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Top 100 des joueurs de l'Equipe de France ( du Journal l'Equip


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183 réponses à ce sujet

#1 el landeno

el landeno

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Posté 31 juillet 2023 - 20:31

Top 100 des plus grands joueurs du quinze de France - Du 100e au 81e : Lux, Papé, Bernat-Salles... Alors qu'approche la Coupe du monde en France (8 septembre - 28 octobre), nous avons établi le classement des 100 plus grands joueurs de l'histoire des Bleus. Jusqu'à vendredi, rendez-vous chaque jour pour découvrir le parcours et l'héritage de ces illustres internationaux. Voici la première partie de notre classement, qui fait la part belle aux anciens.
100. Jean Trillo (1967-1973) : l'Intercepteur

 

 
 
Né le 27 octobre 1944, à Condom.
Trois-quarts centre.
1,80 m, 80 kg.
28 sélections.

Son association au centre avec Jo Maso, à 7 reprises, symbolise le « French Flair ». Capitaine en 1971 lors de la tournée en Afrique du Sud. Vainqueur du premier Grand Chelem français en 1968. Solide défenseur, il a aussi inscrit 6 essais en bleu. Champion de France avec Bègles en 1969, grâce à une interception.

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Jean Trillo. (L'Équipe)
99. Pascal Papé (2014-2015) : le Redresseur

 

 
 
Né le 5 octobre 1980, à Lyon.
Deuxième-ligne.
1,96 m, 115 kg.
65 sélections.

Un avant de devoir à l'ancienne, qui aimait marquer l'adversaire dans les phases de conquête et de combat. Pour le Mondial 2007, Bernard Laporte lui préférera le médiatique Chabal. Devient un cadre de l'équipe de France pendant la Coupe du monde 2011. 14 fois capitaine. Décroche deux Grands Chelems (2004, 2010). Champion de France avec le Stade Français (2015).

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Pascal Pape au milieu du pack argentin en 2013. (B. Papon/L'Équipe)
98. Jules Cadenat (1910-1913) : comme César

 

Né le 18 septembre 1885, à Béziers.
Décédé le 7 décembre 1966, à Béziers.
Deuxième-ligne.
1,81 m, 103 kg.
7 sélections.

À ceux qui demandaient comment orthographier son nom, il lançait, à la façon de Marius : « Jules comme César, et Cadenat comme la serrure... ». Personnage truculent, joueur rugueux. Fut aligné à tous les postes : pilier, troisième-ligne centre et deuxième-ligne. Étudiant en droit à Paris, il opérait au SCUF. Avec lequel il fut deux fois finaliste du Championnat de France.

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Jules Cadenat (à droite) quand l'équipe de France se rendait en bateau en Grande-Bretagne pour disputer le Tournoi des 5 Nations dans les années 1930. (L'Équipe)
97. Jean-Pierre Lux (1967-1975) : en pleine lumière

 

Né le 9 janvier 1946, à Tyrosse.
Décédé le 14 décembre 2020, à Dax.
Trois-quarts centre.
1,80 m, 78 kg.
47 sélections.

Technique irréprochable, gestuelle fluide. Aussi l'un des plus rapides attaquants français. Positionné ailier à 9 reprises, il inscrivit 12 essais. Fait partie, avec Barrau, Iraçabal, Alain Esteve, Biémouret et Walter Spanghero, des joueurs qui « fermèrent » Colombes en 1972 et ouvrirent le Parc des Princes, l'année suivante.

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Jean-Pierre Lux lors du Tournoi 1970 à l'Arms Park de Cardiff. (L'Équipe)
96. Géo André (1913-1914) : le Bison

 

Né le 13 août 1889, à Paris.
Décédé le 4 mai 1943, à Bizerte (Tunisie).
Trois-quarts aile.
1,84 m, 85 kg.
7 sélections.

