19595 réponses à ce sujet

[urbanodg]

Sachant que le covid tourne dans le monde depuis environ 2 mois avant les dates officielles, que 75% des infectés n'ont aucun symptomes d'après les dernières études à large test, que sur les 25% restants 80% ont des symptomes allant du simple rhume, angine à un syndrôme grippal sévère, il reste 5% qui vont devoir être hospitalisés.
Sur ces 5% hospitalisés 83% sont en surpoids ou obèses.
C'est loin d'être une pandémie très dangereuse, elle met seulement en évidence les délabrements de la santé publique des états, dont la France, et l'accroissement vertigineux des pathologies induites par notre société développée, obésité et diabète.

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Oui et 61% d'hommes... On sait qu'ils ont généralement une hygiène de vie plus délétère, ou des conditions professionnelles + pénibles ( dsl si je choque la feminazi de service)
Ceci dit pour les 83% en surpoids... Si c'est calculé sur l' obsolète IMC, ç'est pas trop représentatif...
Perso avec un IMC à 20 considéré comme normal tu vas aller m'acheter un sandwich en urgence tellement je te ferais peur...


L'IMC le plus "sain" serait en fait aux alentours de 27...et pourtant >25 on est considéré en surpoids
https://www.medisite...73429.2035.html

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[pims]

 

Le stop and go ça peut être une solution, surtout en ville pour les petits trajets.

 

Pour aujourd'hui, restons cloués à la maison. (qui est-ce qui l'a celle-là ?   )

J'ai !

[binôme]

Y a t-il un cyber centriste abonné à Libé ?

 

 

https://www.liberati...gresser_1784755

 

Remarquez quand même les photos de ces masques et gants jetés par terre. D'abord on dépouille les soignants et ensuite on chie sur la planète.

 

Ce monde est vraiment perdu.

[Ptolémée]

Sachant que le covid tourne dans le monde depuis environ 2 mois avant les dates officielles, que 75% des infectés n'ont aucun symptomes d'après les dernières études à large test, que sur les 25% restants 80% ont des symptomes allant du simple rhume, angine à un syndrôme grippal sévère, il reste 5% qui vont devoir être hospitalisés.
Sur ces 5% hospitalisés 83% sont en surpoids ou obèses.
C'est loin d'être une pandémie très dangereuse, elle met seulement en évidence les délabrements de la santé publique des états, dont la France, et l'accroissement vertigineux des pathologies induites par notre société développée, obésité et diabète.

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faut qu'ils fassent un régime ...

c'est çà

ou la caisse en bois ..

[Silhouette]

@Goerge
 

Mais j'avoue que je sature de le voir le professeur Raoult présenté comme un anti-système.

Alors par pitié arretez de nous le présenter comme l'homme anti-système. Il n'y a pas plus intégré au système que lui.

 

 

C'est pas vraiment le cas ici, ou alors au début de "l'épisode"...

 

Sans doute aussi une volonté prudente d'ôter aux médecins les contraintes d'une pression des patients.

Je crois qu'il aurait des gens assez cons pour menacer leur toubib. Ils le sont déjà pour de simples arrêts de travail

 

Je veux bien mais pour l'instant on n'a des chiffres de résultats que pour ce seul traitement certes par le seul Raoult.

Je serais ravi d'en lire d'autres fait par d'autres...

C'est ca qui est terrible avec la communication de Raoult: on a beaucoup (beaucoup) d'autres equipes dans le monde qui ont teste et publie sur d'autres molecules / protocoles, notamment tout un tas d'anti-viraux utilises contre d'autres virus. Rien qu'avec une simple recherche google, les 3 premiers liens: https://www.medrxiv....3.18.20038190v2 / https://www.medrxiv....3.18.20038190v2 / https://www.medrxiv....3.17.20037432v3. A noter que le premier lien liste les etudes en cours, et en a trouve 353 ! (y compris 18 sur la chloroquine). Malheureusement, j'ai l'impression qu'en France Raoult a completement monopolise la parole et les esprits quand on parle de traitement du SARS-Cov2, et il arrive a partager sa (fausse) vision du monde qui ne voit que 3 types d'etude: les etudes chinoises/coreennes qui vont dans le sens de Raoult et qui sont super, celles de Raoult qui sont exceptionnelles, et le reste qui sont nulles (Discovery) / n'existente pas (tout le reste) ... 

