réponses à ce sujet

[TH69]

Peut être l'un des plus beau maillot qu'on ait eu

j'aime bien votre présentation également.

[le nougatier]

Peut être l'un des plus beau maillot qu'on ait eu

Je sais pas si c'est le plus beau des maillot mais le potrait de Mayol pas loin du fessier de cesjeunes éphebes du rugby je crois que ça lui aurait bien plus....

 

et sinon je souhaite qu'Ollivon est la meine carrière de sportif en edf et en club que Zidane dont la référence est assez marquante dans cette présentation.

Pas en ce moment, Le Nougatier n'est pas là

 

Suis revenu de vacances  c'est bon je reprend bientot le boulot j'aurais le temps pour le forum

[Rugby ?]

Je sais pas si c'est le plus beau des maillot mais le potrait de Mayol pas loin du fessier de cesjeunes éphebes du rugby je crois que ça lui aurait bien plus....

 

et sinon je souhaite qu'Ollivon est la meine carrière de sportif en edf et en club que Zidane dont la référence est assez marquante dans cette présentation.

 

Suis revenu de vacances  c'est bon je reprend bientot le boulot j'aurais le temps pour le forum

Tu oublies la carrière comme entraineur.

Je souhaite moi aussi, la même à Ollivon.

[OliveR]

Peut être l'un des plus beau maillot qu'on ait eu

Il est pas beau, l'emblème du club est sur l'épaule !!!

[frednirom]

Je trouve que Toulon est à nouveau une équipe respectable depuis mes dernières vacances dans le Var à carqueiranne . C’est ça ou le départ forcé de moumou la saumure .
A propos j’ai croisé que trois joueurs du club , trois numéros 8. Olivon , Parisse , Lakafia . J’ai bien pensée à un moment aller leur dire tous ce que je raconte sur eux sur ce fofo comme quoi ils sont grotesque , qu’il se chargent pour avoir de la masse , et qu’ils sont tout simplement pas clermontois , mais la lâcheté m’en a empêcher . Bref ce n’est que partie remise le temps de prendre un peu d’assurance .

[RCV06]

Je trouve que Toulon est à nouveau une équipe respectable depuis mes dernières vacances dans le Var à carqueiranne . C’est ça ou le départ forcé de moumou la saumure .
A propos j’ai croisé que trois joueurs du club , trois numéros 8. Olivon , Parisse , Lakafia . J’ai bien pensée à un moment aller leur dire tous ce que je raconte sur eux sur ce fofo comme quoi ils sont grotesque , qu’il se chargent pour avoir de la masse , et qu’ils sont tout simplement pas clermontois , mais la lâcheté m’en a empêcher . Bref ce n’est que partie remise le temps de prendre un peu d’assurance .

L instinct de survie prend toujours le dessus

 

Par contre qu est ce qu ils branlaient a la plage ces faignasses il est au courant Collazo, une petite dénonciation ça mange pas de pain et c'est sans risque
 

Je sais pas si c'est le plus beau des maillot mais le potrait de Mayol pas loin du fessier de cesjeunes éphebes du rugby je crois que ça lui aurait bien plus....

 

et sinon je souhaite qu'Ollivon est la meine carrière de sportif en edf et en club que Zidane dont la référence est assez marquante dans cette présentation.

 

Suis revenu de vacances  c'est bon je reprend bientot le boulot j'aurais le temps pour le forum

Votre maillot et votre présentation sont top, par contre pour le stade on est loin devant, je parle de l image pas de l histoire

[_Toulonnais]

Je trouve que Toulon est à nouveau une équipe respectable depuis mes dernières vacances dans le Var à carqueiranne . C’est ça ou le départ forcé de moumou la saumure .
A propos j’ai croisé que trois joueurs du club , trois numéros 8. Olivon , Parisse , Lakafia . J’ai bien pensée à un moment aller leur dire tous ce que je raconte sur eux sur ce fofo comme quoi ils sont grotesque , qu’il se chargent pour avoir de la masse , et qu’ils sont tout simplement pas clermontois , mais la lâcheté m’en a empêcher . Bref ce n’est que partie remise le temps de prendre un peu d’assurance .

T'as participé au karaoké du mardi soir ?

[frednirom]

J’ai pas été invité non . C’est une sorte de test en public pour connaître le prochain Pilou pileur ?

[_Toulonnais]

Exact, sur l'avenue qui descend au port

[el landeno]

Au coeur du RC Toulon de Patrice Collazo version nouvelle vague Fini l'époque des retraités de l'hémisphère Sud et des stars qui ont fait la gloire du club varois, dont la saison débute ce samedi. Le nouveau président Bernard Lemaître et son manager Patrice Collazo veulent bâtir l'avenir avec les jeunes du cru.

