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[InASMWeTrust]

 
Y'a qu'à voir comme MC CAW a été detesté chez lui après avoir degommé Parra en 2015 ...
 
Je crois que les peuples Sud Af, Irlandais ou Neo Z .. si ils ont la coupe .. n'en auront que faire de létat de la mâchoire à Dupont ... 

Et si Aldritt dézingue De Klerk, combien en France crieront réellement au scandale, derrière la façade ?

[nain jaune]

Non monsieur, on n'oublie pas, tout le monde se rappelle de cet empafé de Shumacher qui démolit Battiston en 82, puis cet empafé de Materazzi qui fait dégoupiller notre Zizou national en 2006 .

 

Je suis pas fouteux et ça m'a marqué à vie, alors t'imagine notre Dupont national ? 

 

Je me rappelle que si Zizou ne fait pas n'importe quoi, on est champion du monde.

[Very Good Eshvili]

Je me rappelle que si Zizou ne fait pas n'importe quoi, on est champion du monde.

Ça on n'en sait rien du tout

[Alex chocolatines]

Ça on n'en sait rien du tout

Le doute persiste en effet. Gourine nous dirait " le doute l'habite" ou meme" la muse m'habite ".

[nain jaune]

Le doute persiste en effet.

 

 

un peu

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Bon. Tout le monde gueule passqu'on chante la Marseillaise dans les matchs des autres nations. Je propose qu'on commence une vigoureuse polémique sur le thème : est-il permis de chanter la Marseillaise quand la France ne joue pas ?
 
Moi je suis neutre, je compte les points. Marseillais c'est à toi.

Quelques airs tankistes pourraient apporter leur bonne humeur.

[zeguest]

J ai l impression que des nations ont régressé. Japon, Tonga, Samoa, surtout l Australie pour les premiers manque de moyens pour les wallabies de génération.
Heureusement on a des fidjiens qui canalisent leur fougue avec un plan de jeu qui apportent de la maîtrise sans enlever à leur grandes qualités offensives. Toujours en mémoire ce match PDG Fidji, époque Shane Williams qui était une orgie de jeu.
Les gallois et anglais un peu au fond du seau avant la CDM s en sortent finalement très bien.
Vivement les quarts!

[TH69]

Perso je trouve la phase de poules trop longue.

[InASMWeTrust]

Perso je trouve la phase de poules trop longue.

Oui, 4 poules de 2, 1/ de finales, et hop 😃
France, AfSud, nNZ, Irlande, Angleterre PdG et 2 invités qui se qualifient le mois précédent dans un extenuant tournoi de qualification ou en payant sa place.

[TH69]

Oui, 4 poules de 2, 1/ de finales, et hop
France, AfSud, nNZ, Irlande, Angleterre PdG et 2 invités qui se qualifient le mois précédent dans un extenuant tournoi de qualification ou en payant sa place.

Tout de suite les extrêmes....

4 poules de 4 déjà... Je pense

[DOUDOU63]

Je viens de lire les infos sur les blessures de DUPONT...Entrevoir une éventuelle participation à un match où même un entrainement avec contact et tout simplement dangereux pour la santé du joueur...Même avec un suivi médical, quelles responsabilités en cas de rechute où d'une autre blessure!!!....DUPONT a encore de nombreuses années pour s'exprimer, c'est vraiment chiant et en pleine CDM, mais il faut faire sans lui....La santé d'abord, le sport après....

[nain jaune]

Avant de disqualifier l'Australie (2 fois champions du monde) et l'Italie on pourrait passer à 4 poules de 4.

[TH69]

Avant de disqualifier l'Australie (2 fois champions du monde) et l'Italie on pourrait passer à 4 poules de 4.

Et ça laisse encore de la place pour 6 équipes...

Perso je vois pas l'intérêt pour les équipes de se prendre des branlées de 70 à 90 points... Ok elles apprenent... Bof... Elles voient le gouffre surtout.

[nain jaune]

Et ça laisse encore de la place pour 6 équipes...

Perso je vois pas l'intérêt pour les équipes de se prendre des branlées de 70 à 90 points... Ok elles apprenent... Bof... Elles voient le gouffre surtout.

et on gagne 1 semaine de compétition

[el landeno]

Eddie Jones, crise de résultats... autopsie du crash australien à la Coupe du monde Quasi éliminés après leur lourde défaite contre le pays de Galles (40-6) dimanche, les Wallabies sont passés totalement à côté de leur compétition. À quatre ans de leur Mondial à domicile, le chantier est immense.

Cela ressemblait à une marche de la honte. Il était presque minuit, dimanche, et les Australiens traversaient la zone mixte, visages marqués et coeurs éprouvés. Certains se faufilaient derrière les panneaux publicitaires pour esquiver micros et caméras. Quelques courageux s'arrêtaient un instant, sans trop savoir quoi dire. « C'est une soirée épouvantable », résumait le pilier gauche Angus Bell.

