La Nationale 2 pourquoi pas... mais Limoges quoi !!!
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le chomage (consequent), le reste au black et peut être un après rugby. gagnant -gagnant comme Senio et Williams à Montluçon
Posté 12 décembre 2023 - 20:49
La Nationale 2 pourquoi pas... mais Limoges quoi !!!
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le chomage (consequent), le reste au black et peut être un après rugby. gagnant -gagnant comme Senio et Williams à Montluçon
Posté 04 janvier 2024 - 12:34
Posté 04 janvier 2024 - 12:56
Démenti par le club pour Lawes.
Mais effectivement, beaucoup de joueurs anglais songent à émigrer vers le Top14.
Leur fédération flippe à fond, et prépare des contre-mesures.
Posté 04 janvier 2024 - 12:58
Azéma aussi avait démenti pour laidlaw ;-)Démenti par le club pour Lawes.
Mais effectivement, beaucoup de joueurs anglais songent à émigrer vers le Top14.
Leur fédération flippe à fond, et prépare des contre-mesures.
Posté 12 janvier 2024 - 07:15
Mardi après-midi, au RCT Campus. Deux jours après la défaite à Montpellier (27-17) en Top 14, Toulon retourne à l'entraînement sous la pluie devant quelques supporters. Comme une partie du groupe, Melvyn Jaminet reste sur le terrain couvert à quelques mètres de là pour un travail en douceur. L'arrière international (24 ans, 19 sélections) est détendu. Heureux d'être là. Revanchard, aussi. Son transfert du Stade Toulousain, seulement seize mois après y être arrivé, a énormément fait parler. Lui a beaucoup douté avant que ses désormais anciens dirigeants n'acceptent de le libérer en novembre dernier pour qu'il retrouve un club qu'il avait quitté à l'âge de 15 ans. Le voilà sous contrat jusqu'en 2028 sur la Rade. Avant d'affronter le Munster demain (16 h 15) en Coupe des champions, Jaminet a accepté de se poser longuement pour revenir sur ses doutes des derniers mois et ses nouvelles ambitions avec le RCT.
« Ce retour à Toulon se passe-t-il comme vous l'aviez espéré ?
Oui, sur l'aspect personnel, c'est comme je l'avais imaginé. Je voulais reprendre du plaisir mais aussi des responsabilités, et ç'a été le cas petit à petit. J'étais aussi dans un très bon groupe à Toulouse, mais c'est vrai que pour moi l'aspect hors rugby a changé en revenant ici auprès de mes proches. Je me retrouve un peu plus dans cette vie. Ça me fait énormément de bien et je suis content de reprendre un peu confiance en moi.
Vous en aviez besoin ?
Oui, bien sûr. Quand on me laisse un peu les clés du camion, j'aborde forcément le match différemment. Je joue plus libéré et ça se ressent sur le terrain. Je tente des coups que je ne tentais pas auparavant, parce que je me bridais tout seul inconsciemment. À Toulouse, je voulais peut-être trop bien faire, ça ne me ressemblait pas. J'essaie de retrouver cette insouciance qui faisait ma force.
On vous sent plus léger et détendu. Le ressentez-vous aussi ?
(Sourire.) Beaucoup me l'ont dit, oui, dont mes amis proches et la famille. Ils me disent que j'ai l'air d'être bien sur le terrain. Je voulais remontrer une image de moi heureux de jouer, et c'est ce que je retrouve. Je sais que je suis attendu, le transfert a fait beaucoup parler. Je me sens observé et regardé à chaque prestation, mais ça ne me dérange pas.
« À Toulouse, je suis arrivé dans un système auquel je n'étais pas habitué. Puis la blessure est arrivée à un très mauvais moment. »
Quand avez-vous exactement compris que vous vouliez quitter le Stade Toulousain ?
Je pense que je me le suis caché mais ça m'a trotté dans la tête pendant longtemps. On me parlait à chaque fois de Toulouse et de Toulon. J'essayais de rester concentré, mais c'était devenu assez pesant. Au-delà de partir à Toulon, je voulais vraiment avoir cette discussion avec le staff de Toulouse. Elle a été assez brève avant la Coupe du monde, puis plus longue après.
À plusieurs reprises, vous avez demandé à être libéré mais Toulouse est resté ferme...
Oui, la première fois c'était en fin de saison dernière et ils ont fermé la porte. Pour moi, c'était mort. Ils croyaient toujours en moi. Puis quatre mois quasiment sont passés avec la Coupe du monde. À mon retour, je sentais que j'étais peut-être un peu différent et qu'il fallait que j'aie une discussion avec Ugo (Mola) et les dirigeants.
Comment s'est-elle passée ?
C'est notre plus bel échange en un an et demi. On a bien parlé ensemble. J'ai compris ce que le staff me reprochait, ce qu'il attendait de moi et ce qu'il aurait aimé faire de moi. Pour ma part, j'ai expliqué mes idées et ce que j'avais entendu en signant à Toulouse, des choses qui ne se sont pas faites.
Lorsque vous avez été recruté en 2022, il était visiblement prévu que Thomas Ramos joue davantage en 10 et vous en 15. Est-ce cela que vous évoquez ?
Entre les lignes, c'était un peu ce qui m'avait été dit, oui. Mais si un joueur est plus performant qu'un autre, il doit jouer. Et c'est ce qui s'est passé la saison dernière. À Toulouse, je suis arrivé dans un système auquel je n'étais pas habitué. Puis la blessure (à la cheville gauche) est arrivée à un très mauvais moment. La première, c'était en octobre 2022, deux semaines avant le rassemblement de l'équipe de France. Quand on enchaîne douze matches comme titulaire en sélection et qu'on passe second à cause d'une blessure, la remise en question est évidemment très dure. Je n'ai jamais eu la chance de pouvoir enchaîner. J'ai cogité. Je n'ai pas eu ce temps de jeu et j'ai fait des matches en demi-teinte.
