..Euh...J'ai dit une connerie?????...
non non du tout ... j aurais du citer le premier message de la page précédente, celui de baba mais c etait trop long
Posté 02 décembre 2024 - 14:10
..Euh...J'ai dit une connerie?????...
non non du tout ... j aurais du citer le premier message de la page précédente, celui de baba mais c etait trop long
Posté 02 décembre 2024 - 14:15
tiens mais au fait, y a des espèces où les mâles sont pacifiques et c'est les femelles qui se bastonnent ?
Désolé Mr. Urios, on pourrit votre topic, mais c'est informatif. Donc c'est pour le bien suprême.
Regarde du côté des mantes religieuse
Les mantes religieuses, les Reines dans les alpages alpins, les hyènes,....... et la polonaise qui en buvait au petit déjeuner
Je suis à la bourre.
Elle en dit quoi Christine Boutin ?
On s'en bat les c
Posté 02 décembre 2024 - 15:05
Dans la Corrèze ?... Mais il n'y va jamais vu qu'il n'y a pas de bals !Ça se voit surtout qu'il n'est jamais allé en Corrèze.
Posté 02 décembre 2024 - 16:54
..Euh...J'ai dit une connerie?????...
Fais ta vie, t occupes pas des jugements, t as envie de dire un truc dis le, ce sera surement aussi intéressant que 80 % de ce qui se dit ici
Je trouve tes posts de plus en plus longs...
C'est vrai, c'est n importe quoi, je me laisse aller, il est temps que je me ressaisisse
Posté 02 décembre 2024 - 16:58
C'est vrai, c'est n importe quoi, je me laisse aller, il est temps que je me ressaisisse
Posté 02 décembre 2024 - 17:01
Retour des gifs Kaamelott, en perspective, alors? Tu me diras, on y perdra pas au change !
Tiens justement quand Urios parle de danser des slows avec sa sœur ( pas la sienne, la tienne, je précise parce que bon la Corrèze tout ça ), on est plusieurs a avoir pensé a toi
Posté 02 décembre 2024 - 17:05
Si cest pour reprendre les vannes éculées de l aut con, va finir ton goûter, papy!Tiens justement quand Urios parle de danser des slows avec sa sur ( pas la sienne, la tienne, je précise parce que bon la Corrèze tout ça ), on est plusieurs a avoir pensé a toi
Posté 02 décembre 2024 - 17:16
Si cest pour reprendre les vannes éculées de l aut con, va finir ton goûter, papy!
Posté 02 décembre 2024 - 18:06
Les mantes religieuses, les Reines dans les alpages alpins, les hyènes,....... et la polonaise qui en buvait au petit déjeuner
Et les veuves noires, vous croivez qu'elles se laissent emmerder par les males ?
Posté 02 décembre 2024 - 19:37
Peut-être déjà mis, pas vu désolé...
Publié le 02/12/2024 à 07h30
Christophe Buron
Il ne le dira probablement jamais, mais le manager clermontois sait qu’il ne possède pas de véritable star de ce sport dans son effectif. Il a donc aussi conscience que le collectif sera le « pilier », la clé de voûte de la réussite de son équipe. Une formation qui, il y a cinq semaines, volait en éclat à Paris (36-6), une semaine avant la réception de Bordeaux, coleader alors du Top 14.
Après la raclée parisienne, Urios lâchait, « notre rugby n’est pas assez costaud et sous pression, on n’a pas la solidarité qui va bien. En fait, je ne sais pas si on est solidaire ». Qu’est-ce qui a donc changé pour que cette équipe renverse la table et aligne trois robustes et convaincants succès ?
« Avec le recul, le match face à Bordeaux à la maison, on avait peur de le perdre. Je me souviens du repas pris le jour du match, il n'y avait pas un bruit. Cette peur nous a resserré », estime Thomas Ceyte, qui nous avait confiés aussi, il y a quelques jours, l’importance du discours de Christophe Urios dans la semaine suivant le Stade Français. « Il avait eu les mots justes, peut-être durs, surtout pour les leaders, mais il le fallait ».
Une prise de conscience collectiveUn mois plus tard, Castres est passé sous le rouleau compresseur auvergnat (54-10) et l’ASM pointe à la troisième place du Top 14. Toujours Thomas Ceyte : « Depuis l’UBB, chaque joueur, chaque leader a pris ses responsabilités. Marcos (Kremer) est revenu, il nous a fait énormément de bien. Il a réglé le côté agressivité, le travail de l’ombre. Chacun trouve sa place dans l’équipe et ça aide certains joueurs à mieux se concentrer sur la tâche qui lui incombe ».
À son échelle aussi, plus haut, Christophe Urios mesure combien ce collectif grandit. Avec, visiblement, une émulation qui tire le groupe vers le haut. « C’est la première fois que je vis ça ici, je sens une vraie ambition des joueurs pour jouer dans cette équipe. Une ambition très forte de tout le monde et c’est très positif. À Lyon, il n’y avait pas un joueur qui méritait de sortir de l’équipe par rapport à sa performance. Pourtant, on l’a fait. Donc, les mecs étaient déçus, très déçus, mais ils ont compris. Et ça, je ne le ressentais pas la saison dernière ».
La dynamique actuelle serait donc née sur une prise de conscience collective basée sur une concurrence entretenue aux petits oignons. Elle vient également des leaders qui assument leur statut et portent actuellement les messages du staff.
