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[jm12]

Il est question de fin de carrière pour Biggar.
Et un futur souci au talon car la fin de carrière d'Etrillard est également possible.
Mais bon, Si Biggar arrête, ça fait du salary cap de libéré.

Sauf erreur Ivladi va débarquer sur la rade en plus des autres...

[Silhouette]

Question ouverte : qu'est-ce qui vous pose problème à ce qu'un joueur change de club en cours de saison ? Est-ce purement une question concurrentielle, une question "morale", autres...?

Le manque d'equite puisque certaines equipes se rencontre avant le transfert et d'autres apres. Globalement l'idee que les effectifs devraient etre etablis en debut de saison, puis faire la saison complete.

[Alex chocolatines]

Question ouverte : qu'est-ce qui vous pose problème à ce qu'un joueur change de club en cours de saison ? Est-ce purement une question concurrentielle, une question "morale", autres...?

D'un regard extérieur, je me dis que le supporter Assemiste peut se trouver agacé de voir ce genre de choses. Le club rame depuis un moment pour trouver des joueurs, et là le RCT se trouve embêté avec Biggar blessé, et sur un coup de bigophone en un claquement de doigts, hop, un dix de bon  niveau  disponible de suite. Le MHR profite de l'affaire, d'ailleurs on se demande qui propose à qui 

Donc tu comprendra que cela ajouté à l'arrivée de Bernie dans le jeu laisse planer des suspicions de magouilles. C'est probablement légal (enfin je suppose) mais c'est question de ressenti par rapport au pédigré du susnommé .

Personnellement ces échanges et transferts immédiats en cours de saison ne me plaisent guère car ça nous montre que signer un contrat ne veut plus rien dire.

[Very Good Eshvili]

Ce n’est pas lié à l’ASM

Le côté foire aux bestiaux

On te parle de cohésion, d’esprit de groupe. D’aventure collective. Tu « pars à la guerre avec Untel » et le lendemain le mec prend son attaché case et s’en va turbiner en face. Ou n’est pas’à l’abri d’être prêté, vendu, tâté, évalué, et puis non tu restes, enfin tu pars, enfin tu es interchangeable. 

 

Il m’en reste un bout je vous le mets quand même?

 

bof.

[Gourine63]

Plus malévole que bénévole...

Voire hiémalévole même.

[Polochon]

 

Biggar devrait arrêter sa carrière

Ca marche comme ça à Toulon ?

A Clermont quand un joueur ne peut plus jouer, il attend la fin de son contrat et/ou porte plainte contre le club.

[Fanchic]

Ca marche comme ça à Toulon ?
A Clermont quand un joueur ne peut plus jouer, il attend la fin de son contrat et/ou porte plainte contre le club.

Oui car il a un salaire sur un compte caché qui se débloquera dans deux ou trois ans et qui ne compte pas pour le SC évidemment

[Polochon]

Oui car il a un salaire sur un compte caché qui se débloquera dans deux ou trois ans et qui ne compte pas pour le SC évidemment

Ah oui, j'avais pas pensé à ça, je suis un peu naïf.

[xdderf63]

Ca marche comme ça à Toulon ?

A Clermont quand un joueur ne peut plus jouer, il attend la fin de son contrat et/ou porte plainte contre le club.

 

Ya aussi des clubs ou le joueur accepte de passer dans le staff (Vakatawa)

Et même d'autres qui restent dans l'effectif comme nous (LeRoux)

 

https://www.allrugby...-roux-1209.html

 

https://www.racing92.fr/effectif/elite

[Codorplusàvie]

Club de tricheurs.

[Gourine63]

Codoravie est passé en mode Grand Terrassement sur le top 14.

[Codorplusàvie]

Oui il est temps.

[el landeno]

Toulon sous tension et sous la pression de ses supporters avant le choc contre La Rochelle en Top 14 Sur une série de six défaites en sept matches, le RCT s'apprête à recevoir La Rochelle dans un climat anxiogène, amplifié par la colère des supporters.

Le slogan « Ici tout est différent » s'affiche un peu partout à Toulon. Une manière de revendiquer la passion peu commune qui anime les fadas de la Rade, pour le meilleur comme pour le pire. Dans la nuit de lundi à mardi, une banderole a été déployée au centre d'entraînement du club. Son message : « Vous piétinez 116 ans d'histoire, n'avez-vous pas honte ? ». Des stickers « Direction démission » et « Nous voulons XV guerriers » ont également été collés.

