Equipe de France
Posté 15 janvier 2024 - 17:38
Gazzotti est surement encore un peu tendre, ceci dit, ça pas eu l'air de lui faire très peur d'affronter les Saracens. 60minutes de très bon niveau pour son âge et son expérience.
On aurait besoin d'une vraie alternative en 8 même si Alldritt est indéboulonnable.
Champion d'Europe
Posté 15 janvier 2024 - 17:50
Et pour les arrières :
Demis de mêlées :
1. Maxime Lucu
2. Nolann Le Garrec
3. Baptiste Couilloud
Demis d'ouverture :
1. Matthieu Jalibert
2. Antoine Gibert ou Antoine Hastoy : a priori, Galthié semble hésiter entre les deux. Je trouve que le choix de Gibert, en pleine ascension et habitué à jouer avec Le Garrec, se défend bien.
Je ne met que deux ouvreurs du fait de la contrainte de 34 joueurs et de la polyvalence d'un Ramos.
Premiers centres :
1. Yoram Moefana : de retour à haut-niveau et connaissant parfaitement les 3/4 bordelais.
2. Jonathan Danty : un profil tout de même rare, très efficace, expérimenté et mine de rien pas énormément de solutions en France
Seconds centres :
A priori, cela oscillerait entre Deporteere, Gailleton et Fickou. Les deux premiers ont l'avenir devant eux et sont en pleine bourre, Fickou est lui le patron de la défense dans le schéma d'Edwards et est très expérimenté.
3/4 ailes :
1. Damian Penaud
2. Louis Bielle-Biarrey
3. Ethan Dumortier
4. Gabin Villière : un peu dans le creux de la vague mais un profil très efficace qui a fait ses preuves. Sinon, quelques surprises ? Attisogbe, Lebel (évoqué par certaines médias) ou un repositionnement de Gailleton ?
Arrières :
1. Thomas Ramos
2. Romain Buros ou Melvyn Jaminet : là encore, le cœur de Galthié serait hésitant... Du fait de la forme du moment, de la composition de la ligne de 3/4 et des buteurs (Ramos, Jalibert, Lucu), j'ai personnellement une préférence pour Buros
perso je prefere Gibert à Hastoy. Carbonel est mieux cette année. Mon preferé reste Berdeu mais il reprend juste.
Au centre Moefana Depoortere Gailleton me paraissent tellement evident mais bon....Parisien est aussi interessant comme joueur, Vincent
a l'aile, je vois Penaud, LBB, j'ai peur qu'on nous prenne aussi Uberti (j'espere pas), Baget? Lebel?
A l'arriere, Ramos et Buros. A voir pour Barré.
Affane est un futur très grand et Tatafu a vraiment le profil du finisseur.
J'ai vraiment hâte d'assister au tournoi.
Il n'y a que la victoire pour faire passer le goût de la défaite. Le calendrier nous est favorable, on est favori à mes yeux.
Avec Falatea out, j'espere qu'on le verra, on ne pourra pas mettre Ben et Sadié sur la feuille de tous les matchs
Champion d'Europe
Posté 15 janvier 2024 - 18:19
On aurait besoin d'une vraie alternative en 8 même si Alldritt est indéboulonnable.
et encore il n'est pas que indéboulonnable. Il est huitdéboulonnable.
OK désolé.
Champion du Monde
Posté 15 janvier 2024 - 18:22
et encore il n'est pas que indéboulonnable. Il est huitdéboulonnable.
OK désolé.
Champion du Monde
Posté 15 janvier 2024 - 18:49
du 9 au 15, on prend les 3/4 de l'UBB hier picétout.
