Macalouette je te plumerai ,gentille Macalouette je te plumerai...
va lui dire en face ..
Posté 13 septembre 2023 - 22:17
Macalouette je te plumerai ,gentille Macalouette je te plumerai...
va lui dire en face ..
Posté 13 septembre 2023 - 22:20
va lui dire en face ..
Il a peut etre de l'humour, avec Parigot il est habitué je pense
à noter que c'est le frangin le plus tendu
Posté 14 septembre 2023 - 06:10
Si Paul Boudehent était au crépuscule de sa carrière, on lui glisserait bien de postuler au casting du prochain James Bond. Depuis la retraite en 2021 de l'acteur britannique Daniel Craig, qui incarnait l'agent 007, la succession est ouverte. Avec sa mâchoire un peu carrée, son sourire contagieux, ses larges épaules, son corps musculeux, mais surtout son endurance à toute épreuve, le troisième-ligne des Bleus aurait de sérieux atouts pour enfiler le costume.
Kevin Gourdon, son ex-coéquipier au Stade Rochelais, le surnomme « Action Man » . « C'est une machine ! », souffle l'ancien troisième-ligne international (19 sélections). Mais à 23 ans, l'heure de la reconversion n'a pas encore sonné. Paul Boudehent (4 sélections depuis août) a d'autres combats à mener, avec le quinze de France notamment. Mais avant de gagner sa place dans le groupe pour cette Coupe du monde, le Rochelais a connu une première vie.
« Jusqu'à mon entrée au lycée, j'étais un gringalet », racontait-il en fin de saison, avant le début de la préparation avec les Bleus. Pardon ? Un quoi ? « Je faisais 1,82 m pour 69 kg ! » Le natif d'Angers, où il a débuté le rugby, s'apprête alors à fêter ses 15 ans. Il vient de rejoindre le Stade Nantais pour suivre son frère aîné, Pierre (25 ans, aujourd'hui ailier du Stade Français). « Quand je suis parti trois ans plus tard au Stade Rochelais (toujours pour suivre Pierre), je mesurais 1,90 m, mais j'avais pris près de 30 kg, poursuit celui qui portera le numéro 6 ce jeudi soir face à l'Uruguay. J'étais monté à 98 kg ! » Aujourd'hui, il en pèse 109 pour 1,92 m. Une transformation digne d'un super-héros. « Mais je n'avais aucun complexe avec mon corps à l'époque, précise-t-il. Je me sentais bien et c'est toujours le cas. »
Tout a basculé à la suite d'une fracture. « Je ne sais même plus où, se marre l'intéressé. J'ai passé pas mal de temps en salle de musculation. Il faut dire aussi qu'au Stade Nantais, notre équipe n'était pas terrible. On jouait Massy, le Racing, on se faisait éclater ! J'ai dû gagner trois matches en trois ans... Je me suis réfugié dans la préparation physique. Avec Pierre, j'y trouvais mon plaisir. » Cette transformation a malheureusement un prix. Paul Boudehent enchaîne les blessures. « Mes tendons et mes articulations n'étaient pas prêts. Heureusement que j'ai pris tous ces kilos étant jeune. Si ça avait été le cas plus tard, j'aurais explosé en vol. »
« Lors du premier stage à Monaco, il a tout cassé. Il a été franchement incroyable »
William Servat, co-entraîneur des avants bleus
Au sortir d'une saison pleine avec le Stade Rochelais, un titre de champion d'Europe à la clé, Paul Boudehent explose les compteurs. « À tous les tests, c'était le meilleur, se souvient Gourdon. Il était incroyable. Force, vitesse, puissance, explosivité, il est fort partout. Il a un physique hors norme. »
C'est ce qui lui a permis de gagner sa place pour la Coupe du monde alors qu'il ne comptait aucune cape. « Lors du premier stage à Monaco début juillet (où 42 joueurs avaient été rassemblés), il a tout cassé, se remémore William Servat, le co-entraîneur des avants bleus. Il a été franchement incroyable. Tout ce qui était force et vitesse, il était bluffant. Il a fait une prépa digne d'un sportif de très haut niveau. » Le troisième-ligne a notamment marqué les esprits sur le « test Maxwell ». Une répétition de sprints dont l'énumération des exercices seule vous donne déjà la nausée : premier chez les avants. « J'aime la difficulté, explique Boudehent. Il faut en chier ! Dès le collège, j'allais tout le temps courir en semaine. C'est aussi lié au fait qu'avec mon frère, on détestait perdre. On se donnait toujours à 300 %. » C'est toujours le cas.
