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U20 Saison 2023


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#586 jm12

jm12

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Posted 12 July 2023 - 08:13 AM

Ou de retour dans son comité. Sa mère avait un drapeau béarnais en tribune pour la demie. L'attachement au Pays, la famille, ça compte aussi :P  :P

Pas faux....mais pour le moment il construit son parcours pro et un jour viendra peut-être.....quand : " that is the question ..."



#587 Rugby ?

Rugby ?

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Posted 12 July 2023 - 08:19 AM

Ou de retour dans son comité. Sa mère avait un drapeau béarnais en tribune pour la demie. L'attachement au Pays, la famille, ça compte aussi :P  :P

2 vaches rouges.

Des Salers quoi !



#588 L'Eclair

L'Eclair

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Posted 12 July 2023 - 09:27 AM

2 vaches rouges.

Des Salers quoi !

Non pas, des béarnaises ! Reconnaissables grâce à leurs cornes en lyres comme sur le blason datant du IXe siècle : "D'or aux deux vaches de gueules, accornées, colletées et clarinées d'azur, passant l'une sur l'autre", ce qui signifie "sur fond jaune doré, deux vaches rouges aux cornes, au collier et à la cloche bleue "

 

200px-Blason_du_B%C3%A9arn.svg.png


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#589 Lourugby

Lourugby

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Posted 12 July 2023 - 09:53 AM

La composition des français pour défier les irlandais en finale, ce vendredi à 19h :

 

15. Ferté ; 14. Drouet, 13. Deporteere, 12. Costes, 11. Atissogbé ; 10. Reus, 9. Jauneau ; 7. Jégou, 8. Gazzotti, 6. Nouchi (cap.) ; 5. Tuilagi, 4. Auradou ; 3. Affane, 2. Jouvin, 1. Penverne.

 

Les remplaçants : 16. Lacombre, 17. Julien, 18. Duchene, 19. Liufau, 20. Castro-Ferreira, 21. Carbonneau, 22. Mathiron, 23. Mondinat.


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#590 L'Eclair

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Posted 12 July 2023 - 10:28 AM

whatsapp-image-2023-07-12-at-10-02-33-10

 

Drouet remplace Moustin et le banc 6+2 de la demie revient en 5+3 au profit de Mathiron qui remplace Timo


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#591 Rugby ?

Rugby ?

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Posted 12 July 2023 - 10:30 AM

Non pas, des béarnaises ! Reconnaissables grâce à leurs cornes en lyres comme sur le blason datant du IXe siècle : "D'or aux deux vaches de gueules, accornées, colletées et clarinées d'azur, passant l'une sur l'autre", ce qui signifie "sur fond jaune doré, deux vaches rouges aux cornes, au collier et à la cloche bleue "

 

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Vaches rouges, cornes bleues ......  Cornes d'Auroch ! ton blasonier, était piqué au Madiran.


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#592 el landeno

el landeno

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Posted 12 July 2023 - 18:52 PM

L'ancien manager des moins de 20 ans, Sébastien Piqueronies : « Un réservoir d'une richesse absolue » Ancien manager des moins de 20 ans, avec qui il a été sacré en 2018 et 2019, et aujourd'hui à la tête de Pau, Sébastien Piqueronies porte un regard admiratif sur les Bleuets actuels qui défieront l'Irlande vendredi (19 heures) en finale de la Coupe du monde. Il ne tarit pas d'éloges sur la synergie entre les clubs professionnels et la fédération.

« Quel regard portez-vous sur cette génération actuelle des moins de 20 ans qui affronteront l'Irlande vendredi soir à 19 heures, au Cap (Afrique du Sud) ?
Un regard admiratif, comme tout le monde je pense. Nous sommes évidemment très fiers de ce que font les jeunes Français et surtout de ce continuum depuis plusieurs années, notamment les deux derniers Tournois et ce début de Coupe du monde. L'état d'esprit France jeunes perdure avec des ressources importantes.

 
 

Cette continuité après les titres de 2018 et 2019 (les éditions suivantes ayant été annulées) est assez remarquable...
Oui, on peut effectivement acter une continuité. Que l'on perde ou que l'on gagne vendredi, ça sera de toute façon la troisième finale d'affilée. Je me souviens qu'en Argentine (en 2019), on avait gagné, mais aurait aussi pu perdre contre l'Australie (victoire 24-23) et il faut garder de l'humilité. Mais le plus important, c'est de se hisser à nouveau sur le toit du monde ou au moins en finale à chaque fois. Ça prouve qu'il y a un vrai travail en profondeur, des générations de joueurs français pleins de talent mais surtout que la fédération et les clubs les accompagnent très bien mutuellement.