Après, à voir si Galtoche n'arriverait pas à les faire jouer moche 
Champion d'Europe
Posté 15 janvier 2024 - 20:23
Je trouve tout de même le tout assez fragile. Notre pilier droit titulaire, Atonio, est un étranger repéré avec beaucoup de chance par La Rochelle dans un tournoi quelconque. Il n'est donc pas issue de la formation française (et ce n'est pas du tout une critique contre le joueur, bien au contraire, mais un exemple montrant notre difficulté à former des droitiers) et a peu de chance de prétendre à 2027. Derrière, le numéro deux du mondial était Aldegueri qui n'est clairement pas au niveau international.
Pour 2027, on devrait cependant, effectivement, avoir plus de garanties avec le prometteur Tatafu (montera-il aussi haut qu'Atonio ?), un Bamba de qualité et quelques joueurs à suivre (Laclayat et Colombe notamment, voire des plus jeunes comme Affane ou Mallez ?).
après je te dirais, tu fais une analyse de profondeur de pilier droit chez les autres nations tu constates que la France n'est pas si mal du tout. Et j'ai oublié Falatea en plus, qui est très perfectible en mêlée encore mais absolument fantastique dans le jeu courant. En général t'as un premier choix, et derrière ça se casse la gueule, ou presque. Y a que les Sudafs qui en ont deux de bons. Mais Bamba comme remplaçant c'est pas du tout un choix de pauvre.
Champion d'Europe
Posté 15 janvier 2024 - 21:21
après je te dirais, tu fais une analyse de profondeur de pilier droit chez les autres nations tu constates que la France n'est pas si mal du tout. Et j'ai oublié Falatea en plus, qui est très perfectible en mêlée encore mais absolument fantastique dans le jeu courant. En général t'as un premier choix, et derrière ça se casse la gueule, ou presque. Y a que les Sudafs qui en ont deux de bons. Mais Bamba comme remplaçant c'est pas du tout un choix de pauvre.
Un choix de classe moyenne? 
du 9 au 15, on prend les 3/4 de l'UBB hier picétout.
Après, à voir si Galtoche n'arriverait pas à les faire jouer moche
Perso je demande a voir dans quelle mesure il laissera Arlettaz les mains libres.
Champion d'Europe
Posté 15 janvier 2024 - 22:04
Oups j’ai failli louper l’info de la soiree.
Apres le soulagement que la France ait perdu, NTK nous apprend qu’il a un beau secret, mais qu’il ne devoilera pas parce que c’est un secret! Non mais!
Champion d'Europe
Posté 15 janvier 2024 - 23:00
Un choix de classe moyenne?
oui disons, comme Jalibert en edF 
Joueur du Grand Chelem
Posté 15 janvier 2024 - 23:19
Sinon, ya lui : https://in.linkedin....lmiki-074155185
Il est 10, pas Jiff, mais il est international indien, et il est aussi intouchable.
C'est assez incroyable, et insignifiant à la fois, mais ce gars-là, je l'ai vu à jouer avec des gosses dans un parc (Maidan) à Calcutta il y a deux mois et tu viens de répondre à une question que je me posais ; pourquoi les enfants jouaient avec un ballon des Harlequins. Je disais cela il y a quelques semaines :
Je sherpa trop. Par contre, j'ai assisté quelque temps après à un entrainement de rugby à Kolcata (des jeunes de tous âges), et ça jouait franchement pas mal. Ils jouaient avec des ballons d'entrainement des Harlequins, il me semble. C'est quand même autre chose que le cricket...
En fait, ce Akash Balmiki va jouer une saison pour les Dallas Harlequins, soit une franchise partageant le même nom et logo que l'équipe anglaise. J'ai trouvé un article qui mentionne qu'il vient tout juste de s'envoler pour les US. Voilà, ce n'est pas grand-chose, mais je trouve que c'est une sacré concidence que tu aies choisi au hasard un joueur amateur indien méconnu que j'ai justement vu il y a peu (bon, il supporte les Blues d'Auckland, donc ce n'est clairement pas un gars bien !)
