Va te faire foutre connard*
*c'est bien là, le topic "parole d'ex"?
Je peux te le dire maintenant j'ai tt le temps simulé.*
*oui c'est bien là
Posté 07 mai 2022 - 12:15
Va te faire foutre connard*
*c'est bien là, le topic "parole d'ex"?
Je peux te le dire maintenant j'ai tt le temps simulé.*
*oui c'est bien là
Posté 07 mai 2022 - 12:22
Posté 07 mai 2022 - 12:36
"Enfin, Gourine, comment veux-tu que je te pardonne ? Faire ça avec le chien..."
Posté 07 mai 2022 - 13:52
Des guerriers comme ça me manque.
On a des athlètes des techniciens mais pas des guerriers de cette trempe.
Tu veux nous relancer le bon chasseur toi ...
Posté 07 mai 2022 - 14:02
Tu veux nous relancer le bon chasseur toi ...
Le propriétaire du chien?
Posté 07 mai 2022 - 14:10
Le propriétaire du chien?
Je ne m'immiscerai pas dans les affaires de Gourine ... Si le chien est majeur et consentant
Posté 07 mai 2022 - 14:30
"Enfin, Gourine, comment veux-tu que je te pardonne ? Faire ça avec le chien..."
Posté 07 mai 2022 - 18:30
Ah ! toutes ces tranches de vie ...
Posté 07 mai 2022 - 21:39
Il a "oublié" un entraîneur parmi ceux cités.
Cet oubli n’en n’est pas un ….
Posté 08 mai 2022 - 07:41
Il a "oublié" un entraîneur parmi ceux cités.
Peut être...ou pas.
Cet oubli n’en n’est pas un ….
Bring back Vern.
Posté 08 mai 2022 - 11:41
Peut être...ou pas.
Bring back Vern.
in each era its providential man:)
Posté 11 mai 2022 - 16:10
Celle là elle est pour Bad Zé, et avec un clin d'œil à BB.
Posté 11 mai 2022 - 17:42
"Enfin, Gourine, comment veux-tu que je te pardonne ? Faire ça avec le chien..."
Une jeune femme téléphone à un plombier :
– " J’ai une fuite d’eau dans ma salle de bain ! "
– " OK ! J’arrive dans dix minutes avec mon nouvel assistant. Tenez-bon ! "
Le plombier arrive avec un gros chien et se présente :
– " Bonjour madame, voici mon nouvel assistant , Rex ."
Surprise, la femme conduit le plombier et le chien à la salle de bain. Le plombier regarde le tout et dit à son chien :
– " Rex, apporte une clé 3/4 s'il te plaît…" Le chien fouille dans le coffre et rapporte une clé 3/4. Il est très doué !
Après quelques instants, le plombier reprend :
– " Rex, j’ai besoin d’un joint numéro 4 ."
Le chien revient avec un joint numéro 4 . La jeune femme n’en revient pas :
– " C’est incroyable ce que votre chien peut faire ! "
– " Je sais, il apprend encore. Il peut même faire l’amour aux femmes, c’est pas des blagues ! "
–" Ah non , ça je ne le crois pas par exemple ! "
– " Je vous le jure. Laissez-moi vous le prouver. Allez dans votre chambre à coucher , déshabillez-vous , couchez-vous sur le dos dans votre lit et vous verrez ! "
La femme s’exécute se disant que c’est impossible . Le plombier entre dans la chambre et voit la charmante jeune femme toute nue sur le lit , il ordonne au chien :
– " Rex, vas-y ! "
Le chien ne bouge pas .
– " Rex, allez, vas-y ! " Crie le plombier .
Le chien reste immobile sur place. Le plombier se déshabille , enjambe la jolie jeune femme et commence à lui faire l'amour et dit :
– " Rex, regarde bien, c’est la dernière fois que je te le montre ! "
Posté 11 mai 2022 - 21:07
Celle là elle est pour Bad Zé, et avec un clin d'œil à BB.
C'est qui ?
Posté 13 mai 2022 - 19:11
« Quel est l'adversaire que vous aimeriez revoir ?
Andy Dalton (35 sélections entre 1977 et 1985), le capitaine des All Blacks. À l'époque, on parlait peu mais il m'avait invité chez lui en 1984. Je m'y étais rendu tout seul, en taxi. Et j'avais partagé un moment avec sa famille. Il vivait à la campagne et il m'avait ouvert sa maison.
Quel est le partenaire qui vous a marqué ?
Il y en a deux, Robert Paparemborde et Jean-Pierre Rives. J'ai toujours gardé une grande complicité avec "le Blond". On s'appelle régulièrement, je suis allé le voir chez lui. C'est un homme extraordinaire, intouchable. Quant à "Patou", évoquer son nom me tire des larmes (Robert Paparemborde est décédé en 2001, à 52 ans). Il est parti si vite (Philippe Dintrans se met à pleurer)... On n'a pas pu assez profiter de notre amitié en dehors du rugby. Sur le terrain, c'était un phénomène. Il poussait sur ma droite et talonnait en même temps que moi (sourire). On se relevait de la mêlée et on discutait en courant...
Quel est votre plus beau souvenir de troisième mi-temps ?
Après la tournée de 1979, quand on est resté avec les All Blacks en soirée. On devait repartir mais notre avion était en panne. Ça n'a posé aucun problème. Ils se sont débrouillés pour nous trouver un hôtel et un restaurant. On les avait battus lors du deuxième test et ils ont ensuite partagé notre joie. C'est incroyable, non ? Ils sont restés avec nous jusqu'à ce qu'on monte dans l'avion.