 

Enfin il faut quand même se rappeler que pas mal de scandale sanitaire, c'est des traitements donnés hors AMM.

C'est vrai, mais c'etait sur un temps beaucoup plus long, et pousse par des labos et visiteurs medicaux (on pourrait parler de l'existence meme des visiteurs medicaux, et de leur bienfait pour la societe au passage..). La, on est en pleine pandemie mondiale, on peut imaginer avoir des regles speciales ou on elargit l'AMM, typiquement pour la chloroquine tu etendrais l'AMM au SARS-Cov2, tout en tracant les patients traites pour se mefier des effets secondaires innatendus (a priori potentielle synergie entre SARS-Cov2, la chloroquine, et l'azithromycine en terme d'atteinte cardiaque  )

[Ptolémée]

Seul un vaccin peut stopper l'emballement médiatique

et l'incertitude autour de ce virus ,

les Russes ont peut-être la réponse 

dans un délai trés court ...

 

COVID-19 : la Russie prête à tester des vaccins sur les humains dès juin

[George Abitbol]

Sur ces 5% hospitalisés 83% sont en surpoids ou obèses.
C'est loin d'être une pandémie très dangereuse, elle met seulement en évidence les délabrements de la santé publique des états, dont la France, et l'accroissement vertigineux des pathologies induites par notre société développée, obésité et diabète.

 
Ça met également en évidence les inégalités.
 
Ce n'est pas une surprise, les plus pauvres sont les plus touchés (parce qu'ils ont moins d'accès au soin et parce qu'ils ont plus de comorbidité, par exemple au Bronx où beaucoup de gens sont obèse et/ou on de la peinture au plomb et/ou de la nourriture de mauvaise qualité).
 
La COVID-19, une maladie de pauvres ?

[Very Good Eshvili]

Sachant que le covid tourne dans le monde depuis environ 2 mois avant les dates officielles, que 75% des infectés n'ont aucun symptomes d'après les dernières études à large test, que sur les 25% restants 80% ont des symptomes allant du simple rhume, angine à un syndrôme grippal sévère, il reste 5% qui vont devoir être hospitalisés.
Sur ces 5% hospitalisés 83% sont en surpoids ou obèses.
C'est loin d'être une pandémie très dangereuse, elle met seulement en évidence les délabrements de la santé publique des états, dont la France, et l'accroissement vertigineux des pathologies induites par notre société développée, obésité et diabète.
Envoyé de mon SM-G361F en utilisant Tapatalk

Et donc je vais de ce pas dans le 68 leur expliquer que leur mort c'est quand même bien un peu de leur faute, ils en seront reconnaissants.

[binôme]

 
Ça met également en évidence les inégalités.
 
Ce n'est pas une surprise, les plus pauvres sont les plus touchés (parce qu'ils ont moins d'accès au soin et parce qu'ils ont plus de comorbidité, par exemple au Bronx où beaucoup de gens sont obèse et/ou on de la peinture au plomb et/ou de la nourriture de mauvaise qualité).
 
La COVID-19, une maladie de pauvres ?

 

À tout le moins, une maladie qui frappe davantage les smicards puisqu'ils sont parmi les seuls à continuer de travailler en première ligne : Grande distribution, agents d'entretien, personnel des EHPAD, livreurs etc...

. Et donc je vais de ce pas dans le 68 leur expliquer que leur mort c'est quand même bien un peu de leur faute, ils en seront reconnaissants.

 

C'est une habitude chez toi d'être à côté de la plaque ?

[marco43]

Sachant que le covid tourne dans le monde depuis environ 2 mois avant les dates officielles, que 75% des infectés n'ont aucun symptomes d'après les dernières études à large test, que sur les 25% restants 80% ont des symptomes allant du simple rhume, angine à un syndrôme grippal sévère, il reste 5% qui vont devoir être hospitalisés.
Sur ces 5% hospitalisés 83% sont en surpoids ou obèses.
C'est loin d'être une pandémie très dangereuse, elle met seulement en évidence les délabrements de la santé publique des états, dont la France, et l'accroissement vertigineux des pathologies induites par notre société développée, obésité et diabète.

