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[Toorop]

Fin de tournoi confirmée pour Wardi, un remplaçant devrait être prochainement annoncé. Faites vos jeu : Kolingar, Priso, Boniface, Perchaud...

Très vraisemblablement Priso, non ?

[Bon Chasseur]

Pour Galthié. Je viens de regarder la conf de presse avec Alldritt à côté. Il se "cache" qd mm un peu derrière le fait qu'ils aient été à 14. Il avoue qu'il n'y avait pas "de vitesse" dans le jeu des Bleus. Mais à part ça il y a une difficulté manifeste à carrément faire un commentaire sur le pb d'intensité, qui est je pense, le pb commun que tout le monde a pu relever sur ce match. J'ose espérer qu'à chaud après le match et devant un public de journalos, qu'il préférait rester sobre et ne lâcher que le minimum de réponse mais qu'il va analyser en profondeur ce qui n'est pas allé ensuite.

 

Je ne sais pas encore s'il est aussi têtu qu'on dit ou s'il est simplement très avare de réponse devant des médias à l'affut du scoop, chose que j'imagine bien: si je suis entraîneur et que j'ai foiré mon match, 10min plus tard on m'assoit devant 20 personnes qui vont appuyer là où ça fait mal, je leur réponds vite fait mais ensuite devant le staff on ressort immédiatement le fond du pb qu'on discute en profondeur la semaine.

[zimbawe]

Il ne peut pas être et avoir été...
En revanche, on peut très bien avoir été un con et l'être encore.

en effet bel exemple, si tu as une glace regarde toi... du haut de mes 78 piges j'en ai vu et fréquenté alors mon expérience me dit que tu pourrais bien être un chef d'escadrille ....  

[Lourugby]

Très vraisemblablement Priso, non ?

Oui c'est bien lui.

[el landeno]

Après la claque contre l'Irlande, le staff des Bleus déjà sous pression Une stratégie erronée, une condition physique inquiétante, une touche aux abois, une défense qui flanche à nouveau et une troisième défaite de suite qui menace, samedi prochain en Écosse : Fabien Galthié et ses adjoints vivent le moment le plus dur depuis quatre ans.

Dans sa tournée des popotes médiatiques, après la baignade en eau fraîche en Normandie et après la désillusion du quart de finale contre l'Afrique du Sud (28-29, le 15 octobre), Fabien Galthié a souvent convoqué les « 80 % de victoires, 90 % sur la dernière saison ». Il en a beaucoup reparlé en cette rentrée internationale. Ces pourcentages ne peuvent plus avoir le même effet depuis vendredi soir, depuis que la plus lourde défaite à domicile dans le Tournoi (17-38) - hormis un fameux France-Angleterre d'avant Première Guerre mondiale (13-39 en 1914) - est tombée sur la tête des Bleus.

 

 

lire aussiLe crash tactique des Bleus face à l'Irlande, ou comment la stratégie de Fabien Galthié a tourné au fiasco

Sans vouloir tout dramatiser, le ratage du Vélodrome place le quinze de France, période Galthié, dans une situation qu'il n'avait jamais expérimentée depuis quatre ans. Pour la première fois, l'équipe dite « premium » s'est ramassée deux fois de suite, deux fois à la maison. Incomparable avec l'enchaînement de défaites de 2021 (Écosse et premier test en Australie), donc plus préoccupant. Avant d'aller à Murrayfield samedi, un endroit où il est hautement recommandé de se munir de son « intensité courue », le staff va vivre une semaine sous pression. « Pas facile de se relancer à Édimbourg contre une Écosse qui joue beaucoup, qui met du rythme, avertit Philippe Saint-André, sélectionneur entre 2011 et 2015. Le rugby français est choqué. On pouvait s'attendre à ce qu'on gagne de peu ou qu'on perde de peu mais pas à prendre près de 40 points. Pour le staff, je compatis. Il a dû y avoir peu de sommeil dans la nuit de vendredi, beaucoup d'analyses vidéo et de travail. »

Galthié rappelait pendant la semaine que « l'injonction de victoire est une petite musique qui ne vous quitte jamais en équipe de France. » Si les présentations ont déjà été faites, la perspective d'avoir déjà perdu le Tournoi, ce qui voudrait dire que cette génération n'aura remporté qu'un titre en six compétitions majeures, alourdit l'air ambiant, et d'abord celui du grand ordonnateur lui-même.

