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[STAFF] Christophe URIOS " Entraîneur en chef "


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15001 réponses à ce sujet

#14971 gregouarrrr

gregouarrrr

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Posté 30 mai 2025 - 20:52

15 m pour l un
40 m pour l autre
Pour moi c est largement...

#14972 kennaugh

kennaugh

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Posté 30 mai 2025 - 20:56

Oui Belleau à réellement un jeu au pied de 15m, ça doit être ça. 



#14973 fandasm

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Posté 30 mai 2025 - 20:59

De toute façon, qd un entraineur laisse Antoine Dupont sur le banc ou ne voit pas en depoertere un espoir, ca en dit long sur son niveau de confiance aux jeunes encore plus dans les lignes arrières....



#14974 kennaugh

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    Joueur de TOP 14

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Posté 30 mai 2025 - 21:03

De toute façon, qd un entraineur laisse Antoine Dupont sur le banc ou ne voit pas en depoertere un espoir, ca en dit long sur son niveau de confiance aux jeunes encore plus dans les lignes arrières....

Malgré tout ce que Dupont est devenu faut quand même garder du contexte. Dupont était certes déjà trés fort, mais Kockott c'était pas n'importe qui. Un an aprés le départ de Dupont, Kockott sort des phases finales monstrueuses (et une grosse saison) qui offrent le titre au CO. 



#14975 Patator

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Posté 30 mai 2025 - 21:45

Carbo aucagne Farrell... Je suis pas convaincu..
Étaient ils intéressés pour venir ?
Avait on de la marge au niveau sc ?
A ma connaissance, personne ici ne possède toutes les données...


On ne sait pas, on avait pas le choix, les joueurs sont irréguliers, avant c'était pire.
J'ai l'impression de lire ces éléments de langage depuis deux ans.

#14976 Gourine63

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Posté hier, 05:36

Gregouaaar c'est quand même le seul forumer qui en appelle au respect du président/des joueurs mais qui détruit systématiquement l'ancien président/les concurrents des joueurs qu'il défend dans ses démonstrations. :D
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#14977 ELSAZOAM

ELSAZOAM

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Posté hier, 06:16

Top 14 : comment Christophe Urios vit un jour de match ? Le coach de l'ASM se confie avant la réception du Stade Français

 

Pour la dernière fois de la saison à domicile, ce samedi (14 h 30) avant un match crucial face au Stade Français, Christophe Urios va respecter des rituels qu’il suit depuis ses débuts dans le métier de coach. Un jour de match qu’il ne vit pas forcément bien avant que ne soit donné le coup d’envoi. Un avant-match qui passe toujours par des coups de fil à sa femme et à ses deux plus jeunes enfants.

 

C’est de loin le jour qu’il déteste le plus. Du moins, jusqu’à l’heure du coup d’envoi. Et la dernière rencontre de la saison au Michelin, ce samedi après-midi face au Stade Français, ne dérogera pas à la règle. Le « Jour de match » de Christophe Urios est balisé selon des points de rendez-vous précis, jalonné de moments d’attente « insupportables », marqué surtout par quelques rituels, qu’il a mis en place depuis ses débuts sur un banc d’entraîneur.

 

Ce samedi, alors que le reste de la semaine, il arrive au stade le premier, autour de 6 heures du matin, il va étirer au maximum le temps pour ne pas entrer dans l’arène du Michelin trop tôt.

 

« Pour moi, c’est un jour pénible à vivre. Le plus dur à vivre, c’est quand on arrive au vestiaire jusqu’au début de l’échauffement. Là, il y a une heure qui est pour moi un enfer. Si je pouvais partir, lire un bouquin… Bon, je sais que ça ne se fait pas et ça serait mal vécu (rires). Surtout que je ne suis pas un mec à aller parler à l’oreille des joueurs jusqu’au coup d’envoi. Je ne suis pas du tout comme ça car j’estime que le boulot a été fait avant ».

