Sauf que son lieu de résidence dépend de la façon dont il va exécuter sa peine. Si elle l'entrave au point de ne pas pouvoir exercer son métier, aucune raison qu'il se pointe à Clermont. Si ce n'est pas le cas, dès Juillet il est chez nous. La décision de la JAP conditionne toute la suite de l'histoire or il est évident que jamais elle ne l'empêchera d'exercer son métier vu sa situation personnelle. Qu'elle prenne sa décision et nous laisse ensuite gérer le bordel au lieu de tenir tout le monde en haleine deux mois de plus.
C'est encore plus compliqué, si en accord avec Clermont il part à Toulon (par exemple), où même s'il est prêté.
Et peut-être que ce délai d'attente est réglementaire.