« On peut parler du rouge de Willemse, mais ce qui m'a surpris, c'est la différence de déplacement. Les Irlandais faisaient tout à 10 000 à l'heure, ils plaquaient et se relevaient plus vite que nous »

Philippe Saint-André, ancien sélectionneur des Bleus

 

 

 

 

 

Trois mois après les demi-chandelles concoctées par le tandem sud-africain Erasmus-Nienaber, Galthié a subi un nouveau camouflet tactique. Son plan, consistant à privilégier « l'intensité combattue », s'est envasé dès le départ. Le cerveau des Bleus a-t-il voulu s'inspirer des All Blacks, qui ont eu la peau de l'Irlande en Coupe du monde (28-24) en assénant 226 plaquages ? Si oui, c'était osé, quand on se souvient que les Néo-Zélandais ont surtout surmonté une dernière séquence défensive insensée (6'19'', 37 temps de jeu), à laquelle on ne survit jamais deux fois.

 

En charge de l'attaque du XV de France, Patrick Arlettaz est l'un des nouveaux adjoints arrivés après la Coupe du monde. (ALAIN MOUNIC/L'Équipe)

Pour batailler contre l'Irlande, il aurait fallu créer un champ de bataille. « Mais on n'a jamais été en mesure de les faire subir sur le premier plaquage, d'avoir un mec qui vienne rapidement pour contester, énumère "PSA", présent au Vélodrome. On peut parler du rouge de Paul Willemse mais ce qui m'a surpris, c'est la différence de déplacement. Les Irlandais faisaient tout à 10 000 à l'heure, ils plaquaient et se relevaient plus vite que nous. À la Coupe du monde, j'avais l'impression que nous étions au même niveau que toutes ces équipes-là sur le jeu sans ballon. Trois mois plus tard, ce n'est plus le cas. Est-ce que c'est physique ? Un mélange de physique et de mental ? Une balance un peu trop lourde ? Cette différence m'a sauté aux yeux. Sur le jeu au pied, certains mecs marchaient et avaient du mal à revenir. »

Le contenu des séances de préparation physique a-t-il changé entre le départ de Thibault Giroud et l'avènement de son ancien bras droit Nicolas Jeanjean ? Avant l'Irlande, Grégory Alldritt se voulait rassurant : « On se souvient des matches précédents contre eux, avec par exemple 45 minutes de "ball in play" l'an dernier. Il faudra être physiquement au top. Nous avons bien bossé et nous sommes bien régénérés. Nous serons au rendez-vous. » Exactement ce qu'on n'a pas vu. Et pourtant, Irlandais et Français affichaient grosso modo les mêmes temps de jeu depuis le Mondial. « Ce sont des joueurs qui courent beaucoup, disait François Cros vendredi soir. Nous, on voulait leur opposer notre puissance mais on n'a pas été suffisamment dominateurs dans ce secteur. Il faudra tirer des enseignements de ce match. »

lire aussiL'oeil de Jean-Baptiste Elissalde après la défaite de la France contre l'Irlande : « Une leçon sur la touche »

Ce crash en bout de piste n'aidera pas les nouveaux techniciens du staff, Laurent Sempéré (conquête) et Patrick Arlettaz (attaque), à prendre confiance. La touche française, secteur repris en main par Sempéré, a touché le fond du Vieux-Port à Marseille. Elle a coûté quatre des douze pertes de balle. L'alignement irlandais, lui, n'a rien cédé et a servi de tremplin idéal à Jamison Gibson-Park pour mettre de la vitesse. « On ne leur a jamais posé de problèmes, constate Saint-André. On n'est jamais allés sur les zones de saut qu'ils utilisaient en permanence. Contre l'Écosse, le staff va sûrement remettre un aérien en deuxième ligne. » Avec très peu, l'attaque française, le dada d'Arlettaz, a fait moins que ça. « On marque deux essais au courage, résume "PSA". Mais il manquait toujours un joueur sur nos cellules de trois. » Paul Boudehent appelle à l'indulgence : « Il est hors de question de jeter la pierre sur les nouveaux membres du staff parce qu'ils ont vraiment très bien travaillé pour nous proposer un jeu simple et efficace. »

