Pas la même classe peut-être aussi.
Qu'est ce qui permet de dire çà? On ne connait rien ou presque de cette rupture de contrat. Ce qui est certain par contre, c'est que les termes d'un contrat doivent être respectés sinon çà fait des précédents, et çà tourne au bordel pour la suite. Et si es deux parties ne sont pas d'accord sur la lecture, on se retrouve avec des avocats, ce qui sera peut-être le cas...
Et donc la réaction de M. Guillon, président de l'Asm, me parait tout àu fait logique. Laisser courir l'affaire est inconcevable vis à vis de ses associés...