On n'y a vu que du feu. Ce jour-là, Patrice Collazo a débarqué en conférence de presse sans boitiller. Un strapping, discret, enserrait sa cheville. La veille pourtant, il s'était déchiré le tendon d'Achille. Sans broncher. Certains joueurs ne s'en sont même pas aperçu. Le coach expose ses humeurs et ses colères, pas sa vulnérabilité. C'était la fin de l'entraînement, il venait de passer deux heures à cavaler sous le cagnard. Avait oublié de boire, trop absorbé par la séance. Passionné, il ne sentait plus son généreux quintal et ses 46 printemps. Il replaçait ses joueurs en chef de meute, vitupérait à chaque ballon tombé. « Ne le jetez pas, putain ! »

 

On l'a vu marquer une pause, les mains sur ses genoux. Souffler, puis repartir. Jusqu'à cette ornière qui attendait son pied gauche. Pas question de se traîner en béquilles comme l'entraîneur du PSG Thomas Tuchel. « Je devrais porter une botte jusqu'au genou, balaye l'ancien pilier. Mais ça m'emmerde. Et puis les joueurs n'arrêteraient pas de me chambrer. »

Ses joueurs... son monde. On dirait ses mômes, vu l'affection qu'il leur porte. On avait eu le coach au téléphone pendant le confinement. Il n'en menait pas large, orphelin des siens. Il venait chaque jour au centre d'entraînement déserté, fantomatique. Heureusement le rugby a repris. Dès six heures chaque matin, Collazo retrouve au stade ses adjoints, Julien Dupuy et Éric Dasalmartini. Ensemble, ils peaufinent l'entraînement qui va suivre. Ils le veulent efficace et pédago, avec un contenu intuitif ou innovant. « C'est important que les joueurs y trouvent de l'intérêt, explique Collazo. Faut les embarquer. Qu'ils captent le cap, les temps de passage, voient l'arrivée. »

Puis, aux environs de huit heures, il descend de l'Algeco qui fait office de bureau. Il se positionne dans la cour, carrefour stratégique. Les joueurs y passent pour monter l'escalier de l'espace-vie où Sabine, la cuisinière, sert le petit déj. « Je ne peux pas démarrer un entraînement sans avoir vu chacun des mecs. Le bonjour du matin, c'est capital. » Un oeil fuyant, un air embrumé, la moindre vibration alerte le sonar de Collazo. La joie aussi, bien sûr, qu'il alimente à grands coups de vannes.

« Je suis hyper lunatique, je fais les quatre saisons dans la journée. Excessif. Je me base encore trop sur mes émotions dans une fonction où l'on est censé tout contrôler. Mais je préfère que les gars me voient comme je suis, sans masque. On ne peut pas s'inventer. Le mec qui joue un rôle, je n'y crois pas. »

Patrice Collazo

 

 

 

« Patrice soigne la relation humaine », synthétise Baptiste Serin, son souffre-douleur officiel en taquineries. Arrivé au RCT la saison passée, le demi de mêlée de l'équipe de France (37 sélections) a appris à découvrir le coach tempétueux. « C'est avant tout un mec très honnête, poursuit Serin. Et ça, dans le monde d'aujourd'hui, c'est ultra important. S'il a un truc à te dire, jeune de 18 ans ou international de 37 ans, il s'en fout. Tous à la même enseigne. Il aime fédérer, donne beaucoup d'amour aux joueurs. Il est aimé ici. Il est ce coach qui te met sous pression ou en confiance. Tant pis si, en dix minutes, on peut avoir un contraste, s'il se met à gueuler car un contenu d'entraînement ne convient pas. Ça nous aide à ne jamais nous croire arrivés. »

Collazo est lucide sur lui-même : « Je suis hyper lunatique, je fais les quatre saisons dans la journée. Excessif. Je me base encore trop sur mes émotions dans une fonction où l'on est censé tout contrôler. Mais je préfère que les gars me voient comme je suis, sans masque. On ne peut pas s'inventer. Le mec qui joue un rôle, je n'y crois pas. »

Pendant le confinement, une expédition de joueurs était venue redécorer son jardin en pleine nuit, façon commando. Une blague potache, rugby. En découvrant les dégâts, au petit matin, le coach a fini par se marrer, y voyant « la cohésion, le risque et la prise d'initiative ». Son équipe était bel et bien là !