Médaillé d'argent aux Jeux Olympiques de Londres en 1908. Participa à ceux de 1912, 1920 et 1924. Vingt fois champion et recordman de France du 100, 200 et 400 m. Excellait sur 110 et 400 m haies. Fit juste quelques apparitions en équipe de France avant-Guerre. Mais remarquées. Inscrivit 3 essais. Sa puissance et sa vélocité firent de lui une attraction ovale.

95. Sylvain Marconnet (1998-2011) : faute de carre

 

Né le 8 avril 1976, à Givors.
Pilier gauche.
1,83 m, 110 kg.
84 sélections.

Les internationaux français ont une semaine de repos avant de reprendre leur préparation pour le Mondial 2007. Sylvain Marconnet se fracture la jambe au ski. Forfait. Un crève-coeur pour ce première-ligne mobile, considéré comme l'un des meilleurs au monde à son poste. Demeure pour un temps encore le pilier français le plus capé. Devant Mas, Califano et de Villiers. Capitaine en 2009.

94. Philippe Struxiano (1913-1920) : le premier rebelle

 

Né le 11 mars 1891, à Toulouse.
Décédé le 21 avril 1956, à Toulouse.
Demi de mêlée.
1,68 m, 73 kg.
7 sélections.

Il faut avoir un sacré caractère pour refuser une sélection internationale au motif qu'on n'apprécie pas que les sélectionneurs entretiennent avec les joueurs des relations d'employeurs à employés. Les efforts du Maréchal Foch et du Général Weygand pour faire revenir le capitaine tricolore sur sa décision furent sans effet. Il mit fin à sa carrière sur cette fâcherie.

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Philippe Struxiano dégage lors d'une victoire des Bleus en amical face aux États-Unis en octobre 1920 (14-5). (L'Équipe)
93. Philippe Benetton (1989-1999) : coéquipier par excellence

 

Né le 17 mai 1968, à Cahors.
Troisième-ligne aile.
1,90 m, 96 kg.
59 sélections.

Formé à Cahors, transformé à Agen. Homme de terroir à l'aise dans tous les registres, offensif et défensif. Excellent passeur, toujours au service du collectif. N'a jamais chercher à briller. Préférait jouer juste, même si cela consistait à s'atteler aux tâches ingrates et obscures.

92. William Servat (2004-2012) : la Bûche

 

Né le 9 février 1978, à Saint-Gaudens.
Talonneur.
1,85 m, 103 kg.
49 sélections.

L'homme fort du pack tricolore à l'entrée du XXIe siècle. Lanceur très précis. Mais surtout indestructible, comme le héros de Pixar. Une force de bras peu commune. Redoutable plaqueur. Cette robustesse apporte un supplément de densité à la mêlée française. Vainqueur du Grand Chelem 2010, finaliste de la Coupe du monde 2011.

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William Servat en finale de la Coupe du monde 2011 face à Sam Whitelock (à droite) et Kieran Read. (B. Papon/L'Équipe)
91. Philippe Bernat-Salle (1992-2001) : l'Aile du désir

 

Né le 17 février 1970, à Pau.
Trois-quarts aile.
1,80 m, 75 kg.
41 sélections.

En 1998, les Tricolores étrennent le Stade de France et il inscrit le premier essai qu'il signe, bras écartés comme les ailes d'un avion. Il marque aussi un essai d'importance face aux All Blacks en demi-finales du Mondial 1999, au terme d'une course-poursuite de quatre-vingts mètres. Après Darrouy et Lagisquet, un autre pur ailier. A inscrit 26 essais sous le maillot bleu.

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Philippe Bernat-Salles auteur d'un essai lors de la mythique demi-finale gagné contre la Nouvelle-Zélande en 1999 (42-31). (Fevre/L'Équipe)
90. Robert Soro (1945-1949) : le Lion de Swansea

 

Né le 28 novembre 1922, à Odos.
Décédé le 28 avril 2013, à Arreau.
Deuxième-ligne.
1,85 m, 110 kg.
21 sélections.

Les Français jouent face au vent de la mer. Il faut contenir les Gallois pendant la première période. Robert Soro se jette dans les regroupements. Piétiné, il tarde à se relever et le soigneur entre. Autant de minutes gagnées. Il recommencera plusieurs fois. Ne saisissant pas le stratagème, les journalistes gallois louent son courage léonin.

