[ STAFF ] Christophe URIOS " Entraîneur en chef "
#17088
Posted 14 December 2025 - 18:05 PM
Je repost ici car ca semble plus concerner ce topic que celui sur les mutations :
Fritz Lee (un peu rancunier ?) vient de sortir la sulfateuse sur le compte Instagram de Rugbyrama qui postait la vidéo d'Urios disant qu'il avait honte...
Urios dira que c'est probablement le commentaire d'un mec qui a pas apprécié d'être écarté alors qu'il voulait rester, mais niveau légitimité et aura clermontoise, c'est autre chose que Marvin O'Connor.
Ca fait penser au "Clean the front office & bring back Vern" de Cudmore...
Fritz Lee crache un peu dans la soupe, même si son post est pas très clair.
Il incrimine qui exactement ? Les joueurs ? Pats ? Urios ?
Urios, a pas mal de défaut et de responsabilités mais concernant F Lee, je crois que c’est la beuverie et le pugilat un soir dans les rues étroites de Clermont fd, et la tisane à la coke qui ont un peu pesé dans son départ.
Mon petit doigt, me dit que Urios a largement défendu F Lee, mais Pats a fait le taf d’un président…..et voulait le virer …ainsi qu’un autre gars qui est aujourd’hui à Bayonne, que tout le monde regrette. Étonnant , non ?
F Lee a été un joueur majeur du club, mais il est probablement aigri et je trouve que son épouse ferait mieux de fermer son claque merde, que lui bourrer le moux. Il vaut mieux que ça.
Enfin, il vaudrait mieux se concentrer sur les 3 U, comme dit le directeur commercial du club Uuuurios.
- P'tit Jaune (et bleu), layathollah, Bad Zé and 2 others like this
#17089
Posted 14 December 2025 - 18:12 PM
Oh oui, une rébellion...
🥹
Imagine un peu : le peuple clermontois qui descend dans la rue, guidé par Roro, un pectoral découvert, bonnet phrygien sur la tête et drapeau de l'ASM dans la main. Et qui est ce jeune Gavroche que l'on voit brandir deux pistolets à silex à ses côtés ? Mais c'est Morgan Parra, bien sûr ! Venu tout droit de la capitale, il a rejoint l’Auvergne en 3 semaines, car la ligne de calèche est notoirement mauvaise entre Paris et Montferrand. Et voilà aussi Fritz Lee, haut de forme et fusil à la main !1
La colonne grossit, passe devant la cathédrale, qu'a visiblement déjà brûlée un autre groupe de révoltés car elle est noire de suie, et sur le parvis duquel se tient Rétière, l'oeil espiègle comme s'il allait annoncer qu'on a signé Fainga'anuku. Le convoi passe ensuite sous les fenêtres de Jean-Marc Lhermet, l'appelle à le rejoindre, puis se dirige comme un seul homme vers une destination dont personne n'a eu besoin de prononcer le nom, car tous savent qu’il n'en saurait être autrement : le château Pépusque. C'est là que vit Christophe 1er, dit le Gros.
Arrivé au portail gravé des initiales CU, le cortège s'arrête. Que faire ? Personne n’en sait rien. Du moins ont-ils ce courage que donne le sentiment d’être en train d’écrire l’Histoire. Mais personne n’ose faire le premier geste. Soudain, un pavé fuse, vient s’écraser contre le mur du château. Tous se retournent, et croient reconnaitre l’ancien président Guillon, affublé d’une fausse moustache. Il crie “Urios, salaud !” et autre “Bas les Pats !”. Dès lors, ragaillardi par la présence en ses rangs d’un membre de la haute noblesse déchue, notre petite foule se déchaine. On lance tout ce qui passe sous la main. Des pavés, surtout. Le vieux Ercévé s’éloigne, car il a en horreur les pavés. Les projectiles volent, détruisant nombre de vitraux à la gloire du propiétaire des lieux, réalisés par un maitre verrier venu tout droit de Vérone, de Vangeli. De temps à autre, un pavé fuse complètement de travers ; ce sont ceux du petit Etienne.
