19135 réponses à ce sujet

[anje]

 
C'est un pilier gauche, on cherche un pilier droit.

Ok j'avais mal lu ou traduit.

[Rugby ?]

Non je ne casse pas Dekro, je dis simplement qu’il n’a pas bien géré le prévisionnel.

J’aimais bien le bonhomme, comme beaucoup de supporters, mais comme dirigeant il n’avait pas la vision stratégique de Mr Fontes.

C’est ainsi pour lui et comme tous dirigeants, dont la trace se mesure souvent à l’héritage

[marco43]

 

C'est un pilier gauche, on cherche un pilier droit.

comme pour les toubibs un docteur en droit, ne te soignera jamais ta couille de gauche

[Binche63]

Yohan Kehlhoffner Quitterai le club d après All Rugby.
Dommage je le trouve plutôt bon et son replacement au centre me paraissais intéressant.

[anje]

Yohan Kehlhoffner Quitterai le club d après All Rugby.
Dommage je le trouve plutôt bon et son replacement au centre me paraissais intéressant.

 

Ce qui serait top pour lui c'est un départ vers france 7. Sinon je suis surpris de le voir partant sans savoir où.

[clum63_]

Est ce que quelqu'un connaît le taux de réussite au pied de belleau ? Merci d'avance

[InASMWeTrust]

Est ce que quelqu'un connaît le taux de réussite au pied de belleau ? Merci d'avance

pas facile de trouver l'info. Je sens tes inquiétudes, et je les partage malgré la qualité du recrutement. Espérons que la recrue sudiste ait un bon pied. 

[Oscar]

C'est un buteur plus que fiable, non ?
Je crois cependant qu'il ne sait pas buter a plus de 50m.

[steph]

Quand on en sera de nouveau à gagner des matchs importants grâce à notre buteur, plutôt qu'en perdre des faciles à cause de notre défense porte de saloon, je me soucierais du taux de réussite de Belleau...

[Alligator427]

Quand on en sera de nouveau à gagner des matchs importants grâce à notre buteur, plutôt qu'en perdre des faciles à cause de notre défense porte de saloon, je me soucierais du taux de réussite de Belleau...

C'est pas faux !

[el landeno]

Yoann Maestri (Stade Français) annonce sa retraite : « C'est le moment d'arrêter » Le deuxième-ligne du Stade Français Yoann Maestri va mettre fin dimanche à une carrière très riche, entre une montée en Top 14 avec son club formateur Toulon, trois titres majeurs avec Toulouse, et les années galères en bleu.

Yoann Maestri (34 ans) a décidé de mettre un terme à sa carrière. Dimanche, face à Brive, le deuxième-ligne du Stade Français disputera son dernier match. Pour « l'Équipe », l'ex capitaine des Bleus (65 sélections) a expliqué sa décision. C'était lundi, en milieu d'après-midi après l'entraînement.

 

 

À la terrasse du café « Le Bleu » à Boulogne, « Mama », qui laisse néanmoins la porte ouverte à une expérience au Japon, avait les idées claires. Souriant, affable, mais réaliste, il arrête sans regret avec un palmarès bien garni.

lire aussiCrunch : avec La Rochelle et Lyon, un week-end cocorico !

« Dimanche, le Stade Français accueille Brive (21 h 05) pour le dernier match de la saison...
Ce sera le dernier match de ma carrière... Normalement. Il restera peut-être une possibilité si une offre arrive du Japon. Mais c'est tout. Dans ma tête, tout est clair. C'est fini. Je ne chercherai pas à faire la saison de trop. J'ai d'ailleurs été contacté par un club français. Humainement et sportivement, tout était réuni pour vivre une belle saison dans ce club qui me tient à coeur. Pour ne rien vous cacher, j'ai même dit oui sur le coup. Mais après réflexion, j'ai finalement refusé. C'est le moment d'arrêter.