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Robert Soro (à droite) après la victoire des Bleus face à l'Angleterre lors du Tournoi 1948 (15-0). (L'Équipe)
89. Elie Cester (1966-1974) : le Géant bleu

 

Né le 27 juillet 1942, à L'Isle-Jourdain.
Décédé le 3 janvier 2017.
Deuxième-ligne.
1,91 m, 108 kg.
35 sélections.

Remporte le Grand Chelem en 1968. Quelques mois plus tard, Fred Allen, l'entraîneur des All Blacks, disait de lui : « Avec huit Cester, le pack français serait redoutable ». Appelé dans la sélection mondiale (avec Maso, Villepreux, Carrère, Villepreux et Bertranne) pour le centenaire de la Fédération anglaise en 1971. Trois fois capitaine en 1974.

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Elie Cester (à gauche) avec le demi de mêlée all Black de Sid Going en 1973. (L'Équipe)
88. Roland Bertranne (1971-1981) : petit taureau furieux

 

Né le 6 décembre 1949, à Ibos.
Trois-quarts centre.
1,75 m, 80 kg.
69 sélections.

En 1981, Fouroux lançait : « Donnez-moi quinze Bertranne et je battrai toutes les équipes du monde ! » Le coach tricolore rendait ainsi hommage à son joueur le plus coriace, le plus efficace, le plus fougueux. Il remporta deux Grands Chelems, en 1977 et 1981. Son record de sélections (69) fut battu en 1989 par Serge Blanco.

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Roland Bertranne (au centre) avec Michel Palmié (à gauche) et Jean-François Imbernon lors de la sévère défaite au Parc des Princes (15-3) des Bleus face à la Nouvelle-Zélande le 19 novembre 1977. (L'Équipe)
87. Pierre Dospital (1977-1985) : la force basque

 

Né le 15 mai 1950, à Itxassou.
Pilier.
1,85 m, 103 kg.
24 sélections.

Autant les piliers sont souvent peu diserts, autant Peyo (Pierre, en basque) Dospital a l'organe vocal bien développé. Chanteur, certes, mais surtout champion de force basque, ce pilier au grand c(h)oeur soulevait aussi facilement les rochers que les mêlées adverses. Victorieux du Grand Chelem en 1981.

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Pierre Dospital en 1985, lors de son dernier Tournoi avec les Bleus. (JC.Pichon/L'Equipe)
86. Roger Martine (1952-1961) : plus que parfait

 

Né le 3 janvier 1930, à Bellocq.
Décédé le 3 mars 2005, à Lourdes.
Trois-quarts centre.
1,74 m, 76 kg.
25 sélections.

Organisateur et penseur du jeu d'attaque. Celui que ses coéquipiers surnommaient « Bichon » a élevé la passe au rang d'un art. Grâce à lui, le FC Lourdes et le XV de France purent disposer dans les années 1950 d'un jeu de ligne millimétré. À vaincu toutes les nations majeures entre 1954 et 1961. Sélectionné aussi ouvreur et arrière.

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Roger Martine avec la meilleure clope de la journée, celle d'après-match. (L'Équipe)
85. Pierre Danos (1954-1960) : Dominguin

 

Né le 4 juin 1929, à Toulouse.
Décédé le 16 janvier 2023.
Demi de mêlée.
1,75 m, 73 kg.
17 sélections.

Jamais pris balle en mains, fluide et remarquable technicien. D'une feinte de corps, il éliminait les avants venus la charger. D'où son surnom, référence à l'illustre torero. Spécialiste du drop-goal. Sous sa conduite pendant sept saisons, le XV de France ne perdit que 3 rencontres. De la fabuleuse tournée de 1958 en Afrique du sud. Champion de France avec Béziers (1961).

