Le QI, c'est un truc qui se mesure en kilogrammes ?
Jamais entendu parler
ça se mesure pas en pouces ou en livres j'espère ...
Posté 27 avril 2022 - 19:30
Le QI, c'est un truc qui se mesure en kilogrammes ?
Jamais entendu parler
ça se mesure pas en pouces ou en livres j'espère ...
Posté 27 avril 2022 - 19:31
Posté 27 avril 2022 - 20:31
Les avants sont capables de mettre la tête là où les 3/4 maniérés n'oseraient meme pas mettre les pieds
C'est bien ce que je dis, le QI
Posté 27 avril 2022 - 20:47
Tutuvuli déjà ça promet rien que nominativement.
Posté 27 avril 2022 - 21:18
Mon analyse sur le recrutement des dernières années:
(edit : désolé je sais pas faire un tableau)
2011/2012Satisfaction : Byrne, Hines, Kayser, King, Nakaitaci, Sivivatu, VoslooCorrect : Cabello, Kolelishvili, KotzeFlop : Goujon, Hezard, Oléon, Skrela, Swanepoel2012/2013Satisfaction : Chouly, Nalaga, StanleyCorrect :Flop : Delany2013/2014Satisfaction : Lee, YatoCorrect : Falgoux, JedrasiakFlop : Andrieux, Granouillet, Hume, Kazubek, Lacrampe, Roulin, Tawalo2014/2015Satisfaction : Abendanon, Lopez, VahaamahinaCorrect : Kolelishvili, UlugiaFlop : Cassang, Davies, Guildford, Savea, Simutoga2015/2016Satisfaction : Penaud, Raka, Strettle, ToeavaCorrect : Beheregaray, Cancoriet, Gerondeau, Iturria, Planté, Spedding, vanderMerweFlop : Bruzulier, Fernandez, Gear, Natriashvili, Rude, Sanga, vanderWesthuizen, VuliVuli, Wooldridge2016/2017Satisfaction : Lamerat, Lee, TimaniCorrect : Grosso, Jarvis, TuicuvuFlop : Brett, Charles, Giorgadze, Ruaud, Septar2017/2018Satisfaction : Laidlaw, vanTonderCorrect : Betham, Ezeala, Falatea, Slimani, UhilaFlop : Astier, Barjaud, Hingano, Hutteau, Kakabadze, Lavernhe, McAlister, Nicoue, Trussardi2018/2019Satisfaction : MoalaCorrect : Beria, Fischer, Nanai-Williams, Naqalevu, Viallard, ViliFlop : Lemardelet, Treilles2019/2020Satisfaction : Dessaigne, MatsushimaCorrect : Bezy, Fourcade, Lanen, Lanen, Ojovan, RavaiKovekalou, Tadjer, Taofifenua, TiberghienFlop : Aholelei, Engelbrecht, Levave, McIntyre, Merrick, Paige, Palmier, Pelissié, Pourailly2021/2022Satisfaction : Jauneau, LavaniniCorrect : Michet, O'ConnorFlop : Bartin, Hanrahan, Maguranyanga
Ca mélange stars, paris, jeune, jokers et c'est arbitraire, mais :
- on a toujours fait des signatures foireuses
- ça fait qq temps qu'on signe plus de grosse satisfactions (mais c'est plus facile de devenir une satisfaction dans une équipe qui tourne bien, cf. Toulouse où tous les mecs lambda sont aux portes de l'edf).
Bravo pour l’historique.
2011/2012 on avait mis le paquet …
Les derniers saisons, on voit bien qu’il y a une forte baisse sur le nombre et la qualité….lié aux conneries de gestion
Posté 27 avril 2022 - 21:33
On connait les dates limites de la période de recrutement ?
Dans mon souvenir on avait recruté Timani assez tard dans la saison (fin Mai ou début Juin dans mes souvenirs).
Posté 27 avril 2022 - 21:34
Bravo pour lhistorique.
