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France - Angleterre [ 6 Nations 2022 ]


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615 réponses à ce sujet

#106 Alex chocolatines

Alex chocolatines

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Posté 16 mars 2022 - 17:53

N empêche qu ils sont venus s entraîner au stade Christophe Dominici, ex-stade du Saut du Loup, partie des terrains d entraînement du Stade Frrrrrançais !

Ils sont foutus :w00t: La preuve ? Le SF s entraîne là-bas et regardez ce qu il lui arrive ! :crying:

J'espère au moins que t'as pissé dans leur gourdes  :P  Ou peut etre mis un coussin péteur sur le siège de Mr Jones ?  :D


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#107 modeste

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Posté 16 mars 2022 - 18:29

Victoire obligatoire 



#108 steph

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Posté 16 mars 2022 - 18:37

Victoire obligatoire


C'est en verlan ?

#109 marco43

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Posté 16 mars 2022 - 18:51

Vous voulez filler une attaque à RCV ?  :D

impossible, une attaque il n'en jamais fait une sur un terrain, alors c'est pas maintenant qu'il va commencer ^_^


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#110 el landeno

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Posté 16 mars 2022 - 22:37

Paroles d'Ex spécial Crunch - Roger Uttley : « Face aux Français, il ne faut pas se trouver du mauvais côté du ruck » Robuste deuxième-ligne du XV de la Rose entre 1973 et 1980, Roger Uttley a disputé cinq Crunches et remporté le Grand Chelem dans le Tournoi des Cinq Nations en 1980. Il raconte son admiration pour quelques-uns des Tricolores croisés sur les terrains, ses frasques dans Paris by night et son séjour avorté à Clermont-Ferrand.

 

« Quel est le joueur français qui vous a le plus marqué ?
Benoît Dauga (deuxième-ligne, 63 sélections entre 1964 et 1972). Il arrêtait sa carrière quand je débutais la mienne mais pour moi, il représentait l'avant français dans toute l'expression de sa force. Je me souviens d'un banquet d'après-match où il était là, invité par la Fédération française. Je me suis approché de lui pour le saluer. Je ne suis pas ce qu'on peut appeler un petit gabarit mais quand j'ai serré sa main, la mienne a complètement disparu dans la sienne (rires).

Quel est le partenaire avec lequel vous vous êtes le mieux entendu ?
Tony Neary (43 sélections entre 1971 et 1980) et moi avons joué au basket l'un contre l'autre quand nous avions dix-sept ans, au lycée. Je l'ai toujours admiré sur un parquet, et sur un terrain de rugby, il a très vite été l'un des meilleurs troisième-ligne ailes anglais. Pour moi, il est l'équivalent de Jean-Pierre Rives.

 
 

« Il n'y a jamais eu de bagarre générale entre nos deux équipes dans le Tournoi, du moins pendant ma carrière, mais des coups isolés, oui »

 

 
 
 

Quel est votre plus mauvais souvenir contre le XV de France ?
Quand nous sommes venus au Parc des Princes en 1980, nous n'envisagions pas la défaite. Juste devant la tribune officielle, les piliers Fran Cotton et Robert Paparemborde sont entrés en mêlée tête contre tête. Fran est tombé au sol et soudain, j'ai vu la chaussure de Paparemborde sur le visage de Fran. Je crois que Fran a eu très rapidement une explication avec lui, et ça ne s'est plus produit. Mais ça avait donné le ton du match (sourire).

Avez-vous participé à une bagarre générale ?
Non. Il n'y a jamais eu de bagarre générale entre nos deux équipes dans le Tournoi, du moins pendant ma carrière, mais des coups isolés, oui. En 1980, par exemple, je me retrouve hors-jeu et un immense avant français qui portait un large barbe claire (Manuel Carpentier) a fait le tour du regroupement pour me lacérer l'oreille. J'avais dû sortir quelques minutes pour me faire poser des points de suture... J'ai appris que face aux Français, il ne faut pas se trouver du mauvais côté du ruck (rires).

