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[Silhouette]

situ as l'occasion il rencontre souvent les supporters lors de soirées..
Tout ce qui est dit est vrai.Un gars entier, cultivé et très sympa.

Perso j'aimerais bien, mais va falloir qu'il fasse quelques kms le CU pour que je puisse le rencontrer :-D c'est pour ça que je pose les questions ici

[Switch]

Tout peut s'entendre concernant Urios et l'analyse de supporters d'autres clubs par lequel il est passé a de l'intérêt.

Cependant, combien d'entraineurs font l'unanimité auprès des supporters après qu'ils aient quittés le club? Que pensent les bordelais d'Ibanez par exemple? 

Pour l'ASM, même le vénéré Cotter ne faisait pas l'unanimité aussi bien pendant son temps ici, qu'après. Et n'évoquons pas Azéma...

En fait, c'est bien de donner son avis. Comme au café. Mais c'est stérile.

 

Urios fait comme il pense devoir faire. On a pu croire à un réel progrès en début d'année puis deux matchs catastrophiques rebattent les cartes. Il ne peut pas (et ne le fait certainement pas) se limiter à ses provocations verbales. 

 

Est ce que ce sera suffisant pour offrir une saison marquée par des progrès?.... Ben on ne sait pas.

 

On garde un super souvenir de Delpoux et Etcheto. Moins de Brunel ou Ibanez. Je pense que des coachs peuvent partir en laissant une image très positive. Un Mola laissera certainement une bonne image à Toulouse. Moins à Brive. Tout comme Travers a dû laisser un ressenti positif au Racing. Etc etc.

 

On peut rester en bons termes avec son ex, et se quitter en gardant les bons souvenirs 

[Binche63]

Tout peut s'entendre concernant Urios et l'analyse de supporters d'autres clubs par lequel il est passé a de l'intérêt.
Cependant, combien d'entraineurs font l'unanimité auprès des supporters après qu'ils aient quittés le club? Que pensent les bordelais d'Ibanez par exemple? 
Pour l'ASM, même le vénéré Cotter ne faisait pas l'unanimité aussi bien pendant son temps ici, qu'après. Et n'évoquons pas Azéma...
En fait, c'est bien de donner son avis. Comme au café. Mais c'est stérile.
 
Urios fait comme il pense devoir faire. On a pu croire à un réel progrès en début d'année puis deux matchs catastrophiques rebattent les cartes. Il ne peut pas (et ne le fait certainement pas) se limiter à ses provocations verbales. 
 
Est ce que ce sera suffisant pour offrir une saison marquée par des progrès?.... Ben on ne sait pas.

Azema les critique c est plus la manière de partir et les cadavres dans les placards qu autre choses.
Cotter j ai pas souvenir de grand monde critiquant son passage.

[Alligator427]

C'est quoi au juste ces séquelles ?
 

Mentalité de merde et 50-22 pas dans le projet.

[l'exil]

 

La promesse de 2019 était belle, mais elle n'a pas fait long feu.

 

certes mais elle a pris corps car ça jouait bien.

 

Pour le moment on n'a même pas vu l'embryon d'une promesse et ça va même plutôt plus mal.

 

Alors OK, les joueurs à dispo tout ça mais je n'arrive pas à me dire que c'est suffisant comme raison.

[Toorop]

Ce que nous dit notre ami bordelais n'est quand même pas super engageant.
Allez Christophe on compte sur toi pour relancer le bousin

[RCV06]

Mentalité de merde et 50-22 pas dans le projet.

Ce que nous dit notre ami bordelais n'est quand même pas super engageant.
Allez Christophe on compte sur toi pour relancer le bousin

Peut être y a t il un petit peu de rancœur   

[Alex chocolatines]

Peut être y a t il un petit peu de rancœur 

Ah bin tu m'étonne, vu comme ça joue depuis un moment (quand ils sont au complet), sûr qu'ils n'ont pas digéré le départ de leur coach. Jaloux le Bordelais !! 

[Bad Zé]

Azema les critique c est plus la manière de partir et les cadavres dans les placards qu autre choses.
Cotter j ai pas souvenir de grand monde critiquant son passage.

Le temps fait son effet, mais si...pas mal.

[RCV06]

Ah bin tu m'étonne, vu comme ça joue depuis un moment (quand ils sont au complet), sûr qu'ils n'ont pas digéré le départ de leur coach. Jaloux le Bordelais !! 

Le gros il sait pas faire la différence entre rancœur et jalousie

 

Allez je t'aides

 

Rancoeur Ressentiment tenace, amertume que l'on garde après une désillusion

 

Jalousie Vif attachement à quelque chose

 

[el landeno]

autre methode ...

