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[ 1/2 ] Stade Toulousain - RM92.


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#46 el landeno

el landeno

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Posted 09 June 2023 - 17:38 PM

Quand un drop non valable sépare Toulouse du Racing lors de la demi-finale de 1991 Accordé par l'arbitre en l'absence de validation vidéo, le drop-goal de l'ouvreur Philippe Rougé-Thomas a aidé à la qualification de Toulouse (13-12) aux dépends du Racing Club de France lors de la demi-finale de 1991 à Bordeaux. Une épisode qui ne déclencha à l'époque aucune polémique.

L'absence de vidéo arbitrage lors du barrage entre le LOU et l'UBB (victoire des Bordelais, 32-25) dimanche dernier nous a rappelé que le rugby n'a pas toujours été scruté dans tous ses recoins par des caméras intrusives. En 1991, lors de la demi-finale qui opposait le Racing Club de France au Stade Toulousain au Parc Lescure, à Bordeaux, un arbitrage vidéo, pour le coup, aurait bien été utile, ne serait-ce que pour invalider la décision de l'arbitre de champ, Patrice Frantchi, accordant un drop-goal aux Toulousains alors que le ballon était passé sous la barre transversale, privant ainsi les Racingmen d'un billet pour la finale.

 
 

«Avec la vidéo comme aujourd'hui, il y a tellement de matches gagnés qui auraient été perdus et inversement... sourit l'arrière parisien Jean-Baptiste Lafond, placé juste sous ses poteaux. Sur ce match, il était évident que ce drop-goal de Philippe Rougé-Thomas était passé sous la barre et j'étais persuadé que l'arbitre l'avait vu. »

Du bord de touche, Christian Lanta, entraîneur du RCF doute immédiatement de la validité de ce drop « car la trajectoire du ballon est très tombante. Sur le moment, j'ai fait la part des choses. C'est le début du match, il faut vite passer à la suite. Mais c'est un match plein de frustration car à la fin, on a un ballon porté qui avance. Malheureusement, alors que la règle disait l'inverse, l'arbitre donne la mêlée aux Toulousains et on prend un deuxième drop, valide, celui-là, qui nous fait perdre... Même si on a essayé ensuite d'être fair-play, cette défaite m'a longtemps hantée. On a admis l'erreur mais cette décision arbitrale nous prive d'une deuxième finale consécutive (le Racing Club de France avait été sacré champion de France en 1990, un an plus tôt) qui aurait validé le travail effectué... »

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Jean-Baptiste Lafond à l'attaque, arme sa passe, devant le centre toulousain Michel Marfaing, deux des acteurs principaux de cette demi-finale en 1991. (Jean-Claude Pichon/L'Équipe)

Ce n'était pas dans mes intentions de faire un esclandre (...) Là, nous n'étions qu'à la vingt-quatrième minute, il restait encore du temps pour se refaire la cerise

Jean-Baptiste Lafond, ailier du Racing

 
 
 
 
 


En dehors de Jean-Baptiste Lafond, un autre joueur, Racingman lui aussi, a pu évaluer nettement la situation. Il s'agit de Denis Charvet, transfuge du Stade Toulousain : « Je vois que le drop passe sous la barre, je le signale gentiment à l'arbitre mais il s'énerve un peu. Alors je n'ai plus rien dit car je n'avais pas envie d'être de nouveau expulsé : la saison d'avant, avec le Stade Toulousain, j'avais eu des mots avec un arbitre et j'avais pris six matches de suspension, ce qui m'avait privé de la tournée en Australie avec l'équipe de France... »

Trente-deux ans plus tard, le pilier parisien Laurent Benezech, goguenard, est catégorique : « Jean-Ba, qui était le mieux placé d'entre nous, aurait dû pousser un coup de gueule. C'était le minimum syndical (rires). » Réponse de l'intéressé : « Ce n'était pas dans mes intentions de faire un esclandre. D'autant qu'il y avait peu de moyens pour rétablir la vérité. Ce n'était pas dans notre culture de râler. Aujourd'hui, les joueurs parlent beaucoup plus, même ceux qui ne sont pas capitaines. C'est dans l'air du temps de tout contester... Là, nous n'étions qu'à la vingt-quatrième minute, il restait encore du temps pour se refaire la cerise. Si c'est à la soixante-dix-huitième, c'est sûr que le sentiment d'injustice n'est pas le même. »