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Pierre Danos dégage sous la protection de Lucien Mias (casque). (L'Équipe)
84. Eugène Ribère (1924-1933) : un temps d'avance

 

Né le 14 juin 1902, à Thuir.
Décédé le 21 mars 1988, à Bordeaux.
Troisième ligne aile.
1,80 m, 82 kg.
34 sélections.

Prototype du troisième-ligne aile à grand rayon d'action. À l'époque où le XV de France ne disputait que 4 matches par saison, il additionna plus de trente sélections. Un record dans les années 30. Détrôné par Jean Prat en 1955. Disputa dix Tournois d'affilée. Douze fois capitaine.

83. Gérard Dufau (1948-1957) : Zézé les méninges

 

Né le 27 août 1924, à Dax.
Décédé le 4 juillet 2002, à Antibes.
Demi de mêlée.
1,73 m, 66 kg.
38 sélections.

Autoritaire, exigeant, brasseur d'idées, inlassable chercheur et adepte du rugby total, il s'inscrit entre deux monstres sacrés : Jean Prat et Lucien Mias. Six fois capitaine en 1956 et 1957, il resta jusqu'en 1989 et l'ascension de Pierre Berbizier le demi de mêlée le plus capé du rugby français.

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Gérard Dufau plaqué par Tiny White lors de la victoire des Bleus face aux All Blacks en février 1954 (3-0). (L'Équipe)
82. Marcel Communeau (1906-1913) : en avant toutes !

Puni parce qu'il accordait trop d'importance aux avants en leur demandant de porter le ballon, il fut rétrogradé en équipe réserve du Stade Français. Ce qui ne l'empêcha pas de commander le XV de France dans le Tournoi quand il s'imposa pour la première fois, en 1911, contre l'Écosse. Ingénieur sorti major de l'École Centrale, il a le premier défini le jeu d'avants.

Né le 11 septembre 1885, à Beauvais.
Décédé le 26 juin 1971, à Beauvais.
Troisième-ligne centre.
1,78 m, 90 kg.
21 sélections.
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Marcel Communeau (L'Équipe)

 

81. Marcel-Frédéric Lubin-Lebrère (1914-1925) : Monsieur le Maire

 

Né le 21 juillet 1891, à Agen.
Décédé le 7 juillet 1972, à Toulouse.
Pilier.
1,81 m, 93 kg.
15 sélections.

Parce qu'il occupait un poste à la mairie de Toulouse, il bénéficia dans le Tournoi d'un sauf-conduit. Indestructible, la Première Guerre mondiale n'eut pas raison de lui, même s'il revint du front avec quatorze balles dans le corps. Perdit un oeil aux combats mais disputa la finale des Jeux Olympiques en 1924 contre les États-Unis.

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Marcel-Frédéric Lubin-Lebrère. (L'Équipe)
 
 

 


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#2 TH69

TH69

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Posté 31 juillet 2023 - 20:38

Merci pour le partage.

#3 Bougnat et Breton

Bougnat et Breton

    Equipe de France

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Posté 31 juillet 2023 - 20:56

Et il en reste tant d'autres !!



#4 Good Shvili

Good Shvili

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Posté 31 juillet 2023 - 21:17

Et il en reste tant d'autres !!

1/ Francis Rui


  • Silhouette, Bougnat et Breton, Y&B et 1 autre aiment ceci

#5 julien RAUCHE

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    Joueur de 2ème série

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Posté 31 juillet 2023 - 22:42

merci beaucoup!

super travail!



#6 Alex chocolatines

Alex chocolatines

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Posté 01 août 2023 - 12:18

1/ Francis Rui

Connais pas  :ermm:



#7 Vynce

Vynce

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Posté 01 août 2023 - 12:24

Pas trop de sens. A la limite un classement par position sur le terrain.

#8 Alex chocolatines

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Posté 01 août 2023 - 12:29

Pas trop de sens. A la limite un classement par position sur le terrain.

carrément aucun sens meme ...  Les époques changent et souvent c'est un collectif qui fait briller un gars. Classer des joueurs de tennis ou des pilotes auto, pourquoi pas, mais des rugbymen ou fouteux, ça n'a pas de sens

 

Toutes façons, encore une fois, c'est Dupont qui sera numéro 1  :D


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#9 Boulard

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Posté 01 août 2023 - 13:41

Pas trop de sens. A la limite un classement par position sur le terrain.