Champion d'Europe
Posté 16 janvier 2024 - 06:59
Le 9 novembre dernier, Emmanuel Meafou a reçu son acte de naturalisation lors d'une cérémonie forte en émotions à la préfecture de Haute-Garonne, en plein coeur de Toulouse, sa ville d'adoption. La fin d'une longue procédure administrative. « Je suis fier d'être français », a clamé « Manny » (25 ans), quatre jours plus tard, lors de notre visite au centre d'entraînement du Stade Toulousain, où il a débarqué incognito cinq ans plus tôt, le 28 novembre 2018.
De parents samoans, né en Nouvelle-Zélande, Meafou grandit en Australie, à Brisbane, où sa famille s'installe. Il est âgé de 2 ans et touche son premier ballon de rugby à seulement 13. Débute l'histoire « d'un gamin qui voulait devenir rugbyman pour gagner de l'argent, pour vivre », explique le deuxième-ligne, en français et avec passion. D'abord, le rugby à XIII pour faire comme son petit frère. « J'étais nul, se marre Meafou. Mon frère, lui, était doué. Il a même été sélectionné en équipe nationale chez les jeunes. »
Le Toulousain passe à XV, poussé par quelques copains. Il a 16 piges et pèse déjà 120 kg. Il doit se bouger pour poursuivre son rêve. « Le souci chez les Samoans, c'est qu'on prend vite du poids, soupire-t-il. Je pouvais grossir de 10 kg en deux semaines si je ne m'activais pas ! Ma mère m'obligeait à me bouger ! »
« J'ai pris entre 20 et 30 kg, peste-t-il. J'étais à la maison, je ne faisais rien ! Physiquement et mentalement, je n'étais pas au mieux
Emmanuel Meafou
Malgré son gabarit hors norme, le colosse ne perce pas. Ses rêves s'amenuisent peu à peu à l'approche de la majorité. « Si après l'école (le lycée en France) tu n'as jamais été choisi chez les moins de 18 ans, c'est difficile de trouver un contrat, explique-t-il. C'était mon cas. Je pensais que c'était fini. » Meafou arrête alors le rugby. Conséquence ? « J'ai pris entre 20 et 30 kg, peste-t-il. J'étais à la maison, je ne faisais rien ! Physiquement et mentalement, je n'étais pas au mieux. »
Il renoue le fil grâce à un ami de son père, qui le pousse à reprendre le chemin de l'entraînement. Direction Auburn, un club amateur dans la banlieue de Sydney, où la famille Meafou a déménagé. Tout (re) part de là. La franchise des Melbourne Rising, héritière des Melbourne Rebels, lui offre un contrat de six mois dans son académie. Pas plus. Meafou fête ses 20 ans. Il joue une saison, en amateur, à Warringah, au nord de Sydney, faute de contrat pro. Son rêve de gamin est alors dans une impasse. Et son agent lui propose de bifurquer vers le football américain.
La NFL organise des camps d'entraînement en Australie, à la recherche de nouveaux talents (International Player Pathway Program). Les tests sont concluants. « Mon agent m'a dit que des franchises américaines voulaient me signer, se remémore l'Australien, devenu français. Mais mon rêve était d'être rugbyman ! » Son agent envoie donc des vidéos en France et en Angleterre. Une d'elles atterrit au Stade Toulousain.
