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[cetotomatos]

oui, mais je préfère manger du pain ou du fromage qu'un rugbyman ou un footballeur.

Post du jour.

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[RCV06]

Je suis jamais d'accord avec ce zèbre habituellement mais je vois pas ce qui est choquant dans ses propos...

Tu sais si on lui dit demain t'es champion comme ça je suis pas sur qu'il en soit heureux ou satisfait...

 

Le sport professionnel est sur la même ligne que n’importe quel autre secteur économique

 

Quand tu es dans notre situation mettre une entreprise sportive sur le même plan que les autres moi ça passe pas désolé.

 

Le sport c'est secondaire même s'il est pro, ce qui est important dans le sport c'est de le pratiquer, être le cul visé pour regarder les autres ça n a rien de vital.

[isitolo31]

Toutes les entreprises sont essentielles au fonctionnement du pays
 
Quand tu es dans notre situation mettre une entreprise sportive sur le même plan que les autres moi ça passe pas désolé.
 
Le sport c'est secondaire même s'il est pro, ce qui est important dans le sport c'est de le pratiquer, être le cul visé pour regarder les autres ça n a rien de vital.

J'étais plus sur le fait qu'une entreprise doit tourner. Mais c'est sûr que dans ces conditions c'est presque impossible. Sauf quelques exceptions vitales.

[RCV06]

J'étais plus sur le fait qu'une entreprise doit tourner. Mais c'est sûr que dans ces conditions c'est presque impossible. Sauf quelques exceptions vitales.

Les soignants demandent au président de mettre le pays a l arrêt ce qu il ne veut pas faire pour l instant mais jusqu a quand  et nous on a des gus qui pensent qu a une chose c'est que le top 14 redémarre au plus vite car ils ont une chance cette année peut être d'aller au bout.

[Bad Zé]

Quelque soit a formule choisi elle se fera pas l unanimité donc il me semble que la solution Galloise est la meilleure.
Mais bon je m en fout quand même pas mal

Si comme il est fort probable on devait s'arrêter la, il n'y a que deux solutions qui coûtent pas plus cher l'une que l'autre. Soit on fait comme si la saison n'avait pas démarré, soit on entérine le classement actuel. Dans les 2 cas il y aura un grand cocu. L'UBB dans le 1er cas, ou le St dans le 2eme.
Perso un championnat achevé aux 2/3 me paraît suffisamment significatif. Il me paraîtrait normal de l'entériner dans ce cas là.

oui, mais je préfère manger du pain ou du fromage qu'un rugbyman ou un footballeur.

Yen a qu'ont essayé dans les Andes à une époque. Ça se mange bien apparemment.

[Alex chocolatines]

Toutes les entreprises sont essentielles au fonctionnement du pays car elles créent des emplois, reversent de la tva, paient des impôts etc..

Le sport professionnel est sur la même ligne que n’importe quel autre secteur économique 

Un club de rugby est une entreprise ok, mais pas comme les autres ! Si ils ne peuvent pas se payer des stars de l'hémisphère sud c'est pas si grave que ça ... Et puis il y a les sponsors ! ça peut aider ! En dernier recours, il y a moyen de demander un petit effort sur les salaires aux joueurs ; On à déjà vu ça dans des entreprises en difficultés, avec des employés qui gagnaient beaucoup moins ! 

PS Je ne suis ni gilet jaune ni syndicaliste..... Juste un petit chef d'entreprise......

[isitolo31]

Les soignants demandent au président de mettre le pays a l arrêt ce qu il ne veut pas faire pour l instant mais jusqu a quand  et nous on a des gus qui pensent qu a une chose c'est que le top 14 redémarre au plus vite car ils ont une chance cette année peut être d'aller au bout.

Je travaille dans une entreprise de travaux publics et je pense que mon patron espère rapidement que l'activité reprenne. Moi aussi d'ailleurs ! Rien de choquant là dessus. Et en même temps je respecte ce que mon gouvernement demande et je soutiens à 100 % les soignants qui sont à la guerre.

Ce qui me gêne le plus dans cette histoire c'est la moralisation à laquelle on a droit. Quoi ? Comme jespere une reprise du top 14 je suis un salaud et je me fous des morts et de la gravité du problème ?