Le forum se fait chier, l'Equipe se fait chier, on fait des classements à la con
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#10 gregouarrrr

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Posté 01 août 2023 - 14:17

carrément aucun sens meme ...  Les époques changent et souvent c'est un collectif qui fait briller un gars. Classer des joueurs de tennis ou des pilotes auto, pourquoi pas, mais des rugbymen ou fouteux, ça n'a pas de sens

 

Toutes façons, encore une fois, c'est Dupont qui sera numéro 1  :D

ca lui changera du 9 ....


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#11 Alex chocolatines

Alex chocolatines

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Posté 01 août 2023 - 19:47

ca lui changera du 9 ....

C'est le neuvième avant quand meme  :P



#12 clum63_

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Posté 01 août 2023 - 20:23

Y'a déjà 2 toulousains de trop dans ce début de classement... Ça promet
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#13 el landeno

el landeno

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Posté 01 août 2023 - 22:25

Top 100 des plus grands joueurs du quinze de France - Du 80e au 61e : Castaignède, Penaud, Camberabero... Alors qu'approche la Coupe du monde en France (8 septembre - 28 octobre), nous avons établi le classement des 100 plus grands joueurs de l'histoire des Bleus. Jusqu'à vendredi, rendez-vous chaque jour pour découvrir le parcours et l'héritage de ces illustres internationaux.
80. Jean Dupuy (1956 - 1964) : Pipiou

 

 
 
Né le 25 mai 1934, à Vic-Bigorre.
Décédé le 27 octobre 2010, à Vic-Bigorre.
Trois-quarts aile.
1,73 m, 83 kg.
40 sélections.

Une moustache de Poilu de 14-18, avec le même courage et la même abnégation. Dur au mal, cet ailier tranchait avec les canons de l'époque qui voulaient qu'on soit seulement un sprinteur. Pipiou, lui, recherchait le contact physique, domaine dans lequel il excellait. Pour preuve, il inscrivit 19 essais en équipe de France.

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Jean Dupuy. (L'Équipe)
79. Max Rousié (1931-1933) : le fils prodigue

 

 
 
Né le 18 juillet 1912, à Marmande.
Décédé le 2 juin 1959, à Saint-Justin-des-Landes.
Demi de mêlée.
1,78 m, 83 kg.
4 sélections.

Personne n'était aussi doué que lui. Il réunissait toutes les qualités qu'on demande à un joueur de rugby : puissant, rapide, adroit, courageux. Capable d'évoluer à tous les postes, derrière. Il butait avec précision et puissance, plaquait comme un troisième-ligne. Passera professionnel à treize, avant de disparaitre tragiquement.

78. Julien Bonnaire (2004-2012) : « la Berjallie »

 

Né le 20 septembre 1978 à Bourgoin-Jallieu.
Troisième-ligne aile.
1,93 m ; 103 kg.
75 sélections.

Il a commencé tard le rugby (17 ans) sur un terrain jouxtant une église (Saint-Savin) et à l'ouverture. Il finira (quasi) au sommet, flanker d'excellence d'une finale perdue de Coupe du monde dans un stade mythique, l'Eden Park en 2011. Exemplaire, Julien Bonnaire l'a été pendant une carrière professionnelle de près de deux décennies, incarnant « la Berjallie », cet esprit de clocher. Mais ce fut à Clermont qu'il marqua l'histoire et ce bouclier de Brennus la première fois brandi Place de Jaude en 2010.

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Julien Bonnaire (à gauche) face à Piri Weepu en finale de la Coupe du monde 2011. (Alain Mounic/L'Équipe)
77. Jean Sébédio (1913-1923) : le Sultan

 

Né le 12 décembre 1890, à Saint-Jean-de-Luz.
Décédé le 12 juin 1951, à Carcassonne.
Troisième-ligne.
1,73 m, 89 kg.
9 sélections.

