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[Gourine63]

Mouais, je dis que ça va être très serré et qu'on va en chier comme pas permis, si on gagne ça va être de très très peu après beaucoup d'efforts et de souffrance.

[Bon Chasseur]

Oui, comme au basket récemment... on a vu comme tout se passait bien quand on est humble en France.

ah mais nous on est des fans (ou commentateurs télé pour Magne) - personne ne demande aux joueurs d'être suffisants ! Personne. Il faut qu'ils soient humbles, et qu'ils maîtrisent bien leur Rugby. Mais je parie que s'ils le font, ils ont la place pour mettre des points sur le tableau d'affichage en 2èMT.

 

Pour ce qui est de l'équipe de basket, c'est juste le niveau global collectif en général, malheureusement le pb ne serait pas juste un manque d'humilité ! Hélas...

[Ptolémée]

je sais pas si çà été dit : 

et c'est un énorme handicap pour les Blacks 

 

 

la Nouvelle-Zélande a perdu son soldat Brodie Rettalick, qui s'est blessé face à l'Australie et qui manquera le match d'ouverture. 

[steph]

je sais pas si çà été dit : 
et c'est un énorme handicap pour les Blacks 
 
 
la Nouvelle-Zélande a perdu son soldat Brodie Rettalick, qui s'est blessé face à l'Australie et qui manquera le match d'ouverture.

Barrett lui est passé devant. L'attelage titulaire en ce moment, c'est Barrett Whitelock il me semble.

[Lourugby]

Barrett lui est passé devant. L'attelage titulaire en ce moment, c'est Barrett Whitelock il me semble.

 

Je ne crois pas, il me semble que Barrett a pas mal enchainé à cause des absences de Retallick ou Whitelock, mais je pense que le premier reste devant dans l'absolu même s'il ne s'agit évidemment plus du grand Retallick. Je le trouve notamment plus discipliné, plus intelligent dans ses actions et toujours aussi intéressant dans l’attelage travail de l'ombre/activité offensive.

[el landeno]

https://www.lequipe....-du-monde-2023/

[el landeno]

Difficultés financières, coach critiqué, président mal aimé : pourquoi le rugby néo-zélandais souffre Les récentes contre-performances des All Blacks s'expliquent aussi par les turbulences qui agitent leur fédération en coulisses. Pour rester compétitif au plus haut niveau, le rugby néo-zélandais est confronté à des défis économiques autant que de gouvernance politique.

Il y a dix ans, les All Blacks s'enorgueillissaient d'être « la meilleure équipe de sport collectif au monde », forts d'un ratio de 87 % de victoires. Un joueur incarne cette grandeur passée : Richie McCaw, capitaine de légende qui a remisé ses crampons en 2015, après avoir remporté un second titre mondial. Il aura connu 131 victoires, pour seulement quinze défaites et deux matches nuls en 148 sélections. Ce temps est révolu, un vent mauvais souffle du côté de la mer de Tasman.

 

 

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Fin août, la pire défaite depuis 1928

Il y a moins de 15 jours, les All Blacks ont subi leur pire déconvenue depuis 1928 : humiliés 35-7 par les Springboks, le 25 août à Twickenham. Dépassés par les furieux assauts de Sud-Africains qu'ils avaient battus le 15 juillet à Auckland (35-20). « Après cette première rencontre, les Boks ont alerté les arbitres sur la défense des All Blacks en touche, décrypte le Néo-Zélandais Vern Cotter, désormais manager des Auckland Blues. Et ça a bien payé lors du match retour. Les All Blacks ont aussi sous-estimé le désir de revanche des Sud-Africains, qui ont mis un énorme engagement physique et été bien servis par un jeu au pied malin. Les pénalités et les cartons leur ont fait mal. » Cotter reste optimiste : « Ian Foster et ses adjoints misent sur un pic de forme pour les quarts de finale. »

Steve Hansen, coach des champions du monde en 2015, n'est pas non plus inquiet, persuadé que les Blacks montreront un autre visage face aux Français : « Face aux Boks, on a manqué de timing en mêlée ou en touche, a-t-il confié à une radio néo-zélandaise. Un tas de nos joueurs n'avaient pas joué depuis un mois. Les Boks, eux, avaient battu le pays de Galles la semaine précédente (52-16). » Une belle séance de sparring pour les Sud-Africains.