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Roger Uttley lors d'un entraînement de l'équipe d'Angleterre en 1990. (D.Fevre/L'Equipe)

Quel est le match qui reste gravé dans votre mémoire ?
Celui de 1980. Pour une équipe d'Angleterre, l'emporter à Paris a toujours été un exploit (elle n'y était pas parvenue depuis 1964). Ce match, c'est à la fois mon pire et mon meilleur souvenir. Le matin du match, il neigeait à Versailles où nous résidions. Nous étions confiants : c'était une journée froide et venteuse qui allait nous avantager. Cinq heures plus tard, quand nous sommes sortis du vestiaire inspecter la pelouse du Parc des Princes, le soleil est apparu... On faisait la gueule. Et ça n'a pas manqué : nous n'avions pas encore touché le ballon que sur la première attaque française dès la deuxième minute, Jean-Pierre Rives marque un essai ! On s'est dit que ça allait être un long après-midi (rires). Mais bon, on a fini par l'emporter (13-17)...

« Le banquet, très compassé, se tenait dans la salle des miroirs de l'hôtel de l'Opéra. Mais après, les joueurs Français nous ont emmenés au Crazy Horse ! Un grand moment »

 

 
 
 

De quelle troisième mi-temps vous souvenez-vous ?
Celle de 1974. C'est la première fois que je venais à Paris. Nous avions fait match nul (12-12). Le banquet, très compassé, se tenait dans la salle des miroirs de l'hôtel de l'Opéra. Mais après, les joueurs Français nous ont emmenés au Crazy Horse ! Un grand moment. Nous ne sommes rentrés à l'hôtel qu'au petit matin... Le réveil a été très difficile, et nos dirigeants ont décidé de repousser notre vol de départ pour Londres. C'est le jour où l'avion de la Turkish Airlines s'est écrasé à Ermenonville.

Nous avons donc modifié notre horaire de retour et je crois bien que nous devions prendre ce vol... À la radio, mon épouse a entendu qu'un avion s'était écrasé et que, dans les décombres, les sauveteurs avaient trouvé un maillot de l'équipe d'Angleterre. Elle pensait que j'étais parmi les victimes. Ce n'est que plus tard dans la journée que je suis parvenu à lui téléphoner pour la rassurer. À l'époque, il n'y avait pas de téléphones portables...

« À mes yeux, Jean-Pierre Bastiat personnifie l'esprit français. J'ai été touché par sa disparition, l'année dernière »

 

 
 
 

Quel est l'international français avec lequel vous êtes restés en contact une fois votre carrière de joueur terminée ?
J'ai eu la chance de jouer aux côtés de Jean-Pierre Skrela et de Jean-Pierre Rives avec les Barbarians britanniques contre Cardiff à la fin des années 1970. Dix ans plus tard, j'encadrais les jeunes joueurs de mon école, Arrows, en tournée dans le sud-ouest de la France et nous affrontions une équipe scolaire à Biarritz. Une heure plus tard, je vois arriver Jean-Pierre Bastiat le long de la main courante avec une boîte sous le bras.

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Jean-Pierre Bastiat (en haut à gauche de la photo), lors d'Angleterre-France du Tournoi 1973, a fait une belle surprise à Roger Uttley (en bas à droite) pour ses quarante ans. (L'Equipe)

Il a su que j'étais là par un de mes compatriotes, on bavarde, mon français est très limité, son anglais n'était pas terrible, mais nous parvenons à échanger quelques phrases. Soudain, il me dit : « Ça me fait plaisir de te revoir après tout ce temps. J'ai fêté mes quarante ans il y a quelques mois. Je suis né en 1949, comme toi, et je voudrais t'offrir ce cadeau. » Et là, il me tend une bouteille d'Armagnac, millésimée 1949. Quelle classe ! À mes yeux, Jean-Pierre personnifie l'esprit français. J'ai été touché par sa disparition, l'année dernière.

« S'il y a une chose que je regrette, c'est de ne pas avoir joué à Clermont-Ferrand »

 

 
 
 

Aimeriez-vous rejouer un de vos Crunches ?
Aucun. Nous avons gagné celui que nous voulions en 1980 pour remporter le Grand Chelem. En revanche, s'il y a une chose que je regrette, c'est de ne pas avoir joué à Clermont-Ferrand. En 1974, j'avais été approché par un dirigeant de ce club. Nous avions effectué le déplacement jusqu'en Auvergne mais mon épouse ne s'est pas sentie bien, et nous sommes repartis assez suite. Sans donner suite. Avec le recul, je me dis que nous aurions dû passer outre cette première impression défavorable. Je reste persuadé, aujourd'hui, que jouer en France aurait été pour moi une formidable expérience.