« Il faut réagir très, très vite, sinon on peut sombrer dans la gueule de bois »

Jacques Brunel, prédécesseur de Fabien Galthié

 

 

 

Un autre maillon du staff se retrouve au centre des questionnements. Et pour cause : en 81 matches du Tournoi sur un banc, Shaun Edwards, le chef de la défense des Bleus, n'a pas souvent vu son rideau de fer encaisser trois essais, ou plus. C'est arrivé à quatre reprises, trois lors des cinq derniers rendez-vous du Six Nations (Irlande 2023, Galles 2023, Irlande 2024). C'est ce qu'on appelle un problème récurrent. Vendredi, on n'a par exemple pas compris pourquoi Yoram Moefana n'a pas été utilisé pour défendre au milieu de terrain - son coeur de métier - afin de soulager Matthieu Jalibert en détresse défensive.

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Les cinq essais encaissés au Vélodrome sont un record de l'ère Galthié. À 14, c'était plus dur de défendre. Mais l'évolution des performances françaises dans ce secteur est inquiétante. Alors qu'ils n'avaient jamais concédé plus de trois essais dans un match avant 2023, les Bleus ont dépassé ce stade pour la sixième fois en douze mois. Depuis le changement de consignes d'arbitrage sur le jeu au sol, le mur de Shaun Edwards se lézarde. A. Ba.

« Il faut se poser la question de la défense, convient Jacques Brunel, prédécesseur de Galthié. On a pris quatre essais en quarts de finale contre l'Afrique du Sud et on en prend cinq cette fois face à des Irlandais qui n'ont pas été surprenants. C'est énorme sur de telles compétitions. C'est peut-être un premier moment dur depuis quatre ans. On va voir comment cette équipe va le surmonter. Il faut réagir très, très vite, sinon on peut sombrer dans la gueule de bois. Je ne vois pas de raison de tout remettre en cause. Ce sont les meilleurs joueurs, même si certains doivent se remettre en question car ils n'ont pas été à la hauteur. Mais je ne vois pas ce qu'il peut faire d'autre sur la composition. Pareil sur le système par rapport à l'idée qu'il se fait du rugby depuis quelque temps. Fabien va se poser la question de comment redynamiser cette équipe. Mais pour moi, ça viendra des joueurs eux-mêmes. »

 

 

[Bon Chasseur]

Oui c'est bien lui.

en bonne forme avec le RCT cette année. On va le voir ce soir d'ailleurs, il va se mettre sur son 31. Rugbystiquement je parle, pas arriver en costard cravate.

[DOUDOU63]

Fin de tournoi confirmée pour Wardi, un remplaçant devrait être prochainement annoncé. Faites vos jeu : Kolingar, Priso, Boniface, Perchaud...

Mais en définitive il a quoi Wardi ??? J'ai vu qu'il se plaignait du bras, mais depuis j'ai rien vu... -Merci -

[Toorop]

Fracture du poignet
Opération. Retour en juin

[DOUDOU63]

Fracture du poignet
Opération. Retour en juin

Ah OK - Merci de l'info mon ami - Saison terminée - 

[el landeno]

Les carences défensives de Matthieu Jalibert mettent-elles l'ouvreur en danger ? Si ses qualités offensives ont sans doute peu d'égal à l'international, l'ouvreur des Bleus montre de réelles carences défensives. Est-ce rédhibitoire à un tel niveau ? L'ombre de Romain Ntamack, bientôt de retour, plane forcément.

« Il me reste des choses à améliorer, comme ma défense. » Une affirmation signée Matthieu Jalibert (25 ans), une semaine avant l'ouverture du Tournoi. Trois jours après la débâcle des Bleus face à l'Irlande (17-38), force est de constater que le demi d'ouverture (31 sélections) a vu juste. Si ce revers inaugural ne peut être imputé uniquement au Girondin, sa performance défensive n'en reste pas moins inquiétante au niveau international.