 

 

lire aussiBattu pour la quatrième fois, Toulon sorti de la Coupe des champions

Cette action anonyme trouve sa source dans les résultats sportifs décevants du RCT depuis le 9 décembre. Les Varois ont enchaîné six revers lors des sept derniers matches. Le 0/4 en Coupe des champions (contre Exeter, Northampton, le Munster et Glasgow), une compétition particulière pour le club triple champion d'Europe (2013, 2014, 2015), a notamment fait grincer des dents le public de Mayol, qui attendait impatiemment le retour du RCT sur la grande scène européenne.

« Je sais où sont ceux qui aiment vraiment le RCT. »

Pierre Mignoni, entraîneur de Toulon

 

 

 

Interrogé sur le courroux des supporters, et plus précisément sur l'épisode de la banderole, le manager Pierre Mignoni a répondu ce jeudi qu'il n'avait « aucune » déclaration à faire. « Je sais où sont ceux qui aiment vraiment le RCT. Point barre », a-t-il simplement ajouté. Toulonnais pur jus, Mignoni a le club profondément ancré en lui. Cet attachement sincère lui vaut un soutien quasi inébranlable des supporters, avec lesquels il organise tous les mois une réunion, afin d'échanger et d'informer sur le cap tenu par le club.

 

 

« À l'époque de (Patrice) Collazo (2018-2021), il y avait zéro discussion. Là, on échange avec Pierre. Il comprend le club et l'attente des supporters, apprécie Julien Perpere, président de l'association des Fils de Besagne. Mais pour le moment, ça ne matche pas. » Signe d'une période sous tension, la réunion entre Mignoni et les supporters prévue mi-janvier a été reportée.

« Je comprends l'inquiétude des supporters, explique Manu Bielecki, président des Z'Acrau du RCT. Forcément il y a de la tension. On voit rejaillir des banderoles anonymes. Avec les collègues, on n'est pas tous sur la même longueur d'onde. Pierre est le premier supporter du RCT, il dit aux joueurs qu'ils ont de la chance d'avoir ce public. On travaille ensemble, main dans la main. C'est pour ça que ces banderoles sont mal venues parce que ce n'est pas l'idée de la direction de briser 116 ans d'histoire. On peut s'inquiéter, mais on ne doit pas cracher sur la direction ou sur le staff. »

« Si jamais Toulon ne finit pas dans les six, ça va s'enflammer. »

Julien Perpere, président de l'association Les fils de Besagne

 

 

 

Comptablement, la situation du RCT est loin d'être alarmiste en Top 14. Le club est cinquième, toujours invaincu à domicile en Championnat. Mais depuis les larges victoires face à Castres (41-19, le 25 novembre) et Pau (36-13, le 2 décembre), c'est comme si Toulon avait perdu son mojo, la précision offensive qui l'avait mené quelque temps aux avant-postes.

La grosse blessure à l'épaule du leader de jeu Baptiste Serin contre Exeter (18-19, le 9 décembre) n'a clairement pas aidé. « Mais si la stabilité du RCT repose sur un seul joueur, c'est inquiétant, plaide Perpere. On n'explique pas les mauvais résultats actuels, c'est bien le problème. Quand on pose des questions à la direction du club, on nous dit que tout va bien... On nous explique que ça ira mieux demain, presque. Aujourd'hui, je ne sais pas pourquoi le RCT est comme ça. Comme tout le monde, on entend qu'il y a peut-être des joueurs qui s'impliquent un peu moins, qui prennent par-dessus la jambe leur investissement au sein du RCT... Mais bon, j'ai envie de dire comme dans tous les clubs. »

lire aussiÀ Toulon, Pierre Mignoni a réconcilié le club et ses supporters

« C'est la vie du RCT, ici c'est toujours agité », admet Bielecki. La double réception de La Rochelle ce soir, puis Bordeaux-Bègles dimanche prochain, s'annonce comme un tournant, à mi-saison. « On est sur une ligne de crête et on ne sait pas de quel côté on va tomber, prévient Perpere. Si jamais Toulon ne finit pas dans les six à la fin de la saison (le club n'a plus disputé la phase finale du Top 14 depuis la saison 2017-2018), ça va s'enflammer, tout le monde le sait. »

Avant le match à Glasgow la semaine passée (29-5), Mignoni s'était défendu face à la gronde ambiante : « On n'est pas encore là où on voudrait être mais je suis désolé, on n'est pas très loin non plus. Maintenant, on veut faire mieux, ça c'est sûr. Il y a des choses très négatives qui circulent, mais on n'est pas en crise contrairement à ce que certains veulent bien mettre en avant (...) Les gens cherchent des failles alors qu'il faut trouver des solutions. » Seront-elles déjà trouvées ce soir ?