« Avec son gabarit et ses qualités, on savait qu'avec un peu de patience il allait devenir un joueur hors norme, comme il n'en existe pas beaucoup
Jérôme Cazalbou, manager du haut niveau à Toulouse
« Nous cherchions un profil de deuxième-ligne qui n'existe pas en France se souvient, Jérôme Cazalbou, manager du haut niveau chez les champions de France en titre. Les vidéos nous ont tout de suite alertés sur les capacités du joueur. Nous avons rapidement pris contact avec d'anciens internationaux australiens pour comprendre pourquoi aucune franchise du Super Rugby ne lui avait proposé de contrat. On se demandait s'il n'y avait pas un loup. Puis nous avons compris que de nombreux jeunes australiens étaient dans son cas. Nous savions également qu'il y avait urgence car la NFL était sur le coup. Notre prise de décision a été rapide. »
Le deal est simple : un contrat court au centre de formation et plus si affinités... L'histoire, son histoire, est en marche. Manny débarque seul à Toulouse, le 28 novembre 2018. « Au bout de six mois, on savait que ça allait matcher, sourit Cazalbou. Avec son gabarit et ses qualités, on savait qu'avec un peu de patience il allait devenir un joueur hors norme, comme il n'en existe pas beaucoup. »
L'ancien demi de mêlée souligne également le rôle clé joué par le pilier américain David Ainu'u. « David était passé par là lui aussi en arrivant à Toulouse un an plus tôt, poursuit Cazalbou. Il l'a embarqué avec lui pour faciliter son intégration. Manny a fait beaucoup d'efforts pour perdre du poids (il pesait 165 kg à son arrivée, il pèse 135 kg aujourd'hui), apprendre le français et embrasser le projet du club. »
« Même s'il est assez réservé et ne parle pas beaucoup, il a cette qualité d'écouter les autres, ce qui lui a permis de très vite comprendre le français et donc de faciliter son intégration, souligne l'arrière Thomas Ramos. Il est rapidement devenu français dans sa façon d'être au quotidien. »
« Les débuts ont été très durs, se souvient néanmoins Meafou. J'étais seul dans un appartement, sans ami, ni famille, et je ne parlais pas français. Les entraînements étaient également très difficiles. Mais je ne me suis jamais imaginé rentrer en Australie. C'était Toulouse ou rien. Je ne regrette pas. Ma famille a été d'un soutien incroyable, comme Jérôme Cazalbou, David (Ainu'u) ainsi que la famille Tekori, Joe et Helen. » Sa foi en Dieu l'a également beaucoup aidé, guidé.
Un an après son arrivée, Meafou fête sa première titularisation en Top 14 avec le Stade Toulousain, à Agen, juste avant Noël 2019. Un sacré cadeau et une victoire 13-8. Le rêve de gamin est devenu réalité. La saison suivante, celle du doublé Top 14-Coupe d'Europe pour les Rouge et Noir, il réalise une saison pleine (24 matches, 11 titularisations, 6 essais).
Depuis, le deuxième-ligne, qui a glané un second Bouclier de Brennus en 2023, s'est imposé et s'est approprié le numéro 5 du Stade Toulousain, où il est engagé jusqu'en juin 2025. Le club souhaite évidemment le prolonger.
Sa femme, Jada, Australienne également, qui l'a rejoint en 2020 sur les bords de la Garonne, vient de mettre au monde leur premier enfant : Marcellus, né le 25 décembre. À 25 ans, voilà un homme heureux. Son passeport français (il en détient aussi un samoan et un australien) en poche, il s'est par exemple fait un plaisir de voyager avec pour la première fois lors du déplacement du Stade Toulousain en Angleterre, chez les Harlequins, en Coupe des champions, mi-décembre (19-47). Il rêve désormais des Bleus, avec en ligne de mire la Coupe du monde 2027 en... Australie !
Champion du Monde
Posté 16 janvier 2024 - 09:02
Champion d'Europe
Posté 16 janvier 2024 - 11:14
https://www.sudouest...ce-18151060.php
Champions Cup : une montée en puissance qui tombe à pic pour le XV de France
Toulouse, La Rochelle et l’UBB, les trois principaux pourvoyeurs d’internationaux, ont réalisé des cartons lors de la troisième journée de Champions Cup. Un coup d’accélérateur encourageant à l’approche du Tournoi des Six-Nations
Fabien Galthié, qui livrera mercredi la liste des 34 joueurs retenus pour préparer le Tournoi des Six-Nations, a dû se frotter les mains, la mine réjouie, en assistant ce week-end à la troisième journée de Champions Cup. Il est même possible qu’il soit resté un peu abasourdi par le feu d’artifice tiré en clôture par l’Union Bordeaux-Bègles face aux Saracens (55-15), une équipe longtemps considérée comme la meilleure défense d’Europe.
