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[Alex chocolatines]

Cest quoi cette couleur de maillot ?

ça fait un peu produit à chiottes 

Quand je pense que j'ai lu ici des critiques sur le maillot de Clermont ! 

[RCV06]

ça fait un peu produit à chiottes 

Quand je pense que j'ai lu ici des critiques sur le maillot de Clermont ! 

C'est pas faux

 

[Bon Chasseur]

Cest quoi cette couleur de maillot ?

je pense que c'est : moche.

Couleur moche.

[Rugby ?]

Ben, pour aller dans l'eau, ils ont choisi un maillot de l'Aviron.

[SEB ASM]

Un maillot olympique de Toulon 🤮

[xdderf63]

C'est quand meme sympa que le mec puisse revenir à Toulon et bénéficer de l'encadrement du club alors qu'il n'a (de ce que j'ai compris) pas encore signé de contrat avec le club.
Ca fait un peu fonctionnement familial à l'ancienne finalement.

Il a du signer un petit quelque chose pour être assuré
Imagine qu'un gars lui pète un genou dans une opposition

[RCV06]

Pour une fois, je vais t'apporter une respectueuse contradiction.

Oui, sa blessure est absolument incroyable.

Il ne s'est pas rompu les ligaments, mais les tendons quadricipitaux.

Une rupture, c'est rare (et grave) mais ça se voit.

Par contre, la même blessure sur les deux genoux en même temps, c'est du jamais vu.

A l'époque, j'avais un peu cherché dans la littérature médicale, et je n'avais rien trouvé.

 

Je peux rajouter que lors du match contre Toulon, en compagnie du frétillant mais jamais déshydraté Y&B, on a vu Basta sur le bord de la touche.

Il avait l'air fit et sec comme rarement vu, en forme, et presque quasiment sur le point d'être souriant.

 

 

Alors je vais preciser: que ce soit rare, je veux bien. Mais de la a "deconcerter la medecine sportive"... quelque part je trouve que c'est exactement l'inverse: si on m'avait presente 99 mecs pris au hasard dans la population (au meme age), et Bastareaud, et on m'avait dit "Un de ces mecs la va avoir une blessure rare aux deux genoux /  tendons quadricipitaux", je pense que j'aurais immediatement parie sur lui. Donc totalement ok avec le fait que ce soit rare, mais quelque part je vois pas ce qu'il y a de surprenant a ce que des blessures extremes et rares arrivent a des mecs qui sont non seulement sportifs de haut-niveau, mais meme au sein des sportifs de haut-niveau ont un physique et une activite qui peut legitimement etre vue comme "extreme" meme dans leurs standards (malheureusement pour lui). 

Déjà Basta c'est une anomalie au sport de haut niveau, faire une carrière comme la sienne avec un physique complétement atypique pour le poste qu il a occupé, des cas comme ça j en ai pas beaucoup en mémoire et j ai pas encore Alzheimer.

Je pense pas qu il ait eu une hygiène de vie exemplaire et pourtant il a assuré, mais arrive un moment ou il faut payer l addition.

Est ce une bonne idée de vouloir insister après une telle blessure et a son age j en suis pas sur du tout, il n a plus rien a prouver.

[jm12]

 

 

Déjà Basta c'est une anomalie au sport de haut niveau, faire une carrière comme la sienne avec un physique complétement atypique pour le poste qu il a occupé, des cas comme ça j en ai pas beaucoup en mémoire et j ai pas encore Alzheimer.

Je pense pas qu il ait eu une hygiène de vie exemplaire et pourtant il a assuré, mais arrive un moment ou il faut payer l addition.

Est ce une bonne idée de vouloir insister après une telle blessure et a son age j en suis pas sur du tout, il n a plus rien a prouver.

Tout à fait !

 

Pour les joueurs de rugby de devant en particulier il y a ,un après et de toutes les façons, tu paies l 'addition un jour !

 

Pratiquement tous mes potes pour ceux qui sont encore parmi nous ,ont quasi tous des prothèses de genoux , de cheville , de hanche , des dos fracassés pliés en quatre à tutoyer le sol...pas beau et terrible à voir !

 

La décision appartient au joueur mais c'est vrai que Basta sur un terrain après sa rechute , ça interroge à tous points de vue !