Collazo a débarqué à Toulon en juin 2018, recruté par Mourad Boudjellal, président emblématique. Sacré rebond. Avec fracas, Collazo venait de démissionner de La Rochelle. Sur un coup de tête, la fin de sept années d'amour passion. Ulcéré par la « trahison » de son adjoint Xavier Garbajosa, avec qui un conflit avait éclaté, déçu par l'absence de soutien de son président et ami Vincent Merling.

« Y avait des joueurs plein les placards. En me voyant arriver, les mecs se sont dit : "Il est là pour trois mois et va se faire virer lui aussi" »

Patrice Collazo

 

 

 

Après quelques jours à douter, il reçoit la proposition d'entraîner Toulon. Bon espace-temps pour ce natif de la Seyne-sur-Mer, pilier au RCT dès l'âge de quatorze ans. Mais pour son retour au pays natal, il sera gâté côté turbulences. Le club n'est plus dans la dynamique gagnante des trois titres européens remportés entre 2013 et 2015 (dont un doublé Coupe/Championnat en 2014). Le vestiaire se délite. Les internationaux reviennent cabossés d'une équipe de France en perdition. Les stars étrangères paumées et sans repères.

Tous saoulés par la valse permanente des staffs initiée par Boudjellal : l'Argentin Diego Dominguez avait tenu trois mois entre juillet et octobre 2016 ; remplacé par l'Anglais Mike Ford pendant cinq mois puis par son compatriote Richard Cockerill, carbonisé en trois mois... Collazo succède à Fabien Galthié, qui tiendra un an avant d'être appelé en équipe de France. Le RCT termine 4e du Top 14 2017-2018 mais le mal est profond. « Y avait des joueurs plein les placards, résume Collazo. En me voyant arriver, les mecs se sont dit : "Il est là pour trois mois et va se faire virer lui aussi." »

Collazo encaisse. Écoute, observe, perçoit. Éructe parfois, tant le début de saison est chaotique. L'humiliation du 30 décembre 2018 sera fatidique. « On s'est pris un 39-0 à Toulouse ! On allait dans le mur. Je me suis dit que je devais aller au bout de mes idées, quitte à crever avec. L'équipe ne tournait pas parce qu'il manquait un truc capital : l'enthousiasme. Alors j'ai misé sur les minots. » Il responsabilise l'ouvreur Louis Carbonnel, le pilier Jean-Baptiste Gros et d'autres joueurs de vingt ans. « Eux apportaient leur fraîcheur, étaient à fond aux entraînements. »

Le 18 janvier 2019, pour un match de Coupe d'Europe à Newcastle, son intuition lui dicte d'aligner un jeune pilier du centre de formation, Bruce Devaux, âgé de 19 ans. « Boudjellal m'a dit : "C'est qui ?" "Ben vous verrez". À la fin du match, il m'a lancé : "Putain il est bon !" "Ben oui président, on a des bons minots à Toulon." » Confirmation le 3 mars, Devaux inscrira un essai somptueux contre Perpignan. Quelques jours après, il signera pour quatre ans chez les pros.

Collazo connaît le rugby et sait sentir les hommes. En Nouvelle-Zélande, il avait déniché Uini Atonio, qui deviendra le pilier droit de La Rochelle et de l'équipe de France. Il a aussi repéré Gregory Alldritt en Fédérale 1 ou le pilier gauche Dany Priso. La liste est longue.

Dans le Toulon 2020 à la sauce Collazo, place aux jeunes. Le club n'a plus les moyens de recruter les stars de l'hémisphère Sud. « Et puis ce n'est pas le Toulon qui m'a fait vibrer, appuie Collazo. J'ai aimé le Toulon vainqueur du Brennus en 1987 ou en 1992. » Les joueurs étrangers sont devenus rares dans ce qui constitue l'un des effectifs les plus jeunes du Top 14. « Avant, Toulon, c'était le Real Madrid, se marre le champion du monde Eben Etzebeth. Aujourd'hui, je suis le seul Sud-Africain de l'effectif. » Pour encadrer la jeunesse, Collazo compte sur des anciens tels Charles Ollivon, le capitaine de l'équipe de France, Romain Taofifénua ou encore le centurion Sergio Parisse (37 ans).

