Bon, les réseaux sociaux sont là depuis un moment maintenant. Ces joueurs ont grandi avec comme de plus en plus de personnes dans le monde, et ces réseaux font maintenant parti du quotidien de milliard de personne à la profession très différentes. Et ça l ASM n y peux rien.
Ensuite je suis totalement d accord pour dire que leur situation implique davoir un professionnalisme rigoureux et là dedans le club à une carte à joué pour les accompagner.
On ne manage pas cette génération (dont je fais parti, même si je ne suis pas rugbyman pro à mon plus grand désespoir) comme on manager en 2000, qui était également différent du management des années 80, etc
Et là dedans l ASM à du retard (d après des joueurs que je connais). Attention je ne les défends pas ! Je pense que les deux parties doivent faire un pas vers l autre (de quelle manière j en sais rien) mais cette (ma) génération ne peut-être manager par du flicage de leur vie privée par leur employeur. Et ce n est pas par la sanction que la motivation viendra mais par l accompagnement, la discussion, l explication, etc et ça certains club sont plus en avance que d autre (toujours d après certains joueur)
Je vais surement mettre la dernière partie du message sur le sujet « Urios » qui est plus approprié d après moi
Et oui la problématique du management est exactement là.
Comment comprendre le logiciel des d’jeuns quand on a 30 ans de plus qu’eux, tout en fixant le cadre du fonctionnement adapté et donc exigent …et frustrant.
Pour bien connaître ce sujet au plan professionnel, il faut sans arrêt se remettre personnellement en question, s’ouvrir, et savoir identifier les leaders du groupe, qui vont jouer un rôle prépondérant dans la communication.
Je partage le fait qu’à Clermont, il y a pas mal de vieux dans le club qui on le logiciel périmé….et ça provoque des distances, voir des cassures .
Pour autant, l’hygiène de vie, la diététique, la récupération sont incontournables dans la performance d’une équipe et sur ces sujets les managers ne peuvent pas dealer