« Quand j'ai réalisé que j'allais revenir là où j'ai commencé le rugby et là où j'avais beaucoup de bons souvenirs, c'était intense. Maintenant, j'ai l'impression d'être serein et tranquille. »
En voulez-vous à l'encadrement toulousain ?
Non, je n'ai aucune amertume envers Toulouse et je l'ai dit aux dirigeants quand je suis parti. Ils ont tout fait pour me recruter, puis ils ont été compréhensifs quand j'ai demandé à partir.
Peut-on parler d'un échec pour votre passage à Toulouse ?
Le mot échec est un peu fort. Je n'ai jamais regretté d'avoir signé à Toulouse. Forcément, je me suis posé des questions mais si c'était à refaire, je le referais à 100 %. Honnêtement, je ne changerais rien. Toulouse m'a énormément apporté, même si j'ai peu joué. J'ai vécu des moments fabuleux avec ce titre en fin de saison. Je ne veux en tirer que du positif.
Qu'avez-vous ressenti lorsque Toulouse a accepté de vous libérer ?
Sur le moment, j'étais vidé et soulagé. C'était une sensation que je n'avais pas ressentie depuis très longtemps. Quand j'ai réalisé que j'allais revenir là où j'ai commencé le rugby et là où j'avais beaucoup de bons souvenirs, c'était intense. Maintenant, j'ai l'impression d'être serein et tranquille.
Et pourquoi Toulon ?
Si je devais partir de Toulouse, c'était Toulon ou rien. C'est ce que j'ai dit au staff de Toulouse une fois ma décision prise : "Libérez-moi pour que je rentre chez moi." Le discours de Pierre Mignoni a aussi été important. J'ai senti qu'il voulait vraiment que je rejoigne ce club et que je serais important pour l'équipe. C'est ça qui m'a fait venir. Ça me manquait. Il me laisse carte blanche et c'est à moi de prouver.
« Si j'ai signé à Toulon, c'est pour retrouver de la visibilité, prouver que je pouvais enchaîner les matches et avoir des responsabilités, notamment sur les buts. »
Avec deux transferts en deux ans, de Perpignan puis de Toulouse, vous avez atteint votre quota de mutations ?
(Il éclate de rire.) Oui, là c'est bon. Toutes les rumeurs depuis deux ans ont parfois été pesantes. Maintenant, c'est terminé. Je suis très heureux d'avoir signé un contrat sur le long terme. Maintenant, plus personne ne me parle de transfert (rires). Je me sens libre. Je me projette sur l'avenir et j'ai hâte qu'on avance.
Vous êtes-vous posé beaucoup de questions par rapport à l'équipe de France ?
Oui, j'ai énormément douté à l'approche de la Coupe du monde. Je ne savais pas si j'allais réussir à revenir à 100 %. Je ne m'étais pas entraîné depuis trois mois et je sortais de prestations très moyennes. Je pense que ma sélection se fait sur les deux dernières semaines de la préparation. Je me suis énormément remis en question et j'ai essayé de vivre la Coupe du monde du mieux possible.
Avez-vous craint de la rater ?
Oui, j'ai eu peur. En début de préparation, on a discuté avec Fabien (Galthié). Il me sentait un peu en dessous. Je revenais de blessure et ma cheville me faisait encore mal à chaque entraînement. Mais j'étais un peu obligé de cacher cette douleur parce que c'était la Coupe du monde. Je ne voulais pas gâcher cette opportunité. C'est vrai que j'ai énormément douté. Et quand la liste des 33 a été annoncée, c'était un soulagement.
Comment avez-vous vécu la compétition ?
Bien. C'était une suite logique. Je m'y étais préparé. Ce qui a été forcément dur, c'est d'être hors groupe pour ce quart de finale contre l'Afrique du Sud. La semaine a été difficile mais le plus dur reste ce qui a suivi. C'est-à-dire la défaite.
En rejoignant Toulon, votre ambition est-elle aussi de retrouver une place de titulaire en sélection ?
Bien sûr. J'ai envie de retrouver cette place et je ferai tout pour y arriver, même si ça ne sera pas facile. Si j'ai signé à Toulon, c'est pour retrouver de la visibilité, prouver que je pouvais enchaîner les matches et avoir des responsabilités, notamment sur les buts. C'était une de mes forces. Je veux montrer que je suis toujours très bon dans ce secteur, mais aussi que je peux encore jouer à l'instinct comme je le faisais avant. »
Posté 13 janvier 2024 - 20:02
Posté 13 janvier 2024 - 21:07
Franchement, sans ses coups de pied, je le trouve moins bon que Newsome.
Posté 14 janvier 2024 - 12:54
Posté 14 janvier 2024 - 13:02
je trouve aussi que le RCT fonctionne sur courant alternatif
un coup trés bien , un coup pas bien
Posté 25 janvier 2024 - 13:55
Echange Garbisi/Tolofua avec effet immediat
Posté 25 janvier 2024 - 13:59
Echange Garbisi/Tolofua avec effet immediat
L'effet Laporte se fait déjà sentir.
Il faut vraiment que la ligue interdise ce genre de transfert en cours de la saison.
Le MHR a donc vocatio à conserver Carbonel. J'aurais pourquoi pas vu Garbisi chez nous (que je préfère à Carbonel).
Posté 25 janvier 2024 - 14:02
L'effet Laporte se fait déjà sentir.
Il faut vraiment que la ligue interdise ce genre de transfert en cours de la saison.
Le MHR a donc vocatio à conserver Carbonel. J'aurais pourquoi pas vu Garbisi chez nous (que je préfère à Carbonel).
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