 

 

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« On va devoir vivre avec, soupirait le demi de mêlée Tate McDermott. C'est très difficile de défendre l'équipe après cette performance. » Surclassés par le pays de Galles (40-6), les Wallabies ont vécu la plus grosse humiliation de leur histoire en Coupe du monde et abandonné quasi tout espoir de quarts de finale. À quatre ans de son Mondial maison, le rugby australien traverse une crise profonde.

Jones, une claque et puis s'en va ?

Il est le premier pointé du doigt. Eddie Jones (63 ans) a échoué. Et pas qu'un peu. « Je m'en excuse et j'en assume l'entière responsabilité », disait le sélectionneur après la partie. Ses choix téméraires - une équipe rajeunie à l'extrême, des cadres écartés au dernier moment, un gamin inexpérimenté (Carter Gordon, 22 ans) comme seul ouvreur de métier -, l'absence de cohérence et de fil conducteur (six capitaines en huit matches, par exemple) sont à mettre à son débit.

« On ne peut pas continuer avec un entraîneur qui se croit plus grand et plus important que ses joueurs, un entraîneur au rugby insipide et archaïque », fulminait l'ancien international australien David Campese (101 sélections) sur le site Planet Rugby.

 

 

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Dimanche, Jones a également dû répondre à l'information selon laquelle il aurait récemment passé un entretien pour prendre la tête de la sélection du Japon. « Je ne sais pas de quoi vous parlez », a-t-il évacué, avant de se faire plus menaçant : « Je n'apprécie pas que vous remettiez en cause mon engagement auprès de l'Australie. Si vous continuez, je m'en vais. »

« En tant que joueur, si un entraîneur fait ça, je ne le suis pas sur le champ de bataille », lâchait l'ex-All Black Sonny Bill Williams sur le site Stan Sport. Lundi, dans un entretien au Herald, le patron de Rugby Australia, Hamish McLennan, a renouvelé son soutien à Jones, sous contrat jusqu'en 2027.

Une crise de popularité et de résultats

Ce n'est pas nouveau, en Australie, le rugby à XV souffre de la concurrence du XIII et du footy, le football australien. « L'écart s'est vraiment creusé ces dernières années, regrette l'ancien Wallaby Will Genia (110 sélections). Les mauvais résultats de nos clubs en Super Rugby (aucun titre depuis 2014) n'aident pas. On a cinq équipes alors qu'on a la profondeur de joueurs pour en avoir trois ou quatre max. Donc, les effectifs ne sont pas assez renouvelés et la concurrence est trop faible. Globalement, on manque de talents. En Australie, on aime ceux qui gagnent. Beaucoup de fans en ont marre de dépenser de l'argent pour des équipes qui perdent constamment contre les Néo-Zélandais. »

 

Les Australiens ont été dépassés par le pays de Galles dimanche. (A. Martin/L'Équipe)

Entraîneur des rucks des Wallabies, Pierre-Henry Broncan se souvient avoir regardé les quarts de finale du Super Rugby en juin, seul devant une petite télé au fond d'un bar à Sydney, alors que la grande salle, bondée, diffusait du XIII sur des grands écrans.

« En France, tu as des matches de rugby à XV télévisés du jeudi au dimanche, les joueurs sont imprégnés, explique-t-il. En Australie, ils n'en regardent pas, notamment parce que c'est très peu diffusé. Donc, ils parlent de XIII et de footy. Ça génère moins de discussions autour du XV. Tu perds en connaissance sur le jeu. »« Tout ça fait qu'on perd la plupart des jeunes talents qui se dirigent vers le XIII et le footy », ajoute Genia.

Réforme et promesses

Une telle déflagration aura le mérite de provoquer une remise en question profonde d'un système en échec depuis des années. « C'est le moment de lancer une réforme structurelle », a annoncé McLennan. Un examen indépendant sera effectué à l'issue de la Coupe du monde pour analyser le travail du staff technique.

Avec deux grandes perspectives dans les quatre ans à venir : la réception des Lions britanniques et irlandais en 2025 et le Mondial en 2027. « Je suis certain qu'on peut avoir une équipe compétitive, c'est pour ça que la décision a été prise de soutenir les jeunes et de construire une équipe pour l'avenir », a indiqué McLennan.

Au milieu du marasme, certains joueurs, comme le pilier gauche Angus Bell, le deuxième-ligne Nick Frost, le troisième-ligne Rob Valetini et l'ailier Mark Nawaqanitawase, ont laissé entrevoir d'importantes qualités. « Certains deviendront des joueurs de classe mondiale, promet Jones. Ils seront la colonne vertébrale d'une équipe d'Australie couronnée de succès. Je n'ai aucun doute là-dessus. »

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