2011/2012 on avait mis le paquet
Les derniers saisons, on voit bien quil y a une forte baisse sur le nombre et la qualité.lié aux conneries de gestion
Posté 27 avril 2022 - 22:09
Je me souviens qu'il y avait un vrai enthousiasme. Je crois même que Julien avait pété son string léopard !On avait mis le paquet APRÈS COUP, parce que avant, j'ai le souvenir très clair que Byrne = troisième choix à l'arrière des gallois, Hines = deuxième barre cuit dont le Leinster ne voulait plus, Sivivatu = retraité all black venu palper le flouze, Vosloo = buffle incapable de franchir le palier ventre mou/niveau européen, Skrela = pareil que Hines mais on remplace Leinster par ST (ce qui n'était pas totalement faux non plus).
Bref, encore une fois et comme toujours, c'était bien subjectif comme recrutement selon qu'on soit optimiste ou pessimiste de nature.
Posté 27 avril 2022 - 22:35
On avait mis le paquet APRÈS COUP, parce que avant, j'ai le souvenir très clair que Byrne = troisième choix à l'arrière des gallois, Hines = deuxième barre cuit dont le Leinster ne voulait plus, Sivivatu = retraité all black venu palper le flouze, Vosloo = buffle incapable de franchir le palier ventre mou/niveau européen, Skrela = pareil que Hines mais on remplace Leinster par ST (ce qui n'était pas totalement faux non plus).
Bref, encore une fois et comme toujours, c'était bien subjectif comme recrutement selon qu'on soit optimiste ou pessimiste de nature.
??
Il me semble que tu révises l’histoire.
Ce recrutement avait été annoncé de façon original sur le site et les joueurs étaient des supers joueurs avec une grosse réputation.
D’ailleurs ils ont étés à la hauteur des attentes et je crois que les 2 saisons qui ont suivis c’est l’équipe la plus forte qu’on ait jamais eu, même si on n’a pas gagné de titre.
Posté 27 avril 2022 - 22:48
Le fils de Vulivuli et Tulututu.
Posté 27 avril 2022 - 22:52
Tutuliutu, c est de la gym, pas du rugby !
"Tututulutu tu tu tu tu", c'est pas la musique du multiplex ?
Posté 27 avril 2022 - 23:52
On connait les dates limites de la période de recrutement ?
Dans mon souvenir on avait recruté Timani assez tard dans la saison (fin Mai ou début Juin dans mes souvenirs).
Posté 28 avril 2022 - 05:31
même si on na pas gagné de titre.
Posté 28 avril 2022 - 06:05
une idée pour le futur ?
encore un mec passé par la ProD2
Le centre franco-irlandais Antoine Frisch cartonne à Bristol
Le centre français Antoine Frisch, brillant à Bristol cette saison, s'épanouit sans faire de bruit outre-Manche et s'apprête à franchir un nouveau cap au Munster l'an prochain.
Depuis que le Top 14 aimante les talents du terroir, aidé en ce sens par la réglementation des JIFF, on n'a plus vraiment l'habitude de voir de jeunes coqs chanter en de lointains pâturages. Pourtant, il existe encore de rares spécimens, prêts à quitter leur rassurant cocon pour tenter la grande aventure. Antoine Frisch est l'un d'eux.
Encore méconnu, le jeune Francilien de 25 ans, qui a débuté le rugby autour de la capitale, entre Fontainebleau, le PUC et Massy, est en train de se faire un nom en Angleterre. Arrivé l'été dernier à Bristol, Frisch enchaîne les titularisations au centre de l'attaque des Bears, aux côtés notamment de la star fidjienne Semi Radradra. Fin mars, il a réalisé une performance exceptionnelle contre les Saracens dans le stade de l'équipe de Premier League, Tottenham. Auteur d'un essai et de deux passes décisives, Frisch n'avait pu empêcher la courte défaite des siens (27-23), mais il avait crevé l'écran face à l'équipe d'Owen Farrell.
« Il joue avec le French flair ! », sourit Richard Hill. L'ancien international anglais (vice-champion du monde en 1991) a eu Antoine Frisch sous ses ordres l'an dernier à Rouen en Pro D2. C'est en Normandie que cet ouvreur de formation s'est fixé au poste de centre et qu'il a tapé dans l'oeil des recruteurs de Bristol.