Son point fort ? « Ma faculté à répéter les tâches », répond sans hésiter le Rochelais, qui a quand même mis un peu de temps avant de se révéler. « C'est normal, pose Gourdon. Tout le monde lui répétait qu'il avait des aptitudes phénoménales, mais personne ne lui a appris à s'en servir. Paul avait des manques, d'autant plus dans un sport aussi technique que le rugby. Il a beaucoup progressé et il peut aller encore plus loin. Largement ! » Le costume de James Bond attendra. Celui du quinze de France lui va très bien.
La machine Boudehent
Philippe Gardent, le responsable de la préparation physique du Stade Rochelais, détaille les supers pouvoirs du troisième-ligne Paul Boudehent, qui fêtera sa 5e sélection, ce jeudi soir à Villeneuve-d'Ascq, contre l'Uruguay.
« Paul s'est beaucoup développé sur le haut du corps. Lors de la finale de la Coupe d'Europe 2021 (perdue 17-22 contre Toulouse, à Londres), il s'est blessé à une épaule seulement une minute après son entrée en jeu. Un moment très difficile pour lui. On a décidé de changer des choses sur le haut de son corps. On a beaucoup travaillé pour le protéger et pour qu'il revienne plus fort. On a mis de la viande ! Aujourd'hui, son haut du corps est volumineux. Ce qui lui permet d'abord de mieux encaisser les chocs. Mais aussi d'en donner car son poids de corps a augmenté. Il est plus solide au contact. Et ainsi plus résilient physiquement. »
« Paul a une capacité de travail qui est importante, mais il a surtout cette capacité à répéter les efforts dans le temps. C'est pour ça qu'il est extraordinaire. Ça s'entretient, ça se développe. Il a passé un cap ces dernières années. Il a pris du poids, de la force, mais en plus, il a conservé cette capacité à répéter les efforts. Ce n'est pas donné à tout le monde. Il a bien sûr d'énormes qualités au départ, du talent aussi, mais Paul travaille surtout beaucoup pour les développer. »
« Comme la majorité des joueurs, Paul est un compétiteur. Il n'aime pas perdre. Ce qui le différencie peut-être des autres, c'est de ne jamais abandonner. Mais surtout de savoir faire la part des choses de ce qu'il maîtrise et, au contraire, de ce qu'il ne maîtrise pas. Il a cette faculté à se concentrer sur ce qu'il maîtrise et à ne pas perdre d'énergie sur ce qu'il ne maîtrise pas. Mais je le répète, c'est un bosseur. Mentalement, il ne lâche jamais. »
« Il est très explosif. Il a cette capacité de jumeler force et vitesse sur son bas du corps qui est hors du commun. C'est ce qu'on appelle la puissance. Il est à la fois fort et rapide avec ses jambes et dégage donc une très forte puissance. Cela lui permet de gagner les contacts lorsqu'il joue ses duels. Il avait quelques petits soucis musculaires qu'on a gommés. Nous avons remis de l'ordre dans ses sollicitations musculaires afin d'obtenir le meilleur rendement possible. »
Posté 14 septembre 2023 - 06:52
Posté 14 septembre 2023 - 08:43
Oui, il est très impressionnant. si je voulais être mauvaise langue, je dirai que c'est le profil contraire à Iturria, mais comme je ne le suis pas, je leur souhaite de s'éclater dans leur carrière...