Pourquoi la France est-elle meilleure que les autres dans ce domaine ?
Depuis plusieurs saisons, il y a une réelle synergie entre la qualité du suivi de la DTN, un marqueur fort, mais aussi la structuration des clubs. Aujourd'hui, si la qualité de ces joueurs est telle, c'est aussi parce qu'il y a des moyens dans leurs clubs et de la compétence pour très bien les accompagner. Ils sont très entraînés, préparés et suivis, mais ils sont surtout bien managés. Dans chacun de leurs clubs, on n'hésite pas à faire confiance à ces jeunes indépendamment de leur âge, mais aussi au plan de succession en imaginant à l'avance la place que pourront tenir ces jeunes joueurs d'élite. Cette synergie entre fédération et clubs est le modèle français, un modèle unique et qui est en train de porter ses fruits. Je sais aussi que c'est un lourd travail entamé depuis pas mal de temps et qui s'est accéléré depuis deux-trois ans, mais il faut aussi rester prudent. Le plus gros chantier est de le faire durer. Quand tu es leader, le devoir d'exigence doit être encore plus fort pour maintenir ce degré d'exigence et aller à la pointe de l'innovation du management de ces jeunes. Il faut que ça devienne un modèle français qui gagne durablement.

« Ce qui est important, c'est, pour ces jeunes, ce sentiment d'appartenance à un projet France qui est très fort »

 

 
 
 
 
 

Vous le disiez, la différence réside aussi dans le fait que les jeunes Français jouent davantage dans leurs clubs qu'auparavant...
Oui, la France est de loin la nation qui a fait le plus jouer en professionnel ses jeunes. Ça va crescendo depuis deux ou trois éditions et ça permet aux joueurs d'avoir confiance en eux. C'est génial car ça veut dire que le modèle français a trouvé son point d'équilibre grâce à la règle des JIFF et la filière de formation qui garde un continuum sur le listing des joueurs. Ce qui me marque le plus dans la génération de cette année, c'est qu'il y a beaucoup de joueurs nés en 2004 (qui n'ont que 18 ou 19 ans et pourront encore être sélectionnables la saison prochaine).

6
Six joueurs titulaires vendredi face à l'Irlande sont nés en 2004 et pourront participer au prochain mondial : il s'agit de Zaccharie Affane (pilier), Posolo Tuilagi (2e ligne), Marko Gazzotti (n°8), Hugo Reus (ouvreur), Théo Attissogbé (ailier) et Mathis Ferté (arrière)

Le renouveau chez les jeunes Français s'est même produit avant que le « grand » quinze de France ne connaisse ses bons résultats. Pourquoi ?
Je suis mal placé pour en parler mais c'est vrai que ç'a été amorcé dans les années 2016-2017 et ça s'est concrétisé en 2018. Mais c'est sur le travail de l'ombre de la décennie d'avant que l'on peut évaluer les résultats. Didier Retière (le DNT entre 2014 et 2022) avait amorcé un lourd travail sur le projet France jeunes et je constate que malgré son départ et l'arrivée d'Olivier Lièvremont (en avril 2022), le travail perdure. Sébastien Calvet le symbolise à la fois dans son rôle de sélectionneur des moins de 20 ans et surtout manager du projet France jeunes qui a du corps et de la cohérence. Ce qui est très important, c'est, pour ces jeunes, ce sentiment d'appartenance à un projet France qui est très fort, et non plus comme un joueur de club qui est heureux de temps en temps d'avoir une sélection.

Le modèle français peut-il être copié à l'étranger ?
Chaque modèle doit être vraiment adapté à son écosystème. Et nous en France, on a un environnement très particulier. Si l'on ajoute la Nationale au Top 14 et la Pro D2, on a 44 clubs professionnels. Ça signifie autant de ressources, ainsi qu'une trentaine de centres de formation. On a un réservoir d'une richesse absolue. Je trouve que le modèle français optimisme bien ses ressources fortes dans un projet d'appartenance national. C'est ce que réussit brillamment en ce moment la grande équipe de France. Je ne pense pas que les autres puissent le copier parce qu'ils n'ont pas le même écosystème et des clubs aussi forts en qualité et en quantité.

