Moi je garderai toujours en mémoire l'agression sur ROMEU par IMBERNON qui, indirectement nous a fait perdre la demi-finale qui a suivi, et peut être plus......................

c'etait mieux avant.
#1156
Posté 08 mars 2025 - 11:29
#1157
Posté 08 mars 2025 - 11:36
Moi je garderai toujours en mémoire l'agression sur ROMEU par IMBERNON qui, indirectement nous a fait perdre la demi-finale qui a suivi, et peut être plus......................
C'est pas Goze plutôt qui lui a pété le nez.
- Arverne03, Bougnat et Breton et el landeno aiment ceci
#1158
Posté 08 mars 2025 - 11:49
C'est pas Goze plutôt qui lui a pété le nez.
Oh bon sang, voilà que mes pertes de mémoire; liées à des confusions impardonnables me font divaguer plus que raison !
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#1159
Posté 08 mars 2025 - 12:09
C'est pas Goze plutôt qui lui a pété le nez.
Oui, Paul Goze, à Valence … j’y étais …
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#1160
Posté 08 mars 2025 - 13:58
C'est pas Goze plutôt qui lui a pété le nez.
Remarque si Imbernon avait été en position de le faire ça ne l'aurait absolument pas dérangé
#1161
Posté 08 mars 2025 - 17:21
Remarque si Imbernon avait été en position de le faire ça ne l'aurait absolument pas dérangé
Je sais plus en quelle année c'était, mais ils étaient quand même pote en 77
#1162
Posté 08 mars 2025 - 17:23
Je sais plus en quelle année c'était, mais ils étaient quand même pote en 77
Juste l’année d’avant
- RCV06 aime ceci
#1163
Posté 08 mars 2025 - 17:36
Michel Palmié a crevé un il à Armand Clerc le talonneur du Racing lors de la demi-finale du Championnat de France 1975.
C'était même pas lors d'une bagarre, la talonneur du Racing avait simplement récupéré le ballon sur une introduction biterroise.
Il y a quand-même une sacré différence avec Bias non qui avait eu un geste mal maîtrisé sur Kayser oui j'avoue même si le geste de Bias aurait dû être sanctionné!
Dire que Palmié après ça a été un personnage important de la FFR au début des années 1990..
Dis donc vieux... Bias a parfaitement maîtrisé son geste au contraire.Michel Palmié a crevé un il à Armand Clerc le talonneur du Racing lors de la demi-finale du Championnat de France 1975.
C'était même pas lors d'une bagarre, la talonneur du Racing avait simplement récupéré le ballon sur une introduction biterroise.
Il y a quand-même une sacré différence avec Bias non qui avait eu un geste mal maîtrisé sur Kayser oui j'avoue même si le geste de Bias aurait dû être sanctionné!
Dire que Palmié après ça a été un personnage important de la FFR au début des années 1990..
#1164
Posté 08 mars 2025 - 21:00
C'est pas Goze plutôt qui lui a pété le nez.
https://www.cybervul...attach_id=10049
Oui, oui c'est bien GOZE et voilà la résultat après le match.....
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#1165
Posté 09 mars 2025 - 12:41
Moi je garderai toujours en mémoire l'agression sur ROMEU par IMBERNON qui, indirectement nous a fait perdre la demi-finale qui a suivi, et peut être plus......................
Bonjour Arverne, je viens de découvrir cet Extrait d'une ITW de Paul GOZE qui parle très clairement de l'agression sur ROMEU, aucun regret de sa part...Juste pour alimenter le sujet sur ROMEU et l'ASM -
- Midi Olympique
- 20 Jul 2018
- Par Marc DUZAN marc.duzan@midi-olympique.fr
Photo archives Midol
On oublie souvent qu’avant de devenir responsable d’une agence immobilière, boss de l’Usap puis président de la Ligue, qu’avant de gérer l’épineux dossier des droits télés, de guerroyer avec Bernard Laporte ou Serge Simon, le patron des patrons fut un redoutable numéro 4. « Dans les années 70, se souvient Serge Blanco, on parlait beaucoup de l’autre deuxième ligne de l’Usap (Jean-François Imbernon, N.D.L.R.).