Posté 14 septembre 2023 - 09:05
Depuis que je l'ai découvert il y a 2 ans, je l'ai toujours vu à son avantage. Une bonne gueule de cowboy en plus.
ah mais c'est ça ! Il pourrait jouer lucky luke.
Posté 14 septembre 2023 - 09:12
ah mais c'est ça ! Il pourrait jouer lucky luke.
Posté 14 septembre 2023 - 09:37
la course en travers refait école dans cette coupe du monde. On en a vu quelques unes. Tout comme le bon vieux coup de pied de recentrage, ou la chasse du 15 sous la chandelle.
Sur le plan purement "théorique", les courses en travers à la Penaud sont illogiques, absurdes et un non sens rugbystique car tu t'épuises physiquement sans gagner de mètres, le jeu de rugby étant ni plus ni moins qu'un jeu de gagne-terrain. Après, il y a l'effet de surprise que ça peut provoquer : avec des grosses qualités de vitesse et d'appui comme a Penaud, tu peux repiquer subitement au centre pour essayer de profiter du moindre intervalle qui s'offre à toi, ou retrouver d'autres joueurs pour mettre ton équipe en état de supériorité sur une partie du terrain ( un surnombre ou des arrières face à des avants par exemple) mais si la défense est reserrée et vigilante ça reste une absurdité en soi.
Pour le coup de pied de recentrage, par contre c'est totalement différent car c'est un geste technique logique et je pense que c'est une réelle arme qu'on ne voit pas assez au rugby.
Posté 14 septembre 2023 - 09:43
Depuis que je l'ai découvert il y a 2 ans, je l'ai toujours vu à son avantage. Une bonne gueule de cowboy en plus.
Un petit coté Cecillon, j espère qu il aura un autre destin
ah mais c'est ça ! Il pourrait jouer lucky luke.
Je plains Joly Jumper quand même
Sur le plan purement "théorique", les courses en travers à la Penaud sont illogiques, absurdes et un non sens rugbystique car tu t'épuises physiquement sans gagner de mètres, le jeu de rugby étant ni plus ni moins qu'un jeu de gagne-terrain. Après, il y a l'effet de surprise que ça peut provoquer : avec des grosses qualités de vitesse et d'appui comme a Penaud, tu peux repiquer subitement au centre pour essayer de profiter du moindre intervalle qui s'offre à toi, ou retrouver d'autres joueurs pour mettre ton équipe en état de supériorité sur une partie du terrain ( un surnombre ou des arrières face à des avants par exemple) mais si la défense est reserrée et vigilante ça reste une absurdité en soi.
Pour le coup de pied de recentrage, par contre c'est totalement différent car c'est un geste technique logique et je pense que c'est une réelle arme qu'on ne voit pas assez au rugby.
N importe qui d'autre ce prendrait une charge a faire des travers comme ça, sauf que lui 9 fois sur 10 a la capacité de s'en sortir pour progresser et transformer du négatif en positif.
j en connais pas d'autre.
Posté 14 septembre 2023 - 09:59
N importe qui d'autre ce prendrait une charge a faire des travers comme ça, sauf que lui 9 fois sur 10 a la capacité de s'en sortir pour progresser et transformer du négatif en positif.
j en connais pas d'autre.
Posté 14 septembre 2023 - 10:39
Je plains Joly Jumper quand même
du coup ça donne quoi. L'homme qui plaque plus vite que son ombre ? Faudrait faire un photoshop... attends
Posté 14 septembre 2023 - 11:09
Posté 14 septembre 2023 - 12:00
Oui enfin moi j'ai pas fini de vous faire chier avec Macalou ! Hou ! Hou !
Posté 14 septembre 2023 - 12:14
Oui enfin moi j'ai pas fini de vous faire chier avec Macalou ! Hou ! Hou !
Surtout si il se troue hou hou !
Posté 14 septembre 2023 - 13:08
Surtout si il se troue hou hou !
Philistin !
Bon c'est pas tout ça mais après la peña baiona est-ce qu'on va chanter Le Nord de Bachelet ?
0 members, 2 guests, 0 anonymous users