Urios qui fait du Urios sur sud radio: " on est là seule équipe au monde où tu te dis, ça va bien, on est bien... tu pars pisser, tu reviens.... on a pris 4 essais."
Tellement vrai
Posté 11 juin 2025 - 21:39
Urios qui fait du Urios sur sud radio: " on est là seule équipe au monde où tu te dis, ça va bien, on est bien... tu pars pisser, tu reviens.... on a pris 4 essais."
Posté 11 juin 2025 - 21:48
Ah ça, des tribunes j'ai cru que c'était bon.
En revanche quelle ambiance c'était...
Le cortege d'avant match... On était si nombreux de l'hotel de ville à Chaban, avec les supporters du Leinster dans le tas, c'était mémorable !
Rob Kearney qui nous crucifie sur un retour intérieur, un classique du Leinster de l'époque.
Et le bras de Fofana tourné dans le mauvais sens...
Posté hier, 00:33
Le cortege d'avant match... On était si nombreux de l'hotel de ville à Chaban, avec les supporters du Leinster dans le tas, c'était mémorable !
Rob Kearney qui nous crucifie sur un retour intérieur, un classique du Leinster de l'époque.
Et le bras de Fofana tourné dans le mauvais sens...
et cette dernière bagarre sur la ligne d’en-but où on s’embouse à plusieurs reprises et personne n’éjecte pour sivivatu qui a un espace vide devant lui….c’etait sous mes yeux
Posté hier, 05:21
Ah ça, des tribunes j'ai cru que c'était bon.
En revanche quelle ambiance c'était...
on était derrière les poteaux de ce côté, pour nous c'était bon
Posté hier, 05:52
L’ancien manager de l’UBB a réussi à qualifier in extremis une ASM qui n’avait plus goûté aux phases finales depuis quatre ans
Christophe Urios affirme ne rien faire par hasard. Partant de ce postulat, il n’est pas interdit de se demander ce qui a motivé son choix de ne pas prendre part à la conférence de presse de l’ASM, mercredi midi à Clermont, alors que sa présence était initialement annoncée. À deux jours du barrage que son équipe disputera à Bayonne, vendredi soir (21 h 05), le manager a laissé filtrer le message selon lequel il était « trop tôt pour parler ». Vraiment ? On ne le saura pas.
Il aurait pourtant été intéressant d’entendre l’homme qui incarne le (miraculeux ?) redressement de Clermont. L’équipe qui a forcé les portes du top 6 lors de la dernière journée à Montpellier. Une institution sacrée en 2010 et en 2017, qui s’était transformée en ogre tout au long des années 2010, mais qui n’avait plus disputé le moindre match de phase finale depuis quatre ans. Une éternité pour une Yellow Army qui en est peut-être venue à regretter l’époque où la propension de l’ASM à échouer en finale était moquée par ses adversaires…
Christophe Urios aurait pu en parler. Mais il aurait également pu s’attarder sur l’écho de cette qualification d’un point de vue plus personnel. Le technicien répète souvent que son passage à l’UBB (2019-2022) n’a pas été un échec. Les résultats lui donnent raison. Mais son éviction en novembre 2022, conjuguée aux difficultés qu’il a rencontrées depuis en Auvergne, a égratigné l’image du manager à qui tout réussissait depuis ses passages à Oyonnax et à Castres.
Cette lecture ne tient cependant pas compte de l’écosystème dans lequel il a atterri un mois et demi après avoir été limogé en Gironde. « Partout où je suis passé avant, on travaillait plus que ce que j’ai pu observer en arrivant ici en février 2023 », a-t-il déclaré en décembre dernier. Un constat qui ne traduit pas totalement l’ampleur de la tâche qu’il a trouvée en débarquant à Clermont. « Tant que tu ne vis pas un projet de l’intérieur, tu ne peux pas bien mesurer les choses, qu’elles soient positives ou négatives », observe Miguel Fernandez, l’agent dont il est le plus proche : « Il y avait beaucoup de « taf » lorsqu’il est arrivé. » Un euphémisme.
