Belle affaire que tout cela. Depuis qu'homo est sur terre les menaces d'exterminations s'adressaient à la tribu d'à coté pour lui piquer le garde manger voir leurs femelles. Puis ce genre de menace s'est élargie (cela a pris du temps mais …) aux régions, aux nations voir aux continents (moi mon colon celle que je préfère c'est celle de 14/18). Sans négliger un passage récurent par un gentil massacre parce que mon "Dieu" est bien mieux que le tien.
Bref les menaces provenaient des collègues et étaient "localisées. Bien que le nombre de victime progresse au fur et à mesure du progrès technologique, le mal était circonscrit à un groupe bien défini celui des voisins plus ou moins éloigné. Mais la survie de l'espèce humaine n'était pas en cause. De "simples" fâcheries avec les homo cousins
Et soudain, un virus, qui entre-parenthèse ne se propage que parce qu'il trouve des porteurs grands voyageurs n ayant pas lui même des moyens propres de se déplacer, bref un virus vient nous dire que cette fois c'est nous, l'homo connard, qui sommes une espèce menacée d'être voie de disparition comme de vulgaires ours blancs.
Et notre seule défense c'est tous à la cave des fois que cela s'arrête tout seul ou qu'un sauveur suprême (savants, gourous, grottes miraculeuses) trouve la parade. Nous qui avons pour ambition d'aller voir ailleurs dans l'univers si il n'y a pas quelqu'un à emmerder, nous voilà réduit à l'état de marmotte en période hivernale.
Si l'on en rechappe,ne perdons pas espoir de tout détruire, il reste la possibilité de faire monter la température de quelques degrés pour rapprocher la mer prés de chez nous tout en empoisonnant un élément prétendument essentiel l'air que l'on respire histoire de rendre tout confinement ridiculement inefficace.