[Rugby ?]

Tout à fait !

 

Pour les joueurs de rugby de devant en particulier il y a ,un après et de toutes les façons, tu paies l 'addition un jour !

 

Pratiquement tous mes potes pour ceux qui sont encore parmi nous ,ont quasi tous des prothèses de genoux , de cheville , de hanche , des dos fracassés pliés en quatre à tutoyer le sol...pas beau et terrible à voir !

 

La décision appartient au joueur mais c'est vrai que Basta sur un terrain après sa rechute , ça interroge à tous points de vue !

Il a peut-être besoin, pour surmonter cette épreuve de croire qu'il peut encore jouer, de tout faire pour, de ne pas lâcher.

On connait tous ici un joueur de l'ASM qui a trainé ça 2 ou 3 ans.

[sud]

Le pilier droit Sétiano 3 ans se plus à Toulon.

[casquette]

Aïe ça se resserre à la pile droite.
Bamba je ny crois pas chez ns. Commençons par prolonger Ojovan déjà

[el landeno]

Baptiste Serin, demi de mêlée de Toulon : « J'aime gérer le jeu » Le demi de mêlée Baptiste Serin, qui sera amené à alterner entre le poste de n°9 et celui de n°10 cette saison avec Toulon, se confie sur sa préparation et livre sa vision des deux fonctions.

Le demi de mêlée international Baptiste Serin (28 ans) attaque sa onzième saison de Top 14. Cette année, à la suite du départ de l'ouvreur Louis Carbonnel pour le MHR, il risque d'être appelé plus souvent à jouer à l'ouverture. Chaque jour, à l'entraînement il alterne entre 9 et 10 et se prépare à ce défi. On avait envie de l'entendre sur ces deux fonctions d'animateur de jeu.

 

 

« En voyant arriver Pierre Mignoni, ex-demi de mêlée, à la tête du RCT, avez-vous pensé que c'était une bénédiction ou au contraire, que ça allait être compliqué parce qu'il a des idées bien arrêtées sur la fonction ?
C'est un atout de l'avoir, d'autant que je sais désormais qu'on pense à peu près les mêmes choses de ce poste. C'est bien pour fonctionner. Mais, surtout, c'est quelqu'un d'attentif qui sait s'adapter aux qualités de chacun. Il est derrière ses 9 (outre Serin le RCT compte trois numéros 9 de métier cette saison avec Julien Blanc, Jules Danglot et Benoît Paillaugue), il les fait travailler. Il est derrière nous techniquement, sur les petits détails. C'est ce que je cherchais : avoir quelqu'un qui a du vécu à ce poste-là. Il est de bon conseil pour nous faire progresser.

« Quand j'ai commencé à Bordeaux (en 2012), je jouais 10. Je suis devenu 9 parce que je trouvais que ça me ressemblait plus. »

 

 

 

 

Hormis une forme d'intelligence, quelles sont les autres vertus d'un 9 que vous identifiez à l'orée de votre 11e saison chez les pros ?
On doit être meneur, donner un bon sens à l'équipe, être irréprochable techniquement et dans ses choix. Maintenant, on doit aussi être un bon défenseur, créer des brèches, et avoir un sacré jeu au pied pour les sorties de camp.

 

Pierre Mignoni, ancien demi de mêlée, vient de prendre la tête du RCT. (E. Garnier/L'Équipe)

On vous a vu jouer ouvreur lors des matches de préparation. Cette tentation du 10, est-ce votre désir d'élargir votre palette ou avez-vous joué à ce poste pour aider la patrie ? (*)
Je suis là pour aider mon club.

(*) Le RCT ne compte que le Néo-Zélandais Ihaia West comme ouvreur de métier même si Mathieu Smaïli, Jérémy Sinzelle ou Duncan Paia'aua peuvent dépanner à ce poste.

Vous avez été formé comme ouvreur...
J'ai joué 10 jusqu'à dix-huit ans. Quand j'ai commencé à Bordeaux (en 2012), je jouais 10. Je suis devenu 9 parce que je trouvais que ça me ressemblait plus. J'ai commencé ma carrière à une époque où le 9 était plus organisateur que le 10. J'aime gérer le jeu. J'adorais le style de Dimitri Yachvili, capable de diriger le jeu, avec une grande palette.