« Qu’est-ce que j’ai demandé dans le vestiaire ? S’ils ne se foutaient pas de ma gueule ! »Greffe difficile
Contrats longue durée et dispendieux, finances dégradées, luttes intestines, crise de gouvernance, résistance au changement… L’ASM était en piteux état lorsque Christophe Urios en a poussé les portes. Déjà enclenché, le cercle vicieux était difficile à enrayer. Septième place en 2022, dixième en 2023, huitième en 2024 : la greffe n’a pas pris immédiatement. Loin de là.
Cette stagnation a alimenté les critiques. Une frange des supporters a dénoncé son manque d’ambition dans le jeu ou sa frilosité au moment de lancer les jeunes. Attaque isolée et procès injuste affirment ses partisans : si le manager a recruté l’ancien grognard Benjamin Urdapilleta (39 ans), il a également installé des éléments tels que Baptiste Jauneau, Léon Darricarrère ou Barnabé Massa, tous trois âgés de 21 ans.
« Je n’ai pas l’impression qu’il y ait des problèmes avec les supporters », estime le deuxième ligne Thomas Ceyte. Que le manager vienne d’instaurer depuis plus d’un mois les « Cafés jaunards », un moment d’échange avec les supporters après chaque match, tend toutefois à démontrer qu’il estime devoir reconstruire un lien… Le manager va avoir tout le temps pour le faire. Bénéficiant du plein soutien de sa direction, il a prolongé à l’automne dernier jusqu’en 2027.
La qualification arrachée à la dernière journée a mis une sourdine aux voix discordantes. Mais le dernier coup de gueule en date du manager, à la mi-temps du match contre le Stade Français (55-20), démontre qu’il n’a pas tout à fait réussi à guérir son équipe de son irrégularité chronique : « Qu’est-ce que j’ai demandé dans le vestiaire ? S’ils ne se foutaient pas de ma gueule ! »
Christophe Urios a déclaré cette saison avoir eu l’impression de vivre plusieurs saisons en une seule. Baptiste Jauneau, son capitaine, ne partage pas tout à fait son avis. Mais la nuance est mince. « J’ai vécu une seule saison, même si elle a été en dents de scie », estime le numéro 9 formé à Biarritz. « Toutes les équipes vivent ça, même si on en a peut-être eu plus que d’autres. » Vrai. Ça ne satisfera probablement pas un manager qui veut toujours tout anticiper. Mais pour l’heure, il a toutes les raisons de s’en contenter.
Posté hier, 09:59
Tellement vrai
il dit beaucoup de choses vraies ,mais s'il pouvait remédier aux problèmes...
Posté hier, 11:54
il dit beaucoup de choses vraies ,mais s'il pouvait remédier aux problèmes...
Posté hier, 13:18
Comme arrêter d'aller pisser pendant les matches pour qu'on puisse se qualifier ?
Ouai ouai...tu verras mon cher Codo/ l'hypertrophie bénigne de la prostate , ça te gagne ! à défaut de faire gagner l 'A S M
Posté hier, 13:46
Ouai ouai...tu verras mon cher Codo/ l'hypertrophie bénigne de la prostate , ça te gagne !
à défaut de faire gagner l 'A S M
Posté hier, 20:28
il dit beaucoup de choses vraies ,mais s'il pouvait remédier aux problèmes...
Mettre des mots sur des maux, c'est déjà le premier pas. Avec les moyens du bord, pour réussir, les joueurs doivent se sublimer. Il le sait. C'est comme cela que l'on va au bout sans y être invité...
Posté hier, 23:03
Mettre des mots sur des maux, c'est déjà le premier pas. Avec les moyens du bord, pour réussir, les joueurs doivent se sublimer. Il le sait. C'est comme cela que l'on va au bout sans y être invité...