Mais Paul, plus discret, sévissait davantage… Comme toutes les fortes personnalités de ce temps-là, il était à la fois un papa, un gendarme, un protecteur et, lorsque les circonstances l’exigeaient, la personne censée faire comprendre au talonneur d’en face qu’il ne fallait pas toucher au ballon en mêlée… » En termes d’intimidation, de raideur, Paul Goze était l’équivalent du moustachu Palmié, du géant Estève ou du colosse Cholley. « Quand ça tombait, sourit Imbernon, il savait prendre les flingues avant tout
le monde. » Et comme s’il souhaitait aujourd’hui mettre de la distance entre ce qu’il fut et ce qu’il est, le président de la Ligue se drape désormais d’un voile de pudeur lorsqu’il est question d’évoquer les années folles et les galipettes du rugby d’antan. « Ça fait un peu vieille gloire, dit-il. Quand j’étais gamin, les histoires des anciens ne m’intéressaient pas. Alors, j’imagine que les jeunes d’aujourd’hui se fichent éperdument des us et coutumes de mon époque. Pour eux, le rugby n’a vraiment commencé qu’avec le professionnalisme ». Pas faux. « Et puis, tout ce qu’on raconte à mon sujet n’est peut-être pas vrai, vous ne croyez pas ? » Vrai ou pas, un ami catalan avait, dans les seventies, surnommé le deuxième ligne de l’Usap « IPG » : « Ignoble Paul Goze ». « Et le pire, se marre maintenant le président de la Ligue, c’est que ce surnom avait été repris par les journalistes ! Pour moi, « IPG » était juste le nom de ma boîte : « Immobilier Paul Goze ». Mais bon, il y a prescription… » « IL N’AVAIT QU’À PAS BOUFFONNER, CELUI-LÀ ! »
À Perpignan, on situe la résurrection de l’Usap dans les années 70, au jour où les Catalans avaient battu Clermont en huitième de finale. Cet aprèsmidi-là, Goze, Imbernon et les autres avaient d’ailleurs réalisé une incroyable performance, écrasant l’un des plus gros packs de l’Hexagone. Un témoin raconte : « Un an après ce match, les Jaunards nous attendaient de pied ferme. Le match était tendu, âpre, haché. En fin de rencontre, l’ASM
marquait un grand un coup essai de poing et Paul, à Jean-Pierre énervé, assenait Romeu. alors » Touché, le demi d’ouverture international s’effondrait. Dans le microcosme du rugby, le scandale était immense et, dans les vestiaires, un journaliste s’avançait alors vers le coupable pour lui demander de s’expliquer : « Qu’avez-vous à dire, Paul Goze ? Regrettez-vous votre geste ? — Absolument pas ! se voyait-il répondre. Il n’avait qu’à pas bouffonner, celui-là ! » Si la grande histoire d’amour de Paul Goze avec l’Auvergne s’était arrêtée là, elle aurait fait moins de victimes. « Mais l’année d’après, se souvient un autre Usapiste, on retrouve encore Clermont sur notre route. Dès le premier regroupement, Paul se fait ouvrir la tête en deux. Inquiet, l’arbitre lui demande : « Ça va,
Monsieur ? » Et l’autre répond, tranquille : «À merveille. Plus ça saigne et plus ça me plaît ! » À son retour sur la pelouse, il avait été épouvantable… » Passé l’orage, on ne dira pas que Paul Goze aimait se battre. On dira juste que le président de la Ligue était plutôt raccord avec les moeurs de son époque. Marc Brazès, ancien président de l’Usap, se souvient : « On voudrait réduire Paul à un joueur rugueux mais il était surtout un excellent rugbyman, adroit de ses mains et inépuisable. Il a quand même débuté en première à 18 ans contre le grand Agen ! » En fin de carrière, ralenti par une arthrose à la hanche, Paul Goze courait néanmoins au ralenti et jouait en Nationale B, l’équivalent de nos « réserves » actuelles. Brazès poursuit : « Un après-midi de phases finales, Paul s’est approché de son vis-à-vis et lui a dit : « Écoutemoi, jeune : je ne peux pas courir mais on va considérer que toi non plus. Alors, tu sautes en touche et tu pousses en mêlée, aucun problème. Mais à chaque fois que tu me dépasseras, tu prendras un marron. » Le mec a marché à ses côtés pendant quatre-vingts minutes. C’était hilarant. »
COUP DE FEU À IBIZA
Dans les seventies, Paul Goze a 25 ans et, avec plusieurs potes de l’Usap, décide de rejoindre la station balnéaire d’Ibiza pour quelques jours de vacances. L’un d’eux raconte : « Au petit matin, nous sommes sortis d’une boîte de nuit où nous avions un peu fait les cons. À ce moment-là, nous sommes tombés dans un traquenard. Des mecs se sont mis dans l’idée de nous massacrer ». En sous nombre, les rugbymen de l’Usap mordaient la poussière. Jean-Louis Fabre, un dirigeant du club, était même retrouvé gisant au sol. « Quand nous nous sommes approchés de Jean-Louis, poursuit ce même témoin, nous ne l’avons pas reconnu. Il était défiguré par les coups. Ce n’est que grâce à sa pièce d’identité que nous avons finalement compris qui c’était. Nous avons tous eu très peur, ce soir-là. » Au plus fort de la rixe, Paul Goze s’était quant à lui retrouvé acculé contre la devanture d’un bistrot. « Un type s’est présenté à lui avec un flingue, poursuit cet autre témoin. Et il a tiré. »
Miracle ? Coup de bluff ? « C’était une balle à blanc et au moment où le mec s’est rendu compte que
Paul était toujours debout, il l’a alors frappé avec une clé à molette. »
Sur le coup, le visage du deuxième ligne de l’Usap fut fendu en deux, du menton à l’arcade. Ses dents ?