Dix ans d’un coup
Dimanche soir, Owen Farrell et la pléiade d’internationaux anglais qui composent l’effectif des « Sarries » ont semblé avoir pris dix ans d’un coup. Dépassés par le tempo imposé par Matthieu Jalibert et ses camarades, les triples lauréats de l’épreuve, ont concédé leur plus lourde défaite dans la compétition.
Un peu plus tôt, ce sont les Rochelais, en mode rouleau compresseur, qui avaient aplati une autre institution du rugby anglais, Leicester, en inscrivant sept essais (45-12). Sept essais et presque 50 points (48-12), c’est aussi l’addition présentée par les Toulousains samedi en Ulster. Ce déplacement à Belfast possédait les contours d’un piège. Mais tout comme ils avaient fait exploser les Harlequins au Stoop lors de la 2e journée, Antoine Dupont et ses camarades ont dynamité les Nord-Irlandais en pratiquant un rugby flamboyant.
« Ce qui frappe le plus, ce sont les scores. La Rochelle et l‘UBB ont atomisé des grands noms du rugby britannique, des équipes solides sur les bases, qui tapent fort et qui savent d’habitude verrouiller le jeu », constate Erik Bonneval, ancien trois-quarts international, consultant pour BeIN Sports. « Belfast, ce n’est pas non plus l’endroit où il est le plus évident de s’imposer, surtout avec cette marge. »
Au sein de ces trois clubs, la Champions Cup semble avoir fait le plus grand bien
Mercredi, Toulouse, La Rochelle et l’UBB seront, sauf surprise, les trois premiers pourvoyeurs de Bleus dans la sélection de Fabien Galthié. Et l’on ne peut pas décorréler la montée en puissance des trois clubs en Champions Cup de l’annonce des 34 et de l’approche du Tournoi des Six-Nations.
Dans les trois succès du week-end, les internationaux ont été moteurs. « On a senti des joueurs en pleine forme, bien dans leur tête, plein d’appétit », relève Bonneval. « Alors que la victoire était assurée, on les a vus jouer à fond les derniers ballons. »
Brillants ou convaincants
À Belfast, Antoine Dupont, affûté, déjà en mode rugby à 7, a été éblouissant. Le demi de mêlée toulousain abordera son rêve olympique en marge du XV de France cet hiver, mais depuis un mois, il semble donner le ton et fixer les standards dans la maison rouge et noir. Dans son sillage, Peato Mauvaka, Anthony Jelonch, Thomas Ramos, François Cros, Cyril Baille ont été brillants ou convaincants. Quant à Emmanuel Meafou, auteur d’un essai à la 80e minute, il a montré pourquoi il pourrait rapidement devenir indispensable chez les Bleus.
À La Rochelle aussi, Greg Alldritt, Jonathan Danty, jusqu’à sa sortie, Reda Wardi et Paul Boudehent ont donné l’exemple, entraînant avec eux un groupe en net regain de forme. À l’UBB enfin, les Maxime Lucu, Matthieu Jalibert, Damian Penaud, Louis Bielle-Biarrey, Yoram Moefana, inarrêtables, sont au coeur de la dynamique qui porte actuellement le club girondin.
Au sein de ces trois clubs, la Champions Cup semble avoir fait le plus grand bien. Comme si elle avait permis aux internationaux de laisser derrière eux le poids leur élimination en quarts de finale de la Coupe du monde pour se reconnecter à une ambition collective et prendre un nouveau départ. À Galthié de savoir à son tour en profiter.
Champion du Monde
Champion d'Europe
Posté 16 janvier 2024 - 23:37
Selon rugbyrama, Gibert sera également de la partie et ce sera probablement le cas également pour Esteban Abadie en troisième ligne.
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