Et les Toulousains, dans tout ça, qu'en pensent-ils ? « Du bord de touche, je ne vois rien du tout, avoue l'entraîneur Christian Gajan. Et quand on apprend que le drop n'est pas passé, nous n'avons ressenti aucun sentiment de culpabilité (rires) : nous étions dans l'euphorie de la victoire. Avec le recul, je pense que nous avons fait un déni de réalité : nous n'avions pas envie que cet événement soit commenté (rires). Il fallait vite se projeter sur la finale. »

« Sur le coup, j'ai ressenti un peu de culpabilité. Je suis un compétiteur et ça m'embêtait d'avoir gagné ce match sur un erreur d'arbitrage »

Michel Marfaing, centre du Stade Toulousain en 1991

 
 
 

Sur le terrain, le trois-quarts centre Michel Marfaing, qui décochera le drop de la victoire à la 80e, ce jour-là, n'a pas épilogué : « Je suis à un peu plus de quarante mètres des poteaux, persuadé qu'il est passé. Et personne ne conteste cette décision. Mais après le match, nos téléphones sonnent et on apprend qu'il a été accordé à tort. Une fois qu'on a regardé le match à la vidéo, de retour à Toulouse, on s'est aperçu que le ballon n'avait pas franchi la barre transversale. Sur le coup, j'ai ressenti un peu de culpabilité. Je suis un compétiteur et ça m'embêtait d'avoir gagné ce match sur un erreur d'arbitrage. Mais ça ne nous a pas empêché de disputer la finale... » Et de la perdre, 19-10, face à Bègles, une semaine plus tard, au Parc des Princes.

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Le demi de mêlée Jérôme Cazalbou ouvre sur les trois-quarts toulousain sous la pression de Laurent Cabannes. A gauche sur la photo le pilier Laurent Benezech. (Alain de Martignac/L'Équipe)

Alors demi de mêlée du Stade Toulousain et aujourd'hui manager du club, Jérôme Cazalbou met en perspective l'épisode de 1991, que les acteurs choisirent de ne pas commenter, avec la période actuelle : « Aujourd'hui, conclut-il, l'arbitrage vidéo (généralisé en 2006 dans le Top 14) met une pression supplémentaire sur les épaules de l'arbitre car il sait que toutes les décisions, potentiellement, peuvent être revues. En 1991, c'était une époque différente : nous acceptions les décisions de l'arbitre, quelles qu'elles soient. Maintenant, l'arbitrage-vidéo est entré dans les moeurs, avec un protocole bien défini. A tel point que l'absence d'arbitrage vidéo lors du barrage entre le LOU et l'UBB nous laisse perplexe. Si on veut aller dans le sens de tous les règlements qui veulent assurer une équité infaillible... Ce match n'aurait pas dû se dérouler dans ces conditions-là. »

Il est à noter qu'après l'épisode calamiteux de dimanche dernier à Gerland - l'essai de Matthieu Jalibert aurait dû être invalidé -, la FFR et la LNR ont prit leurs précautions en sécurisant une cellule d'arbitrage vidéo dans le cas où des problèmes de transmission télé surviendraient lors des demi-finales disputées à Saint-Sébastien, en Espagne, ce week-end.

 


#47 castrais avant tout

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Posted 09 June 2023 - 18:08 PM

Quand un drop non valable sépare Toulouse du Racing lors de la demi-finale de 1991 Accordé par l'arbitre en l'absence de validation vidéo, le drop-goal de l'ouvreur Philippe Rougé-Thomas a aidé à la qualification de Toulouse (13-12) aux dépends du Racing Club de France lors de la demi-finale de 1991 à Bordeaux. Une épisode qui ne déclencha à l'époque aucune polémique.


L'absence de vidéo arbitrage lors du barrage entre le LOU et l'UBB (victoire des Bordelais, 32-25) dimanche dernier nous a rappelé que le rugby n'a pas toujours été scruté dans tous ses recoins par des caméras intrusives. En 1991, lors de la demi-finale qui opposait le Racing Club de France au Stade Toulousain au Parc Lescure, à Bordeaux, un arbitrage vidéo, pour le coup, aurait bien été utile, ne serait-ce que pour invalider la décision de l'arbitre de champ, Patrice Frantchi, accordant un drop-goal aux Toulousains alors que le ballon était passé sous la barre transversale, privant ainsi les Racingmen d'un billet pour la finale.