« Le 9 doit transformer les mauvais ballons en bons ballons. Ces deux postes se ressemblent mais le 10 a une vue plus panoramique, disons. »

 

 

 

 

Pourriez-vous expliquer au grand public en quoi consiste le boulot du 9 et celui du 10 ?
Le 9 fait la liaison entre les avants, les gros, plus lents, et les trois-quarts, plus rapides. Le 10 a un rôle d'organisateur de la ligne de trois quarts. Le 9 doit transformer les mauvais ballons en bons ballons. Ces deux postes se ressemblent mais le 10 a une vue plus panoramique, disons.

lire aussiSetiano prolonge trois ans à Toulon

Quelles ont été vos sensations au poste de 10 ?
Forcément, j'ai envie que tout soit parfait. J'ai un gros niveau d'exigence, je suis très dur avec moi-même. J'ai envie que ce soit parfait pour l'équipe, même si tout ne peut pas l'être. Pendant les matches amicaux j'ai fait des choses bien, d'autres moins bien. Ça m'a permis de remettre le pied à l'étrier au poste de 10 sous fatigue et sous stress. C'est bien pour préparer la saison car, forcément, comme nous n'avons qu'un demi d'ouverture il y aura des matches ou je devrais jouer 10. Ça me prépare, ça met plus de cordes à mon arc en tant que joueur.

 

Au cours de sa carrière, Frédéric Michalak a lui aussi alterné entre le numéro 9 et le 10. (A. Mounic/L'Équipe)

Cette polyvalence comporte aussi des difficultés. Échangez-vous avec Frédéric Michalak, qui a souvent été balancé entre ces deux postes tout au long de sa carrière ?
Oui, Fred est derrière moi. Il me conseille de ne pas me prendre la tête, me guide toujours vers la simplicité, par exemple avec des petites courses. Il m'apporte un tas de petits conseils importants. C'est précieux, surtout venant d'un mec de son calibre. Savoir être simple, le plus direct, c'est souvent le mieux pour l'équipe.

Marqué par le feu

Baptiste Serin est né le 20 juin 1994 à La Teste-de-Buch, en Gironde. Tout l'été il a subi avec émotion les ravages des incendies qui ont dévasté la région et réduit en cendre près de 10 000 hectares de forêts. « Des membres de ma famille ont été évacués, des amis ont tout perdu. La forêt c'est notre patrimoine. C'est gravissime. Un de mes cousins est pompier, il était au plus près des flammes, au coeur du danger. Je peux vous dire que j'ai connu l'angoisse et pris sans cesse de ses nouvelles », a confié le demi de mêlée toulonnais. K. B. I

Vous êtes un leader du groupe, souvent capitaine. L'effectif a pas mal changé à l'intersaison avec des arrivées de nouveaux joueurs. Comment identifie-t-on et accueille-t-on les leaders potentiels ?
Ça vient de la dynamique du groupe, qui s'est intensifiée lors de notre stage à Tignes, du staff aussi. À Toulon, il y a pas mal de fortes personnalités : Charles Ollivon, Sergio Parisse, Brian Alainu'uese, Florian Fresia... Mais désormais aussi Jérémy Sinzelle ou Mathieu Bastareaud, de nouveaux venus mais qui connaissent bien le club. Ils savent où ils vont.

« On a encore dans les corps les effets de six semaines de préparation physique qui a été longue et dure physiquement. On n'a pas encore le rythme pour jouer des matches entiers. »

 

 

 

 

Votre système défensif a évolué. Comment résumeriez-vous sa philosophie ?
C'est un système qui est censé mettre le plus possible la pression sur l'adversaire pour avoir le plus de turn-over possible, en gros. Récupérer des ballons pour pouvoir les exploiter.