 

« L’heure entre l’arrivée au vestiaire et le début de l’échauffement est pour moi un enfer. Je déteste ce moment car je ne fais rien »


Joueur, Christophe Urios n’aimait pas qu’on lui rabâche les choses avant le coup d’envoi d’un match. Ce qu’il n’appréciait pas de ses coachs, il ne le fait donc pas subir à ses joueurs. « J’interviens juste à la causerie pour essayer de donner de l’énergie, du mental. Je peux saupoudrer de quelques trucs tactiques, mais tout a déjà été dit dans la semaine sur la stratégie ».

 

Contrairement aux autres jours passés au club, Christophe Urios rejoindra son groupe ce samedi matin en restant déconnecté des joueurs. S’il observe beaucoup la semaine, le jour du match, il observe encore plus. « Je regarde l’attitude des mecs, les horaires, le respect, le repas d’avant-match, voir si c’est bruyant ou silencieux. Après, je m'en sers toujours à la dernière causerie ».

 

Les mots que le coach clermontois prononce à ce moment-là sont les derniers avant la longue attente qui mène au début de l’échauffement. C’est là qu’il sort son téléphone portable de la poche. Avec un rituel immuable. Au stade Michelin comme à l’extérieur en déplacement, Christophe Urios appelle sa femme puis ses deux enfants.

 

« Ici, je téléphone dans le couloir du vestiaire, à l’extérieur c’est souvent sur la pelouse avant que les joueurs arrivent pour l’échauffement. Je suis très attaché à cette habitude, à ce rituel. Ces coups de fil me font basculer dans le match en fait. Je n’ai pas besoin d’être rassuré, mais ça me donne un brin de confiance ».

 

Mais que se dit le couple Urios sur ce coup de fil ? « Tu es où ? Tu fais quoi ? Le petit est déjà au stade pour jouer ? On ne se dit rien de rare, confirme le coach de l’ASM Clermont, ça dure deux à trois minutes ».

 

« Les coups de fil à ma femme et mes enfants me font basculer dans le match »


Quand Christophe appelle, Isabelle, son épouse évite d’oublier le téléphone au fond de son sac. « Il arrive que je loupe l’appel mais là, je suis aussi mal que lui. On a peut-être peur que ça porte malheur, rigole Madame Urios. En tout cas, on ne parle pas du tout rugby ou du match. La conversation est très souvent anodine et ne dure pas longtemps ».

 

Le jour de match reste en tout cas un moment spécial que la famille Urios respecte dès le petit-déjeuner. « Avant qu’il parte au stade, on le laisse entrer dans son match. Il est peut-être un peu plus stressé, on va donc éviter de parler de sujets qui pourraient l’énerver. On le laisse dans sa bulle », raconte sa femme.

 

Toujours avant le coup d’envoi, quand il ronge son frein, entre le terrain, les vestiaires et le couloir, Christophe Urios fuit presque le contact. Surtout avec l’adversaire et ses coachs. « Je ne les évite pas, explique-t-il, mais je ne veux pas les voir. Et si je les croise, je ne parle pas. Pour moi, lors de l’échauffement, on est déjà dans le rapport de force. L’avant-match, c’est un moment clé. Et j’aime ce rapport de tension où tu dois déjà montrer que tu es là ».

 

Face au Racing, le 22 mars dernier, Urios a pourtant pris trois minutes pour discuter sur la pelouse du Michelin avec Collazo. « Oui, c’est vrai, mais ça s’est trouvé comme ça. Il était là, à coté de moi sur la pelouse. En fait, ce n’est pas un problème de relation. A ce moment-là je suis dans mon match et je ne veux pas me disperser ».

 

Quand débute l’échauffement, l’entraîneur clermontois se retrouve donc un peu plus dans son élément. L’œil avisé, il observe. Ses hommes donc, mais aussi un peu l’adversaire. Ce moment de l’avant-match lui permet de se forger une première idée de ce qui va suivre.

 

« Parfois, mon ressenti d’avant-match n’est pas bon et on gagne. Dès fois, c’est l’inverse et c’est frustrant. Le plus terrible, c’est quand je devine le truc qui ne va pas bien se passer et que ça arrive. De ne rien avoir pu faire pour l’éviter me rend dingue », souffle le coach qui va vivre son dernier jour de match à domicile de la saison, aujourd’hui face au Stade Français. 

