15371 réponses à ce sujet

[Requiem_W]

 

 
Concernant Woki, bah c'est en contradiction avec les bruits de vestiaires et les indiscrétions qu'on a eu, de la part de personnes pourtant bien informées, pendant et après les évènements.

C'est probablement la différence entre ce que dit le joueur lui-même et :
- ce qu'on lui fait dire ;
- ce que pense "les gens bien informés" que pense les joueurs eux-mêmes ;
- ce que certains ont voulu faire croire.


On en a des exemples ici bien souvent.

 
Je crois qu'il a fait l'erreur de viser deux tableaux bien que sachant parfaitement sa profondeur d'effectif insuffisante.
Pour moi c'est une faute majeure, certes bien en adéquation avec les boulards ambiants qui "naviguent" dans ce club depuis toujours.

Rappelle-toi que les joueurs ont voté pour jouer le challenge.
Ce qui veut dire que ce n'était soit qu'un moyen de les faire adhérer au projet, soit que le staff voulait lâcher un peu le challenge. Et qu'ici même cette info avait fait débat (virulent ?) que les joueurs votent ou qu'on demande l'avis des joueurs. Voir qu'on envisage de ne pas jouer le challenge à fond !

Bref, autant d'avis que de personne.

[InASMWeTrust]

Donc on fait un article parce que le président est venu au club ? Eh beh

Le début de l'article est en effet édifiant : "Depuis le début de son mandat en juin dernier, le président Jean-Claude Pats n’est que très rarement venu à la rencontre des joueurs"     

[xdderf63]

Le début de l'article est en effet édifiant : "Depuis le début de son mandat en juin dernier, le président Jean-Claude Pats n’est que très rarement venu à la rencontre des joueurs"     

 

Il était présent aux journées Vulcain pour connaitre les joueurs / l'effectif 

[Rugby ?]

Intéressant. Pourtant un mec pas spécialement reconnu pour sa tendresse. Ce qui me plaît, c'est justement que la communication soit faite autour de la volonté de redonner confiance. Alors qu'il aurait pu faire venir les légionnaires d'Aubagne pour leur filer un coup de pied au cul. 

J'ai pensé de même.

J'ajouterais le fait de faire jouer les gars "là où ils aiment être" (nous on a un contre- exemple très récent) .donc un coach qui établit en grande partie sa stratégie en fonction des talents de ses joueurs. Ce qui motive ses gars.

On connait un coach qui choisit ses joueurs en fonction de sa stratégie. Ce qui pourrait en dissuader certains de rester.

 

NB, quand à la dernier phrase: Ce qui a déjà commencé.

[InASMWeTrust]

 

Il était présent aux journées Vulcain pour connaitre les joueurs / l'effectif 

C'est peu, quand même, non ? Le Président, c'est le garant du projet du club, que les choses sont construites pour ce projet. Il n'est Pdt que des pros, on est bien d'accord, mais un Pdt qui ne va pas plus souvent au contact de ses employés, notamment ceux qui font le plus l'actualité, et encore plus quand ça tangue, moi ça me dérange un peu. Et ça rejoint l'impression d'un CU qui a été laissé seul aux manettes. 

[Rugby ?]

#

C'est peu, quand même, non ? Le Président, c'est le garant du projet du club, que les choses sont construites pour ce projet. Il n'est Pdt que des pros, on est bien d'accord, mais un Pdt qui ne va pas plus souvent au contact de ses employés, notamment ceux qui font le plus l'actualité, et encore plus quand ça tangue, moi ça me dérange un peu. Et ça rejoint l'impression d'un CU qui a été laissé seul aux manettes. 

Un Président à mi-temps, rappelons le.

Précision :,le Président et son prédécesseur étaient des pointures des Relations Humaines.!

[cocotte 63]

Honte, colère, réaction... Tel était le champ lexical du vestiaire clermontois en ce début de semaine. La défaite à La Rochelle a été dure à encaisser. Mais elle doit servir pour disposer d’Oyonnax, samedi (17 heures).

 

Depuis le début de son mandat en juin dernier, le président Jean-Claude Pats n’est que très rarement venu à la rencontre des joueurs. Mais le cinglant revers à La Rochelle l’a obligé à venir rappeler, mardi, quelques obligations aux hommes de Christophe Urios. La visite du président dans le vestiaire fut en tout cas symbolique de la colère qui régnait encore dans les couloirs du stade Michelin en ce début de semaine.

« Il y a quand même un sentiment de honte, lâche l’entraîneur des avants Julien Laïrle. Nous savons très bien que nous avons fait une connerie. Et on sait très bien que pendant 80 minutes on n’a pas joué avec notre niveau. On n’était même pas sur le terrain. En ce début de semaine, le sentiment c’était tête basse, écouter et se remettre au travail. »

 

Paul Jedrasiak est un enfant du club. Depuis 2010 qu’il fréquente les arcanes de l’ASM Clermont, le deuxième ligne a vécu de grandes joies et aussi pas mal de désillusions. Mais cette claque rochelaise a laissé des traces. Celui qui quittera l’Auvergne en fin de saison, entend toutefois se servir de cette humiliation pour repartir plus fort. De toute façon, il n’y a pas 36 solutions.

