Non ! Le poteau de Maussac, cest la frontière !Ben den bas, il part faire ses courses en haut. Tulle ty comptes pas en haut?

Pâté aux patates ou pompe aux grattons?
#346
Posté 30 mai 2025 - 04:56
#347
Posté 27 juin 2025 - 10:10
#348
Posté 27 juin 2025 - 10:21
On a les meilleurs cantoniers, j'y savais. Ils réfléchissent. Je les ai souvent vu assis dans l'herbe en train de réfléchir. La chopine facilite le brennestormine.Cest tech-no-lo-gi-que
peuvent pas y comprendre là-haut
https://www.leparisi...s9md2RXmEL4teKw
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#349
Posté 27 juin 2025 - 10:44
On a les meilleurs cantoniers, j'y savais. Ils réfléchissent. Je les ai souvent vu assis dans l'herbe en train de réfléchir. La chopine facilite le brennestormine.
J’en ai connu trois de cantonniers (à l’école des travaux buissonniers publics): Éric (ou Joël), Jack et Richard. J’en ai pas vu un boucher un nid-de-poule. Mais à la lecture de ce post je prédis de hauts niveaux de surchauffe
#350
Posté 27 juin 2025 - 12:16
Haaaaaaaa, la longue tradition de l'allier avec les anciens Maréchaux... Une véritable passion !
https://www.leparisi...7JPDZ474HDE.php
« Une tradition culinaire vieille de 100 ans » : un couple relance les Vérités, fameux caramels de l’AllierÀ Lapalisse, cette friandise presque tombée dans l’oubli connaît une seconde jeunesse grâce à deux retraités. Rebaptisées « les Vérités du maréchal de La Palice », ces douceurs artisanales se déclinent désormais en six parfums.
#351
Posté 11 juillet 2025 - 13:35
- Babé03 aime ceci
#352
Posté 11 juillet 2025 - 13:59
Suis abonné mais chuis pas fier non pu...
- Very Good Eshvili aime ceci
#353
Posté 11 juillet 2025 - 14:12
Faut être vraiment con. Pas au sens de l’aut’, l’aut’ c’est un bon gars. Mais lui non, c’est vraiment un pauvre gars
#354
Posté 11 juillet 2025 - 15:01
Haaaaaaaa, la longue tradition de l'allier avec les anciens Maréchaux... Une véritable passion !
https://www.leparisi...7JPDZ474HDE.php
« Une tradition culinaire vieille de 100 ans » : un couple relance les Vérités, fameux caramels de l’AllierÀ Lapalisse, cette friandise presque tombée dans l’oubli connaît une seconde jeunesse grâce à deux retraités. Rebaptisées « les Vérités du maréchal de La Palice », ces douceurs artisanales se déclinent désormais en six parfums.
Je savais ^pas que La Palice était Maréchal
#355
Posté 11 juillet 2025 - 15:16
Je savais ^pas que La Palice était Maréchal
Tu es dans un topic culturel
#356
Posté 11 juillet 2025 - 16:15
Tu es dans un topic culturel
Je vois ça !
#357
Posté 13 juillet 2025 - 07:56
#358
Posté aujourd'hui, 10:37
Chuis pas danseur, mais je suis fier...
Que se passe-t-il à Gennetines pendant quinze jours intenses tous les étés ? Le Grand Bal de l’Europe, vénérable et dynamique institution des danses et musiques d’inspirations traditionnelles, se prépare à accueillir à nouveau 6.000 festivaliers le long de ses quinze jours à Gennetines. Quinze jours ! Avec un truc collé au cœur et au corps depuis plus de trente ans : danser, pardi ! Gennetines, nombril de l’Europe ? Oui, pour tous les amateurs de danses et musiques à danser d’inspirations traditionnelles, qui s’y retrouvent chaque année pour vibrer sur les parquets.
Oui mille fois pour son créateur, Bernard Coclet, toujours intarissable quand il s’agit de parler du « Grand bal », toujours là depuis 1990. Seuls deux ans de covid auront eu raison des éditions 2020 et 2021. « On est content de toujours exister », lance-t-il avec un grand sourire.
Du vendredi 25 juillet au vendredi 8 août, l’ancienne ferme bourbonnaise des Gauthiers se prépare ainsi à accueillir « jusqu’à 2.900 festivaliers en même temps », soit « un peu plus de 6.000 en tout », calcule Bernard Coclet. « On a de 500 à 600 personnes qui sont inscrites pour les quinze jours. Autrement, la durée moyenne de séjour est de trois à cinq jours ».
Le film "Le Grand bal", toujours un succèsAu 11 juillet, l’association avait fait le point des réservations : il restait des places du vendredi 25 au dimanche 27 juillet et du dimanche 3 au vendredi 8 août, avec une jauge déjà presque atteinte pour la semaine du 28 juillet au samedi 2 août. Attention, ne pas venir si on n’est pas inscrit ! Le site gennetines.org dispose d’une billetterie en ligne.