 

C. Buron (LM - 31/05/25)


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#14978 Buckaroo

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Posté hier, 07:32

Mais que se dit le couple Urios sur ce coup de fil ? « Tu es où ? Tu fais quoi ? Le petit est déjà au stade pour jouer ?

- Oui, je l'ai mis titulaire. Je pense que je le ferai sortir à la 70ème minute. Il fait vraiment une grande saison.


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#14979 steph

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Posté hier, 08:33

S'il y a un truc qui n'aura subi aucun accroc depuis 2 ans et demi, c'est le plan média pour suivre les aventures de Christophe.
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#14980 ELSAZOAM

ELSAZOAM

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Posté hier, 08:40

S'il y a un truc qui n'aura subi aucun accroc depuis 2 ans et demi, c'est le plan média pour suivre les aventures de Christophe.

La Montagne fait dans le local et si Urios n'était pas là, ils n'en parleraient pas !

En même temps, si ça fait vendre du papier ou des abonnements, tant mieux pour eux, faut bien qu'ils vivent.   ^_^



#14981 xdderf63

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Posté hier, 08:42

"Quand le truc que je devine qui ne va pas bien se passer, se passe... faut se dire les choses..."
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#14982 twiX

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Posté hier, 08:52

La Montagne fait un article sur l'entraineur un jour de match. Rien de grave.

Et si ça peut intéresser les lecteurs c'est bien pour le journal.

Le forum est là pour les investigations plus poussées  :D 



#14983 zeguest

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Posté hier, 08:52

Les fans de JCVD trouvent leur compte.
Maintenant que je sais officiel que c est pas une question de rugby ou de stratégie, je suis rassuré..
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#14984 Ptycook

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Posté hier, 09:05

15 m pour l un
40 m pour l autre
Pour moi c est largement...

Urda a un jeu au pied un peu plus long, mais ça reste très faible.
Par contre dans le jeu d'animation et de défense Belleau est 2 crans au dessus.
(Ne pas se laisser perturber par la gnaque d'Urda qui est loin de combler les erreurs de placement et la vitesse)

#14985 clum63_

clum63_

    Joueur de TOP 14

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Posté hier, 09:49

Top 14 : comment Christophe Urios vit un jour de match ? Le coach de l'ASM se confie avant la réception du Stade Français

 

Pour la dernière fois de la saison à domicile, ce samedi (14 h 30) avant un match crucial face au Stade Français, Christophe Urios va respecter des rituels qu’il suit depuis ses débuts dans le métier de coach. Un jour de match qu’il ne vit pas forcément bien avant que ne soit donné le coup d’envoi. Un avant-match qui passe toujours par des coups de fil à sa femme et à ses deux plus jeunes enfants.

 

C’est de loin le jour qu’il déteste le plus. Du moins, jusqu’à l’heure du coup d’envoi. Et la dernière rencontre de la saison au Michelin, ce samedi après-midi face au Stade Français, ne dérogera pas à la règle. Le « Jour de match » de Christophe Urios est balisé selon des points de rendez-vous précis, jalonné de moments d’attente « insupportables », marqué surtout par quelques rituels, qu’il a mis en place depuis ses débuts sur un banc d’entraîneur.

 

Ce samedi, alors que le reste de la semaine, il arrive au stade le premier, autour de 6 heures du matin, il va étirer au maximum le temps pour ne pas entrer dans l’arène du Michelin trop tôt.

 

« Pour moi, c’est un jour pénible à vivre. Le plus dur à vivre, c’est quand on arrive au vestiaire jusqu’au début de l’échauffement. Là, il y a une heure qui est pour moi un enfer. Si je pouvais partir, lire un bouquin… Bon, je sais que ça ne se fait pas et ça serait mal vécu (rires). Surtout que je ne suis pas un mec à aller parler à l’oreille des joueurs jusqu’au coup d’envoi. Je ne suis pas du tout comme ça car j’estime que le boulot a été fait avant ».

 

« L’heure entre l’arrivée au vestiaire et le début de l’échauffement est pour moi un enfer. Je déteste ce moment car je ne fais rien »


Joueur, Christophe Urios n’aimait pas qu’on lui rabâche les choses avant le coup d’envoi d’un match. Ce qu’il n’appréciait pas de ses coachs, il ne le fait donc pas subir à ses joueurs. « J’interviens juste à la causerie pour essayer de donner de l’énergie, du mental. Je peux saupoudrer de quelques trucs tactiques, mais tout a déjà été dit dans la semaine sur la stratégie ».