 

« Nous sommes touchés, mais nous ne sommes pas coulés. Nos leaders nous ont parlé avec ce discours-là. Il faut continuer à s’entraîner dur comme on le fait chaque semaine et cela finira par payer. Christophe (Urios) nous a parlé de “mentalité de merde” pour nous faire réagir. Ce sont des mots qui touchent. Mais comme la venue du président d’ailleurs. Quand tu aimes ce sport et quand tu aimes le club, forcément, cela te touche personnellement. Mais il faut que ce soit pour tout le monde pareil pour aller de l’avant et avancer. » 

 

« Etre alignés avec la culture du club »

 

La remobilisation va forcément et impérativement passer par la réception d’Oyonnax, ce samedi (17 heures). On a coutume de dire que dans ce Top 14 tous les matchs sont importants, mais dans ce contexte tendu pour l’ASM, tout autre résultat qu’une victoire demeure inenvisageable.

« Ce sont les acteurs qui font le jeu, claque Julien Pairle. Il faut se remettre en selle. Ce Top 14, il est dur, il est extrême. Chaque rencontre est bataillée. Après, il faut savoir ce que l’on veut faire de notre saison et savoir quelle image on veut montrer sur le terrain. Nous devons être alignés avec la culture du club. Tout ça, ce ne sont que des mots. Maintenant il faut le montrer dans les actes. »

[Binche63]

Assez dramatique et cela donne un début dexplication sur notre situation au niveau humain dans le club (assez tendu)

Quand tu es DRH au Comex de Michelin forcément que ASM nest pas ta propriété et loin de là

[Eria]

 

Il était présent aux journées Vulcain pour connaitre les joueurs / l'effectif 

oui, sur photo il avait tendance a les confondre.....

[nelsTDM63]

Quand tu es DRH au Comex de Michelin forcément que ASM nest pas ta propriété et loin de là

 

C'est peut-être une part du problème aussi... 

 

Dans un rugby amateur ou semi-pro, Ca s'entend, mais dans un rugby pro, non. On parle d'une entreprise qui doit compter 150 salariés avec un budget de +30M€... Alors on a commencé à y remédier avec un DG, grande nouveauté 2023, mais un président se doit d'être quand même présent. 

[Eria]

Quand tu es DRH au Comex de Michelin forcément que ASM nest pas ta propriété et loin de là

tu lui demande rien changer et tu met Rougerie a la présidence ,ça marchera beaucoup mieux...

Donc on fait un article parce que le président est venu au club ? Eh beh

et en hélicoptère....

 

on est la risée de tous les bisounours de la terre...

[Ptolémée]

Honte, colère, réaction... Tel était le champ lexical du vestiaire clermontois en ce début de semaine. La défaite à La Rochelle a été dure à encaisser. Mais elle doit servir pour disposer d’Oyonnax, samedi (17 heures).

 

Depuis le début de son mandat en juin dernier, le président Jean-Claude Pats n’est que très rarement venu à la rencontre des joueurs. Mais le cinglant revers à La Rochelle l’a obligé à venir rappeler, mardi, quelques obligations aux hommes de Christophe Urios. La visite du président dans le vestiaire fut en tout cas symbolique de la colère qui régnait encore dans les couloirs du stade Michelin en ce début de semaine.

« Il y a quand même un sentiment de honte, lâche l’entraîneur des avants Julien Laïrle. Nous savons très bien que nous avons fait une connerie. Et on sait très bien que pendant 80 minutes on n’a pas joué avec notre niveau. On n’était même pas sur le terrain. En ce début de semaine, le sentiment c’était tête basse, écouter et se remettre au travail. »

 

Paul Jedrasiak est un enfant du club. Depuis 2010 qu’il fréquente les arcanes de l’ASM Clermont, le deuxième ligne a vécu de grandes joies et aussi pas mal de désillusions. Mais cette claque rochelaise a laissé des traces. Celui qui quittera l’Auvergne en fin de saison, entend toutefois se servir de cette humiliation pour repartir plus fort. De toute façon, il n’y a pas 36 solutions.