« On se rêve de gagner la Coupe du monde chez les grands, et pourquoi pas durablement, mais un des indicateurs est de figurer en finale des jeunes sur la continuité »

 

 
 
 

Devenir champion du monde avec les moins de 20 ans ne garantit pas forcément de réaliser une belle carrière...
C'est vrai, il y a des contre-performances. Et certains ont arrêté leur carrière comme Maxime Marty (qui était à Carcassonne et se consacre désormais à ses études de kiné). Des champions du monde évoluent en Nationale, d'autres en Pro D2 alors que d'autres vont, je pense, bientôt rayonner sur le toit du monde comme Romain Ntamack. Il reste encore une grande marche à franchir pour être capable de réussir une carrière de joueur professionnel en suivant avec son lot d'incertitudes et de durabilité éphémère.

L'objectif n'est-il pas justement que ces Bleuets s'imposent encore davantage plus régulièrement au sein du « grand » quinze de France ?
Si, bien sûr. Je pense que c'est l'objectif ultime de la fédération. Les Néo-Zélandais ont marché sur le toit du monde chez les grands en 2011 et 2015 mais aussi quatre Coupes du monde d'affilée chez les moins de 20 ans (de 2008 à 2011). Il n'y a pas de secret mais que des procédés. On rêve de gagner la Coupe du monde chez les grands, et pourquoi pas durablement, mais un des indicateurs est de figurer en finale des moins de 20 ans sur la continuité.


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#593 TH69

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Posted 13 July 2023 - 21:51 PM

C'est sur l'equipe TV ?

#594 Alex chocolatines

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Posted 13 July 2023 - 22:03 PM

C'est sur l'equipe TV ?

Voui, 21 et gratos, elle est pas belle la vie ?  :P

 

19 h l'heure de l'apéro  B)


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#595 Alligator427

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Posted 13 July 2023 - 22:12 PM

Ou de retour dans son comité. Sa mère avait un drapeau béarnais en tribune pour la demie. L'attachement au Pays, la famille, ça compte aussi   :P

Y a des chèvres dans le Bearn ?

#596 el landeno

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Posted 14 July 2023 - 06:36 AM

Coupe du monde U20 (finale) : Les Bleuets, face à l'Irlande, visent la passe de trois Impressionnants depuis le début de la compétition, les Bleuets de Sébastien Calvet vont tenter ce vendredi (19 heures), contre l'Irlande, de conquérir le titre qui serait le troisième d'affilée après ceux de 2018 et de 2019.

Trois titres de champion du monde à la suite ? Oui, c'est possible, et français. Ce vendredi soir, à 19 heures, sur la pelouse ou plutôt le champ de pommes de terre de l'Athlone Stadium du Cap (Afrique du Sud), les Bleuets disputent la finale de la Coupe du monde des moins de 20 ans, la troisième d'affilée après celles de 2018 et 2019 (*).

 
 

À l'époque, l'équipe entraînée par Sébastien Piqueronies s'était imposée, d'abord contre l'Angleterre, puis contre l'Australie. Un triplé pour se rapprocher du quadruplé des bébés All Blacks, vainqueurs de cette épreuve de 2008 à 2011, ç'aurait de la gueule.

Et peut-être du sens pour demain, pour la prochaine Coupe du monde, celle que les hommes de Fabien Galthié ont commencé à préparer il y a quelques jours, sans oublier 2027. L'histoire de ce sport donne raison aux nations dont les jeunes pousses brillent sur la scène internationale. Pour rappel, les éditions de 2011 et 2015 ont été remportées par la Nouvelle-Zélande.

Cette fois, face à la France, se dresse l'Irlande, impressionnante de maîtrise depuis des mois, comme son aînée, et victorieuse des deux dernières confrontations (17-16 durant le Tournoi 2022, 33-31 cette année).

« Franchement, on essaie de ne pas trop parler de ce qui s'est passé avant et d'y penser, explique Zaccharie Affane, le pilier droit. Chaque histoire est différente. Là, c'est la nôtre. » Mardi, les joueurs ont déjeuné en ville, sans les coaches. On n'était pas conviés, mais on peut imaginer que le discours des leaders, entre l'entrecôte et le café, a tourné autour de cette thématique.