Personnage picaresque servi par un accent rocailleux et des réparties colorées. Un visage de tribun, un cou de buffle, un corps massif. Impossible de le manquer. A régné sans partage sur le rugby du Languedoc. Hors le talonnage, il a occupé tous les postes du paquet d'avants en équipe de France, ce qui en dit long sur sa force herculéenne.

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Jean Sébédio. (L'Équipe)
76. Jean Barthe (1954-1959) : Superman

 

Né le 22 juillet 1932, à Lourdes.
Décédé le 2 décembre 2017, à Carcassonne.
Troisième-ligne centre.
1,82 m, 88 kg.
26 sélections.

Il aimait les combats furieux. Aucun adversaire ne parvenait à le déstabiliser. Deuxième-ligne contre nature, il a trouvé à s'exprimer pleinement en troisième-ligne. Il lui fallait de l'élan pour arriver à pleine vitesse et caramboler les regroupements, ou découper un attaquant. Ainsi, il sauva la balle de match lors du deuxième test de la tournée de 1958 en Afrique du sud (5-9).

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Jean Barthe sous le maillot de l'Equipe de France. (L'Équipe)
75. Guy Camberabero (1961-1968) : le Lutin de La Voulte

 

Né le 17 mai 1936, à Saubion.
Demi d'ouverture.
1,66m, 66 kg.
14 sélections.

Parfaitement servi par son frère Lilian qui joue demi de mêlée, Guy dispose d'une botte magique. Les drops fusent, les buts s'additionnent. Mais le jeu s'arrête souvent à la charnière. Le débat divise : gagner avec les Cambé ou avec éclat mais sans eux. En 1968, leur efficacité permit néanmoins au XV de France de remporter son premier Grand Chelem.

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Guy Camberabero entouré des Toulonnais Aldo Gruarin (à gauche) et André Herrero. (L'Équipe)
74. Jean-Luc Joinel (1977-1987) : au deuxième degré

 

Né le 21 septembre 1953, à Sarlat.
Troisième-ligne centre.
1,95 m, 103 kg.
51 sélections.

Sur le terrain, il commentait ses actions, ce qui faisait le délice de ses coéquipiers. N'a jamais été remplaçant en onze ans de carrière. Avec Blanco, Guy Laporte, Dintrans et Berbizier, il fait partie des vainqueurs du Grand Chelem 1981 qui disputèrent la première Coupe du monde. Excellent preneur de ballon en fond d'alignement. Evolua aussi troisième-ligne aile.

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Jean-Luc Joinel face à l'Ecosse lors du Tournoi des 5 Nations en 1983. (L'Équipe)
73. Thomas Castaignède (1995-2007) : Tom Pouce

 

Né le 21 janvier 1975, à Mont-de-Marsan.
Demi d'ouverture.
1,75 m, 80 kg.
54 sélections.

Pur produit de l'école landaise, celle des frères Boniface et de Patrick Nadal. Attaquant né. Ouvreur, mais aussi centre et arrière en équipe de France. Buteur, il a distillé quelques drop-goals, dont celui qui permit au XV de France en 1996 au Parc des Princes de battre l'Angleterre dans le Tournoi, ce qui n'était pas arrivé depuis sept saisons.

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Thomas Castaignède lors du Tournoi 1998 à Wembley face au pays de Galles. (D. Fevre/L'Équipe)
72. Frantz Reichel (1893-1900) : international honoraire

 

Né le 16 mars 1871, à Paris.
Décédé le 24 mars 1932, à Paris.
Trois-quarts aile.
1,74 m, 74 kg.
1 sélection.

Joueur clé des sélections nationales constituées avant 1906 à l'aile mais aussi au centre et à l'ouverture. Athlète (cross-country, 110 m haies). Pratiquait la boxe, l'escrime, la gymnastique. Sélectionné olympique en 1896. Champion avec le Racing club de France en 1892 et 1900.