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Bonne ambiance aux abords du stade avant un Angleterre-France (20-23) du Tournoi des Cinq Nations 1997 entre Jo Maso, Roger Uttley et Pierre Villepreux. (D.Clement/L'Equipe)

Y a-t-il une action de jeu dont vous êtes fier ?
Non. J'ai beau chercher, je ne trouve pas... Il faut dire que j'avais rarement le ballon en mains. En revanche, il y a un moment où je me suis senti idiot (sourire). C'était lors du match de charité qui avait été organisé à Twickenham avec la France (victoire tricolore, 26-7) pour récolter de l'argent pour les familles de disparus du crash de la Turkish Airlines. Nous avions mis en place une combinaison un peu trop compliquée sur une pénalité à la main et ça n'a pas manqué : je me suis retrouvé au mauvais moment au mauvais endroit. Le ballon m'a rebondi dessus. Jamais je ne me suis senti aussi gêné de ma vie sur un terrain de rugby (sourire).

Quelle est l'anecdote que vous n'avez jamais racontée ?
Quand j'entraînais le XV d'Angleterre, au moment d'aller de notre hôtel, situé à Versailles, jusqu'au Parc des Princes, je montais toujours le premier dans le bus. Et vous savez pourquoi ? Pour avoir la meilleure place devant et voir comment, à chaque fois, les motards de la Gendarmerie sur leurs grosses BMW donnaient des coups de pied dans les voitures sur le périphérique pour élargir un passage afin que notre bus avance au milieu des embouteillages (rires). Lors de ma première visite à Paris en 1974, jeune international, j'étais assis à côté de David Duckham et nous n'en revenions pas de voir ça... Alors, après, à chaque fois je me suis arrangé pour être aux premières loges. Quel spectacle ! »

Sa vie d'ex
Deuxième et troisième-ligne centre du XV d'Angleterre (23 sélections entre 1973 et 1980), dont il fut le capitaine à cinq reprises, Roger Uttley (72 ans) a ensuite entraîné les avants du XV de la Rose entre 1988 et 1993, aux côtés de Geoff Cooke.

Directeur du département d'éducation physique de la très réputée école privée d'Arrow, il a pris sa retraite en 2014 et vit depuis à Northampton, pour se rapprocher de ses enfants et de ses petits-enfants. Il a arrêté la pratique de l'aviron mais effectue toujours des sorties à vélo les routes des Midlands.

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#111 Ptolémée

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Posté 16 mars 2022 - 22:41

les Anglais vont subir la défaite 



#112 el landeno

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Posté 16 mars 2022 - 22:43

Paroles d'Ex spécial Crunch - Brian Moore : « Je revois Dintrans me rapporter ma dent » Ancien talonneur du quinze de la Rose des années 1990, Brian Moore, alias « le pitbull de sa Majesté » et l'un des pires adversaires des Bleus, n'a pas oublié sa rencontre avec le talonneur français à Twickenham, en 1989.

 
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« Quel adversaire français vous a le plus impressionné sur le terrain ?
Le meilleur, c'est Philippe Dintrans (50 sélections entre 1979 et 1990). J'ai affronté pas mal de talonneurs français durant ma carrière, Dubroca, qui était lui aussi très solide, Armary, Marocco, Moscato, Tordo, Gonzalez, mais franchement, le plus fort, c'est Dintrans. Je me suis retrouvé face à lui en 1989 à Twickenham. Il m'avait mis beaucoup de pression. Cela dit, c'était mon deuxième Crunch et je manquais d'expérience. Il s'était bien occupé de moi (sourire). Je me souviens d'une charge dans le dos qui m'avait laissé presque K.-O. Il faut dire qu'il était costaud. J'avais perdu ensuite une dent dans un choc, et je le revois encore la chercher sur le terrain et me l'apporter, avec le sourire.

 
 
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Philippe Dintrans au milieu de la première ligne française, en 1989 à Twickenham. (R. Legros/L'Équipe)

Qui a été le partenaire le plus marquant de votre carrière ? 
Wade Dooley, sans hésiter (2,02 m, 115 kg, 55 sélections entre 1985 et 1993). À ses côtés, je ressemblais à un enfant. Quand ça chauffait sur le terrain, il suffisait qu'il s'avance et, immédiatement, la bagarre cessait (sourire). Quand j'ai débuté en équipe d'Angleterre, il était déjà en place depuis deux saisons. Il y avait quelque chose de rassurant à l'idée de savoir qu'il poussait en mêlée derrière moi. En touche, il était incomparable. C'était facile pour le lanceur que j'étais de lui adresser la balle dans l'alignement : il l'attrapait toujours...

