Bien dit y qu'il faut qu'il continue
Fallait arrêter cette spirale vers le trou, résultat combiné de Fazema et Gibbs, se purger d'un certain nombre de joueurs.
On peut ne pas être d'accord sur de choix, Urpapiletta par exemple, mais faut reconstruire. Ça prend du temps
Dans le discours on glorifie (le plus souvent à raison) Cotter mais il ne faut pas oublier ses propos quand il y a eu rupture. Le côté plan-plan nous guettait déjà et Jules l'avez dénoncé.
A l'époque le choix du président a été la poursuite sur le même registre.et ne pas oublier que Cotter n'a pas toujours eu le nez fin à 100%, il avait intronisé publiquement Azéma comme successeur...
Dans les propos de Urios je retrouve ce point que dénonçait Cotter. C'était le gentil club qui payait bien et où on pouvait espérer une retraite tranquille. Les exemples nous en avons quelques un en tête. Que Urios ai mis un coup de pied dans la fourmilière avec l'accord du "Big five" donc du président et du financeur, nous a permis de retrouver un peu d'espoir.
Je viens de voir le match de Biarritz et notre fameux ancien talonneur, on a fait du chemin à ce poste... et dans tous ceux que l'on a invité à partir, cette année combien joueront la vraie coupe d'Europe ?
Enfin l’interview du journaliste ne portait pas sur les points rugbylistiques, le coeur du papier c'est La Montagne qui a obtenu un scoop sur le renouvellement du contrat d'Urios. Il faut bien donner un peu de grain à moudre au journal régional. Pour conclure, qui d'autre que Urios dans la situation actuelle ? A part Cotter bien sûr et Dieu avec ses passes de 20 mètres des deux côtés...