 

 

Surtout face à une machine aussi rodée et clinique que l'Irlande. Une statistique est particulièrement piquante, celle des plaquages, avec 50 % de réussite seulement (trois réussis pour autant de ratés). Les images sont criantes. Comme son « air plaquage » sur James Lowe sur le premier essai irlandais (Gibson-Park, 16e) ou celui sur Caelen Doris sur le troisième (Nash, 46e). Ce n'est pas la première fois que Jalibert est en souffrance défensive. Mais quand votre équipe n'est plus dans la posture du bourreau, mais dans celle de la victime désignée, c'est d'autant plus flagrant.

lire aussiLes notes de France-Irlande : Willemse plombe les Bleus, Lucu hors du coup

« Jalibert ? Un fantôme », souffle un entraîneur français en activité. « Il n'a pas été performant défensivement. On a davantage vu son côté un peu fragile en défense que son côté offensif qui fait normalement sa force », constate l'ex-sélectionneur Jacques Brunel, qui a lancé Jalibert en équipe de France en 2018.

« Il a été faible en défense et pas du tout meneur de jeu, même s'il faut reconnaître que les sorties de balles étaient trop lentes et les soutiens offensifs inexistants », confirme Pierre-Henry Broncan, manager de Brive, passé par le staff de l'Australie durant la Coupe du monde. « Une performance comme celle-là est rédhibitoire à ce niveau, assure l'ex-deuxième-ligne Pascal Papé (65 sélections), aujourd'hui directeur sportif de Bourgoin (Nationale). Ton demi d'ouverture doit être une base d'un point de vue défensif. »

 

 

« La grosse différence entre Jalibert et Ntamack se situe justement sur le secteur de la défense »

Pascal Papé, ancien deuxième-ligne des Bleus

 

 

 

Une faiblesse repérée par les Irlandais, comme l'explique Rory Teague, l'ex-entraîneur de l'attaque de l'UBB au moment où Jalibert a commencé sa carrière professionnelle en 2017. « Matthieu a été ciblée par le staff irlandais afin de le mettre dans le dur », estime-t-il. « Les Irlandais ont souvent joué sur sa zone dans un premier temps, appuie Brunel. Lui, comme d'autres, a manqué des plaquages. »

Même si Jalibert n'était pas positionné en 10 en situation défensive, les Irlandais se sont adaptés et le tricolore s'est retrouvé sur la ligne de front. « Toutes les nations championnes du monde l'ont été avec un ouvreur qui défend en position de numéro 10, souligne un ancien international. L'Australie avec Stephen Larkham (1999), l'Angleterre avec Jonny Wilkinson (2003), la Nouvelle-Zélande avec Dan Carter (2015) et l'Afrique du Sud avec Handré Pollard (2019 et 2023). Romain Ntamack défend en 10... »

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Forcément, la comparaison avec Ntamack, victime d'une rupture des ligaments croisés du genou gauche en août, va revenir sur le tapis. Même si le demi d'ouverture du Stade Toulousain, numéro 1 dans la hiérarchie des ouvreurs dans l'esprit de Fabien Galthié, ne pourra pas retrouver l'équipe de France d'ici à la fin du Tournoi, son retour est de plus en plus proche. Il devrait reprendre l'entraînement collectif d'ici à fin février et la compétition d'ici à fin mars avec son club.

« Qu'on le veuille ou non, quand vous avez deux numéros 10 de ce niveau-là en équipe de France, la comparaison est obligatoire, pose Papé. La grosse différence entre Jalibert et Ntamack se situe justement sur le secteur de la défense. Au niveau international, la défense est aussi importante que l'animation offensive. »« Ce n'était pas le vrai Matthieu contre l'Irlande, défend Teague. En équipe de France, il n'affiche pas la même confiance qu'en club. »

Pas en danger, toutefois, dans l'immédiat

Nous reviens alors en mémoire cet épisode, à une semaine de l'ouverture de la Coupe du monde, fin août, lors du dernier match de préparation face à l'Australie (41-17). Le forfait de Ntamack consommé, le sélectionneur Fabien Galthié avait clairement dit à Jalibert qu'il n'avait pas confiance en lui, que ce dernier ne lui avait encore rien prouvé au niveau international. Pas sûr que la prestation du Bordelais au Vélodrome l'ait rassuré.