 

 

[el landeno]

Découverte de Marcoussis et victoire du RCT, la belle semaine d'Esteban Abadie Appelé en équipe de France pour la première fois, Esteban Abadie a découvert Marcoussis en début de semaine, avant de réaliser une superbe performance contre La Rochelle samedi (25-23). Le flanker toulonnais plane toujours sur son petit nuage.

La scène est anecdotique, mais elle en dit quand même long. Samedi soir, après la victoire du RCT face aux Rochelais (25-23), Esteban Abadie a laissé sa place sur l'estrade de la salle de presse au manager des Maritimes, Ronan O'Gara, pressé par l'horaire du vol retour. L'Irlandais a alors pris quelques secondes pour féliciter chaleureusement le troisième-ligne toulonnais, auteur d'un match énorme face à ses protégés.

 

 

Signe que le regard porté sur Abadie a changé ? En tout cas, l'ancien Briviste (26 ans) a vécu une semaine qu'il n'est pas près d'oublier. Appelé dans la liste des 34 du quinze de France pour la première fois, il a rallié avec plaisir le CNR de Marcoussis, dimanche soir dernier, et y a passé trois jours, jusqu'à mercredi. « Il y a eu un peu de logistique, a souri le troisième-ligne. Mais c'était une grande fierté, un honneur de monter à Marcoussis. C'était la première fois pour moi. J'espère que ce ne sera pas la dernière. C'est quelque chose d'hyper important pour un joueur de rugby de porter ces couleurs. J'espère que ça continuera. Je sais que rien n'est fait, que tout est encore à faire. »

« Venir à Toulon (cet été) m'a permis de m'entraîner avec des joueurs exceptionnels. Ça me tire vers le haut, j'essaye de m'en inspirer le plus possible »

Esteban Abadie, troisième-ligne du RCT

 

 

 

Comme ses partenaires varois Matthias Halagahu et Melvyn Jaminet, Abadie a été relâché par le staff des Bleus en milieu de semaine et mis à disposition de son club. Pour le plus grand plaisir de son entraîneur, Pierre Mignoni, qui a pu compter sur lui pour la réception capitale du Stade Rochelais. « Incroyable, a répété le coach du RCT pour décrire la performance de son numéro 7 samedi soir. Il mérite de repartir à Marcoussis, de connaître une sélection, je l'espère pour lui. Faire un match complet comme ça après quatre semaines sans jouer, c'est fort. »

De retour à Marcoussis dès lundi ?

En effet, Abadie n'avait plus rejoué depuis la victoire face au Stade Français (19-5, le 30 décembre), la faute à une gêne à un genou. Contre les Rochelais, il semblait partout sur le terrain. Son action de classe à la 49e minute a permis à Ben White d'inscrire le seul essai varois de la partie. Et son interception aurait même pu en offrir un autre à David Ribbans si un en-avant n'avait pas été commis en amont de l'action.

 

 

« Ça fait deux ans et demi que j'enchaîne les matches, que je me sens bien dans mon corps, a commenté le flanker après la rencontre. Je touche du bois mais tout va bien malgré cette petite blessure qui n'était pas très grave, ç'a n'a duré que trois semaines. Venir à Toulon (cet été) m'a permis de m'entraîner avec des joueurs exceptionnels. Ça me tire vers le haut, j'essaye de m'en inspirer le plus possible. Tout est hyper enrichissant, comme les trois jours passés à Marcoussis. J'essaye d'apprendre un peu de tout le monde et de tirer le meilleur de tout ça pour que ça se retranscrive sur le terrain. »

Et sur le terrain, pour l'instant, ça ne se passe plutôt pas trop mal. Samedi soir, Abadie n'avait pas encore reçu de coup de fil de Fabien Galthié pour savoir s'il retournait à Marcoussis dès lundi. Mignoni, lui, avait peu de doute : « Je ne veux pas trop m'avancer mais je pense qu'il va y retourner. »

 

 

[Codorplusàvie]

Y'a le même qui prend le relève chez les coujoux, qui, en plus aime bien gratter.
Sacha Gué.