Pierre Mignoni a dit que l'équipe ne serait pas à 100 %, face à Bayonne...
On n'est pas à 100 % c'est clair, comme toutes les équipes. On a encore dans les corps les effets de six semaines de préparation physique qui a été longue et dure physiquement. On n'a pas encore le rythme pour jouer des matches entiers, parce qu'on a fait beaucoup de changements lors de nos deux matches amicaux de présaison (défaites 21-40 face à Clermont et 21-31 face à Toulouse). Il y a aussi le niveau de confiance parce que l'équipe ne s'est pas encore jaugée à balles réelles. Les matches amicaux sont importants, mais on n'est pas dans les automatismes comme on peut l'être en milieu de saison. C'est un premier match à aborder très sérieusement parce qu'on se doit de bien commencer. »

 

 

[sud]

Pour ceux que ça peut intéresser:

 

  https://rctplay.tv/s...7f81573d67c34a5

 

Moi je suis curieux de voir ce qu'est devenu Bourgoin, haut lieu du rugby.

[RCV06]

Sitaleki Timani refuse de se justifier auprès des supporters Clermontois !

8 septembre 2022 - 17:11

3 Commentaires

Le deuxième ligne international Australien Sitaleki Timani a quitté Clermont en plein milieu de la saison 2020 / 2021 afin de retourner en Australie, à la Western Force.

Finalement, le voilà de retour en France et plus précisément du côté du Rugby Club Toulonnais.

Le retour précipité de Sitaleki Timani en France, qui plus est chez un concurrent direct, a interpellé les supporters Clermontois.

Lors d’un entretien accordé au journal régional Var-matin, le joueur Varois a fait le point sur sa situation.

Il explique dans un premier temps avoir accepté l’offre du RCT car il apprécie énormément Franck Azéma. Extrait:

« Je sentais que je n’en avais pas fini avec le rugby. J’avais encore faim. Alors mon agent a prospecté. Quelques clubs m’ont contacté mais, quand le RCT m’a proposé et sachant que Franck Azéma était l’entraîneur, j’ai foncé. »

Il précise ensuite pourquoi il a quitté la Western Force pour rejoindre le RCT : en raison d’un problème de vaccination. Extrait:

« Nous étions obligés de nous faire vacciner pour jouer. Et j’avais une problématique médicale qui ne me le permettait pas. J’ai rencontré des spécialistes, mais ce n’était pas possible. C’était donc une question de santé, sur laquelle j’aimerais ne pas m’étaler. Mais ce n’était pas ma décision, ni quelque chose lié à des convictions religieuses ou autres.

On a essayé d’obtenir une exemption médicale avec le club, mais c’était impossible. Alors il a fallu choisir entre me faire vacciner avec le risque que ça impliquait, ou quitter le Super Rugby, et je ne voulais pas prendre de risque avec ma santé. J’ai donc continué de m’entraîner avec la Force, mais arrivé les premiers matchs, on m’a dit que je ne pouvais pas jouer. La retraite? Je ne l’ai pas envisagé. »

Il est ensuite revenu sur son départ précipité de Clermont au cours de la saison 2020 / 2021. Extrait:

« Quand la Covid-19 a frappé, nous avions besoin de nous retrouver en famille. Revenir en Europe un an et demi plus tard n’était pas le plan. Je voulais rentrer en Australie, sans penser au rugby. D’ailleurs, je n’avais pas de contrat, ni même de proposition à ce moment-là. J’avais accepté que c’était terminé, probablement… Je commençais même à chercher un travail « classique ». Sauf qu’après deux semaines de quarantaine à Perth, et alors que je devais rentrer à Canberra, d’où est originaire ma femme, un deuxième ligne de la Western Force s’est blessé, et on m’a demandé si j’étais OK pour jouer, alors j’ai accepté.

J’ai joué la première saison, jusqu’en juin 2021, date de mon dernier match avec la Force. Ensuite, je suis allé à un camp d’entraînement avec les Wallabies pendant trois ou quatre mois, mais je me suis blessé dès la première semaine, donc je n’ai pas joué. Ensuite, je suis revenu à Perth, j’ai fait la présaison de trois mois, les deux matchs amicaux en février, mais je n’avais plus l’autorisation de jouer en Super Rugby… J’ai donc trouvé un petit club, d’un niveau de Fédérale 1, qui s’appelle Wanneroo. J’ai joué deux matchs, et me voilà de retour en France. »

Concernant la colère des supporters Clermontois qui n’ont pas forcément apprécié son retour en France, à Toulon, Sitaleki Timani refuse de se justifier auprès d’eux. Extrait:

« Les choses qui se passent en famille appartiennent à la vie privée. Et doivent le rester. Je n’ai pas envie de me justifier. »