Pourtant, depuis son retour de la Coupe du monde, l'ouvreur a enchaîné les performances de haut niveau avec Bordeaux-Bègles, dont une XXL face aux Saracens en Coupe des champions mi-janvier (55-15). « Jalibert est un grand joueur, mais comme les autres, il a subi, il n'y était pas dans la dimension mentale », pense l'ex-sélectionneur Philippe Saint-André (2012 à 2015). À l'heure où l'équipe de France est déjà tournée vers le déplacement en Écosse (samedi, 15 h 15), la place de Jalibert n'est cependant pas en danger. « Justement, il faut tester sa capacité de réaction, précise Papé. Aujourd'hui, à part Thomas Ramos, je ne vois pas qui pourrait le remplacer. »

 

 

[el landeno]

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[steph]

Ça n'arrive pas souvent avec lui, mais je crois que je n'en enleverais pas une ligne !

[wilco]

Ça n'arrive pas souvent avec lui, mais je crois que je n'en enleverais pas une ligne !

D'accord avec toi, à part la conclusion : je ne suis pas sûr du tout que cette équipe ait encore beaucoup appris de l'échec…

[cocotte 63]

Il est peut être utile de rappeler que même si l'EDF a très bien remonté la pente en terme de jeu, de ratio victoires/défaites et de classement mondial, elle n'est pas la nation la plus forte du rugby mondial.

 

Elle est dans les 5, et l'Irlande et les l'Afs sont devant nous depuis des années, c'est assez évident ! A entendre tout le monde dans les médias, "on" serait les meilleurs, d'où la surprise de perdre ! Hé Ho ! on se réveille !

 

Déjà, revenons à un peu plus d'humilité, nous ne sommes pas champion du monde, nous ne sommes pas champion d'Europe des nations, et on a encore beaucoup de travail, et oui, quand il nous manque des joueurs dont notre capitaine, qui reste un joueur à part quoiqu'on en dise, et bien nous sommes en difficulté.

 

Galthié et son staff, ne peuvent pas faire l'économie d'une analyse plus approfondie de leur effectif, on a vu à la CDM que notre banc avait été déficient, donc il faut chercher des nouvelles têtes pour faire émerger un groupe de 25 (plus) solide. Et, en pilier droit, en seconde ligne, et même en troisième ligne, il faut trouver quelques nouvelles têtes, je suis désolé pour eux, mais les Aldegheri (que j'ai vu mort après 5 minutes sur le pré), Willemse, Grand Tao etc...s'en est fini.

 

Après, il reste à savoir ce qu'on veut faire comme jeu derrière ? l'association Fickou - Danty, parce que bon, Fickou il est gentil de faire des interviews depuis plus d'un an pour dire que l'on a pas vu le vrai Gael au Racing, qu'il a pas été à son meilleur à la CDM...à un moment donné, on est en sport pro pas au patronage...

 

et puis mettre Moefana à l'aile pour sois disant couvrir les défaillances défensives de Jalibert  c'est une sacrée technique ambitieuse quand tu souhaites gagner le tournoi ! Tu peux à la limite faire ça 30 minutes pour sécuriser un match, mais plus, je pige pas !

 

Et puis, encore une fois charger Jalibert, comme le fait l'équipe, comme on a chargé historiquement tous les ouvreurs du 15 de France c'est assez fallacieux, car quand tu te fais destroncher devant, ton 9 et ton 10, ils ramassent plus que les autres. Ok que Jalibert soit pas un monstre en défense, et qu'il doit faire mieux... mais le 8 de devant est largement plus responsable de la défaite que lui.

 

Idem pour Lucu, on sait tous que c'est pas Dupont, mais bon, il n'a pas été franchement aidé vendredi soir par ses camarades.

 

Après, on pourrait aussi ouvrir le dossier du jeu et des équipes en top 14, et arbitrage du top 14, voir du calendrier... mais bon, ça fait beaucoup trop pour notre rugby français !

[Alex chocolatines]

Ça n'arrive pas souvent avec lui, mais je crois que je n'en enleverais pas une ligne !

Sans ton com j'aurais même pas lu l'article tellement il dit des connerie le Moumou, mais sur ce coup là, comme toi, je souscris à son point de vue.