 

L'ancien sélectionneur des Blacks, Steve Hansen, en 2019. (F. Mons/L'Équipe)

 

 

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Malgré tout, le nombre de pénalités qui frappent les Blacks interpelle : 11 pour la seule première période à Twickenham. L'indiscipline était jadis un mal français. Les Bleus ont bien progressé depuis que l'ancien arbitre Jérôme Garcès a intégré leur staff. Quand on a demandé à Ian Foster pourquoi les All Blacks ne travaillaient pas avec un arbitre, il s'est braqué : « On n'a pas les moyens financiers de la France », avant de concéder que l'arbitre néo-zélandais Ben O'Keeffe assistait à certains regroupements. C'est une vieille antienne : la petite Nouvelle-Zélande et ses 4,9 millions d'habitants faisant face à la puissance financière de la vieille Europe.

Un coach sous la mitraille

Le bilan de Ian Foster à la tête des Blacks est constellé de dix défaites en 39 matches (27 victoires, deux matches nuls). L'été 2022 fut calamiteux : deux défaites à domicile face à l'Irlande (12-23 le 9 juillet, puis 22-32 le 16), une autre face à l'Argentine (18-25). Le coach a été l'objet de toutes les critiques et a encaissé avec une résilience rare.

À sa décharge, il a pris les rênes de l'équipe phare d'une fédération (NZRU) qui a bouclé l'année 2019 avec un déficit de près de 4,1 millions d'euros. En 2020, année de pandémie, la Fédé kiwi a vu ses revenus chuter de 70 %. La crise sanitaire a clairsemé les rangs, créé un vide générationnel entre jeunes talents et anciens. À certains postes, c'est criant : pour suppléer Aaron Smith (34 ans, 119 sélections), les All Blacks sont venus en France avec deux demis de mêlée non aguerris : Finlay Christie (28 ans, 17 sélections) et Cameron Roigard (22 ans, 2 sélections).

 

Aaron Smith en octobre dernier, au Japon. (Shinji Akagi/AFLO/Presse Sports)

Les contre-performances successives des moins de 20 ans ne rassurent pas non plus sur l'avenir. Le dernier titre mondial des Baby Blacks remonte à 2017. Le pays est en plus confronté à l'exode de ses jeunes, qui préfèrent tripler leur salaire en allant jouer à l'étranger. L'ailier de Leicester Fainga'anuku, meilleur marqueur du Super Rugby cette saison, rejoindra le RC Toulon après la Coupe du monde. Il n'a que 23 ans et trois sélections sous le maillot noir.

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Un besoin de fonds dans une nation en récession

Depuis le 15 juin dernier, la Nouvelle-Zélande est entrée en récession. Le rugby n'est pas épargné. La NZRU, qui a multiplié le tour d'horizon pour trouver des fonds, s'est associée au groupe pétrolier Ineos (quelque 4,7 millions annuels sur six ans), peu en phase avec les aspirations environnementales en vogue du pays. Et puis avec Silver Lake, un fonds d'investissement américain, auquel elle a rétrocédé 12,5 % de ses droits commerciaux. Ce partenariat a engendré un conflit de plus d'un an avec les joueurs, inquiets de voir l'âme du maillot noir livrée à des investisseurs financiers forcément volatils. La semaine dernière, un audit consécutif à ce contrat a révélé la gestion « dépassée » de la NZRU.

Enfin, début août, le New Zealand Herald a fait sa une sur les « 30 acteurs les plus influents » du rugby kiwi. En 8e position, juste après Ian Foster (7e) et devant le capitaine Sam Cane (9e), l'influent quotidien a placé « le système judiciaire français » en justifiant ainsi ce rang : « En 2021, la NZRU s'est engagée pour six ans avec le groupe Altrad pour quelque 16 millions d'euros annuels... En décembre, Mohed Altrad a été reconnu coupable de corruption et de trafic d'influence par la justice française. Si son appel venait à être rejeté, l'institution aura à se justifier sur les dégâts d'image créés par cette association. »

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Machine à cash ou machine à gagner ?

« Le pire ennemi des All Blacks est désormais la branche commerciale de la Fédé », estime Gregor Paul, journaliste au New Zealand Herald. Dans son dernier ouvrage, Black Gold (l'Or noir), il alerte sur la volonté de la NZRU de faire des All Blacks une « machine à cash », au détriment du sportif.