 

 



«Avec la vidéo comme aujourd'hui, il y a tellement de matches gagnés qui auraient été perdus et inversement... sourit l'arrière parisien Jean-Baptiste Lafond, placé juste sous ses poteaux. Sur ce match, il était évident que ce drop-goal de Philippe Rougé-Thomas était passé sous la barre et j'étais persuadé que l'arbitre l'avait vu. »



Du bord de touche, Christian Lanta, entraîneur du RCF doute immédiatement de la validité de ce drop « car la trajectoire du ballon est très tombante. Sur le moment, j'ai fait la part des choses. C'est le début du match, il faut vite passer à la suite. Mais c'est un match plein de frustration car à la fin, on a un ballon porté qui avance. Malheureusement, alors que la règle disait l'inverse, l'arbitre donne la mêlée aux Toulousains et on prend un deuxième drop, valide, celui-là, qui nous fait perdre... Même si on a essayé ensuite d'être fair-play, cette défaite m'a longtemps hantée. On a admis l'erreur mais cette décision arbitrale nous prive d'une deuxième finale consécutive (le Racing Club de France avait été sacré champion de France en 1990, un an plus tôt) qui aurait validé le travail effectué... »



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Jean-Baptiste Lafond à l'attaque, arme sa passe, devant le centre toulousain Michel Marfaing, deux des acteurs principaux de cette demi-finale en 1991. (Jean-Claude Pichon/L'Équipe)



Ce n'était pas dans mes intentions de faire un esclandre (...) Là, nous n'étions qu'à la vingt-quatrième minute, il restait encore du temps pour se refaire la cerise


Jean-Baptiste Lafond, ailier du Racing


  
 

 

 




En dehors de Jean-Baptiste Lafond, un autre joueur, Racingman lui aussi, a pu évaluer nettement la situation. Il s'agit de Denis Charvet, transfuge du Stade Toulousain : « Je vois que le drop passe sous la barre, je le signale gentiment à l'arbitre mais il s'énerve un peu. Alors je n'ai plus rien dit car je n'avais pas envie d'être de nouveau expulsé : la saison d'avant, avec le Stade Toulousain, j'avais eu des mots avec un arbitre et j'avais pris six matches de suspension, ce qui m'avait privé de la tournée en Australie avec l'équipe de France... »



Trente-deux ans plus tard, le pilier parisien Laurent Benezech, goguenard, est catégorique : « Jean-Ba, qui était le mieux placé d'entre nous, aurait dû pousser un coup de gueule. C'était le minimum syndical (rires). » Réponse de l'intéressé : « Ce n'était pas dans mes intentions de faire un esclandre. D'autant qu'il y avait peu de moyens pour rétablir la vérité. Ce n'était pas dans notre culture de râler. Aujourd'hui, les joueurs parlent beaucoup plus, même ceux qui ne sont pas capitaines. C'est dans l'air du temps de tout contester... Là, nous n'étions qu'à la vingt-quatrième minute, il restait encore du temps pour se refaire la cerise. Si c'est à la soixante-dix-huitième, c'est sûr que le sentiment d'injustice n'est pas le même. »



Et les Toulousains, dans tout ça, qu'en pensent-ils ? « Du bord de touche, je ne vois rien du tout, avoue l'entraîneur Christian Gajan. Et quand on apprend que le drop n'est pas passé, nous n'avons ressenti aucun sentiment de culpabilité (rires) : nous étions dans l'euphorie de la victoire. Avec le recul, je pense que nous avons fait un déni de réalité : nous n'avions pas envie que cet événement soit commenté (rires). Il fallait vite se projeter sur la finale. »



« Sur le coup, j'ai ressenti un peu de culpabilité. Je suis un compétiteur et ça m'embêtait d'avoir gagné ce match sur un erreur d'arbitrage »


Michel Marfaing, centre du Stade Toulousain en 1991


  
 



Sur le terrain, le trois-quarts centre Michel Marfaing, qui décochera le drop de la victoire à la 80e, ce jour-là, n'a pas épilogué : « Je suis à un peu plus de quarante mètres des poteaux, persuadé qu'il est passé. Et personne ne conteste cette décision. Mais après le match, nos téléphones sonnent et on apprend qu'il a été accordé à tort. Une fois qu'on a regardé le match à la vidéo, de retour à Toulouse, on s'est aperçu que le ballon n'avait pas franchi la barre transversale. Sur le coup, j'ai ressenti un peu de culpabilité. Je suis un compétiteur et ça m'embêtait d'avoir gagné ce match sur un erreur d'arbitrage. Mais ça ne nous a pas empêché de disputer la finale... » Et de la perdre, 19-10, face à Bègles, une semaine plus tard, au Parc des Princes.