 

Comment Jean-Louis Gasset a imposé sa méthode tout en douceur à l'OM Du dialogue, de l'écoute et une bonne connaissance du jeu et de ses joueurs : le nouvel entraîneur de l'OM a réussi ses débuts et imposé sa méthode.

 

C'est peut-être parce qu'il avait conscience de l'ampleur du chantier que Jean-Louis Gasset n'a pas quitté le bleu depuis ses premiers jours à la Commanderie, de la casquette aux chaussettes, prêt à se jeter dans le tourbillon marseillais sans trop se poser de questions. D'autres que lui auraient sans doute renoncé à cette mission aussi courte que compliquée, mais le nouvel entraîneur de l'OM a passé l'âge des plans de carrière et c'est avec le recul de ses 70 ans qu'il a accueilli ce défi inattendu, même pas un mois après avoir démissionné de son poste de sélectionneur de la Côte d'Ivoire en pleine CAN.

 

 

lire aussiJean-Louis Gasset avant OM-Villarreal : « On n'est pas encore à fond »

Il est trop tôt pour les bilans, parce qu'il n'est là que depuis un peu plus de deux semaines, mais le premier effet Gasset n'a pas tardé à se faire sentir, sur les visages comme sur le terrain, et c'est après trois victoires d'affilée qu'il s'apprête à diriger son quatrième match sur le banc marseillais ce soir, porté par la dynamique qu'il a su insuffler.

De l'affection et de la chaleur pour soigner les têtes

Il fallait du bagage pour réussir les gestes de premiers secours quand il a débarqué à la Commanderie, le 20 février, dans une ambiance plombée par les mauvais résultats et au chevet d'un vestiaire « au fond du seau », selon certains proches du groupe. Son prédécesseur, Gennaro Gattuso, l'avait reconnu lui-même : la confiance s'était envolée très loin et il ne trouvait pas les outils pour la rattraper, impuissant face à ces maladresses techniques et ces buts encaissés sur des erreurs de débutants.

Pour la thérapie de groupe, rien de mieux qu'un francophone avec de l'expérience, avaient décidé les dirigeants, parce qu'il n'y avait plus de temps à perdre. Gasset a vite ciblé la priorité : rasséréner les joueurs et leur rappeler qu'ils ne sont pas à l'OM par hasard, mais parce qu'ils ont toutes les qualités pour.

 

 

lire aussiPierre-Emerick Aubameyang, un épanouissement passant d'abord par l'Europe

Dès le premier jour, il échange avec une grande partie du vestiaire et prend du temps pour les plus jeunes, dont le moral a souffert dans la tempête, Ismaïla Sarr et Iliman Ndiaye en tête, il y met de l'affection et de la chaleur, dans la parole comme dans le geste. Il y met du football, aussi. Avec son adjoint, Ghislain Printant, il prépare des montages vidéo pour chacun, montre le positif puis pointe les erreurs, mais en insistant sur la marge de progression plutôt que sur les limites actuelles.

« Le joueur écoute et se dit : ''ouah, il me connaît'', explique l'entraîneur. C'est important pour les jeunes joueurs. Il fallait parler au groupe et parler aux jeunes, pour les décrisper. » Leur dire qu'ils sont les plus forts et qu'ils vont y arriver, et leur dire qu'ils doivent assumer, aussi, en leur montrant la Une de L'Équipe du jour, « La valse à mille temps », avec les quatre entraîneurs de l'OM de la saison. « Vous en voulez un cinquième ? », leur lance-t-il en substance. Mais avec bienveillance et optimisme, en leur disant qu'il est là pour les aider et qu'il a déjà réussi avec des effectifs moins forts que celui-là.

« Leur faire réussir des choses très simples, sans opposition. Et les mettre à leur poste, là où ils aiment être »

Jean-Louis Gasset sur sa méthode de travail avec ses joueurs

 

 

 

Les entraînements, aussi, sont axés sur la reconquête du plaisir et de la confiance, autour de séances ludiques où, par exemple, les joueurs peuvent choisir leur atelier, des centres pour les uns, des coups de pied arrêtés pour les autres. Un impératif, toutefois : que chacun travaille et mette de l'intensité, plutôt que de rester en soins à l'intérieur. Techniquement, les exercices reprennent les bases, des gestes faciles pour retrouver les bons réflexes et une estime de soi. « La confiance, elle revient par le travail, explique Gasset. Leur faire réussir des choses très simples, sans opposition. Et les mettre à leur poste, là où ils aiment être. »

 

Certains joueurs, à l'image de Pierre-Emerick Aubameyang, ont retrouvé confiance et sourire depuis l'arrivée de Jean-Louis Gasset. (F. Speich/La Provence)

Aubameyang, par exemple, qui aime partir de la gauche pour plonger vers l'axe : « Il aime se placer à certains endroits, et c'est donc là qu'on le met. Le sens du but, l'adresse, la générosité, il les a. Mais il fallait juste le caler, d'où il aime partir. J'ai appelé des gens avec qui il avait travaillé, et en une séance c'était réglé. » Avec Ndiaye, aussi, il y a eu un dialogue fructueux et un repositionnement miraculeux, où le joueur s'épanouit dans une position axiale, derrière les attaquants.