Mais, avant d’aborder la première séquence européenne, samedi (14 heures) face à Trévise, staff et joueurs restent mesurés. « On progresse, mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs », souligne Ceyte. « Il ne faut pas se prendre pour des cadors, parce que nous n’en sommes pas » tempère Urios.
Christophe Buron
Posté 02 décembre 2024 - 20:23
Peut-être déjà mis, pas vu désolé...
De la claque reçue à Paris au podium du Top 14 : les dessous du renouveau de l'ASM Clermont Article réservé aux abonnésPublié le 02/12/2024 à 07h30
Christophe Buron
Thomas Ceyte au cœur de la mêlée et d’une équipe aujourd’hui plus soudée. © Francis CAMPAGNONIPrès de deux ans après son arrivée sur le banc de l’ASM Clermont, Christophe Urios voit, sans doute, son management porter ses fruits, avec des joueurs (tous) très concernés.Il ne le dira probablement jamais, mais le manager clermontois sait qu’il ne possède pas de véritable star de ce sport dans son effectif. Il a donc aussi conscience que le collectif sera le « pilier », la clé de voûte de la réussite de son équipe. Une formation qui, il y a cinq semaines, volait en éclat à Paris (36-6), une semaine avant la réception de Bordeaux, coleader alors du Top 14.
Après la raclée parisienne, Urios lâchait, « notre rugby n’est pas assez costaud et sous pression, on n’a pas la solidarité qui va bien. En fait, je ne sais pas si on est solidaire ». Qu’est-ce qui a donc changé pour que cette équipe renverse la table et aligne trois robustes et convaincants succès ?
« Avec le recul, le match face à Bordeaux à la maison, on avait peur de le perdre. Je me souviens du repas pris le jour du match, il n'y avait pas un bruit. Cette peur nous a resserré », estime Thomas Ceyte, qui nous avait confiés aussi, il y a quelques jours, l’importance du discours de Christophe Urios dans la semaine suivant le Stade Français. « Il avait eu les mots justes, peut-être durs, surtout pour les leaders, mais il le fallait ».
Une prise de conscience collectiveUn mois plus tard, Castres est passé sous le rouleau compresseur auvergnat (54-10) et l’ASM pointe à la troisième place du Top 14. Toujours Thomas Ceyte : « Depuis l’UBB, chaque joueur, chaque leader a pris ses responsabilités. Marcos (Kremer) est revenu, il nous a fait énormément de bien. Il a réglé le côté agressivité, le travail de l’ombre. Chacun trouve sa place dans l’équipe et ça aide certains joueurs à mieux se concentrer sur la tâche qui lui incombe ».
À son échelle aussi, plus haut, Christophe Urios mesure combien ce collectif grandit. Avec, visiblement, une émulation qui tire le groupe vers le haut. « C’est la première fois que je vis ça ici, je sens une vraie ambition des joueurs pour jouer dans cette équipe. Une ambition très forte de tout le monde et c’est très positif. À Lyon, il n’y avait pas un joueur qui méritait de sortir de l’équipe par rapport à sa performance. Pourtant, on l’a fait. Donc, les mecs étaient déçus, très déçus, mais ils ont compris. Et ça, je ne le ressentais pas la saison dernière ».
La dynamique actuelle serait donc née sur une prise de conscience collective basée sur une concurrence entretenue aux petits oignons. Elle vient également des leaders qui assument leur statut et portent actuellement les messages du staff.
Mais, avant d’aborder la première séquence européenne, samedi (14 heures) face à Trévise, staff et joueurs restent mesurés. « On progresse, mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs », souligne Ceyte. « Il ne faut pas se prendre pour des cadors, parce que nous n’en sommes pas » tempère Urios.
Christophe Buron
1/ la mayonnaise a l'air de commencer a prendre
2/ O connor est une belle petite langue de pute !
3/ on est en train de reconstruire un paquet d avant qui va commencer a plus faire rigoler du tout , c est dense , ca fait mal , et en prime ils sont ultra réaliste dans les 22 adverses grâce au pénaltouche ( ca fait 3 matchs qu on les alignent comme a l entrainement , et les castrais on subis comme les autres malgres un paquet jamais simple a se coltiner et qui s attendait clairement a ce qu on insiste la dessus )
pour moi c est ca la première étape de notre reconstruction , un paquet d avant competitif , un collectif qui se construit une culture de la gagne ( même moche ) avec un groupe réellement soudé par une ambition et un projet commun , les fondations c est ca , l animation offensive ca se construira ensuite petit a petit
Posté 02 décembre 2024 - 20:56
O'Connor, c'est juste la langue ou plutôt carrément le tout ?
Posté 02 décembre 2024 - 20:59
O'Connor, c'est juste la langue ou plutôt carrément le tout ?
je te confie le travail d enquête , fais un test réel et viens nous donner le résultat brut !!
Posté 02 décembre 2024 - 21:27
je te confie le travail d enquête , fais un test réel et viens nous donner le résultat brut !!
comme tu y vas
Posté 02 décembre 2024 - 21:33
O'Connor, c'est juste la langue ou plutôt carrément le tout ?
ben non ...les anti urios allaient presque jusqu a lui donner raison, argumentant ... si il a dit cela, c est qu il a toujours des potes dans l effectif et ils peuvent pas blairer urios ....
du coup, c est qui les mauvaises langues ???
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