Bref, on va pas se prendre le choux sur le sujet. Restons chez nous, attendons et on verra !

[RCV06]

Je travaille dans une entreprise de travaux publics et je pense que mon patron espère rapidement que l'activité reprenne. Moi aussi d'ailleurs ! Rien de choquant là dessus. Et en même temps je respecte ce que mon gouvernement demande et je soutiens à 100 % les soignants qui sont à la guerre.

Ce qui me gêne le plus dans cette histoire c'est la moralisation à laquelle on a droit. Quoi ? Comme jespere une reprise du top 14 je suis un salaud et je me fous des morts et de la gravité du problème ?

Bref, on va pas se prendre le choux sur le sujet. Restons chez nous, attendons et on verra !

Une question de priorité, actuellement je me fout totalement du top14, du rugby et du sport en général, étant a risque je sers les fesses pour passer a travers.

 

Après chacun voit midi a sa porte.
 

Si comme il est fort probable on devait s'arrêter la, il n'y a que deux solutions qui coûtent pas plus cher l'une que l'autre. Soit on fait comme si la saison n'avait pas démarré, soit on entérine le classement actuel. Dans les 2 cas il y aura un grand cocu. L'UBB dans le 1er cas, ou le St dans le 2eme.
Perso un championnat achevé aux 2/3 me paraît suffisamment significatif. Il me paraîtrait normal de l'entériner dans ce cas là.

Yen a qu'ont essayé dans les Andes à une époque. Ça se mange bien apparemment.

Si on faisait un championnat comme le foot je dirais oui, sauf que chez nous c'est pas le premier de la phase régulière qui est champion donc je dirait non.

Mais bon c'est histoire de discuter car quelque soit la solution choisie ça m ira très bien si je suis la pour voir la suivante
 

[Gourine63]

S'ils annulent cette saison, on est dans les 6.

S'ils entérinent le classement actuel, on est dans les 6.

Moi ça me va.

[isitolo31]

Si comme il est fort probable on devait s'arrêter la, il n'y a que deux solutions qui coûtent pas plus cher l'une que l'autre. Soit on fait comme si la saison n'avait pas démarré, soit on entérine le classement actuel. Dans les 2 cas il y aura un grand cocu. L'UBB dans le 1er cas, ou le St dans le 2eme.
Perso un championnat achevé aux 2/3 me paraît suffisamment significatif. Il me paraîtrait normal de l'entériner dans ce cas là.

Yen a qu'ont essayé dans les Andes à une époque. Ça se mange bien apparemment.

Clairement pour nous si ça s'arrête comme ça c'est une honte. Pas de ccup, pas de billetterie comme les autres et on aura joué 14 matchs sur 17 sans nos meilleurs joueurs alors laisse moi penser que les 2/3 du championnat dont tu parles ne sont pas significatifs pour nous. Les 9 dernières journées devaient nous permettre de faire mieux que 2.35 points par match...

Et puis quand je dis 14 matchs au complet... Baille 52 minutes, dupont 56... Kolbe on doit être à 3 matchs...

[Bad Zé]

Clairement pour nous si ça s'arrête comme ça c'est une honte. Pas de ccup, pas de billetterie comme les autres et on aura joué 14 matchs sur 17 sans nos meilleurs joueurs alors laisse moi penser que les 2/3 du championnat dont tu parles ne sont pas significatifs pour nous. Les 9 dernières journées devaient nous permettre de faire mieux que 2.35 points par match...
Et puis quand je dis 14 matchs au complet... Baille 52 minutes, dupont 56... Kolbe on doit être à 3 matchs...

Je comprends. Maintenant dire à L'UBB qu'elle ne joue pas la coupe d'Europe alors qu'elle est quasi qualifiée, me paraît encore plus raide.

[el landeno]

Top 14 : pas de descente cette saison ? Un consensus semble se dégager au sein des clubs pour qu'il n'y ait pas de relégation cette saison. Ce scénario pourrait conduire à un élargissement temporaire du Top 14.

