situ as l'occasion il rencontre souvent les supporters lors de soirées..
Tout ce qui est dit est vrai.Un gars entier, cultivé et très sympa.
Je pense que pas grand monde ne conteste que ce soit un gars sympa. Mais moi j'ai mangé il y a quelques années avec Laporte, je te jure que je me suis bien marré pendant tout le repas, aussi (anecdote vraie !).
Attention, je ne compare surtout pas les 2 Mais la comm' il adore ça, et donc il montre ce qu'il a envie de montrer de lui. Et le débat, il est plus si ses méthodes sont adaptées et si ça marche. Et surtout si l'état actuel peut encore durer sans changements, sans évolutions. On sait tous comment fonctionne un groupe humain, que ce soit des coéquipiers ou des collègues. Il y a parfois des points de non-retour, parfois des clés qu'on n'a pas utilisées qui débloquent des choses, des gens novices dont il faut se débarrasser pour le bien de tous, etc. Et ça, c'est le manager qui a les clés. Et une fois de plus, ça serait bien que les gens qui lui ont confié la mission l'aident un peu.
Ah oui c'est rudement bien.
Je te vois avec un tout autre regard, maintenant. Un clip comme ça, ça pose un candidat, ça le légitime aux yeux de tous. Je vais lancer un groupe de soutien de ce pas, mais discrètement parce que la Hyène a une capacité d'action que ne renierait pas un Tonton Macoute.
Je te croyais georgien, pas angolais.... Mais 4 abonnés, 88 vues, y'a pas de doute, ça correspond assez aux chiffres que recueille ta candidature pour être modo ici-même.
Un clip comme ça, ça pose un candidat, ça le légitime aux yeux de tous.
Surtout avec des paroles comme "So a voz que o povo procura" ("Je suis la voix dont le peuple a besoin"), ça fait très clip de campagne, oui.
Je te croyais georgien, pas angolais.... Mais 4 abonnés, 88 vues, y'a pas de doute, ça correspond assez aux chiffres que recueille ta candidature pour être modo ici-même.
Surtout avec des paroles comme "So a voz que o povo procura" ("Je suis la voix dont le peuple a besoin"), ça fait très clip de campagne, oui.
Sur ses discours de gueulard (à 12'20 et 13'20) : (l'émission "comme à confesse" : où il dit que quand tu gueules ça réveille les mecs et ça peut être utile mais que souvent quand tu gueules tu n'es pas entendu donc pas à faire trop souvent) et de manière plus générale : https://www.20minute...-devenus-cultes
Sur Woki "poussé dehors par Urios" : le 16 novembre dernier, Woki été invité dans le Super Moscato Show ; il explique lui-même qu'il voulait rentrer à Paris, et ne voulait pas prolonger son contrat bordelais. Il lui restait une saison à faire à ce moment-là et était déjà dans la pré-saison top 14. Il dit que c’est Laurent Marti qui l’a viré du club, un an avant la fin de son contrat donc, en lui téléphonant pour lui poser l’ultimatum suivant : "ou tu resignes ou tu pars". D’où le départ de l’UBB précipité. Donc à mon sens rien à voir avec Urios (parti de l’UBB bien plutôt en plus). A écouter à 6’50 environ, du podcast : https://rmcsport.bfmtv.com/replay-emissions/super-moscato-show/le-cri-du-coeur-cameron-woki-invite-esseptionel-du-sms-16-11_EN-202311160771.html
et si vous avez du temps pour un podcast d'une heure et demie https://podcast.aush...hristophe-urios. A la 35ème il parle d'Oyo et il explique que pour gagner il faut aussi des grands joueurs et que repeindre la salle de muscu ça suffit pas à un moment donné.
Une anecdote sympa sur son management : il dit qu'il faut s'inspirer des mecs qui réussissent, car ils ont toujours des points commun (travail, passion, remise en question, échecs) et qu'ils sont inspirant. Donc il les faisaient intervenir auprès de l'équipe pour qu'ils ouvrent l'esprit des mecs. Une fois par mois quelqu'un venait se présenter et discuter avec les joueurs : cuisto, neurochirurgien, chef d'entreprise, responsable d'association...
Ce message est un peu l'incarnation de la loi de Brandolini, non ?
Urios est un bon commercial, il sait se vendre. Comme il sait vendre ses bouquins, ses conf' ou son pinard. Chose qu'il faisait (ou essayait de faire) d'ailleurs à l'UBB lors d'évènements du club (rencontres supporters notamment), et qui n'était pas très apprécié de Marti. Un coup aux Grands Gueules (RMC), un coup en séance de dédicace de son livre, un coup dans ses vignes ou à vendre son pinard, un coup a promouvoir sa future conférence sur le management...etc, mais pas assez au rugby, surtout la dernière année.
Il a beaucoup de blabla, mais on a constaté que son discours se heurtait à la réalité et aux faits. On a eu droit aux mêmes mots lors de son arrivée, et effectivement, pendant 1 an, ce fut le cas. On eu droit aux mêmes citations, aux mêmes exemples, aux mêmes introspections...etc, mais dès que la situation est devenue plus difficile, la coquille s'est vite refermée. Chassez le naturel, il revient au galop. Je ne souhaite pas çà à l'ASM, en tout cas.