En bref Maestri

Deuxième-ligne.
34 ans.
2,01 m ; 119 kg.
Stade Français.
2008 : champion de Pro D2 avec Toulon.
4 février 2012 : il fête sa première sélection avec les Bleus face à l'Italie (30-12) lors du Tournoi des Six Nations.
3 : il a remporté trois titres avec Toulouse entre 2009 et 2018. Une Coupe d'Europe (2010) et deux boucliers de Brennus (2011, 2012).

Pourquoi avez-vous pris cette décision ?
J'y réfléchis depuis le début de saison. Elle a mûri tranquillement. Tout au long de ma carrière, j'ai eu la chance de beaucoup jouer, notamment au Stade Toulousain (2009-2018). J'ai aussi vécu de grands moments. J'ai été très chanceux. J'ai le souhait d'attaquer une autre partie de ma vie avec de l'énergie. Ce sera le cas. Physiquement et mentalement, les saisons sont longues. Là, je ne suis pas totalement usé pour ma vie d'après. La décision de raccrocher les crampons semble donc évidente.

Vous laissez la porte ouverte à une aventure au Japon, qu'est-ce qui vous attire là-bas ?
Découvrir une autre culture. Partir seul et me confronter à une vie totalement différente. Le rugby serait une passerelle pour vivre une aventure humaine incroyable. Ça fait forcément un peu peur, mais c'est ce qui est excitant. Si ça ne se fait pas, il n'y aura aucun regret.

Quand vous regardez en arrière, vous partez sans regret ?
Aucun ! Je suis totalement épanoui. J'ai gagné des titres, rencontré des gens formidables, vécu des moments incroyables. C'est important de l'avoir bien en tête au moment de dire stop. Je suis un privilégié. Il y a eu des moments difficiles, des peines, des échecs, mais c'est important de les avoir vécus et ils me serviront pour la suite. C'est ça la vie : les montagnes russes. Il y a de bons et de mauvais moments. L'important est de savoir les traverser.

Ne regrettez-vous pas de ne pas terminer votre carrière à Toulon, là où tout a commencé ?
Non, non ! Sur le papier, ça aurait été beau. Mais c'est de l'ego ! Il faut savoir passer à autre chose.

Votre dernier match va compter pour du beurre puisque le Stade Français ne joue plus rien...
(Il coupe.) On n'a jamais la fin qu'on espère. La fin magnifique, ça fait un moment que j'ai fait une croix dessus.

« Il faut être ouvert à d'autres choses qu'au rugby. Il faut enfin accepter de ne pas être le meilleur, d'avoir le droit de se tromper, de douter. L'échec fait partie de la vie

 

 

 

 

Appréhendez-vous ce dernier match ?
Non. Je suis déjà heureux de pouvoir mettre les crampons et de le jouer. Certains ont terminé leur carrière sur une blessure. Donc je vais profiter. Et même si je terminais sur un titre, je me dirai quoi ? Allé, une année de plus ! Non, il faut savoir être raisonnable.

Quels ont été les moments les forts ?
Le titre, c'est l'apogée, la finalité d'une aventure avec les copains. Mais ce qui reste le plus important à mes yeux, c'est d'avoir donné le maximum. Si je n'ai pas de regrets, c'est aussi parce que vivre des moments aussi intenses qu'en compétition, c'est rare dans une vie, c'est même exceptionnel.

Si en club vous avez tout gagné, en équipe de France, malgré vos 65 sélections, ç'a été tout le contraire...
Il faut savoir l'accepter. On n'était pas les meilleurs à ce moment-là. D'autres facteurs l'expliquent aussi, mais ce n'est pas l'endroit pour en parler. J'ai eu la chance d'être capitaine. J'ai tissé des liens avec des joueurs, des adversaires. Ça restera. On fait tous un peu les costauds, les durs, mais il y a une grande fragilité dans le milieu du rugby.