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CAT sort de ce corps

[Very Good Eshvili]

À tout le moins, une maladie qui frappe davantage les smicards puisqu'ils sont parmi les seuls à continuer de travailler en première ligne : Grande distribution, agents d'entretien, personnel des EHPAD, livreurs etc...
 
C'est une habitude chez toi d'être à côté de la plaque ?

Désolé de ne pas être main stream sur ce thread d'experts

[Panasonic]

le coronavirus, au mérite je devrais le chopper : homme, leger surpoids, poumons abimés.

mais comme supporter de l'ASM, je sais que le mérite ne suffit pas pour décrocher le gros lot.

Donc, zen.

[Toorop]

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https://www.liberati...gresser_1784755

 

Remarquez quand même les photos de ces masques et gants jetés par terre. D'abord on dépouille les soignants et ensuite on chie sur la planète.

 

Ce monde est vraiment perdu.

 

Allez, de la part d'un électeur LREM

 

«On ne se promène plus avec notre blouse dans la rue pour ne pas se faire agresser»

 

«On est passé des applaudissements à la peur d’exercer.» Alors que plusieurs cas d’intimidations, voire d’agressions envers des infirmiers et soignants ont été médiatisés ces derniers jours, «un sentiment d’insécurité» croît au sein de la profession. «C’est une situation qui pèse sur leur quotidien», assure Jean-François Haned, président du Conseil régional de l’Ordre des infirmiers en Ile-de-France. Mercredi, la garde des Sceaux a évoqué le sujet en visioconférence devant les députés de la mission d’information sur le Covid-19. «Nous avons des infractions liées à des personnes qui visent des personnels médicaux, nous avons souhaité qu’il puisse y avoir des instructions afin que les juges décident de sanctions fermes, s’ils le souhaitent», a déclaré Nicole Belloubet, sans toutefois avancer de chiffres. La semaine dernière, une enquête interne liée au Covid-19, au matériel et au sentiment d’insécurité a été lancée par l’Ordre national des infirmiers. Cette consultation en ligne, dont les résultats ont été rendus publics mercredi, a récolté plus de 70 000 réponses, soit environ 20 % des professionnels inscrits. «Ce qui en ressort, c’est avant tout un besoin important en termes de protection, de blouses et de masques, fait savoir Martine Laplace, présidente du conseil interdépartemental de l’Ordre des infirmiers des Landes, des Pyrénées-Atlantiques et du Lot-et-Garonne. Mais 12 % des infirmiers consultés déclarent avoir subi des pressions, des menaces ou des injures, et 6 % disent avoir été victimes d’une agression visant à leur dérober du matériel.»

Il y a ces «mots scandaleux», dixit le Premier ministre Edouard Philippe, nourris par une peur de la contamination, qui se multiplient sur les pare-brise ou les portes des domiciles de soignants, invitant ces acteurs en première ligne de la lutte contre le Covid-19 à déménager, à «dégager» ou à aller s’installer à l’hôpital. Ainsi, à Dourdan (Essonne), une jeune infirmière en intérim a déposé plainte contre X après avoir découvert cette missive de ses voisins : «Nous encourons un réel danger de vous avoir à nos côtés, il est préférable de vous garer loin de la résidence. […] Si un cas se confirme au sein de la résidence, vous serez tenue pour responsable !» Le 25 mars, Christine Cotte, infirmière libérale dans le Puy-de-Dôme, a, elle, trouvé l’arrière de sa voiture enfoncé, une fois sa tournée de patients achevée. «Je ne l’ai constaté qu’en fin de matinée. Dans la poussière de ma vitre arrière, il était écrit : "Reste chez toi, corona"», raconte-t-elle à Libération. En exercice depuis vingt-sept ans, elle a porté plainte à la gendarmerie : «Je ne pensais pas qu’en laissant mon caducée visible, cela m’arriverait. J’ai des collègues à qui on a crevé les pneus ou bien vidé un pot de peinture sur la voiture.»