Il y a deux ans, relève encore Bernard Coclet, « suite au film Le Grand bal de Laetitia Carton, on a eu 40 % de gens nouveaux. Ce documentaire continue d’avoir des répercussions ».
Pour bien accueillir tous ces corps et ces âmes avides de mouvements et de connexion, « il y a une super équipe de 500 personnes, dont plus de 400 qui étaient là l’année dernière et certains depuis trente ans ». Ils et elles sont dispatchés entre « douze services, de l’accueil, à la buvette, la cuisine, le camping, le parking, la sonorisation, la communication, etc. »
Le Grand bal a sélectionné 105 groupes parmi de très nombreuses sollicitations, « dont 25 % de nouveaux ». La diversité étant le maître-mot, il y a des jeunes groupes, des vieux groupes, des groupes d’ici et d’ailleurs ! De toutes les régions de France, Morvan, Bresse (les Poules à facette, quel nom !), Alsace, Poitou, Creuse, Bretagne… et de tous les pays du monde : Bulgarie, Suède, Brésil, Chili, Portugal, Catalogne, Irlande, Israël, Macédoine, Angleterre, Italie, Québec…
Gennetines, ce sont des ateliers de 9 h 30 à 19 h 30 et des bals de nuit, à partir de 21 heures.
Au-delà de ces chiffres, parce qu’il en faut bien, Bernard Coclet préfère ses définitions. « Un grand bal réussi, c’est quand j’ai pleuré presque tous les jours ! Quand un groupe se crée ici et qu’il décide de faire son dernier concert chez nous, oui, je verse une larme. Un de mes meilleurs souvenirs, c’est aussi ce bal sur un parquet en plein air à minuit et cet orage fantastique qui craque. Les musiciens étaient abrités, mais cinquante danseurs ont continué à danser sous la pluie ! Y’a quelque chose quand même ! »
Énergies et regardIl aime aussi « quand les musiciens sont en forme, qu’ils envoient de l’énergie aux danseurs. Et que les danseurs leur renvoient, et vice versa ! C’est unique et cela peut durer des heures. J’adore aussi ces moments où, en forro par exemple, l’animatrice place 150 personnes d’un côté et 150 de l’autre et on croise ! C’est la fête ! ».
Bernard Coclet sait bien faire passer ce qui l’anime dans cette grande aventure : cette musique vivante qui crée la rencontre, entre le rythme, la mélodie, le groupe dansant et chaque personne qui danse, avec ses émotions. Et dans ces allers-retours, c’est « tout le corps qui danse ! ». Bernard Coclet fait son mea culpa, après quarante ans d’expérience de la danse. « Je ne peux plus parler de pas, car toutes ces danses d’inspirations traditionnelles sont bien plus que ça. C’est dommage de regarder ses pieds, alors qu’il y a tant de choses qui passent par le regard. Dans mes ateliers, je n’ai même plus envie de parler, mais de montrer. Et de laisser les danseurs me suivre, tant pis si c’est un peu chaotique au début ».
Et le voilà qui s’enflamme et se lève de sa chaise et commence à danser. Même avec la bourrée, non, attendez, surtout avec la bourrée, on y va avec les tripes.
Il a un bon moyen pour vérifier si ça fonctionne : « En dix minutes, tu dois éprouver du plaisir à danser. Et quarante ans après, garder ta capacité à t’émouvoir, découvrir et apprécier l’improvisation ».
Exemple : « J’ai notamment créé une bourrée qui s’apprend en deux minutes. Je l’avais proposée à 600 personnes à Rennes, par lignes de quarante personnes, qui avançaient ensemble et tournaient un peu. C’était super ! J’aime aussi quand on croise ensuite, même nombreux. C’est toute une attitude de réussir à se croiser sans se rentrer dedans. Apprendre à danser avec les autres, interagir avec le groupe, anticiper et “déticiper”. C’est comme dans la vie, c’est une question de consentement ! » Et de subtilité.
Sur le consentement, le festival insiste. Si les danses trad sont une manière rare d’inviter une autre personne à être touchée, sans se connaître, elles doivent aller de pair avec la capacité à dire non et à entendre ce non.
« Je crois en la capacité de la danse à améliorer les gens. Dites-vous qu’il n’y a pas beaucoup d’endroits où, quand vous tendez la main, il y a quelqu’un pour la saisir… et qu’il y aura quelqu’un dans vos bras au bout de trois minutes. Ça peut être bouleversant de toucher quelqu’un… »
Et de conclure par une « cocletterie » : « Danse sans conscience n’est que ruine du mouvement ». Vous voilà parés.
- Very Good Eshvili aime ceci
#359
Posté aujourd'hui, 10:51
#360
Posté aujourd'hui, 11:09
La jimbr'té, c'est la fête des corps.
Le tango de par chez nous. De l’art, Gennetines.
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