 

Kieran Read, en 2019. (F. Mons/L'Équipe)

« Soudain, on nous a demandé de traverser la planète trois fois par an. Les sollicitations sont devenues de plus en plus fortes. Elles nous prenaient la tête, entamaient notre préparation »

Kieran Read, capitaine des Blacks entre 2016 et 2019

 

 

 

L'institution accumule les deals commerciaux (groupe pharmaceutique japonais Taisho, géant allemand de la Tech SAP, etc.) qui sollicitent l'apparition des joueurs. « Soudain, on nous a demandé de traverser la planète trois fois par an, s'étonne l'ancien international Kieran Read (127 sélections), capitaine des Blacks entre 2016 et 2019, dans le livre de Paul. Les sollicitations sont devenues de plus en plus fortes. Elles nous prenaient la tête, entamaient notre préparation ».

La Fédé a voulu que ses joueurs voyagent en classe éco, a aussi signé un deal avec Amazon pour une série immersive, « avec des caméras intrusives qui changent le comportement des joueurs », s'est ému Wayne Smith, entraîneur adjoint des champions du monde 2011.

 

Le président de la fédération, Mark Robinson, et le sélectionneur, Ian Foster. (A. Mounic/L'Équipe)

En poste jusqu'en 2019, Steve Hansen, avec ses airs bourrus et son aura de boss des champions du monde 2015, parvenait à contenir les lubies de sa fédération. Son successeur, Ian Foster, a plus de mal. Ses relations avec Mark Robinson, président de la Fédération depuis 2020, sont glaciales, tendance polaire.

L'été dernier, alors que Robinson insistait pour virer Foster, il a vu débarquer un soir dans sa chambre d'hôtel une délégation de joueurs venus soutenir leur coach. Vendredi dernier, les All Blacks sont arrivés à Lyon et toute la délégation a été reçue à l'hôtel de ville. Joueurs, coachs, intendants, chauffeur, magasiniers... tous ont été conviés sur l'estrade pour recevoir la médaille d'honneur de la ville. Tous sauf un : Mark Robinson. Le président est resté assis seul, sur une chaise au dernier rang.

 

 

[Corse63]

Je suis surpris que personne n'aborde un des éléments clefs d'arbitrage: faut il interdire la coupe mulet ? ET bien moi je dis OUI !!!!

[Gourine63]

Très heureux que le karma finisse par retomber sur ces tricheurs pourtant vu comme des héros par beaucoup. L'illusion est enfin dissipée malgré les vociférations de cette Circé du Pacifique, le rugby en sortira grandi sous l'égide de la FFR, véritable justicière des intérêts supérieurs de notre sport bien-aimé.

[julien]

Les Fidji avaient enfin trouvé un bon numéro 10, Caleb Muntz... malheureusement il est forfait.

https://www.lequipe....u-monde/1418174

[Lima]

Énorme coup dur.. très déçu pour lui et les Fiji. En espérant que ce ne soit pas rédhibitoire parce que leur effectif ne dispose pas de trois numéro 10 de niveau international comme le notre.

[Ptolémée]

Oui, comme au basket récemment... on a vu comme tout se passait bien quand on est humble en France.

 

+1 je redoute une équipe des Blacks à la vie à la mort , blessée , surmotivée  face aux critiques qui font mal , trés mal ..

mon sentiment elle sera trés trés difficile à battre ..

en plus l'absence de Romain Ntamack risque d'être un handicap majeur 

[david63]

l'absence qui risque de nous faire le plus de mal c'est celle de Willemse. on risque de manquer de puissance.

Et si l'absence de Danty si confirme cela complique encore plus.

[julien]

l'absence qui risque de nous faire le plus de mal c'est celle de Willemse. on risque de manquer de puissance.

Et si l'absence de Danty si confirme cela complique encore plus.

 

C'est l'absence de Danty qui m'inquiète le plus. profil unique dans le groupe tant par sa puissance que sa capacité à récupérer des ballons au sol.

 

Après c'est probablement le match le moins important de la CDM pour l'EDF vu le croisement attendu en QF, Afrique du Sud ou Irlande (voire Ecosse), c'est pas comme si terminer 1er ou 2e avait une réelle importance.

[Corse63]

Moefana c'est un super joueur il me semble manquer de densité, idem en seconde ligne, pourquoi Taofifenua est pas aligné d'emblée ?