Et cela va parfois plus loin. Ici et là, des véhicules ont été fracturés. A Heillecourt (Meurthe-et-Moselle) près de Nancy, une infirmière libérale de 32 ans a été braquée par deux hommes alors qu’elle sortait d’une visite. Après l’avoir menacée avec un couteau à cran d’arrêt, le duo s’est enfui avec une quinzaine de masques chirurgicaux.

A Paris, l’AP-HP a mis en place, depuis la semaine dernière, un service de sécurité matin et soir pour escorter les soignants de l’hôpital Lariboisière, objets d’insultes et de tentatives de vol, jusqu’au métro. Les policiers ont également renforcé leurs patrouilles aux abords de l'établissement ainsi qu'autour de l'hôpital Bichat. «Avec le confinement, les rues et les transports se sont vidés, il ne reste plus que des personnes en grande précarité (SDF, toxicomanes) dont les difficultés sont aiguisées par la période. La semaine dernière, une collègue s’est fait agresser verbalement par trois jeunes filles cherchant une cigarette. Ici, le sentiment d’insécurité est devenu plus important», explique Elisabeth Genest, aide-soignante et déléguée syndicale à la CGT. Désormais, il faut adapter son quotidien, reconnaît Antoinette Tranchida, présidente de l’Organisation nationale des syndicats d’infirmiers libéraux (Onsil) : «On n’affiche plus du tout notre travail. Aucun matériel n’est apparent dans les voitures et on ne se promène plus avec notre blouse dans la rue pour ne pas se faire agresser.» Pour cette infirmière de l’Isère, les gens n’ont «pas compris que les infirmiers sont aussi démunis qu’eux». «L’Etat nous donne 18 masques pour la semaine, on est obligés de s’organiser. On fonctionne sur des dons», soupire celle qui a pris la peine de «cacher» le matériel pouvant apparaître à travers la vitre de son cabinet.

Si l’émoi suscité par ces atteintes est particulièrement fort dans le contexte sanitaire actuel, mécaniquement amplifié par une présence sur les réseaux sociaux accrue en temps de confinement, quelle est l’ampleur du phénomène ? «On nous a remonté quelques dizaines de cas, sur l’ensemble du territoire, qui regroupent aussi bien les menaces, les extorsions ou les agressions envers les soignants que les cambriolages visant du matériel médical», indique Michel Lavaud, porte-parole de la police nationale. Il note : «Ce qui est intéressant, c’est que le phénomène a émergé une semaine après le début du confinement, dès l’instant où la problématique des masques et des équipements de protection est devenue centrale.» Le 25 mars, la police diffusait sur les réseaux sociaux un message pour prévenir des vols à la roulotte en conseillant aux personnels de santé de cacher «les éléments distinctifs (caducée, carte professionnelle)». Samedi, c’était cette fois un appel à préserver les bouts de papier où figurent les menaces «pour les recherches de la police scientifique» en vue d’identifier leur auteur. «Au-delà de l’aspect moral, nous voulons aussi rappeler qu’une menace est une infraction, plaide Michel Lavaud. Il faut encourager les victimes à ne pas banaliser ces messages.»

Pour le chef du service communication de la police nationale, c’est aussi «le signe que la délinquance s’adapte» : «C’est toujours une question d’opportunité. Les délinquants se sont adaptés avec de nouvelles escroqueries [arnaques à la chloroquine, aux faux ordres de virements auprès des professionnels de santé, trafic de masques, ndlr] et de nouvelles cibles, des personnes identifiables comme soignants, aux fins de récupérer notamment des masques.» De fait, la plupart des suspects interpellés dans les dossiers de vols sont déjà connus des services. A l’instar du jeune homme soupçonné d’avoir agressé une généraliste de SOS Médecins à Villeurbanne (Métropole de Lyon), dans la nuit de samedi à dimanche, pour lui voler son véhicule avec tout son équipement : son casier judiciaire affiche une soixantaine de mentions. Du côté de la gendarmerie, où 83 cas ont été relevés (principalement des menaces et des insultes), on fait également de la prévention en allant au contact d’infirmiers et de directeurs d’hôpitaux.