Les clubs échangent sans cesse, lors de la réunion hebdomadaire des présidents, de façon informelle aussi ou par médias interposés, et les débats qui se profilent en ce début de semaine s'annoncent riches, vifs et animés. Créés le 18 mars à l'unanimité des trente présidents de Top 14 et de Pro D2 afin de faire face aux répercussions de l'épidémie sur les compétitions et sur l'économie des clubs, les trois groupes de travail de la LNR vont maintenant intensifier leurs actions. La commission sportive doit notamment analyser les différents scénarios de reprise, réfléchir, surtout, au meilleur compromis pour garantir une équité à la fin de la saison. Et cette mission-là s'annonce complexe.

 

lire aussi

Mourad Boudjellal : « Vous pouvez juste fermer vos gueules »

C'est le 7 avril, lors de son comité directeur, que la LNR rendra son verdict et décidera de la formule choisie pour achever l'exercice, puisqu'il semble totalement improbable que les calendriers d'origine puissent être respectés. D'ici là, les différentes formules seront analysées, disséquées, quand bien même chacun ignore dans quelles proportions la pandémie va évoluer, et donc les dates potentielles de reprise. « J'ai du mal à parler des problèmes de calendrier, soulignait d'ailleurs le président de l'Aviron Bayonnais Philippe Tayeb le week-end passé, étant donné le contexte social et psychologique. »

« Si un club descendait, il ne s'en remettrait pas. Ce serait la double peine »

Philippe Tayeb, président de Bayonne

 

 

 

Des voix s'élèvent, jour après jour, afin d'imaginer des canevas. D'autres, celle d'Alain Gaillard par exemple, ne se projettent pas aussi loin. « À la commission sportive, vendredi dernier, indique ainsi le président de Tech XV, le syndicat des entraîneurs, on s'est concentrés sur l'éventualité d'une reprise, mais on n'a pas travaillé sur des hypothèses de gel, d'annulation, d'arrêt ou de report. »

Si les avis divergent, il est un sujet qui semble dégager une forme d'unanimité, celui de la relégation. « Impensable,clame Christophe Urios, l'entraîneur du leader bordelais. Je suis favorable à ce qu'il n'y ait pas de descente. Pas de play-down. Évidemment. Compte tenu de la situation actuelle, pour les équipes de bas de tableau, ce serait dramatique. C'est impensable, après trois mois d'arrêt, de faire jouer des matches à la vie, à la mort, d'engager l'avenir de clubs, de régions entières dans ces circonstances. »

Philippe Tayeb appuie le trait : « Maintenir la relégation, ce serait indécent. Encore une fois, on n'est pas dans une démarche sportive, mais psychologique et humaine. Si un club descendait, il ne s'en remettrait pas. Ce serait la double peine. Parce que repartir économiquement derrière tout cela, ce ne serait pas possible. Demander à quatorze clubs de jouer le titre de champion, OK. Mais imaginer un autre cas où on demande à six clubs de jouer la descente, non ! »« On ne peut pas nous imposer de descente si on ne peut pas nous assurer une fin de Championnat équitable, insiste le président palois Bernard Pontneau. Le sport, c'est l'équité avant tout. »

Vers un Top 16 la saison prochaine ?

 

Conserver, alors, les quatorze mêmes clubs dans l'élite la saison prochaine ? L'idée est tentante. Mais tant qu'à parler d'équité, il serait tout aussi injuste de priver les lauréats de Pro D2 de montée (voir encadré). Si bien que la LNR n'exclut pas un Top 16 la saison prochaine. Certes, cette hypothèse ne va pas dans le sens de l'histoire et d'une réduction de l'Élite : elle renverrait le rugby pro quinze ans en arrière (le passage de 16 à 14 clubs remonte à 2005). Mais à circonstance exceptionnelle, solution exceptionnelle.

Celle-ci aurait pour vertu d'ajouter quatre dates de saison régulière (30 journées au lieu de 26), dont deux matches à domicile par club, soit autant d'occasions de renflouer des caisses mises à mal par la crise. À l'inverse, dans un calendrier déjà surchargé, cela entraînerait aussi son lot de doublons avec les matches de l'équipe de France, de clubs impactés par l'absence des internationaux, de difficultés à caser les congés légaux des joueurs...