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Frantz Reichel. (L'Équipe)
71. Yves Bergougnan (1945-1949) : le Requin

 

Né le 8 mai 1924, à Toulouse.
Décédé le 15 avril 2006, à Toulouse.
Demi de mêlée.
1,78m, 74 kg.
17 sélections.

Pour son profil de squale et ses départs au ras des regroupements, bouche grande ouverte. Mais il fut surtout le poisson pilote du XV de France et du Stade Toulousain dans l'immédiat après-guerre. Son nom est associé au dernier drop-goal à quatre points de l'histoire du rugby international, en 1948, contre l'Angleterre.

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Yves Bergougnan (en noir) balle en mains. (L'Équipe)
70. Alfred Roques (1958-1963) : le Pépé du Quercy

 

Né le 17 février 1925, à Cazes-Mondenard.
Décédé le 7 novembre 2004, à Cahors.
Pilier droit.
1,78 m, 98 kg.
30 sélections.

Débute sur le tard en équipe de France alors qu'il a déjà 33 ans, un âge canonique où d'autres prennent leur retraite. Fermier, force de la nature et footballeur. Durant la tournée des Tricolores de Mias en 1958, il ridiculisa les piliers springboks qui lui étaient opposés. Surnommé « The Rock » par les Anglos-saxons. Dispute son dernier match international à 37 ans, ce qui fait de lui le plus « vieil » international français.

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Alfred Roques au four et au moulin. (J. Boisleme /L'Équipe)
69. Nicolas Mas (2003-2015) : le Bus

 

Né le 23 mai 1980, à Perpignan.
Pilier droit.
1,80 m, 108 kg.
85 sélections.

Bâti d'un bloc. Héritier de Jean-Pierre Garuet. Peu loquace. Là aussi une filiation. Mais avec les piliers basques, du type Azarète et Iraçabal. Maçon de métier. Habitué à travailler dur. Pousser en mêlée est pour lui un plaisir. A participé aux Coupes du monde 2007, 2011 et 2015 avec comme point d'orgue la finale contre les All Blacks (8-7) en 2011.

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Nicolas Mas. (A. Mounic/L'Équipe)
68. Jacky Bouquet (1954-1962) : l'ange blond

 

Né le 3 juin 1933, à Tullins.
Décédé le 26 décembre 2009, à Bourgoin.
Trois-quarts centre.
1,75m, 79 kg.
34 sélections.

La France du rugby se partageait entre les pro-Boniface et les Pro-Bouquet, selon que l'on soit du Sud-Ouest ou du Sud-Est. À Romans, Bourgoin et Vienne, les trois clubs où il fut licencié, ce feu follet était un demi-dieu. Indifféremment centre ou ouvreur. Son style, très personnel, fait d'instinct et de culot, s'appuyait sur une excellente technique individuelle.

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Jacky Bouquet face à l'Écosse. (L'Équipe)
67. Patrice Lagisquet (1983-1991) : le label bleu

 

Né le 4 septembre 1962, à Arcachon.
Trois-quarts aile.
1,83 m, 80 kg.
46 sélections.

C'est ainsi que le coach tricolore Jacques Fouroux, pourtant porté sur le jeu d'avants, définissait cet ailier longiligne, rapide comme l'éclair, doté de crochets sidérants, qu'il a toujours sélectionné. Ancien athlète, le girondin devenu basque d'adoption a inscrit 20 essais avec le XV de France, dont il était l'arme offensive la plus tranchante.

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Patrice Lagisquet lors de la demi-finale de la 1re Coupe du monde en 1987 contre l'Australie (B. Stickland/Presse Sports)
66. Aurélien Rougerie (2001-2012) : l'enfant de Michelin

 

Né le 26 septembre 1980, à Beaumont.
Trois-quarts aile.
1,93 m, 104 kg.
76 sélections.

Son père, Jacques, était pilier international avec Montferrand. Sa mère, Christine Dulac, internationale de basket à Clermont. Lui est un immense attaquant, coqueluche du stade Marcel-Michelin. A inscrit 23 essais. Capitaine tricolore en 2011, il a disputé trois Coupes du monde (2003, 2007, 2011) à deux postes différents : trois-quarts aile puis centre.