 
 

« Fabien et son staff partagent à 100 % leur contenu, leur projet de jeu, leur démarche, et leur vision des joueurs pour demain, parce que nous, notre objectif, c'est de les préparer pour 2027 »

Sébastien Calvet, manager des Bleuets

 
 
 

Il faut revoir les images d'Oscar Jegou, le troisième-ligne de La Rochelle, et réécouter ses mots prononcés avec des trémolos dans la voix, dans les vestiaires avant la demi-finale : « 80 minutes pour changer notre vie peut-être, il y a une finale derrière, et après ça change la vie les gars. Des souvenirs à jamais. »

La finale, les Bleuets sont allés la chercher après un rude combat contre les Anglais (52-31) qui menaient de 10 points à la pause. « Cette génération veut vivre son aventure, son histoire, insiste Sébastien Calvet, le manager. Ce n'est pas elle qui défend les titres de 2018 et de 2019. » Il a raison.

Mais le rugby français, et le sport français en général éprouvent le besoin de bomber le torse, et de crier haut et fort, et souvent, quand quelque chose marche bien. La formation fonctionne à merveille, il faut donc en parler. Et se vanter. Un peu.

Les raisons de cette réussite qui dure, et va durer ? La qualité de l'encadrement, la richesse d'un réservoir de joueurs qui semble intarissable, sans oublier la création des JIFF, au début des années 2010, qui assure aux Espoirs une place non négligeable dans tous les effectifs professionnels.

« Tout le monde est sur la même longueur d'onde, de l'école de rugby en passant par les centres de formation, jusqu'aux équipes professionnelles, analyse Affane, le pilier de l'UBB. Tout est mis en oeuvre pour que les jeunes réussissent et soient intégrés au projet. »

Nés en 2003 ou 2004, les Bleuets, à l'exception de quatre ou cinq joueurs dont Affane, ont tous goûté aux joutes professionnelles, en Top 14 ou Pro D2. Une expérience inégalable.

Baptiste Jauneau, le formidable demi de mêlée qui fêtera ses 20 ans en novembre, a participé à 30 rencontres cette saison, avec Clermont. Posolo Tuilagi, lui, en a joué 16, et des stressantes, avec notamment une titularisation et un essai, contre Grenoble, en access match.

On peut aussi sortir les CV de Louis Bielle-Biarrey et d'Émilien Gailleton, deux cadres de cette génération, titulaires indiscutables à l'UBB et Pau, que Fabien Galthié a « privé » de ce beau voyage initiatique en Afrique du Sud pour préparer, avec les grands, la Coupe du monde, la vraie.

« Avec Fabien Galthié, c'est la première fois, qu'il y a une connexion totale avec les moins de 20 ans, jure Calvet. Fabien et son staff partagent à 100 % leur contenu, leur projet de jeu, leur démarche, et leur vision des joueurs pour demain, parce que nous, notre objectif, c'est de les préparer pour 2027. »

Mais avant de penser à l'avenir, de se projeter en 2027, il y a cette finale ce soir, à jouer. Et à remporter.


Oscar Jegou, avant la finale de la Coupe du monde U20 face à l'Irlande : « Après chaque match, on passe une heure à chanter » Le troisième-ligne et vice-capitaine de l'équipe raconte, avant la finale de ce vendredi (19 heures) face à l'Irlande, les petits rituels des Bleuets et la sérénité qui habite ce groupe.

Depuis qu'il est rentré de l'école maternelle, un prospectus pour venir essayer le rugby rangé dans son cartable, Oscar Jegou, 20 ans, n'a jamais plus décroché de ce sport qu'il vit à fond.

 
 

Fan et joueur du Stade Rochelais, son club depuis quatorze ans, il est d'une grande maturité et quand on lui parle de l'aventure avec le groupe des moins de 20 ans, il assure : « Ce qu'on vit, ce n'est plus de l'ordre du rêve de gosse, c'est une opportunité. »

« Comment décririez-vous l'ambiance au sein de cette équipe de France, que rien ne semble pouvoir arrêter ?
On est un groupe qui s'entend très bien, on est tout le temps fourrés ensemble, on rigole beaucoup et, après chacune de nos victoires, on passe près d'une heure à chanter. C'est le moyen qu'on a trouvé pour faire la fête, car on n'a pas le droit de sortir, avec des matches tous les cinq jours depuis le 24 juin. Le rituel est toujours le même : on boit une bière dans les vestiaires, on rentre à l'hôtel et là, on se réunit dans une grande salle et tout notre répertoire y passe. Ce sont de vieilles chansons, comme Siffler sur la colline de Joe Dassin, qui datent un peu, même beaucoup, mais qui se transmettent depuis des années dans le rugby français. Notre préférée, c'est Moumou, la reine des mouettes, une chorégraphie où il faut rajouter des gestes à chaque couplet. Chez nous, c'est Léo Carbonneau (un des demis de mêlée) le meneur, il fait ça très bien !

