1718 réponses à ce sujet

[Vynce]

Déjà cette saison, j'aimerais voir ça :

 

Raka -  Penaud - Moala - Ezeala

Toeava

Bon ben ça y est je suis servi !

[sly86]

Oulà !

Là on va entrer dans un débat complètement stérile et improductif. Comparer des vins est totalement inhérent au palais, donc comme nous n'avons pas tous le même palais, c'est un sujet sans fin et sans objectivité.

Un peu comme la beauté d'une femme, on a pas tous les mêmes goûts et je pense qu'on va être d'accord sur ce point.

 

Par contre tu dis "comparer n'importe quel vin espagnol avec..." et là tu as une comparaison un peu faussée je trouve.

Il me semblerait intéressant de comparer ce qui est comparable. Si tu compares un vin à 3 euros acheté à la frontière avec un grand cru de Bourgogne, Côte du Rhône, Bordeaux...etc alors effectivement je te comprends.

Mais saches quand même que de nombreux grands vins espagnols n'ont rien à envier à nos grands vins français.

Je t'inviterais bien à aller faire une petite route des vins au Pays de Servantes, mais comme tu sembles un grand fan de Pinot,"l'opération" séduction risque d'être périlleuse.

 

Pour ma part, je ne suis pas un grand connaisseur mais juste un passionné de ce divin breuvage. Je me régale autant avec du Morgon (Domaine Lapierre en vin Nature), du Vacqueyras, du Pic Saint Loup ou de la Clape.

Bon j'admets être devenu bien fan de Maury ou autres Côtes Catalane car ils nécessitent peu voir pas de chimie.

 

Je reconnais qu'il est difficile de changer les convictions, j'ai toujours cru que le France était la capitale mondiale de la bouffe, mais force est de reconnaitre qu'on a plus ce monopole. Pour exemple, Tokyo est la ville au monde ayant le plus de restaurants étoilés par rapport au nombre d'habitants. Vient ensuite San Sébastian... en Espagne où je pense que le chorizo ne te brûlera pas tes papilles .

Le calo verde, je ne connais pas, mais je ne connais pas toutes les spécialités espagnoles. Je connais le caldo verde, mais c'est portugais et délicieux... pour mon palais bien sûr.

 

Sur ce, je te souhaite sincèrement de continuer à régaler tes papilles.

non,  mais je pensait que c'était clair que je rigolais, la....

 

évidement qu'il y a de très bon vins en Espagne, mes préférés sont du coin de dénia, a cheval sur la région de valence et d'alicante, que je connais très bien, les fougues a morera, a coté de calpe, sert de très bon vins de la région même si l'histoire du restaurant fais que la majorité sont français, mais je reconnais ne pas connaitre l'intégralité de l'Espagne viticole......

 

par contre je connais les cote de nuits et de Beaune comme ma poche,  et si je ne suis pas chauvin en matières de rugby, si ont parle vins, la c'est different      .

 

sinon fin du hors sujet, mes plus plate excuses au modo......

[Codorplusàvie]

Alors bonne dégust' à nous.

[diomedea]

Bon ben ça y est je suis servi !

 

Et les défenseurs anglais bien em.....dé avec autant de joueurs capable de faire la différence à eux tout seul.

[xdderf63]

https://www.sports-a...video_13706153/

[Rugby ?]

Sa "qualité de finisseur".

Huget va pouvoir faire valoir ses droits à la retraite.

Pcnc: Grospaquet

[clem123]

http://sport24.lefig...clermont-985696

[George Abitbol]

« il a, à l’âge de deux ans, était adoptés »

Putain le figaro, ce n'est plus ce que c'était.

[grospaquet33]

« il a, à l’âge de deux ans, était adoptés »

Putain le figaro, ce n'est plus ce que c'était.

il a pompé un article de RR...

[InASMWeTrust]

« il a, à lâge de deux ans, était adoptés »

Putain le figaro, ce n'est plus ce que c'était.

Oui, ça pique les yeux...

[Rugby ?]

Tiens, je viens de découvrir que Tadjer était international Portugais. (mais je suis hs).

[bazooka]

« il a, à l’âge de deux ans, était adoptés »

Putain le figaro, ce n'est plus ce que c'était.

C'est l'hiver   

[el landeno]

Coupe d'Europe : l'ASM et Ezeala plongent dans le grand Bath Enfin constant, Ezeala confirme peu à peu le potentiel qui lui est prêté. Mais le jeune ailier est couvé par l'ASM pour ne pas se laisser griser.