Ca il faut arrêter avec ces choses là, sincèrement. On a pas moins de moyens que les autres. Au contraire, à en croire les derniers chiffes officiels sortis, on est dans le Top 6 et globalement à part Toulouse et Paris, il n'y a pas grande différence entre Clermont et les autres gros que sont Toulon ou La Rochelle, et on serait même devant l'UBB.
Et au delà du budget, puisque c'est là que peuvent se faire de plus grosses différences encore, on a le Salary Cap d'une équipe avec 3-4 internationaux français. Et on serait au taquet. Donc là non plus, l'aspect "moyens du bord" n'est pas justifié.
Quant à la qualité de notre effectif, je pense qu'on a l'effectif qui reflète notre position. Et je pense qu'avec un vrai 10 ou aurait de quoi aller chercher le Top 4. Quand je compare nos effectifs avec ceux du Top 3 + La Rochelle qui se rate mais qui sur le papier a un effectif (et un recrutement) que je juge personnellement supérieur à nous, je ne bade aucune équipe. Alors oui il y a des joueurs ailleurs que j'aimerai bien parmi ces équipes : Barré à Paris, Tatafu à Bayonne, Niniashvili, Berdeu ou Couilloud à Lyon et plein d'autres, mais il y a surtout dans notre effectif un paquet de joueurs que je n'échange pour rien au monde avec les joueurs évoluants aux mêmes postes dans ces mêmes équipes : Fainga'a, Sowakula, Fischer, Jauneau, Tixeront, 5R etc...
Je pense qu'on est à notre place en étant 5e, 6e ou 7e. Tout autre résultat aurait été un échec avec cet effectif et pour moi (parce que je ne détiens pas la vérité absolue), ceux qui tenteraient de nous expliquer que c'est un exploit que ce soit au club (Pats, Urios...) ou dans les médias (La Montagne organe officiel de comm) chercheraient à nous endormir pour faire passer la pilule d'un premier tiers de saison comptablement très bon mais chiant à mourir dans le jeu, d'un deuxième tiers complètement raté avec une des pires séries depuis 70 ans, et de certains choix imposés très douteux (la prolongation d'Urda en tête).
EDIT : Par contre, je te rejoins sur un point : on n'est pas invités à mon sens au delà des barrages, gagner à Bayonne et aller en ½ serait un véritable tour de force probablement au delà de la valeur intrinsèque de notre effectif. Et donc là ce serait forcément à mettre au crédit d'Urios, son staff et ses joueurs.
Posté aujourd'hui, 08:05
Sur notre saison et notre effectif, dire que l'on peut être entre 4 et 10 n'a rien de scandaleux, en fonction de la saison des uns et des autres... n'oublions pas que le SF très solide l'an dernier, à la rue cette saison, le Racing toujours placé depuis 10 ans s'est effondré, que La Rochelle récent double champion d'Europe s'est essoufflé, et que nous, des hauts, des bas, des très bas... qui ont fait que nous terminons 5 ième... mais finalement que la place de 4 était atteignable avec le barrage à domicile... mais que l'on pouvait presqu'autant finir 9 ième !
Néanmoins, la place pour gagner ce soir existe bel et bien, car Bayonne n'a pas un effectif où tu te dis, c'est sans espoirs ! on n'a pas à rougir face à eux bien au contraire, et notre effectif doit être valorisé à 1.5M de plus au niveau Masse salariale tranquille...
J'espère (vraiment) que l'on gagnera (et surtout pas de branlée comme trop souvent ces dernières saisons à l'extérieur),car notre club a besoin de ça, pour garder ses meilleurs joueurs et espérer en recruter des meilleurs.
Après en terme de jeu, la marge est encore très importante sur les cadors français et européens, qui reste, ne l'oubliez pas l'objectif du club, et qui étaient encore nos standards il y a 5 ans.
Soyons réalistes et objectifs... la qualification n'annihile pas tout non plus, attention à l'enfumage !
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