« Avant, Toulon, c'était l'Amérique. Pas mal de joueurs arrivaient ici, se louaient une jolie baraque, en sachant au fond d'eux qu'ils repartiraient. Aujourd'hui le club redevient Toulon »

Raphaël Lakafia

 

 

 

« Avant, Toulon, c'était aussi l'Amérique, analyse le troisième-ligne Raphaël Lakafia, 31 ans et taulier du vestiaire. Pas mal de joueurs arrivaient ici, se louaient une jolie baraque, en sachant au fond d'eux qu'ils repartiraient. Aujourd'hui le club redevient Toulon. Patrice a entrepris une refonte en profondeur. C'était nécessaire. Le modèle qui a marché de manière incroyable pendant des années était obsolète. Les autres équipes se sont armées avec des budgets toujours plus importants. Nous, on va faire la différence ailleurs : avec l'état d'esprit et avec les infrastructures qu'on construit. »

Miser sur la formation est une évidence autant sportive qu'économique aux yeux du nouveau président Bernard Lemaître. Cet octogénaire qui a réussi dans les biotechnologies est arrivé avec discrétion à Toulon. Il a même mis deux mois à obtenir un rendez-vous avec le très affairé Mourad Boudjellal. Lemaître a commencé par prendre 25 % des parts du club, en juin 2018. Puis ses investissements constants et progressifs ont poussé Boudjellal à s'effacer, en février 2020.

Lemaître a découvert que les comptes de l'entreprise RCT n'avaient rien à envier au chaos du vestiaire. « Mourad a un bilan sportif inégalé, reconnaît Lemaître. Il mérite le respect car il a relancé ce club. Hélas, sa perte de lucidité a été progressive et a conduit à des déficits récurrents que j'ai dû combler. Le modèle économique constituant à recruter les meilleurs joueurs du monde ne pouvait plus fonctionner. Il était déjà caduc en 2015, Mourad n'a pas compris qu'il allait dans le mur. À mon arrivée, les recettes avaient fondu de 32 à 22 millions d'euros à cause de ce qu'on appelle dans le monde de l'entreprise la "rémanence des frais fixes". Quand les joueurs sont sous contrat, il faut les respecter. Certains ont été poussés dehors. »

« Si je n'avais pas réinvesti en 2019, le club serait tombé en faillite, descendu en Fédérale 1, voire Fédérale 2 »

Bernard Lemaître, président du RC Toulon

 

 

 

Il poursuit : « Si je n'avais pas réinvesti en 2019, le club serait tombé en faillite, descendu en Fédérale 1, voire Fédérale 2. Imaginez le drame pour la ville, nos partenaires, abonnés et supporters, pour tous ceux qui font vivre le club car le rugby, à Toulon, c'est un écosystème. »

Collazo et Lemaître savent que seule la victoire sportive valide un projet : « On veut gagner, bien sûr, mais avec une vision d'avenir. » Lemaître fait bâtir un nouveau centre de performance qui doit voir le jour le mois prochain. « Notre ambition va au-delà de la performance : cinq hectares et demi pour un campus, un bâtiment accueillant des séminaires et des jeunes joueurs avec suivi scolaire. »

Les millions d'euros, Lemaître appelle ça les « unités ». « J'ai déjà investi 25 unités. Il va falloir que je remette la main à la poche avec la crise du Covid. Mais je suis prêt à aller aussi loin que nécessaire pour que, dans quinze ans, le RCT rayonne grâce à ses structures et à la qualité de son personnel. Je ne serai plus là pour le voir... mais j'aime transmettre. Tant pis s'il n'y a pas de retour sur investissement. J'aurai eu plaisir à dépenser pour une cause noble. J'aime l'idée qu'on ne fait pas tout pour tout de suite, qu'on prépare l'avenir. »

[Frédéric58]

Au coeur du RC Toulon de Patrice Collazo version nouvelle vague Fini l'époque des retraités de l'hémisphère Sud et des stars qui ont fait la gloire du club varois, dont la saison débute ce samedi. Le nouveau président Bernard Lemaître et son manager Patrice Collazo veulent bâtir l'avenir avec les jeunes du cru.

 

 

Merci pour l'article que je trouve très intéressant.

[Kestandi]

Moi j’aime bien le RCT une fois débarrassé de Mr Bou.
Pourtant j’ aime bien madame Bou , la Bourdelle , mais ça n’a rien à voir.

[steph]

On se demande encore comment certains peuvent rêver que Boudjellal reprenne l'OM...

[Kestandi]

On se demande encore comment certains peuvent rêver que Boudjellal reprenne l'OM...

C’est de l’humour ⁉️
Ah l’humour, c’est ce que je préfère avec l’infanterie.

[RCV06]

On se demande encore comment certains peuvent rêver que Boudjellal reprenne l'OM...

Même recette, j achète de la star a crédit et quand le club est dans la rouge je le refile a un pigeon friqué.

Bon après vu la différence de budget faut trouver du pigeon de concours bien gras.