Concernant Woki, bah c'est en contradiction avec les bruits de vestiaires et les indiscrétions qu'on a eu, de la part de personnes pourtant bien informées, pendant et après les évènements. D'ailleurs la nette dégradation des performances de Woki dans les mois qui ont suivi est assez étrange si aller au Racing était ce qu'il souhaitait ardemment. On a plus vu pendant des mois un mecs qui ne digérait pas son départ et sa nouvelle situation. Pas du tout un mec soulagé d'avoir atteint son objectif de vie.
A Bordeaux, on ne crache pas dans la soupe, et on reste reconnaissant envers Urios pour tout ce qu'il a amené au club. Mais on oublie pas non plus la face moins glorieuse, et ce qu'on a découvert du personnage les 18 derniers mois. Je continue de penser aujourd'hui que si Urios reste un bon entraîneur, ce n'est le cas que dans un environnement bien spécifique, et son management est à double tranchant. Il cache bien son jeu, et sous le verni marketing, ce n'est pas toujours rose. Les séquelles qu'il a laissé au club commencent seulement à disparaître depuis quelques mois. Espérons qu'il fasse mieux à Clermont !
Urios est un bon commercial, il sait se vendre. Comme il sait vendre ses bouquins, ses conf' ou son pinard. Chose qu'il faisait (ou essayait de faire) d'ailleurs à l'UBB lors d'évènements du club (rencontres supporters notamment), et qui n'était pas très apprécié de Marti. Un coup aux Grands Gueules (RMC), un coup en séance de dédicace de son livre, un coup dans ses vignes ou à vendre son pinard, un coup a promouvoir sa future conférence sur le management...etc, mais pas assez au rugby, surtout la dernière année.
Il a beaucoup de blabla, mais on a constaté que son discours se heurtait à la réalité et aux faits. On a eu droit aux mêmes mots lors de son arrivée, et effectivement, pendant 1 an, ce fut le cas. On eu droit aux mêmes citations, aux mêmes exemples, aux mêmes introspections...etc, mais dès que la situation est devenue plus difficile, la coquille s'est vite refermée. Chassez le naturel, il revient au galop. Je ne souhaite pas çà à l'ASM, en tout cas.
Concernant Woki, bah c'est en contradiction avec les bruits de vestiaires et les indiscrétions qu'on a eu, de la part de personnes pourtant bien informées, pendant et après les évènements. D'ailleurs la nette dégradation des performances de Woki dans les mois qui ont suivi est assez étrange si aller au Racing était ce qu'il souhaitait ardemment. On a plus vu pendant des mois un mecs qui ne digérait pas son départ et sa nouvelle situation. Pas du tout un mec soulagé d'avoir atteint son objectif de vie.
A Bordeaux, on ne crache pas dans la soupe, et on reste reconnaissant envers Urios pour tout ce qu'il a amené au club. Mais on oublie pas non plus la face moins glorieuse, et ce qu'on a découvert du personnage les 18 derniers mois. Je continue de penser aujourd'hui que si Urios reste un bon entraîneur, ce n'est le cas que dans un environnement bien spécifique, et son management est à double tranchant. Il cache bien son jeu, et sous le verni marketing, ce n'est pas toujours rose. Les séquelles qu'il a laissé au club commencent seulement à disparaître depuis quelques mois. Espérons qu'il fasse mieux à Clermont !
Bras cassés (bon ça on en avait avant qu'ils vienne). Orgueil blessé (idem).
Pour l'essentiel, des joueurs placardisés, enfermés dans un style de jeu qui n'était pas le leur, frustrés ou déprimés, qui avaient perdu leur rugby, dont certains sont partis (avant qu'Urios ne le fasse) ou étaient sur le point de le faire (avant d'être rattrapés par Marti).
Pour nous, simples supporters, beaucoup d'ennui (à voir un jeu dégueulasse) et de frustration (de voir nos joueurs ainsi). Et par ricochet, une petite baisse de la fréquentation et de l'engouement. La promesse de 2019 était belle, mais elle n'a pas fait long feu.
Qu'on soit d'accord, Urios n'est pas responsable de tous les maux, et n'est pas le seul fautif dans l'histoire. Mais il a eu sa part, et pas qu'un peu.
Tout peut s'entendre concernant Urios et l'analyse de supporters d'autres clubs par lequel il est passé a de l'intérêt.
Cependant, combien d'entraineurs font l'unanimité auprès des supporters après qu'ils aient quittés le club? Que pensent les bordelais d'Ibanez par exemple?
Pour l'ASM, même le vénéré Cotter ne faisait pas l'unanimité aussi bien pendant son temps ici, qu'après. Et n'évoquons pas Azéma...
En fait, c'est bien de donner son avis. Comme au café. Mais c'est stérile.
Urios fait comme il pense devoir faire. On a pu croire à un réel progrès en début d'année puis deux matchs catastrophiques rebattent les cartes. Il ne peut pas (et ne le fait certainement pas) se limiter à ses provocations verbales.
Est ce que ce sera suffisant pour offrir une saison marquée par des progrès?.... Ben on ne sait pas.
Mais la comm' il adore ça, et donc il montre ce qu'il a envie de montrer de lui. Et le débat, il est plus si ses méthodes sont adaptées et si ça marche. Et surtout si l'état actuel peut encore durer sans changements, sans évolutions. On sait tous comment fonctionne un groupe humain, que ce soit des coéquipiers ou des collègues. Il y a parfois des points de non-retour, parfois des clés qu'on n'a pas utilisées qui débloquent des choses, des gens novices dont il faut se débarrasser pour le bien de tous, etc. Et ça, c'est le manager qui a les clés. Et une fois de plus, ça serait bien que les gens qui lui ont confié la mission l'aident un peu. 