C'est le lot de beaucoup de jeunes espoirs du Top 14 ces dernières années : un exploit leur donne une exposition subite et forte, parfois jusqu'à les propulser dans l'actualité de l'équipe de France. C'est ce que vit Samuel Ezeala depuis huit jours. Vendredi dernier, à quelques jours de ses 20 ans, le jeune ailier de Clermont a inscrit un doublé à Bath pour son premier match de Coupe d'Europe. Six jours après, Fabien Galthié était questionné à son sujet pour les Bleus.

 

Le nouveau sélectionneur confirmait qu'il avait bien rencontré Ezeala, mais il a aussi précisé qu'entre sa prise de fonction officielle, mi-novembre, et le premier match du Tournoi des Six Nations, début février contre l'Angleterre, il aura discuté avec pas loin de 90 joueurs. « Il fait partie des nombreux joueurs que l'on suit, expliquait Galthié aux télévisions, à Hossegor. Il a vu que si on l'avait rencontré, c'est tout sauf le hasard, c'est important. » Des généralités. Assorties d'un commentaire moins anodin : « On n'a pas senti d'hésitation de sa part. » 

5

Le nombre d'essais inscrits par Samuel Ezeala en dix matches disputés cette saison. Soit une moyenne de 0,5 essai par rencontre.

C'est là où le feuilleton Ezeala s'est un peu emballé dans la semaine. Après sa bonne performance à Bath, l'ailier a confié à un média espagnol qu'il n'avait pas définitivement fait son choix entre l'Espagne, son pays de naissance, et la France, où il est arrivé en 2015, au centre de formation de Clermont. Le Catalan s'est senti obligé de préciser sa pensée, dans un tweet, effacé depuis, lui qui avait déjà failli jouer pour les Bleus à 7 il y a un an, mais n'avait pas pu être retenu faute d'un passeport français. Et le tout a rebondi finalement jusqu'au sélectionneur.

Entre difficultés de courses et mauvaises habitudes nutritionnelles

Ezeala pourrait presque être habitué à ces emballements médiatico-sportifs. Le tout premier match de sa carrière, un déplacement au Racing 92 où il avait subi une commotion cérébrale spectaculaire début 2018, lui avait déjà donné une notoriété dont il se serait bien passé. Mais l'ASM préfère continuer à gérer prudemment sa pépite, notamment son exposition maintenant qu'il fait parler de lui surtout du fait de ses prestations sur les terrains.

Très sollicité cette semaine, avant le match retour contre Bath où il sera à nouveau titulaire, cet après-midi, Ezeala n'a pas pris la parole. Son entraîneur Franck Azéma y est allé d'un compliment tout en mesure en conférence de presse, mardi : « Il ne nous surprend pas, parce qu'il met de l'enthousiasme dans tout ce qu'il fait et qu'il est sur une pente ascendante depuis le début de la saison. Je suis content de le voir s'épanouir dans l'équipe. J'aime sa qualité de finisseur, mais surtout son tempérament sur le terrain. Il faut qu'il garde les pieds sur terre et continue d'être insouciant sur le terrain, c'est ce qu'on attend de lui. » 

Le club auvergnat prend ses précautions. Car Ezeala commence tout juste à être capable d'enchaîner les matches. Auparavant, suite à deux rencontres, le corps coinçait. En mars, il avait dû être opéré d'un ischio-jambier récalcitrant. Cinq mois sans jouer. « Parce que c'est un jeune qui court mal !, explique Sébastien Bourdin, le préparateur physique de l'ASM. Il n'a pas une technique de course aboutie et on travaille encore dessus chaque semaine, on vérifie avec notre analyste data ses volumes de courses. Il a aussi de très mauvaises habitudes de nutrition... On a dû tout passer en revue avec Samuel, le sommeil, le temps passé sur le téléphone portable... » 

lire aussi

Samuel Ezeala (Clermont) hésite entre la France et l'Espagne

Tous ces petits détails qui l'empêchaient d'enfin vraiment décoller. Désormais plus sérieux, Ezeala les assimile petit à petit et a su profiter de l'ouverture, dans l'effectif, créée par l'absence de Damian Penaud et d'Alivereti Raka, ses coéquipiers ailiers qui étaient à la Coupe du monde avec les Bleus. Enfin à même de respecter l'objectif qu'il s'était fixé, dans la Montagne, en début de saison, loin des rêves internationaux : « J'ai envie de jouer le plus de matches possible et de prouver que je peux être quelqu'un sur qui on peut compter. »

 

[jm12]

Coupe d'Europe : l'ASM et Ezeala plongent dans le grand Bath Enfin constant, Ezeala confirme peu à peu le potentiel qui lui est prêté. Mais le jeune ailier est couvé par l'ASM pour ne pas se laisser griser.