Mais rien n’y fait ; on a beau secouer les grilles, elles ne cèdent pas. Quant à les escalader, on n’y pense même pas, trop conscient de l’âge moyen du peuple auvergnat. On commence à réfléchir à comment s’y prendre ; plusieurs camps se forment. Les abonnés au journal local décident de se nommer Les Montagnards. Dans leurs rangs, quelques publicistes y travaillant tentent de calmer les ardeurs de la foule, arguant que “le roi Urios a toujours été bon avec nous, nous a toujours donné ses restes d’infos réchauffés”. Quelques oreilles naives commencent à leur prêter attention, mais s’en détournent rapidement quand on leur demande de l’argent pour continuer à écouter les 80% restants du discours. Plus loin dans la foule, un groupe propose d’aller chercher le vieux George, dit le Bélier Auvergnat, afin de défoncer la grille. D’autres écoutent l’instituteur du village, Monsieur Falgoux. Il a toujours eu des idées socialistes et il donne – en chandail, pipe au bec et lunettes sur le nez - un cours improvisé sur “La guerre sociale sous la Révolution”, convaincu qu’il est que le salut ne saurait venir que de l’éducation du peuple.
On en est là, quand se fait entendre une rumeur : comme des batons de bois qu’on entrechoquerait. On en a vite la conviction : le roi Urios a fait venir des casseurs de rêve, le gang local des Mordus. Ils font face au bon peuple auvergnat, qui se demande ce que toute cette aventure va leur coûter en frais médicaux, qui commence à douter de toute cette entreprise. Déjà, le beau Plisson se débine, appeuré. D’autres le suivent. Tout semble perdu quand, soudain, s’élance de la foule un homme, l’oeil comme fou, la bave aux lèvres. Il charge seul les Mordus. C’est le Clum ! Il n’en faut pas plus : Roro s’élance à sa suite, et c’est tout le brave peuple auvergnat qui lui emboite le pas. Les combats sont féroces. Les Mordus se défendent à grands coups de ces tubes de plastiques gonflables qui servent à faire du bruit quand on a de l’arthrose. Ils hurlent “Longue vie au roi Urios !”, “A bas l’Europe !”, “Vive le plan triennal !”.
La bataille fait rage : on reconnait dans la foule compacte quelques figures locales. Delguy git par terre, visiblement touché (en fait, il simule dans l’espoir d’obtenir un carton jaune adverse). Lucas Tauzin fume une cigarette, indifférent à tout. Ce n’est pas sa lutte. Le fou du village, qui prophétise depuis 20 ans la fin du Monde sous l’effet conjugué d’un déluge biblique et d’une mauvaise gestion des affaires publiques, prend à témoin la foule. Une infirmerie de campagne a été organisée à la hâte : on y amène les blessés légers, que le charlatan local, berêt sur la tête et accent chantant, s’empresse d’achever. Fouyssac s’y traine de lui-même – il connait bien le chemin. Fischer, le visage en sang, charge tête la première. Elvis saigne du nez sans pour autant avoir été touché. Alex Newsome est juste content d’être là, au milieu de toute cette ferveur, et se démène comme un diable.
Pendant ce temps, une ombre sort par la porte des cuisines du château, qu’elle connait visiblement bien, et traverse le parc. Elle passe devant le jardinier du château, le Charrier, qui comme à son habitude, est en train de creuser un trou dans l’espoir d’y trouver le Plan de Jeu, une relique mythique dont la légende dit que l’ancien roi, Jono dit “le Timide”, l’aurait caché là dans sa fuite. L’ombre continue, laissant derrière elle des papiers gras. Elle semble se diriger vers le portail. Oui, c’est cela ! Elle tient dans sa main droite un trousseau de clefs. C’est le jeune Mathéo Frisach, le commis de cuisine, dont on dit qu’il a séduit la fille du roi ! Il ouvre grand le portail, et crie à la foule de venir. Lui aussi ne supporte plus le roi, et caresse le secret espoir que, si les choses venaient à changer, on l’autoriserait à travailler la mêlée plus de 15 minutes par semaine.