Peut-être faudrait-il alors jouer en semaine. Comme le dit Alain Gaillard, « tout cela est très complexe et certains risquent de s'écharper ». Sans compter que l'exercice 2020-2021 deviendrait alors une saison de folie : en Top 14, il faudrait reléguer trois clubs (pour une seule montée) ou quatre (pour deux montées). Une vraie saignée...

Rivière (USAP) « souhaite une descente et une montée »

François Rivière, le président de l'USAP (actuel 2e de Pro D2), plaide pour un maintien de la formule actuelle mais ne s'opposera pas au Top 16. « Je souhaite qu'il y ait une descente et une montée, ainsi que le match de barrage pour l'accession. C'est le cours du Championnat de maintenir sa conclusion, qu'il y ait une finale, un champion. De plus, nous aurons besoin d'empathie, de joie commerciale après la période que nous sommes en train de vivre. Si l'on veut sauver le rugby, lui éviter une catastrophe, il faut absolument remettre du lien avant le terme de la saison, créer un engouement, se donner des moyens supplémentaires de mieux préparer l'exercice suivant. En rester là reviendrait à geler les efforts de tous et ce n'est pas souhaitable. Pour le reste, si nos amis du Top14 venaient à prendre la décision d'annuler la descente, une configuration à seize équipes ne me paraîtrait pas déraisonnable. »P. P.

[cetotomatos]

Santé des joueurs tout ça.


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[jm12]

Top 14 : pas de descente cette saison ? Un consensus semble se dégager au sein des clubs pour qu'il n'y ait pas de relégation cette saison. Ce scénario pourrait conduire à un élargissement temporaire du Top 14.

Les clubs échangent sans cesse, lors de la réunion hebdomadaire des présidents, de façon informelle aussi ou par médias interposés, et les débats qui se profilent en ce début de semaine s'annoncent riches, vifs et animés. Créés le 18 mars à l'unanimité des trente présidents de Top 14 et de Pro D2 afin de faire face aux répercussions de l'épidémie sur les compétitions et sur l'économie des clubs, les trois groupes de travail de la LNR vont maintenant intensifier leurs actions. La commission sportive doit notamment analyser les différents scénarios de reprise, réfléchir, surtout, au meilleur compromis pour garantir une équité à la fin de la saison. Et cette mission-là s'annonce complexe.

 

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C'est le 7 avril, lors de son comité directeur, que la LNR rendra son verdict et décidera de la formule choisie pour achever l'exercice, puisqu'il semble totalement improbable que les calendriers d'origine puissent être respectés. D'ici là, les différentes formules seront analysées, disséquées, quand bien même chacun ignore dans quelles proportions la pandémie va évoluer, et donc les dates potentielles de reprise. « J'ai du mal à parler des problèmes de calendrier, soulignait d'ailleurs le président de l'Aviron Bayonnais Philippe Tayeb le week-end passé, étant donné le contexte social et psychologique. »

« Si un club descendait, il ne s'en remettrait pas. Ce serait la double peine »

Philippe Tayeb, président de Bayonne

 

 

 

Des voix s'élèvent, jour après jour, afin d'imaginer des canevas. D'autres, celle d'Alain Gaillard par exemple, ne se projettent pas aussi loin. « À la commission sportive, vendredi dernier, indique ainsi le président de Tech XV, le syndicat des entraîneurs, on s'est concentrés sur l'éventualité d'une reprise, mais on n'a pas travaillé sur des hypothèses de gel, d'annulation, d'arrêt ou de report. »

Si les avis divergent, il est un sujet qui semble dégager une forme d'unanimité, celui de la relégation. « Impensable,clame Christophe Urios, l'entraîneur du leader bordelais. Je suis favorable à ce qu'il n'y ait pas de descente. Pas de play-down. Évidemment. Compte tenu de la situation actuelle, pour les équipes de bas de tableau, ce serait dramatique. C'est impensable, après trois mois d'arrêt, de faire jouer des matches à la vie, à la mort, d'engager l'avenir de clubs, de régions entières dans ces circonstances. »