Quel est votre plus gros regret ?
De ne pas avoir été champion de France avec Tarbes en 1988. Mais c'est intimement lié aux Agenais, que j'adore (rires). C'est une grosse frustration et j'y pense souvent. Avec l'équipe qu'on avait, construite de bric et de broc, on était quand même parvenus à se hisser au sommet... C'était une belle aventure humaine et sportive. On faisait la fête avec la même ardeur qu'on mettait sur le terrain pour battre l'adversaire. Mais malheureusement, ça s'est arrêté en finale (défaite, 9-3)...
« J'avais pris des contacts avec Pierre Villepreux [...] pour rejoindre le Stade Toulousain. [...] J'avais ensuite demandé l'accord du président Ferrasse, qui m'a précisé, en riant, que si je signais à Toulouse, je serais privé d'équipe de France pendant trois ans. Voilà ! Trois ans de licence rouge. C'était vraiment un enfoiré de première... En revanche, il m'avait suggéré de venir plutôt à Agen qu'à Toulouse (rires) »
Quel est l'essai dont vous vous souvenez ?
En 1974 avec les juniors du Stadoceste Tarbais en lever de rideau de l'équipe première, à Maurice-Trélut. Je jouais troisième-ligne aile, relayeur en fond de touche et j'ai intercepté le ballon entre le demi de mêlée et l'ouvreur adverse... J'ai couru cinquante mètres et j'ai marqué ! C'était la première fois que je jouais à Maurice-Trélut.
Si vous n'aviez pas joué à Tarbes, où auriez-vous aimé évoluer ?
J'avais pris des contacts avec Pierre Villepreux, qui était mon entraîneur lorsque je jouais en équipe de France universitaire, pour rejoindre le Stade Toulousain. Il était plutôt d'accord. C'était en 1977, je crois bien... J'avais ensuite demandé l'accord du président Ferrasse, qui m'a précisé, en riant, que si je signais à Toulouse, je serais privé d'équipe de France pendant trois ans. Voilà ! Trois ans de licence rouge. C'était vraiment un enfoiré de première... En revanche, il m'avait suggéré de venir plutôt à Agen qu'à Toulouse (rires). Et là, il allait s'arranger, m'avait-il dit, pour qu'il n'y ait pas de licence rouge.
Quel est l'adversaire qui vous a le plus marqué ?
Alain Paco. C'est un modèle. Il jouait dans une grande équipe (Béziers) et j'admirais cet homme. Il était d'une grande simplicité dans la vie et d'une efficacité terrible sur le terrain. À son contact, j'ai progressé.
Quelle est la plus grosse bagarre à laquelle vous avez participé ?
En 1976, lors d'un huitième de finale retour avec Tarbes contre Bagnères-de-Bigorre. On avait joué l'aller à Lourdes et le retour à Pau, à la Croix-du-Prince. Je me suis régalé. Le terrain était boueux à souhait. Le match a été catastrophique pour le rugby mais énorme pour nous, les Tarbais (rires). Le match entier a été une bagarre, avant même le coup d'envoi. Au moment où on entre sur le terrain, je tombe tête la première dans la boue. Mon vis-à-vis, Antranik Torossian, m'avait fait un croche-pied. Et là, c'est parti ! Boum ! Bagarre générale... Christian Paul, José Osès, Alex Martinez, tout le monde s'y est mis. Je regrette d'avoir ensuite mordu l'oreille de Torossian sous une mêlée. Il m'avait cherché et il m'a trouvé. Mais c'était très con !
Quel est le match que vous aimeriez rejouer ?
La finale de Coupe du monde 1987 (défaite 29-9). Après Jean-Pierre Rives, en 1984, j'avais été capitaine de l'équipe de France et ça m'aurait fait plaisir de disputer ce match, oui... Ne serait-ce que de rentrer lors du dernier quart d'heure. On aurait pu s'arranger... Si Daniel Dubroca avait simulé la blessure, je serais entré frais comme un gardon. J'en ai parlé ensuite avec Jacques Fouroux et il m'avait avoué que ça restait son grand regret. C'est aussi le mien...
Quel a été votre plus gros coup de gueule ?
À la mi-temps du deuxième test-match perdu (31-18) contre la Nouvelle-Zélande en 1984 à Auckland. On avait une belle équipe de France, capable de remporter au moins un des deux tests. Mais nos trois-quarts ont dégoupillé et ça a donné une catastrophe. J'étais très en colère car j'avais trouvé qu'ils avaient pris un peu la grosse tête...
Quelle est l'anecdote que vous n'avez jamais racontée ?
Après le match du Tournoi 1981 contre le pays de Galles, je me retrouve avec Jean-Luc Joinel chez Castel. Nous avions gardé le smoking. La soirée avançant, Jean-Luc avait besoin de se réhydrater. Alors il a attrapé un seau à champagne rempli de glaçons et s'est douché avec ! Autour de nous, les clients eux aussi étaient douchés, mais tout le monde riait de bon coeur. Il faut dire que nous avions beaucoup de supporteurs autour de nous... Comme Jean-Luc était mon modèle en troisième mi-temps, j'ai attrapé moi aussi un seau à champagne et je me le suis déversé dessus. »
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