Avant cela, Frisch avait connu un premier échec au Stade Français où, alors en contrat espoir (2016-2018), il n'avait pas eu sa chance en équipe première, barré par Morné Steyn ou Jules Plisson. « Ça ne s'était pas hyper bien passé. Le club jouait le maintien, explique-t-il. J'aurais aimé jouer un peu en Challenge européen mais cela ne s'est pas fait. »
« C'est vite devenu évident qu'il était un très bon joueur, avec beaucoup de potentiel »
Richard Hill, son entraîneur la saison dernière à Rouen
Frisch part alors en quête de temps de jeu en Fédérale 1, à Tarbes (2018-2019) puis à Massy (2019-2020), avant que Richard Hill ne lui mette le grappin dessus. « C'est vite devenu évident qu'il était un très bon joueur, avec beaucoup de potentiel, relate l'ancien entraîneur rouennais. Il est rapidement devenu titulaire dans notre équipe, de manière indiscutable. »
Malgré un physique plutôt banal (1,88 m, 90 kg), Frisch crée de grosses différences grâce à sa vision du jeu au-dessus de la moyenne et à la qualité de ses appuis. Dernière victime en date de son crochet, l'international anglais des Sarries Elliot Daly erre sûrement encore sur la pelouse de Tottenham...
« En Premiership, les trois-quarts sont très costauds et lui, à Rouen, ce n'était pas son truc d'aller à la salle de musculation, rigole Hill. Mais sa rapidité, ses qualités dans les un contre un et sa lecture du jeu lui permettent d'éviter les gros impacts. » Le centre confirme : « J'ai plus souvent le réflexe de chercher l'intervalle par la passe, mais j'ai évolué cette saison, en bossant pour avoir un profil plus pénétrant. »
Désiré par l'entraîneur des Bears Pat Lam, Frisch n'est pas arrivé à Bristol complètement dans l'inconnu. Sa mère, née de l'union entre un Anglais et une Irlandaise, a rencontré son père, un Français, à Manchester. Son frère aîné a vu le jour dans le Devon avant que la famille ne déménage en région parisienne, où Antoine a grandi et s'est construit.
« Antoine avait quelque chose de différent. Une vision du jeu particulière »
Thibaud Flament, qui jouait pour la même université en 2015
En 2015, Frisch a même passé une année à l'Université de Loughborough, dans le centre de l'Angleterre. Là-bas, il a rencontré un jeune homme au parcours curieusement semblable, Thibaud Flament. « On était dans le même cours de commerce en amphi, se souvient l'actuel international tricolore, vainqueur du Grand Chelem le mois dernier. Depuis, on est restés un peu en contact, on se parle par messages. Je me souviens d'un mec sympa, ouvert, une bonne gueule quoi. »
Les deux jeunes Français partagent aussi quelques matches sous le maillot de l'équipe développement de la fac. « On sentait qu'Antoine avait quelque chose de différent, assure Flament. C'était un super joueur, avec une vision du jeu particulière. » Forcément, le destin international du deuxième-ligne, passé par les Wasps avant de rejoindre Toulouse, a de quoi donner des idées à son ancien camarade de promo. « Son parcours atypique est très inspirant, reconnaît Frisch. Quand je le vois remplir ses objectifs, je me dis : "Pourquoi pas moi ?'' »
La saison prochaine, le centre va passer un nouveau cap en rejoignant l'équipe irlandaise de la province du Munster. « C'est une super opportunité, explique-t-il. Avec le départ de Damian de Allende (international sud-africain), ils avaient besoin d'un centre et ils ont pensé à moi. Ça va me permettre de densifier mon jeu dans un très grand club. Et de me rapprocher de membres de ma famille qui vivent toujours vers Dublin. Bon, j'espère qu'ils seront plus supporter du Munster que du Leinster maintenant (rires). »
« En théorie, je pourrais jouer les deux sélections (France et Irlande), mais avant de penser à cela, il me reste tellement à faire »
Antoine Frisch
S'il s'apprête à s'habiller en rouge du côté de Limerick, Frisch pense-t-il au maillot bleu la nuit ? « Comme tout petit garçon français passionné de rugby, j'ai déjà rêvé de jouer pour les Bleus, admet l'expatrié. Mais j'ai toujours regardé l'Irlande... »
Le maillot vert alors ? « En théorie, je pourrais jouer pour les deux sélections, mais avant de penser à cela, il me reste tellement à faire ! Je me concentre sur le présent, avec l'idée de toujours viser le plus haut possible. » Ici ou ailleurs.
Posté 28 avril 2022 - 07:04
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