 

Contrairement aux autres jours passés au club, Christophe Urios rejoindra son groupe ce samedi matin en restant déconnecté des joueurs. S’il observe beaucoup la semaine, le jour du match, il observe encore plus. « Je regarde l’attitude des mecs, les horaires, le respect, le repas d’avant-match, voir si c’est bruyant ou silencieux. Après, je m'en sers toujours à la dernière causerie ».

 

Les mots que le coach clermontois prononce à ce moment-là sont les derniers avant la longue attente qui mène au début de l’échauffement. C’est là qu’il sort son téléphone portable de la poche. Avec un rituel immuable. Au stade Michelin comme à l’extérieur en déplacement, Christophe Urios appelle sa femme puis ses deux enfants.

 

« Ici, je téléphone dans le couloir du vestiaire, à l’extérieur c’est souvent sur la pelouse avant que les joueurs arrivent pour l’échauffement. Je suis très attaché à cette habitude, à ce rituel. Ces coups de fil me font basculer dans le match en fait. Je n’ai pas besoin d’être rassuré, mais ça me donne un brin de confiance ».

 

Mais que se dit le couple Urios sur ce coup de fil ? « Tu es où ? Tu fais quoi ? Le petit est déjà au stade pour jouer ? On ne se dit rien de rare, confirme le coach de l’ASM Clermont, ça dure deux à trois minutes ».

 

« Les coups de fil à ma femme et mes enfants me font basculer dans le match »


Quand Christophe appelle, Isabelle, son épouse évite d’oublier le téléphone au fond de son sac. « Il arrive que je loupe l’appel mais là, je suis aussi mal que lui. On a peut-être peur que ça porte malheur, rigole Madame Urios. En tout cas, on ne parle pas du tout rugby ou du match. La conversation est très souvent anodine et ne dure pas longtemps ».

 

Le jour de match reste en tout cas un moment spécial que la famille Urios respecte dès le petit-déjeuner. « Avant qu’il parte au stade, on le laisse entrer dans son match. Il est peut-être un peu plus stressé, on va donc éviter de parler de sujets qui pourraient l’énerver. On le laisse dans sa bulle », raconte sa femme.

 

Toujours avant le coup d’envoi, quand il ronge son frein, entre le terrain, les vestiaires et le couloir, Christophe Urios fuit presque le contact. Surtout avec l’adversaire et ses coachs. « Je ne les évite pas, explique-t-il, mais je ne veux pas les voir. Et si je les croise, je ne parle pas. Pour moi, lors de l’échauffement, on est déjà dans le rapport de force. L’avant-match, c’est un moment clé. Et j’aime ce rapport de tension où tu dois déjà montrer que tu es là ».

 

Face au Racing, le 22 mars dernier, Urios a pourtant pris trois minutes pour discuter sur la pelouse du Michelin avec Collazo. « Oui, c’est vrai, mais ça s’est trouvé comme ça. Il était là, à coté de moi sur la pelouse. En fait, ce n’est pas un problème de relation. A ce moment-là je suis dans mon match et je ne veux pas me disperser ».

 

Quand débute l’échauffement, l’entraîneur clermontois se retrouve donc un peu plus dans son élément. L’œil avisé, il observe. Ses hommes donc, mais aussi un peu l’adversaire. Ce moment de l’avant-match lui permet de se forger une première idée de ce qui va suivre.

 

« Parfois, mon ressenti d’avant-match n’est pas bon et on gagne. Dès fois, c’est l’inverse et c’est frustrant. Le plus terrible, c’est quand je devine le truc qui ne va pas bien se passer et que ça arrive. De ne rien avoir pu faire pour l’éviter me rend dingue », souffle le coach qui va vivre son dernier jour de match à domicile de la saison, aujourd’hui face au Stade Français. 

 

C. Buron (LM - 31/05/25)

 

 

Tain on a vraiment un beauf de catégorie galactique comme manager


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