« Cet essai de Saint-André en 1991à Twickenham ! De toute ma carrière, je n'ai jamais vu une aussi belle action... »

 

 
 
 
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L'essai de Philippe Saint-André, en 1991 à Twickenham. (D. Clément/L'Équipe)

Quel a été le Crunch dont vous gardez le meilleur souvenir ?
Ah ! Ç'a été celui de 1991 à Twickenham ! Avec cet essai de Saint-André. De toute ma carrière, je n'ai jamais vu une aussi belle action... Mais on a su répondre avec nos armes. On est restés très forts sur la ligne d'avantage, disciplinés, en essayant de bloquer un maximum d'initiatives françaises. C'est comme cela qu'on a fini par l'emporter (21-19) et décrocher le Grand Chelem. Ce que l'Angleterre n'était pas parvenue à faire depuis onze ans...

Quel est votre pire souvenir ?
Mon premier match au Parc des Princes en 1988. On a perdu de peu (10-9) alors qu'on avait dominé durant toute la partie. Ce jour-là, je me suis dit qu'on venait de laisser passer une occasion qui ne se reproduirait pas de sitôt. J'étais dévasté. Mais j'avais tort, l'année suivante, à Twickenham, on a gagné (11-0) et nous avons continué à battre la France dans le Tournoi jusqu'en 1995.

Quelle a été la troisième mi-temps la plus mémorable ?
En 1989, nous sommes allés aux Folies Bergère. Un cabaret typiquement français. J'ai adoré. Je n'avais jamais vu un spectacle comme celui-ci avant... Je me souviens d'un immense aquarium qui était soudain apparu sur la scène, avec un crocodile dedans. Et là, un homme a plongé pour se battre avec l'animal ! Personne ne s'y attendait. Après, on est allés dans divers établissements, et on est rentrés à l'hôtel vers cinq heures du matin...

Quelle est l'action dont vous êtes le plus fier ? 
C'est en 1992. Sadourny et Penaud se rentrent dedans alors qu'ils voulaient croiser. Le ballon tombe au sol, on le récupère et très vite, on perce la défense française, éparpillée. Je me suis dit alors : "Cours droit, cours droit au soutien !", en me souvenant de ce que m'avaient appris mes premiers entraîneurs. J'ai reçu la balle des mains de Dewi Morris et là, sur un pas, j'ai fixé le dernier défenseur pour offrir l'essai à Rory Underwood. Voilà, une course, une passe, un essai au bout : j'étais heureux.

« En 1992, quand Tordo est passé talonneur à la place de Moscato qui avait glissé pilier gauche après l'expulsion de Lascubé, la première entrée en mêlée a été terrible

 

 
 
 
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Le Crunch 1992, une « vraie bataille de gladiateurs » dans le souvenir de Brian Moore, avec ici Jeff Tordo (à g.) et Fabien Galthié. (R. Legros/L'Équipe)

Quelle est la bagarre qui vous a le plus marqué ? 
Je n'ai pas le souvenir de bagarres générales dans le Tournoi. Mais des accrochages, ça oui, il y en avait. En 1992, quand Tordo est passé talonneur à la place de Moscato qui avait glissé pilier gauche après l'expulsion de Lascubé, la première entrée en mêlée a été terrible. J'ai pris un énorme coup de tête et la mêlée s'est immédiatement relevée. Martin Bayfield m'a alors tiré vers lui. Il ne voulait pas que je sois mêlé à ça. Ce qui était la chose la plus sensée à faire. Une minute après, Moscato était exclu, laissant l'équipe de France à treize.

Y a-t-il un Crunch que vous aimeriez rejouer ? 
Celui de 1991 était formidable. Mais si c'était possible, je rejouerais bien celui de 1992, parce que c'était une vraie bataille de gladiateurs ! Ce coup-ci, je demanderais à Bayfield de ne pas me tirer par le maillot, histoire que je puisse me battre avec Tordo. Au moins qu'il me laisse juste essayer... (Rires.)