Jean-François Haned, président du conseil régional de l’Ordre des infirmiers en Ile-de-France, abonde : «Les forces de l’ordre nous ont contactés afin de nous donner quelques recommandations.» Pour ce cadre infirmier au sein des sapeurs-pompiers de l’Essonne, les régions les plus frappées sont aussi celles «les plus touchées par le virus» : «l’Ile-de-France, l’Est, mais aussi la Provence-Alpes-Côte d’Azur». Se voulant rassurant, il affirme que les soignants victimes de malveillance ou d’agression seront «accompagnés sur le plan juridique» par l’Ordre, qui met déjà à disposition des modèles de courrier pour se constituer partie civile et prévoit l’ouverture d’une plateforme d’écoute. «Ces incivilités sont à la marge, concède auprès de Libération Martine Laplace, présidente du conseil interdépartemental de l’Ordre des infirmiers des Landes, des Pyrénées-Atlantiques et du Lot-et-Garonne. Mais on ne peut pas les nier.» Elle appelle les victimes à faire remonter tous les signalements et à déposer plainte.

«Les parquets ont été appelés à la vigilance et sont extrêmement réactifs sur ce type de faits, a fortiori dans le contexte actuel», souligne-t-on à la chancellerie, qui rappelle : «D’une façon générale, les personnels soignants bénéficient d’une protection pénale renforcée.» La loi prévoit en effet de plus lourdes peines pour des violences verbales ou physiques envers un agent «chargé d’une mission de service public» ou «un professionnel de santé dans l’exercice ou du fait de ses fonctions».

A Limoges, une infirmière libérale a porté plainte après qu’un individu lui a soutiré du gel hydroalcoolique et des masques. «Il m’a sauté dessus et il m’a dit : "Donne ton matos ou tu crèves"», a-t-elle témoigné dans le Populaire du Centre, alors que le parquet de Limoges a ouvert une enquête sur ces violences «inacceptables». Dans l’Hérault, une enquête a été ouverte par le parquet de Montpellier pour «expulsion par voie de fait» après que Mélina Florès, infirmière en réanimation au CHU de la ville, s’est vue contrainte de quitter son domicile sous la pression de ses propriétaires, un couple de seniors craignant d’être contaminés par le virus. «Ils ont multiplié vexations et mesures de rétorsion, comme couper l’eau chaude et le chauffage de leurs locataires, débrancher l’antenne télé, laisser le portail ouvert pour que leur chiot s’enfuie ou faire du bruit en pleine nuit», avait détaillé son avocat, Rémy Lévy, dans Libération.

Pour autant, face à l’investissement sans limite des personnels médicaux auprès des milliers de malades du coronavirus, «la majorité des personnes sont bienveillantes», tient à relativiser Thierry Amouroux, porte-parole du Syndicat national des professionnels infirmiers, qui recense des dons de masques ou de blouses, des cagnottes en ligne, un gâteau ou un sac de provisions déposés sur le pas-de-porte… «Après une journée monstrueuse, ça n’a l’air de rien, mais ça fait du bien.» Martine Laplace complète : «Dans les Landes, un infirmier s’est fait asperger d’eau alors qu’il sortait de sa voiture, mais un autre nous a raconté qu’un enfant lui avait apporté trois œufs de ferme pour le remercier de s’être occupé de sa grand-mère.» Il y a quelques jours, une aide-soignante de l’hôpital de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) s’est manifestée auprès du quotidien régional Ouest-France pour rendre publique une bonne nouvelle : son propriétaire a décidé de baisser son loyer de moitié, jusqu’à la fin du confinement. Raison invoquée par l’intéressé : «C’est une façon d’exprimer notre gratitude envers les soignants.»

[marco43]

Seul un vaccin peut stopper l'emballement médiatique

et l'incertitude autour de ce virus ,

les Russes ont peut-être la réponse 

dans un délai trés court ...

 

COVID-19 : la Russie prête à tester des vaccins sur les humains dès juin

faut demander à Depardieu, point de vue obésité il fait un parfait cobaye

[Ptolémée]

s'il y à un coté positif , c'est du coté du ciel 

jamais vu un ciel comme çà au dessus de Paris ...