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[ 1/2 CDM ] Nouvelle Zélande - Argentine


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202 réponses ŕ ce sujet

#16 Bon Chasseur

Bon Chasseur

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Posté 19 octobre 2023 - 11:53

J'ai parié sur un gros score pour la NZ. Comme la vaste majorité, on dirait.

 

Mais voici le scénario où il pourrait en être autrement:

les Argentins étaient favoris (même de très peu) contre des Anglais au fond du trou en début de cdm. Ils se chient dessus. Ils arrivent plus tard contre des Gallois favoris, qu'ils remettent finalement à leur place. Le rôle de challengeur leur va si bien. Là, en demi, ils arrivent contre des Blacks ultra favoris qui ne l'ont plus été depuis un moment, car ils ne sont pas favoris contre les Boks en prépa, pas favoris contre les Bleus en ouverture, et pas favoris contre les Irlandais. L'étiquette peut être préjudiciable, et les Pumas vont se lécher les babines en douce alors que personne ne leur donne de chance. Malgré de grosses lacunes, ils ont une faculté à traîner dans les matches et accélérer d'un coup pour surprendre l'adversaire et dans les 5-10 dernières minutes tout peut arriver. Ils arrachent la victoire en Australie qqs mois plus tôt, et renversent complètement le match contre des Gallois pourtant tellement en place en 1MT.


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#17 Alex chocolatines

Alex chocolatines

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Posté 19 octobre 2023 - 12:08

J'ai parié sur un gros score pour la NZ. Comme la vaste majorité, on dirait.

 

Mais voici le scénario où il pourrait en être autrement:

les Argentins étaient favoris (même de très peu) contre des Anglais au fond du trou en début de cdm. Ils se chient dessus. Ils arrivent plus tard contre des Gallois favoris, qu'ils remettent finalement à leur place. Le rôle de challengeur leur va si bien. Là, en demi, ils arrivent contre des Blacks ultra favoris qui ne l'ont plus été depuis un moment, car ils ne sont pas favoris contre les Boks en prépa, pas favoris contre les Bleus en ouverture, et pas favoris contre les Irlandais. L'étiquette peut être préjudiciable, et les Pumas vont se lécher les babines en douce alors que personne ne leur donne de chance. Malgré de grosses lacunes, ils ont une faculté à traîner dans les matches et accélérer d'un coup pour surprendre l'adversaire et dans les 5-10 dernières minutes tout peut arriver. Ils arrachent la victoire en Australie qqs mois plus tôt, et renversent complètement le match contre des Gallois pourtant tellement en place en 1MT.

On va pas comparer  le PDG et les Blacks quand meme ?  


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#18 RCV06

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Posté 19 octobre 2023 - 12:12

J'ai parié sur un gros score pour la NZ. Comme la vaste majorité, on dirait.

 

Mais voici le scénario où il pourrait en être autrement:

les Argentins étaient favoris (même de très peu) contre des Anglais au fond du trou en début de cdm. Ils se chient dessus. Ils arrivent plus tard contre des Gallois favoris, qu'ils remettent finalement à leur place. Le rôle de challengeur leur va si bien. Là, en demi, ils arrivent contre des Blacks ultra favoris qui ne l'ont plus été depuis un moment, car ils ne sont pas favoris contre les Boks en prépa, pas favoris contre les Bleus en ouverture, et pas favoris contre les Irlandais. L'étiquette peut être préjudiciable, et les Pumas vont se lécher les babines en douce alors que personne ne leur donne de chance. Malgré de grosses lacunes, ils ont une faculté à traîner dans les matches et accélérer d'un coup pour surprendre l'adversaire et dans les 5-10 dernières minutes tout peut arriver. Ils arrachent la victoire en Australie qqs mois plus tôt, et renversent complètement le match contre des Gallois pourtant tellement en place en 1MT.

Oui, mais non !


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#19 Alex chocolatines

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Posté 19 octobre 2023 - 12:14

Oui, mais non !

Et re mi - non derrière  :D


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#20 pims

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Posté 19 octobre 2023 - 13:01

Bzzzz

#21 inASMweTrust

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Posté 19 octobre 2023 - 13:16

Soyons sérieux deux secondes, vu ce qu'ont montré les Pumas, vu la monté en puissance des Blacks, j'vois pas comment les Argentins peuvent avoir un soupçon d'espoir.  :ermm:

ils vont prendre une rouste, laisse leur au moins l'espoir, qu'ils aient un tric dans quoi pleurer. 