 

« Nous sommes touchés, mais nous ne sommes pas coulés. Nos leaders nous ont parlé avec ce discours-là. Il faut continuer à s’entraîner dur comme on le fait chaque semaine et cela finira par payer. Christophe (Urios) nous a parlé de “mentalité de merde” pour nous faire réagir. Ce sont des mots qui touchent. Mais comme la venue du président d’ailleurs. Quand tu aimes ce sport et quand tu aimes le club, forcément, cela te touche personnellement. Mais il faut que ce soit pour tout le monde pareil pour aller de l’avant et avancer. » 

 

« Etre alignés avec la culture du club »

 

La remobilisation va forcément et impérativement passer par la réception d’Oyonnax, ce samedi (17 heures). On a coutume de dire que dans ce Top 14 tous les matchs sont importants, mais dans ce contexte tendu pour l’ASM, tout autre résultat qu’une victoire demeure inenvisageable.

« Ce sont les acteurs qui font le jeu, claque Julien Pairle. Il faut se remettre en selle. Ce Top 14, il est dur, il est extrême. Chaque rencontre est bataillée. Après, il faut savoir ce que l’on veut faire de notre saison et savoir quelle image on veut montrer sur le terrain. Nous devons être alignés avec la culture du club. Tout ça, ce ne sont que des mots. Maintenant il faut le montrer dans les actes. »

 

si cette colère pouvait se répercuter sur le résultat du match contre Oyo

[InASMWeTrust]

Quand tu es DRH au Comex de Michelin forcément que ASM nest pas ta propriété et loin de là

 

 

C'est peut-être une part du problème aussi... 

 

Dans un rugby amateur ou semi-pro, Ca s'entend, mais dans un rugby pro, non. On parle d'une entreprise qui doit compter 150 salariés avec un budget de +30M€... Alors on a commencé à y remédier avec un DG, grande nouveauté 2023, mais un président se doit d'être quand même présent. 

Oui, je pense aussi que c'est une partie du problème actuel. Quand tu vois les problèmes causés par l'absence d'un Pdt qui incvarne qq chose en amateur, tu imagines ce que c'est en pro. 

[RCV06]

Le début de l'article est en effet édifiant : "Depuis le début de son mandat en juin dernier, le président Jean-Claude Pats n’est que très rarement venu à la rencontre des joueurs"     

Il connait leur nom au moins ?

Honte, colère, réaction... Tel était le champ lexical du vestiaire clermontois en ce début de semaine. La défaite à La Rochelle a été dure à encaisser. Mais elle doit servir pour disposer d’Oyonnax, samedi (17 heures).

 

Depuis le début de son mandat en juin dernier, le président Jean-Claude Pats n’est que très rarement venu à la rencontre des joueurs. Mais le cinglant revers à La Rochelle l’a obligé à venir rappeler, mardi, quelques obligations aux hommes de Christophe Urios. La visite du président dans le vestiaire fut en tout cas symbolique de la colère qui régnait encore dans les couloirs du stade Michelin en ce début de semaine.

« Il y a quand même un sentiment de honte, lâche l’entraîneur des avants Julien Laïrle. Nous savons très bien que nous avons fait une connerie. Et on sait très bien que pendant 80 minutes on n’a pas joué avec notre niveau. On n’était même pas sur le terrain. En ce début de semaine, le sentiment c’était tête basse, écouter et se remettre au travail. »

 

Paul Jedrasiak est un enfant du club. Depuis 2010 qu’il fréquente les arcanes de l’ASM Clermont, le deuxième ligne a vécu de grandes joies et aussi pas mal de désillusions. Mais cette claque rochelaise a laissé des traces. Celui qui quittera l’Auvergne en fin de saison, entend toutefois se servir de cette humiliation pour repartir plus fort. De toute façon, il n’y a pas 36 solutions.

 

« Nous sommes touchés, mais nous ne sommes pas coulés. Nos leaders nous ont parlé avec ce discours-là. Il faut continuer à s’entraîner dur comme on le fait chaque semaine et cela finira par payer. Christophe (Urios) nous a parlé de “mentalité de merde” pour nous faire réagir. Ce sont des mots qui touchent. Mais comme la venue du président d’ailleurs. Quand tu aimes ce sport et quand tu aimes le club, forcément, cela te touche personnellement. Mais il faut que ce soit pour tout le monde pareil pour aller de l’avant et avancer. » 

 

« Etre alignés avec la culture du club »

 

La remobilisation va forcément et impérativement passer par la réception d’Oyonnax, ce samedi (17 heures). On a coutume de dire que dans ce Top 14 tous les matchs sont importants, mais dans ce contexte tendu pour l’ASM, tout autre résultat qu’une victoire demeure inenvisageable.

« Ce sont les acteurs qui font le jeu, claque Julien Pairle. Il faut se remettre en selle. Ce Top 14, il est dur, il est extrême. Chaque rencontre est bataillée. Après, il faut savoir ce que l’on veut faire de notre saison et savoir quelle image on veut montrer sur le terrain. Nous devons être alignés avec la culture du club. Tout ça, ce ne sont que des mots. Maintenant il faut le montrer dans les actes. »

C 'est bien gentil de nous vendre la culture du club a toutes les sauces, mais maintenant il faudrait surtout se sortir le doigts et si filer.