Après avoir insisté sur la simplicité dans l'urgence des premiers matches qui s'enchaînaient vite, le Chakhtior Donetsk (3-1) le jeudi, puis Montpellier (4-1) le dimanche, le staff est entré dans des entraînements plus poussés, la semaine dernière. Physiquement, il a hérité d'un groupe en bonne condition, et la première séance assez lourde, mercredi, a été digérée sans problème. Tactiquement, le chantier reste ouvert et Gasset, qui a d'abord entendu les joueurs en repassant au 3-5-2, ne veut pas se contenter : « Ce qu'on a fait, c'est bien, mais on peut faire très bien. »

Jeux de société, accent chantant et plaisir palpable

Pour ça, il continue de s'appuyer sur des montages vidéo, d'abord les points forts de son équipe, puis les points faibles de l'adversaire, et enfin les coups de pied arrêtés. Et il peut compter sur un effectif où il s'est attelé à maintenir une bonne ambiance et un sens du collectif. Il a réinstauré les mises au vert systématiques à la Commanderie les veilles de match, ce qui suppose des repas et du temps ensemble.

lire aussiY a-t-il une limite d'âge pour les entraîneurs de Ligue 1 ?

Mais pas chacun de son côté : le staff a voulu des jeux de société lors de ces mises au vert, pour des moments partagés. Le tout avec le sens de la dédramatisation et la bonhomie de Gasset, accent chantant et regard malicieux, et le rôle précieux de Printant pour accorder leur importance aux remplaçants d'un jour, qui seront les titulaires d'un autre jour.

L'adjoint explique qu'avec le calendrier (cinq matches entre le 2 et le 17 mars), il y aura besoin de tout le monde, et qu'il ne faut pas penser à soi mais au groupe, comme le fait le staff, qui sait qu'il ne sera plus là la saison prochaine. En attendant, Gasset veut profiter et son plaisir était palpable, hier, à l'heure de lancer la séance d'entraînement par une longue accolade à Iliman Ndiaye, qui fêtait ses 24 ans. Son coach les a passés depuis longtemps, mais l'enthousiasme n'a pas d'âge et le football non plus.

 

 

[InASMWeTrust]

Intéressant. Pourtant un mec pas spécialement reconnu pour sa tendresse. Ce qui me plaît, c'est justement que la communication soit faite autour de la volonté de redonner confiance. Alors qu'il aurait pu faire venir les légionnaires d'Aubagne pour leur filer un coup de pied au cul. 

[bazooka]

Tout peut s'entendre concernant Urios et l'analyse de supporters d'autres clubs par lequel il est passé a de l'intérêt.

Cependant, combien d'entraineurs font l'unanimité auprès des supporters après qu'ils aient quittés le club? Que pensent les bordelais d'Ibanez par exemple? 

Pour l'ASM, même le vénéré Cotter ne faisait pas l'unanimité aussi bien pendant son temps ici, qu'après. Et n'évoquons pas Azéma...

En fait, c'est bien de donner son avis. Comme au café. Mais c'est stérile.

 

Urios fait comme il pense devoir faire. On a pu croire à un réel progrès en début d'année puis deux matchs catastrophiques rebattent les cartes. Il ne peut pas (et ne le fait certainement pas) se limiter à ses provocations verbales. 

 

Est ce que ce sera suffisant pour offrir une saison marquée par des progrès?.... Ben on ne sait pas.

 

Je crois qu'il a fait l'erreur de viser deux tableaux bien que sachant parfaitement sa profondeur d'effectif insuffisante.

Pour moi c'est une faute majeure, certes bien en adéquation avec les boulards ambiants qui "naviguent" dans ce club depuis toujours.

Depuis le début (très minoritaire je sais) j'espérais que le challenge soit l'occasion de découvrir quelques jeunes et de leur donner du temps de jeu, de les aguerrir.

Que quelques matchs à l'extérieur admis perdus d'avance le permettrait également, ainsi que le quota jiff.

Certes avec parcimonie, les gamins devant être encadrés et protégés (hein Sam...) par des joueurs cadres, autorisant ainsi des alternatives au cas où.

Ben non !

On va finir l'année, les poches vides en tout point, le bilan il faudra bien le faire...

La com c'est bien mignon, surtout si elle colle à la réalité.

[rugbyasm77]

Quelqu'un peut partager l'article de la montagne svp ?

https://www.lamontag...helle_14464353/