Philippe Tayeb appuie le trait : « Maintenir la relégation, ce serait indécent. Encore une fois, on n'est pas dans une démarche sportive, mais psychologique et humaine. Si un club descendait, il ne s'en remettrait pas. Ce serait la double peine. Parce que repartir économiquement derrière tout cela, ce ne serait pas possible. Demander à quatorze clubs de jouer le titre de champion, OK. Mais imaginer un autre cas où on demande à six clubs de jouer la descente, non ! »« On ne peut pas nous imposer de descente si on ne peut pas nous assurer une fin de Championnat équitable, insiste le président palois Bernard Pontneau. Le sport, c'est l'équité avant tout. »

Vers un Top 16 la saison prochaine ?

 

Conserver, alors, les quatorze mêmes clubs dans l'élite la saison prochaine ? L'idée est tentante. Mais tant qu'à parler d'équité, il serait tout aussi injuste de priver les lauréats de Pro D2 de montée (voir encadré). Si bien que la LNR n'exclut pas un Top 16 la saison prochaine. Certes, cette hypothèse ne va pas dans le sens de l'histoire et d'une réduction de l'Élite : elle renverrait le rugby pro quinze ans en arrière (le passage de 16 à 14 clubs remonte à 2005). Mais à circonstance exceptionnelle, solution exceptionnelle.

Celle-ci aurait pour vertu d'ajouter quatre dates de saison régulière (30 journées au lieu de 26), dont deux matches à domicile par club, soit autant d'occasions de renflouer des caisses mises à mal par la crise. À l'inverse, dans un calendrier déjà surchargé, cela entraînerait aussi son lot de doublons avec les matches de l'équipe de France, de clubs impactés par l'absence des internationaux, de difficultés à caser les congés légaux des joueurs...

Peut-être faudrait-il alors jouer en semaine. Comme le dit Alain Gaillard, « tout cela est très complexe et certains risquent de s'écharper ». Sans compter que l'exercice 2020-2021 deviendrait alors une saison de folie : en Top 14, il faudrait reléguer trois clubs (pour une seule montée) ou quatre (pour deux montées). Une vraie saignée...

Rivière (USAP) « souhaite une descente et une montée »

François Rivière, le président de l'USAP (actuel 2e de Pro D2), plaide pour un maintien de la formule actuelle mais ne s'opposera pas au Top 16. « Je souhaite qu'il y ait une descente et une montée, ainsi que le match de barrage pour l'accession. C'est le cours du Championnat de maintenir sa conclusion, qu'il y ait une finale, un champion. De plus, nous aurons besoin d'empathie, de joie commerciale après la période que nous sommes en train de vivre. Si l'on veut sauver le rugby, lui éviter une catastrophe, il faut absolument remettre du lien avant le terme de la saison, créer un engouement, se donner des moyens supplémentaires de mieux préparer l'exercice suivant. En rester là reviendrait à geler les efforts de tous et ce n'est pas souhaitable. Pour le reste, si nos amis du Top14 venaient à prendre la décision d'annuler la descente, une configuration à seize équipes ne me paraîtrait pas déraisonnable. »P

Ben voyons...16 clubs...et allez comme ça on ne mécontente personne comme en politique...l 'intérêt général va laisser la place à la quadrature du cercle, histoire de faire plaisir à tout le monde...doublons ?  Les joueurs ?  Bof...ils s'adapteront...et alors Tchale Watchou, vous en pensez quoi de tout ce binz ?

 

Très Franchouillard tout ça , comme d'habitude, les Anglais souvent égratignés quelque fois à juste titre , ne font pas dans la dentelle : saison gelée! 

 

Bon je les laisse à leurs petites cuisines, à eux de voir;  on a d'autres chats à fouetter ! Aléa jacta est !

 

L'essentiel !  Faîtes gaffe et ne prenez pas de risques pour vous et les autres et surtout c'est la meilleure façon aussi de rendre hommage à ceux qui en prennent pour nous soigner et sauver les plus mal en point ….le reste c'est pas grave du tout, ils se "démerdent ! "

[modeste]

Il faut sauver le soldat Stade Français