Y a-t-il une anecdote que vous n'avez jamais racontée ? 
À l'époque où nous voulions faire évoluer notre jeu, Pierre Villepreux est venu au Portugal. C'était fin 1988. Nous étions en stage. Personne ne nous avait prévenus qu'il serait là mais, franchement, ça ne nous a pas vraiment gênés. Quand j'étais jeune, devant ma télévision, j'admirais Pierre Villepreux. C'était un arrière très racé. Vous ne le savez peut-être pas mais jusqu'à 16 ans, j'ai toujours joué derrière, demi d'ouverture, trois-quarts centre, demi de mêlée, arrière... Lors de ce stage, j'ai adoré les exercices que Pierre nous a proposés. Devant, certains n'étaient pas chauds parce qu'ils n'avaient pas l'habitude de se faire des passes. Ils se sentaient sans doute trop empruntés. Mais moi, j'ai passé mon temps au milieu des trois-quarts ! »

Sa vie d'ex
Ancien talonneur (64 sélections entre 1987 et 1995) des Harlequins, Brian Moore (60 ans) a remporté trois Grands Chelems (1991, 1992 et 1995) et disputé trois Coupes du monde avec le quinze de la Rose (finaliste en 1991). Devenu avocat à la fin de sa carrière internationale, il rédige depuis de nombreuses années des chroniques pour The Daily Telegraph et anime des podcasts pour la BBC. Son autobiographie, Attention au chien, a reçu le prix du meilleur livre de sport en 2009.


#113 Bougnat et Breton

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Posté 16 mars 2022 - 22:56

impossible, une attaque il n'en jamais fait une sur un terrain, alors c'est pas maintenant qu'il va commencer ^_^

Il a juste des attaques de banques à son actif .......là c'est plus facile, il faut juste être du bon coté du comptoir :D


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#114 RCV06

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Posté 16 mars 2022 - 23:20

Et transformation de Marchand :rolleyes:

 

 

Vous voulez filler une attaque à RCV ?  :D

 

 

impossible, une attaque il n'en jamais fait une sur un terrain, alors c'est pas maintenant qu'il va commencer ^_^

C'est pas parce que je dis rien que je vois pas attention !!!


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#115 Bon Chasseur

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Posté 17 mars 2022 - 00:38

Je prédis une victoire française, qui se produira comme ceci: les Anglais n'ont rien à perdre et jouent décomplexés, les Bleus sont un peu sonnés par l'essai qu'ils prennent mais sont tellement désespérément attachés à cet idéal du Grand Chelem qu'ils auront rabâché toute la semaine qu'ils s'accrochent comme des morts de faim même s'ils ne jouent pas avec leur aise et leur flair habituels. La défense est là, et ils appliquent le plan de jeu. Menés à la pause, ils reviennent en 2è période pour reprendre la tête au score, puis gèrent pour tout juste gagner à la fin. Score final: 19-13.

 

Premier Grand Chelem en 12 ans, Shaun Edwards gagne par accident les élections présidentielles malgré les seuls 35 mots qu'il connaît en français. Eric Zemmour, Mélenchon et d'autres personnalités pestent contre un système politique français qui n'a plus de sens.



#116 sly86

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Posté 17 mars 2022 - 11:50

La phrase de rives: sauter à pieds joint sur un anglais au sol était la seule façon d’avoir des ballons propres…..alors pour nous c’était normal.

 

merci, c’est mon meilleur moment depuis des mois

 

https://www.rugbyram...659/story.shtml


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#117 RCV06

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Posté 17 mars 2022 - 11:51

Je prédis une victoire française, qui se produira comme ceci: les Anglais n'ont rien à perdre et jouent décomplexés, les Bleus sont un peu sonnés par l'essai qu'ils prennent mais sont tellement désespérément attachés à cet idéal du Grand Chelem qu'ils auront rabâché toute la semaine qu'ils s'accrochent comme des morts de faim même s'ils ne jouent pas avec leur aise et leur flair habituels. La défense est là, et ils appliquent le plan de jeu. Menés à la pause, ils reviennent en 2è période pour reprendre la tête au score, puis gèrent pour tout juste gagner à la fin. Score final: 19-13.

 

Premier Grand Chelem en 12 ans, Shaun Edwards gagne par accident les élections présidentielles malgré les seuls 35 mots qu'il connaît en français. Eric Zemmour, Mélenchon et d'autres personnalités pestent contre un système politique français qui n'a plus de sens.

Est ce que tu aurais les chiffres de loto par hasard B)



#118 Lavande50

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Posté 17 mars 2022 - 12:40

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#119 Alligator427

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Posté 17 mars 2022 - 13:10

francce-angleterre-1024x576.jpg

Retour à un banc 6+2
Retour de grand tao et Penaud.

C'est épais de chez épais.
Espérons qu'on va envoyer un peu du jeu et que notre charnière sera inspirée.

#120 RCV06

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Posté 17 mars 2022 - 13:25

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On aura pas l excuse d'absences ou de blessés, on a l équipe type.

Y a plus qu à !!!






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