C'est le lot de beaucoup de jeunes espoirs du Top 14 ces dernières années : un exploit leur donne une exposition subite et forte, parfois jusqu'à les propulser dans l'actualité de l'équipe de France. C'est ce que vit Samuel Ezeala depuis huit jours. Vendredi dernier, à quelques jours de ses 20 ans, le jeune ailier de Clermont a inscrit un doublé à Bath pour son premier match de Coupe d'Europe. Six jours après, Fabien Galthié était questionné à son sujet pour les Bleus.

 

Le nouveau sélectionneur confirmait qu'il avait bien rencontré Ezeala, mais il a aussi précisé qu'entre sa prise de fonction officielle, mi-novembre, et le premier match du Tournoi des Six Nations, début février contre l'Angleterre, il aura discuté avec pas loin de 90 joueurs. « Il fait partie des nombreux joueurs que l'on suit, expliquait Galthié aux télévisions, à Hossegor. Il a vu que si on l'avait rencontré, c'est tout sauf le hasard, c'est important. » Des généralités. Assorties d'un commentaire moins anodin : « On n'a pas senti d'hésitation de sa part. » 

5

Le nombre d'essais inscrits par Samuel Ezeala en dix matches disputés cette saison. Soit une moyenne de 0,5 essai par rencontre.

C'est là où le feuilleton Ezeala s'est un peu emballé dans la semaine. Après sa bonne performance à Bath, l'ailier a confié à un média espagnol qu'il n'avait pas définitivement fait son choix entre l'Espagne, son pays de naissance, et la France, où il est arrivé en 2015, au centre de formation de Clermont. Le Catalan s'est senti obligé de préciser sa pensée, dans un tweet, effacé depuis, lui qui avait déjà failli jouer pour les Bleus à 7 il y a un an, mais n'avait pas pu être retenu faute d'un passeport français. Et le tout a rebondi finalement jusqu'au sélectionneur.

Entre difficultés de courses et mauvaises habitudes nutritionnelles

Ezeala pourrait presque être habitué à ces emballements médiatico-sportifs. Le tout premier match de sa carrière, un déplacement au Racing 92 où il avait subi une commotion cérébrale spectaculaire début 2018, lui avait déjà donné une notoriété dont il se serait bien passé. Mais l'ASM préfère continuer à gérer prudemment sa pépite, notamment son exposition maintenant qu'il fait parler de lui surtout du fait de ses prestations sur les terrains.

Très sollicité cette semaine, avant le match retour contre Bath où il sera à nouveau titulaire, cet après-midi, Ezeala n'a pas pris la parole. Son entraîneur Franck Azéma y est allé d'un compliment tout en mesure en conférence de presse, mardi : « Il ne nous surprend pas, parce qu'il met de l'enthousiasme dans tout ce qu'il fait et qu'il est sur une pente ascendante depuis le début de la saison. Je suis content de le voir s'épanouir dans l'équipe. J'aime sa qualité de finisseur, mais surtout son tempérament sur le terrain. Il faut qu'il garde les pieds sur terre et continue d'être insouciant sur le terrain, c'est ce qu'on attend de lui. » 

Le club auvergnat prend ses précautions. Car Ezeala commence tout juste à être capable d'enchaîner les matches. Auparavant, suite à deux rencontres, le corps coinçait. En mars, il avait dû être opéré d'un ischio-jambier récalcitrant. Cinq mois sans jouer. « Parce que c'est un jeune qui court mal !, explique Sébastien Bourdin, le préparateur physique de l'ASM. Il n'a pas une technique de course aboutie et on travaille encore dessus chaque semaine, on vérifie avec notre analyste data ses volumes de courses. Il a aussi de très mauvaises habitudes de nutrition... On a dû tout passer en revue avec Samuel, le sommeil, le temps passé sur le téléphone portable... » 

lire aussi

Samuel Ezeala (Clermont) hésite entre la France et l'Espagne

Tous ces petits détails qui l'empêchaient d'enfin vraiment décoller. Désormais plus sérieux, Ezeala les assimile petit à petit et a su profiter de l'ouverture, dans l'effectif, créée par l'absence de Damian Penaud et d'Alivereti Raka, ses coéquipiers ailiers qui étaient à la Coupe du monde avec les Bleus. Enfin à même de respecter l'objectif qu'il s'était fixé, dans la Montagne, en début de saison, loin des rêves internationaux : « J'ai envie de jouer le plus de matches possible et de prouver que je peux être quelqu'un sur qui on peut compter. »

 

 

Ouai ! à peine 20 berges ! heureusement qu'il a encore quelques manques et défauts , je serais tenté de dire !!!!! 

[Bru]

Oui mais les carrières sont quand même hyper-courtes donc les "défauts" sont à corriger très vite.