1. La scène sera d’ailleurs immortalisée par un ancien noble de Toulouse devenu peintre ambulant après la perte de son titre, à la suite d’une sombre affaire d’investissement raté dans les îles du Nouveau Monde…
La suite au prochain épisode.
- frednirom, renardmontferrandais, Make ASM Great Again and 22 others like this
#17090
Posted 14 December 2025 - 18:14 PM
Bref, la charmante Elvire peut déjà cesser de rire, parce que sauf retournement de situation, je sens qu'il va y avoir du sang sur les murs de la ville.
- Make ASM Great Again likes this
#17091
Posted 14 December 2025 - 18:16 PM
Je n'avais malheureusement pas besoin de l'avis de Lee, qui fut un fier guerrier J&B, pour me rendre compte week-end après week-end, que la mayonnaise ne prend pas et que je m'emmerde royalement à regarder des matchs que je ne sais pas manquer.
Comme dirait l'autre, cela me fout le cul en larmes.
- layathollah, Caplan and Huile Dulin like this
#17092
Posted 14 December 2025 - 18:16 PM
Je peux vous dire que heureusement roro essaie autant que possible de sauver ce qu'il y a à sauver malgré Urios, c'est le seul qui lui rentre dedans
Vermeulen a un moment aussi, non ? Meme si je sais pas trop comment ca se passe aujourd'hui entre le staff des espoirs et celui de l'equipe pro.
#17093
Posted 14 December 2025 - 18:17 PM
Imagine un peu : le peuple clermontois qui descend dans la rue, guidé par Roro, un pectoral découvert, bonnet phrygien sur la tête et drapeau de l'ASM dans la main. Et qui est ce jeune Gavroche que l'on voit brandir deux pistolets à silex à ses côtés ? Mais c'est Morgan Parra, bien sûr ! Venu tout droit de la capitale, il a rejoint l’Auvergne en 3 semaines, car la ligne de calèche est notoirement mauvaise entre Paris et Montferrand. Et voilà aussi Fritz Lee, haut de forme et fusil à la main !1
La colonne grossit, passe devant la cathédrale, qu'a visiblement déjà brûlée un autre groupe de révoltés car elle est noire de suie, et sur le parvis duquel se tient Rétière, l'oeil espiègle comme s'il allait annoncer qu'on a signé Fainga'anuku. Le convoi passe ensuite sous les fenêtres de Jean-Marc Lhermet, l'appelle à le rejoindre, puis se dirige comme un seul homme vers une destination dont personne n'a eu besoin de prononcer le nom, car tous savent qu’il n'en saurait être autrement : le château Pépusque. C'est là que vit Christophe 1er, dit le Gros.
Arrivé au portail gravé des initiales CU, le cortège s'arrête. Que faire ? Personne n’en sait rien. Du moins ont-ils ce courage que donne le sentiment d’être en train d’écrire l’Histoire. Mais personne n’ose faire le premier geste. Soudain, un pavé fuse, vient s’écraser contre le mur du château. Tous se retournent, et croient reconnaitre l’ancien président Guillon, affublé d’une fausse moustache. Il crie “Urios, salaud !” et autre “Bas les Pats !”. Dès lors, ragaillardi par la présence en ses rangs d’un membre de la haute noblesse déchue, notre petite foule se déchaine. On lance tout ce qui passe sous la main. Des pavés, surtout. Le vieux Ercévé s’éloigne, car il a en horreur les pavés. Les projectiles volent, détruisant nombre de vitraux à la gloire du propiétaire des lieux, réalisés par un maitre verrier venu tout droit de Vérone, de Vangeli. De temps à autre, un pavé fuse complètement de travers ; ce sont ceux du petit Etienne.