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Le demi de mêlée Jérôme Cazalbou ouvre sur les trois-quarts toulousain sous la pression de Laurent Cabannes. A gauche sur la photo le pilier Laurent Benezech. (Alain de Martignac/L'Équipe)



Alors demi de mêlée du Stade Toulousain et aujourd'hui manager du club, Jérôme Cazalbou met en perspective l'épisode de 1991, que les acteurs choisirent de ne pas commenter, avec la période actuelle : « Aujourd'hui, conclut-il, l'arbitrage vidéo (généralisé en 2006 dans le Top 14) met une pression supplémentaire sur les épaules de l'arbitre car il sait que toutes les décisions, potentiellement, peuvent être revues. En 1991, c'était une époque différente : nous acceptions les décisions de l'arbitre, quelles qu'elles soient. Maintenant, l'arbitrage-vidéo est entré dans les moeurs, avec un protocole bien défini. A tel point que l'absence d'arbitrage vidéo lors du barrage entre le LOU et l'UBB nous laisse perplexe. Si on veut aller dans le sens de tous les règlements qui veulent assurer une équité infaillible... Ce match n'aurait pas dû se dérouler dans ces conditions-là. »



Il est à noter qu'après l'épisode calamiteux de dimanche dernier à Gerland - l'essai de Matthieu Jalibert aurait dû être invalidé -, la FFR et la LNR ont prit leurs précautions en sécurisant une cellule d'arbitrage vidéo dans le cas où des problèmes de transmission télé surviendraient lors des demi-finales disputées à Saint-Sébastien, en Espagne, ce week-end.
 

Le Racing a été plus veinard avec l'arbitrage l'année précédente en 1/4 contre Grenoble où en 1/2 2016 contre Clermont.
https://youtu.be/qn2AgtzJ0nE

#48 castrais avant tout

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Posted 09 June 2023 - 19:06 PM



#49 Arverne03

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Posted 09 June 2023 - 19:20 PM

Un beau match à tous les niveaux : joueurs, arbitres, spectateurs et du beau jeu ! C'est tout !



#50 steph

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Posted 09 June 2023 - 19:49 PM

Ils en font des caisses sur c+ avec la compo de Toulouse, alors que je trouve que l'équipe actuelle n'est pas au niveau des dernières années, surtout derrière.
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#51 Alex chocolatines

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Posted 09 June 2023 - 19:49 PM

Je sais pas à quoi tu joue mais c'est pas inspiré de chercher les Jaunards avec des trucs comme ça ... :unsure:



#52 Very Good Eshvili

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Posted 09 June 2023 - 19:50 PM

Antoine Dupont joue contre qui ce soir?



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Posted 09 June 2023 - 19:59 PM

Bon match à tous
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#54 Mammoth

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Posted 09 June 2023 - 20:00 PM

Antoine Dupont joue contre qui ce soir?

Contre l'Espagne si j'ai bien suivi. Mais je sais pas dans quel sport



#55 Binche63

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Posted 09 June 2023 - 20:00 PM

Antoine Dupont joue contre qui ce soir?


Face à lui même

#56 PPR

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Posted 09 June 2023 - 20:01 PM

Ils en font des caisses sur c+ avec Toulouse

Le coup des micros sur les entraîneurs en avant match, ça fait deux fois que je le vois et chaque fois c'est pour Toulouse

#57 Alex chocolatines

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Posted 09 June 2023 - 20:03 PM

Bon allez, encouragez nous, meme si c'est pas pour nous, faites le au moinsse pour le copaing Parigot  ^_^



#58 PPR

PPR

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Posted 09 June 2023 - 20:03 PM

Faut pas de casse derrière pour Toulouse...

#59 Patator

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Posted 09 June 2023 - 20:03 PM

Contre l'Espagne si j'ai bien suivi. Mais je sais pas dans quel sport


A San Sebastian ?...

#60 steph

steph

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Posted 09 June 2023 - 20:03 PM

Putain Omar Hassan, on dirait Philippe Lavil qui s'est fait un régime cassoulet choucroute !




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