« Quand notre jeu est en place, peu de monde peut nous arrêter »

Oscar Jegou

 
 
 

Après votre victoire sur l'Angleterre (52-31), dimanche dernier, alors que vous étiez menés de dix points à la mi-temps, vous avez tous déclaré n'avoir absolument jamais douté. Cela pourrait presque passer pour de l'arrogance...
C'est vrai mais c'est surtout qu'on est sûrs de notre force. On a beaucoup travaillé sur la sérénité, c'est le socle de notre équipe. On se sert de ceux qui ont de l'expérience en club, qui ont vécu ces situations où on réalise qu'un match n'est jamais fini. Ils nous en parlent, on puise là-dedans. On sait aussi que quand notre jeu est en place, peu de monde peut nous arrêter. Alors, même si on ressent un peu de stress avant la finale, on essaie de ne pas le transmettre au groupe. C'est notre lucidité qui nous a amenés jusque-là ; on sait ce qu'on vaut.

 
 

Avec Lenni Nouchi et Marko Gazzotti, vous formez une troisième ligne qui a été très remarquée face aux Anglais (un essai chacun). Vous discutez beaucoup ensemble ?
Je ne connais Marko que depuis le Tournoi des Six Nations cette année mais, avec Lenni, on est très amis depuis quatre ans car on a toujours été ensemble en sélections et on joue souvent l'un contre l'autre en club. On a une vraie relation d'amitié et on s'appuie dessus pour se tirer la bourre. On a inclus Marko et instauré une sorte de petit jeu pour savoir qui va apporter le plus à l'entraînement, en match. C'est un poste où je me sens à l'aise car à La Rochelle, il y a eu et il y a toujours de très bons troisièmes-lignes. Des joueurs comme Greg Alldritt ou Mathias Haddad m'aident beaucoup avec leurs conseils.

Vous venez de signer un contrat de trois ans, vous serez professionnel à partir de juillet 2024, c'était votre rêve ?
Oui, quand j'avais huit ans, au bout de trois ans de rugby, quand j'ai compris que ça pouvait être un métier, j'ai direct voulu faire ça ! Je n'étais pas un grand fan de l'école et je baignais dans le rugby car mon père, même s'il n'a jamais joué, était un grand fan. Avec mes deux frères, cela fait quatorze ans qu'on est à tous les matches, dans les tribunes, habillés en jaune et noir ! »

 
 


#597 Babé03

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Posted 14 July 2023 - 12:08 PM

Penverne forfait pour ce soir.



#598 Oscar

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Posted 14 July 2023 - 12:42 PM

De même, pour l'instant je n'ai pas été impressionné outre mesure par Ferté.
 
Ceci dit, à l'époque lorsqu'il était en U20, je trouvais Ramos moyen, donc bon, je vais rester prudent.


Effectivement, je les vois pas commencer en top14 la saison prochaine.
Ne pas oublier qu'on joue sans Gailleton, qui a une sacrée pointe de vitesse, et Bielle-Biarrey ! :)
Il y a pas beaucoup d'automatismes, donc ils sont pas trop dans la lumière nos ailiers.

On parle pas beaucoup d'Affane qui est déjà redoutable. On a pas beaucoup de droitiers en France, et Atonio arrête après la coupe du monde. Il pourrait faire comme Jean-Baptiste Gros et grappiller des minutes dans une ou deux saisons.
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#599 Bon Chasseur

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Posted 14 July 2023 - 14:29 PM

Penverne forfait pour ce soir.

on dirait un nom dans Kaamelott.

Peut-être qu'il doit partir rejoindre le Royaume de Logres.



#600 Alligator427

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Posted 14 July 2023 - 16:25 PM

on dirait un nom dans Kaamelott.
Peut-être qu'il doit partir rejoindre le Royaume de Logres.

Juste un nom breton...




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