Mais rien n’y fait ; on a beau secouer les grilles, elles ne cèdent pas. Quant à les escalader, on n’y pense même pas, trop conscient de l’âge moyen du peuple auvergnat. On commence à réfléchir à comment s’y prendre ; plusieurs camps se forment. Les abonnés au journal local décident de se nommer Les Montagnards. Dans leurs rangs, quelques publicistes y travaillant tentent de calmer les ardeurs de la foule, arguant que “le roi Urios a toujours été bon avec nous, nous a toujours donné ses restes d’infos réchauffés”. Quelques oreilles naives commencent à leur prêter attention, mais s’en détournent rapidement quand on leur demande de l’argent pour continuer à écouter les 80% restants du discours. Plus loin dans la foule, un groupe propose d’aller chercher le vieux George, dit le Bélier Auvergnat, afin de défoncer la grille. D’autres écoutent l’instituteur du village, Monsieur Falgoux. Il a toujours eu des idées socialistes et il donne – en chandail, pipe au bec et lunettes sur le nez - un cours improvisé sur “La guerre sociale sous la Révolution”, convaincu qu’il est que le salut ne saurait venir que de l’éducation du peuple.
On en est là, quand se fait entendre une rumeur : comme des batons de bois qu’on entrechoquerait. On en a vite la conviction : le roi Urios a fait venir des casseurs de rêve, le gang local des Mordus. Ils font face au bon peuple auvergnat, qui se demande ce que toute cette aventure va leur coûter en frais médicaux, qui commence à douter de toute cette entreprise. Déjà, le beau Plisson se débine, appeuré. D’autres le suivent. Tout semble perdu quand, soudain, s’élance de la foule un homme, l’oeil comme fou, la bave aux lèvres. Il charge seul les Mordus. C’est le Clum ! Il n’en faut pas plus : Roro s’élance à sa suite, et c’est tout le brave peuple auvergnat qui lui emboite le pas. Les combats sont féroces. Les Mordus se défendent à grands coups de ces tubes de plastiques gonflables qui servent à faire du bruit quand on a de l’arthrose. Ils hurlent “Longue vie au roi Urios !”, “A bas l’Europe !”, “Vive le plan triennal !”.
La bataille fait rage : on reconnait dans la foule compacte quelques figures locales. Delguy git par terre, visiblement touché (en fait, il simule dans l’espoir d’obtenir un carton jaune adverse). Lucas Tauzin fume une cigarette, indifférent à tout. Ce n’est pas sa lutte. Le fou du village, qui prophétise depuis 20 ans la fin du Monde sous l’effet conjugué d’un déluge biblique et d’une mauvaise gestion des affaires publiques, prend à témoin la foule. Une infirmerie de campagne a été organisée à la hâte : on y amène les blessés légers, que le charlatan local, berêt sur la tête et accent chantant, s’empresse d’achever. Fouyssac s’y traine de lui-même – il connait bien le chemin. Fischer, le visage en sang, charge tête la première. Elvis saigne du nez sans pour autant avoir été touché. Alex Newsome est juste content d’être là, au milieu de toute cette ferveur, et se démène comme un diable.
Pendant ce temps, une ombre sort par la porte des cuisines du château, qu’elle connait visiblement bien, et traverse le parc. Elle passe devant le jardinier du château, le Charrier, qui comme à son habitude, est en train de creuser un trou dans l’espoir d’y trouver le Plan de Jeu, une relique mythique dont la légende dit que l’ancien roi, Jono dit “le Timide”, l’aurait caché là dans sa fuite. L’ombre continue, laissant derrière elle des papiers gras. Elle semble se diriger vers le portail. Oui, c’est cela ! Elle tient dans sa main droite un trousseau de clefs. C’est le jeune Mathéo Frisach, le commis de cuisine, dont on dit qu’il a séduit la fille du roi ! Il ouvre grand le portail, et crie à la foule de venir. Lui aussi ne supporte plus le roi, et caresse le secret espoir que, si les choses venaient à changer, on l’autoriserait à travailler la mêlée plus de 15 minutes par semaine.