 

Yoann Maestri a été capitaine des Bleus à plusieurs reprises, notamment lors du match face aux All Blacks bis en novembre 2017, à Gerland (23-28). (A. Mounic/L'Équipe)

Le mot dépression revient régulièrement...
Nos vies de rugbymen sont façonnées à travers la compétition, la gagne, la défaite, la concurrence, mais aussi et surtout le regard des autres, comme les partenaires, les entraîneurs, les adversaires, les supporters. Tu veux toujours plaire. On est parfois troublé par la valeur qu'on donne à tout ça. Ce n'est pas évident à gérer. Il y a donc des moments complexes durant la carrière. Je n'ai pas de conseil à donner. Mais le développement personnel est essentiel. Il faut être ouvert à d'autres choses qu'au rugby. Il faut enfin accepter de ne pas être le meilleur, d'avoir le droit de se tromper, de douter. L'échec fait partie de la vie. Ça n'empêche pas d'avancer.

« Pendant un laps de temps, on vit des choses très intenses, souvent à 200 %. C'est pour cette raison que c'est complexe le jour où ça s'arrête »

 

 

 

 

Quand l'équipe de France a soulevé le Grand Chelem cette année, vous étiez envieux ?
Pas du tout. J'étais heureux pour les joueurs et notamment certains que j'apprécie beaucoup comme Antoine (Dupont), Gaël (Fickou), Uini (Atonio), Julien (Marchand), François (Cros) ou Cyril (Baille). Cette équipe est extraordinaire. On ne s'en rend pas compte, mais le Tournoi des Six Nations est tellement difficile. Cinq matches, c'est peu, mais l'exigence est extrême.

Malgré les nombreuses défaites en bleu, qu'est-ce qui restera ?
Je repense à ces moments où tu entres sur la pelouse, tu es prêt au combat, à tout sacrifier. J'ai en mémoire ces frissons qui t'envahissent, cette énergie qui te transcende quand tu foules la pelouse du Millennium, de Twickenham, du Stade de France. J'adorais ça ! J'avais le sentiment que rien ne pouvait m'arriver.

C'est ce qui va vous manquer ?
Beaucoup de choses vont me manquer. Mais j'ai eu le temps de m'y préparer, même si on n'est jamais vraiment prêt. J'ai tout mis en oeuvre pour vivre ma vie d'homme du mieux possible, en me désolidarisant le plus souvent de ma position de rugbyman professionnelle. Pendant un laps de temps, on vit des choses très intenses, souvent à 200 %. C'est pour cette raison que c'est complexe le jour où ça s'arrête.

Qu'allez-vous faire ?
J'ai une agence de création avec mon frère dans Paris (XIe arrondissement). On fait de la direction artistique et de la communication. Je vais tourner la page du rugby, du moins pendant un moment. Après, je n'exclus pas d'y revenir pour entraîner des jeunes, transmettre.

Est-ce qu'il y a quelque chose que vous n'avez pas dit pendant votre carrière ?
Lors du titre gagné en 2012 avec Toulouse face à Toulon (18-12), ça avait été un peu difficile à vivre. Le RCT, c'est le club où j'ai grandi. C'était complexe d'affronter mon ancien club. Mais j'étais très heureux de gagner avec Toulouse et ce groupe magnifique. »

 

 

[RCV06]

Merde moi qui pensais qu on l avait signé

[xdderf63]

Merde moi qui pensais qu on l avait signé

 

Gros revirement de sa part... 

Pas très honnête de faire ça 

Pour un gars droit comme le i de Maestri... 

[ZACH]

Un type qui a une dimension personnelle très forte et qui était extrêmement écouté par ces coéquipiers.
J’aurais bien aimé le voir chez nous, mais je crois bien qu’il n’en veut plus

[Le Sanglier Arverne]

C'est un buteur plus que fiable, non ?
Je crois cependant qu'il ne sait pas buter a plus de 50m.

ça ne nous changera pas