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[Lima]

Tu renieras tout çà après son drop des 35m à la 85' pour niquer les bordelais d'un point en finale.

Je serai le premier heureux si ça arrive.

Mais je le redis : ça ne changera rien à la façon dont son cas et plus largement ce poste a été géré depuis trop longtemps maintenant.

[Codorplusàvie]

Je serai le premier heureux si ça arrive.

Mais je le redis : ça ne changera rien à la façon dont son cas et plus largement ce poste a été géré depuis trop longtemps maintenant.

La bonne chose quand t'es vieux c'est qu'avec l'arthrose tu ne peux plus tourner la tête en arrière quand tu avances.

Et demain c'est déjà le futur.

Ça fait quand même très longtemps qu'on n'est pas très bon dans la gestion des 10.
Alors certes ça fait deux paires de 10 en 4 saisons qui ne nous font pas avancer bien vite mais plutôt que de voir le verre à moitié vide, prenons-en un plus petit et disons-nous qu'on aura eu deux des trois meilleurs marqueurs du top14 au sein du club avec Broke et Benjamin.
Et çà, que ce soit les toulousains, les parisiens, les basques, les catalans ou les radeux, y peuvent se la mettre sur l'oreille. (y reste Castres mais si on ne fait pas de bruit, CAT ne verra rien)

Et si en plus tu rajoutes Romeu et Merceron, t'as quand même une palanquée de records que les autres n'auront pas.
Et puis c'est quand même réjouissant de donner un bout de bois et un bout de pain quand dans la vie de ce petit vieux il faisait froid et faim.

Nous l'auvergnat qui sans façons...

[jose5]

Pour moi clairement ce qui a pêché chez Urda jusque là c'est son jeu de passe, qui ne créait jamais de différence.
Face au MHR dans ce domaine ça n'avait rien à voir, il a fait plusieurs passes "au cordeau" assez ambitieuses, qui ont toutes fait mouche.
J'espère que ce n'est pas juste de la chance, mais une vraie évolution de notre jeu, parce que rien que ça et Jauneau qui arrivait à trouver de la distance sur ses sorties de camp, ça transforme complètement l'équipe.

[DOUDOU63]

Poursuivant sa carrière au moins pour un match de plus.....J'espère que si l'occasion de présente il nous claquera un drop pour scorer et concrétiser un temps fort...Car visiblement LOPEZ lui annonce la couleur bien avant le match  ...Demain seule la victoire est belle, et tous les points sont bons à prendre...

[el landeno]

« Il est plongé non-stop dans le rugby » : Urdapilleta, une dernière dose de ballon avant la retraite

Alors qu'il a décidé d'arrêter sa carrière à l'issue de cette saison, l'ouvreur argentin de l'ASM Benjamin Urdapilleta jubile à l'idée de jouer ce vendredi soir, à 39 ans, les prolongations à l'occasion du barrage contre Bayonne (21h05).

 

Quand son essai lui fut refusé samedi dernier à Montpellier (10-23) après intervention de l'arbitre vidéo pour une faute préalable d'un de ses coéquipiers clermontois, Benjamin Urdapilleta fut à deux doigts d'exploser de colère. Mais il préféra sourire. Jaune. Sa percée majuscule au coeur de la défense héraultaise après une prise de ballon autoritaire sur la ligne d'avantage aurait eu de quoi clore la carrière de ce demi d'ouverture, modèle zébulon. Mais le dernier chapitre n'était pas encore près de se refermer.

 

 

À 39 ans, l'international argentin (19 sélections entre 2007 et 2022) a certes décidé de raccrocher les crampons, « mais je refusais de finir comme ça. Alors on va continuer au moins un match de plus », glissait-il à l'issue de la victoire sur le MHR. Avant d'ajouter, goguenard : « Le Top 14 ne veut pas que j'arrête alors je vais l'écouter (rires). Et moi non plus je ne veux pas m'arrêter. J'espère continuer le plus loin possible. On verra déjà vendredi soir... »

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À Jean-Dauger face à l'Aviron. Au terme d'une saison chaotique, l'ASM s'est retrouvée cinquième au classement, même si les performances de son ouvreur furent inconstantes, à l'image du parcours de son club. Urdapilleta n'a pas disputé que de bons matches sous le maillot auvergnat depuis deux saisons. Pour autant, Christophe Urios lui a souvent réservé une place de titulaire. « Par son tempérament de gagneur, il a insufflé un esprit de hargne dans l'équipe, confirme l'entraîneur clermontois. "Benji" a tellement d'impact sur ses coéquipiers durant la semaine que même lorsqu'il n'était pas bon, je savais qu'il fallait lui maintenir ma confiance. »

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« Humainement, c'est une espèce rare. C'est un battant qui déteste perdre. Il n'a peur de rien et rien ne l'effraie »

Christophe Urios, qui côtoie Benjamin Urdapilleta depuis 2012

 

 

 

Le lien entre le coach de l'ASM et son ouvreur s'est renforcé depuis leur première rencontre en 2012, quand Oyonnax cherchait un ouvreur-buteur. Utilisé au centre avec les Harlequins, « très fort défensivement et précis au pied », dixit Urios, il fit le bonheur des Oyomen (2012-2015) puis des Castrais (2015-2023). « Au moment de signer au CO, j'avais demandé au président Revol la possibilité de récupérer quelques joueurs d'Oyonnax », précise Urios, qui emmena donc Urdapilleta dans le Tarn.

 

 

Benjamin Urdapilleta en avril 2013, sous le maillot d'Oyonnax. (A.Martin/L'Equipe)

« C'est lui qui conduisait le bus... », lâche le coach de l'ASM. Le volant, l'inoxydable argentin ne l'a pas lâché depuis. « Humainement, c'est une espèce rare, assure son mentor. Le joueur correspond à l'homme. Il n'abandonne jamais. C'est un battant qui déteste perdre. Il est authentique, entier, prêt à se sacrifier pour le collectif. Il n'a peur de rien et rien ne l'effraie... »

2507

Benjamin Urdapilleta a inscrit 2 507 points en Top 14 durant sa carrière. Il a doublé l'Australien Brock James (2 490 points, de 2006 à 2020), il y a deux semaines, pour devenir le deuxième meilleur réalisateur du Top 14, à distance respectable de Romain Teulet (2 612 points, de 2001à 2014).

Urios sait pouvoir compter ce vendredi soir à Jean-Dauger sur son porte-bonheur : « Il est transcendé par les matches à gros enjeux. Plus c'est difficile, meilleur il est. » Et s'il a eu, au début, du mal à trouver sa place dans l'effectif clermontois au point de claquer un jour la porte d'une salle où s'étaient réunis les leaders de l'équipe, « ses partenaires ont confiance totale en lui », assure un dirigeant de l'ASM.

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Contrairement à beaucoup d'autres, il n'exerce pas un métier mais vit à fond sa passion. « Il est plongé non-stop dans le rugby », constate Urios. Champion d'Angleterre en 2012, champion de France six ans plus tard, « il fait partie des rares joueurs qui m'ont challengé et m'ont fait progresser, avoue le coach auvergnat. Quand je me suis trompé dans la préparation d'un match, et c'est arrivé, ou quand mon discours a fait un flop à la pause dans le vestiaire, il me l'a toujours signalé, et sans détour. » Raison de plus pour que l'ASM, dans le money-time, mise sur ce 10.

 

 

[Gourine63]

Cette théorie ne me plaît pas donc elle est fausse.