1. La scène sera d’ailleurs immortalisée par un ancien noble de Toulouse devenu peintre ambulant après la perte de son titre, à la suite d’une sombre affaire d’investissement raté dans les îles du Nouveau Monde…
La suite au prochain épisode.
Ne me parle pas de Lacroix!
- Toorop likes this
#17094
Posted 14 December 2025 - 18:21 PM
Comme par hasard la bande de lanceurs de chaise. Heureusement que CU ne les a pas prolongés, fini la fête du slip le club va pouvoir se mettre au travail
Ha
Ça fait plaisir de voir que certains connaissent les faits et ne se contentent pas de voir les non prolongations, sans comprendre le pourquoi.
Urios est un homme fort et ça change de Franky qui a copiner et mis le club dans le mur.
Bon en revanche, côté rugby, c’est loin d’être une lumière
- Bonobob likes this
#17095
Posted 14 December 2025 - 18:21 PM
Vous avez vu une équipe vous hier? Une équipe elle ne prend pas entre 30 et 40 points par match lors de 11 des 13 matchs tcc disputés depuis le début de saison. A défaut de jeu, on voit la solidarité d'un groupe en défense...
- Loujean likes this
#17096
Posted 14 December 2025 - 18:22 PM
réalisés par un maitre verrier venu tout droit de Vérone, de Vangeli.
J'ai beaucoup ri
- Velveteethol likes this
#17097
Posted 14 December 2025 - 18:22 PM
Vermeulen a un moment aussi, non ? Meme si je sais pas trop comment ca se passe aujourd'hui entre le staff des espoirs et celui de l'equipe pro.
Ça se passe bon gré mal gré je crois. L'idée c'est faire en sorte que ça roule le mieux possible chez les jeunes et ils ont obtenus d'urios qu'il intègre d'avantage d'espoirs
Autrement dit: avoir une structure de base forte qui ne dépende pas que du secteur pro, c'est du travail de fond pour l'après Urios
- Silhouette and Borromyr like this
#17098
Posted 14 December 2025 - 18:27 PM
Ha
Ça fait plaisir de voir que certains connaissent les faits et ne se contentent pas de voir les non prolongations, sans comprendre le pourquoi.
Urios est un homme fort et ça change de Franky qui a copiner et mis le club dans le mur.
Bon en revanche, côté rugby, c’est loin d’être une lumière
Fischer dans la bande des lanceurs de chaise ?
- ZACH likes this
#17099
Posted 14 December 2025 - 18:28 PM
Ça se passe bon gré mal gré je crois. L'idée c'est faire en sorte que ça roule le mieux possible chez les jeunes et ils ont obtenus d'urios qu'il intègre d'avantage d'espoirs
Autrement dit: avoir une structure de base forte qui ne dépende pas que du secteur pro, c'est du travail de fond pour l'après Urios
Plutot positif s'ils ont trouve une facon de travailler "ensemble" meme s'ils ne voient pas les choses exactement de la meme facon. Et clairement, d'apres tous les retours de ceux qui vont aux entrainements, on a une vraie integration des jeunes dans les seances (en plus de certains qui ont droit a des bouts de match). C'est plutot positif (oui, je cherche un peu tout aspect auquel on pourrait s'accrocher pour y croire, meme un peu !)
#17100
Posted 14 December 2025 - 18:29 PM
Vermeulen a un moment aussi, non ? Meme si je sais pas trop comment ca se passe aujourd'hui entre le staff des espoirs et celui de l'equipe pro.
C'est Jendreziak qui s'entend bien avec Urios qui s'occupe des espoirs
- Toorop and Codorplusàvie like this
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