Cassées pour la plupart. « Et vous savez ce qu’il a trouvé à nous dire ? » Non.
« Finalement, je ne suis pas si dangereux que ça, quand je donne un coup de pompe… »
« MON SURPOIDS M’INQUIÈTE »
Le président de la Ligue, en poste depuis 2012, est bien plus sensible, plus ouvert et plus fin que ne le laisseraient croire ses anecdotes, jetées en vrac pour le plaisir d’une lecture. Disert, drôle, féru d’histoire et de chiffres (« À une époque, je connaissais les plaques d’immatriculation de tous mes amis par coeur… »), Paul Goze et sa gouaille virent même au poignant lorsque l’on se risque à évoquer cette enveloppe corporelle, si peu commune, dans laquelle il est aujourd’hui enfermé. « Je ne me reconnais plus, lâche-t-il à présent. Mon surpoids m’inquiète, je consulte souvent des médecins et, même si ça peut sembler ridicule, j’essaie de faire attention… » Dans une société où l’image est une dictature, son physique atypique dénote, dérange parfois. « Aujourd’hui, le racisme anti-gros est la stigmatisation la plus répandue. Les gros sont vilipendés, moqués. C’est même la seule discrimination autorisée. Mon fils est handicapé et, dans la rue, personne ne lui dit jamais : « Hé l’handicapé ! » Vous n’entendrez jamais non plus quelqu’un dire : « Hé, le Noir ! » Ou « Hé, l’Arabe ! » En revanche, j’entends souvent : « Ça va le gros ? » Alors, quand vous mangez dans la rue, vous devez presque vous cacher. Sinon, vous les entendez tous murmurer : « Il a besoin de ça, celui-là ! Ça lui fait du bien ! » C’est assez désolant, que voulezvous… » Lui jure pourtant qu’à 66 ans, les insultes glissent désormais sur le rail de son indifférence. Il n’empêche : « Sur internet, les attaques sur mon physique sont incessantes. L’anonymat décomplexe les gens haineux. Dès qu’un article a trait à la Ligue, les commentaires qu’on y juxtapose font irrémédiablement référence à mon poids, au fait que je ne pense qu’à bouffer. En clair, les refoulés se défoulent. Moi, je me dis juste que les gens n’aimant pas manger sont tous de grands malheureux… »
« Comme toutes les fortes personnalités de ce temps-là, il était à la fois un papa, un gendarme, un protecteur et, lorsque les circonstances l’exigeaient, la personne censée faire comprendre au talonneur d’en face qu’il ne fallait pas toucher au ballon en mêlée » Serge BLANCO
- Arverne03 et Bougnat et Breton aiment ceci
#1166
Posté 10 mars 2025 - 18:54
Salut à tous - Déjà posté il y bien longtemps, mais pour le plaisir de le partager avec les anciens et les plus jeunes du forum surtout après avoir abordé le monstre à 16 pattes .....Conservé avec un brin de nostalgie .
- el landeno et Alex chocolatines aiment ceci
#1167
Posté 10 mars 2025 - 19:01
Pinaise, Doudou, ta toile cirée elle claque, presque autant que les pompes à RCV
- steph et DOUDOU63 aiment ceci
#1168
Posté 10 mars 2025 - 19:29
Pinaise, Doudou, ta toile cirée elle claque, presque autant que les pompes à RCV
Moqueur !!! C'est pas une toile cirée ...
#1169
Posté 10 mars 2025 - 19:37
Moqueur !!! C'est pas une toile cirée
...
Dans ce topic, il doit y avoir des adeptes de la toile cirée plus que de la nappe, c'est un truc d'anciens quoi. Et est ce que tu mets en plus un bulgomme dessous pour pas abimer la table ?
#1170
Posté 10 mars 2025 - 20:38
Dans ce topic, il doit y avoir des adeptes de la toile cirée plus que de la nappe, c'est un truc d'anciens quoi. Et est ce que tu mets en plus un bulgomme dessous pour pas abimer la table ?
OUI !!!!!! ......Réponse positive mon ami ...
- Arverne03 et Alex chocolatines aiment ceci
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