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Aurélien Rougerie plaqué par Jerome Kaino (à gauche) et Sam Whitelock en finale de la Coupe du monde 2011. (Alain Mounic/L'Équipe)
65. François Moncla (1956-1961) : un coup de pied au culte

 

Né le 1er avril 1932, à Louvie-Juzon.
Décédé le 28 novembre 2021, à Pau
Troisième-ligne aile.
1,83 m, 87 kg.
31 sélections.

En 1959, à Twickenham, il botte les fesses d'un Anglais, le pilier Bendon, trop souvent hors-jeu à son goût. Le geste a marqué l'imaginaire des duels franco-anglais. Il est surtout le capitaine (à dix-huit reprises) d'une équipe de France hissée au niveau des meilleures nations entre 1959 et 1961 et gagne la considération de tous.

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François Moncla. (L'Équipe)
64. Yves Du Manoir (1925-1927) : le modèle parfait

 

Né le 11 aout 1904, à Vaucresson.
Décédé le 2 janvier 1928, à Reuilly
Demi d'ouverture.
1,70 m, 78 kg.
8 sélections.

Demi d'ouverture doté de tous les talents, il se tua dans un accident d'avion avant un match du Tournoi contre l'Ecosse. Le stade de Colombes porte son nom et son club, le Racing Club de France, lui dédia une compétition, disputée en son honneur entre les meilleurs clubs français jusqu'en 1996. Plusieurs autres enceintes sportives perpétuent sa mémoire.

63. Thierry Lacroix (1989-1997) : Monsieur But

 

Né le 2 mars 1967, à Dax.
Trois-quarts centre.
1,80 m, 84 kg.
43 sélections.

Issue de l'école dacquoise qui a révélé Pierre Albaladejo, Jean-Patrick Lescarboura et Marc Sallefanque. Véritable machine à marquer des points (367). Un temps ouvreur, il fut ensuite placé au centre, à sa demande, afin de pouvoir se consacrer pleinement et sans pression à l'exercice des tirs au but.

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Thierry Lacroix lors de la demi-finale épique contre l'Afrique du Sud en 1995. (D. Fevre/L'Équipe)
62. Damian Penaud (depuis 2017) : tout à l'inspiration

 

Né le 25 septembre 1996 à Brive.
Trois-quarts aile.
1,88 m, 97 kg.
42 sélections.

Meilleur marqueur du Tournoi 2023 avec cinq essais, dont un doublé à Twickenham, cet ancien footballeur est le fils d'Alain Penaud, star briviste des années 90. Damian s'est révélé en 2016 avec l'équipe de France des moins de vingt ans en inscrivant trois essais aux Anglais. Victorieux du Bouclier de Brennus en 2017 avec Clermont, il a obtenu cette année-là sa première sélection internationale à Durban face aux Springboks. Depuis 2023, il évolue à Bordeaux-Bègles.

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Damian Penaud inscrit un doublé lors de l'historique victoire à Twickenham face à l'Angleterre (53-10). (Charlotte Wilson/Offside/Presse Sports)

 

61. Franck Mesnel (1986 - 1995) : Bouboule

 

Né le 30 juin 1961, à Neuilly-sur-Seine.
Trois-quarts centre ou ouvreur.
1,81m, 90 kg.
56 sélections.

Un parfait gentleman doté d'un physique hors du commun. Programmé pour briser les défenses, que ce soit à l'ouverture ou surtout au centre. N'a jamais utilisé son jeu au pied, alors qu'il disposait d'une puissance de frappe phénoménale. International dès sa première saison avec le Racing Club de France.

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Franck Mesnel période Roch Voisine. (C. Abad/Presse Sports)
 
 

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Posté 01 août 2023 - 22:45

Mettre un joueur à 40 sélections comme Penaud devant des Mas, Bonnaire ou Roro...
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Posté 01 août 2023 - 22:48

En tout cas y a de sacrés personnages et quelques uns que je ne connaissais pas.




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