#22 Ptolémée

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Posté 19 octobre 2023 - 13:16

Soyons sérieux deux secondes, vu ce qu'ont montré les Pumas, vu la monté en puissance des Blacks, j'vois pas comment les Argentins peuvent avoir un soupçon d'espoir.  :ermm:

 

entendons nous bien , je préfère mille fois la victoire des Blacks , ceçi dit les Pumas sont

des véritables sangsues qui ne lâchent rien et ils seront motivés comme jamais ...

il est bien entendu rugbystiquement parlant que les Blacks sont largement au-dessus



#23 inASMweTrust

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Posté 19 octobre 2023 - 13:17

J'ai parié sur un gros score pour la NZ. Comme la vaste majorité, on dirait.

 

Mais voici le scénario où il pourrait en être autrement:

les Argentins étaient favoris (même de très peu) contre des Anglais au fond du trou en début de cdm. Ils se chient dessus. Ils arrivent plus tard contre des Gallois favoris, qu'ils remettent finalement à leur place. Le rôle de challengeur leur va si bien. Là, en demi, ils arrivent contre des Blacks ultra favoris qui ne l'ont plus été depuis un moment, car ils ne sont pas favoris contre les Boks en prépa, pas favoris contre les Bleus en ouverture, et pas favoris contre les Irlandais. L'étiquette peut être préjudiciable, et les Pumas vont se lécher les babines en douce alors que personne ne leur donne de chance. Malgré de grosses lacunes, ils ont une faculté à traîner dans les matches et accélérer d'un coup pour surprendre l'adversaire et dans les 5-10 dernières minutes tout peut arriver. Ils arrachent la victoire en Australie qqs mois plus tôt, et renversent complètement le match contre des Gallois pourtant tellement en place en 1MT.

C'est beau, mais idyllique. Surtout, les Blacks n'ont pas peur d'être favoris. Contrairement à d'autres, ils adorent ça, ils ont des mecs qui ont une expérience de dingue, et surtout ils savent prendre au sérieux tout le monde lorsqu'il le faut. 

J'annonce un triplé de Telea. Et un essai pour chaque Barrett. 

Dans les 5-10 dernières mn, ils vont surtout apprendre à connaître DMK  :lol:


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#24 Ptolémée

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Posté 19 octobre 2023 - 13:28

C'est beau, mais idyllique. Surtout, les Blacks n'ont pas peur d'être favoris. Contrairement à d'autres, ils adorent ça, ils ont des mecs qui ont une expérience de dingue, et surtout ils savent prendre au sérieux tout le monde lorsqu'il le faut. 

J'annonce un triplé de Telea. Et un essai pour chaque Barrett. 

Dans les 5-10 dernières mn, ils vont surtout apprendre à connaître DMK  :lol:

 

perso , j'attends avec impatience de voir et revoir Sam Cane  :rolleyes:


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#25 inASMweTrust

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Posté 19 octobre 2023 - 13:49

 

perso , j'attends avec impatience de voir et revoir Sam Cane  :rolleyes:

Pour être honnête, à chaque ligne, tu te dis Waouaww ! 

la paire de centre est extra défensivement comme offensivement, la charnière est d'une sobriété et d'une grande sûreté. Paradoxalement, c'est aux ailes qu'on a perdu en clinquant pour gagner en efficacité et en pragmatisme. 



#26 el landeno

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Posté 20 octobre 2023 - 05:26

Emiliano Boffelli, l'artilleur de Rosario fait le bonheur de l'Argentine au Mondial de rugby L'ailier Emiliano Boffelli, modelé par la passion de son pays pour le foot et celle de sa famille pour le rugby, s'est imposé comme le buteur indispensable des Pumas.

Tantôt elles débordent, souvent elles voilent leurs regards. Au gré des hymnes, des exploits comme des désillusions, il n'est pas rare de voir les Pumas, joueurs comme supporters, laisser couler leurs larmes. Elles ont aussi accompagné la naissance d'Emiliano, sixième enfant de la famille Boffelli, en janvier 1995. « Il embellira mes vieux jours avec le rugby », prédisait alors son père entre deux sanglots.

 
 

Avant de s'imposer comme un cadre de la sélection de Michael Cheika, le natif de Rosario a affiné ses mains au basket, et son pied au foot, ne pouvant rester hermétique à l'héritage d'une ville, terre natale de Lionel Messi, et d'accueil de Diego Maradona (Newell's Old Boys). « Il dit qu'il a joué au foot, mais je suis sûr qu'il est nul ou qu'il était gardien », chambre son pote, le Clermontois Bautista Delguy, non retenu pour le Mondial car blessé. Le « Boff » pourra lui rétorquer qu'à 14 ans, il avait effectué des essais auprès d'un club des îles Malouines, et qu'on l'appelait quelques jours plus tard pour lui indiquer les horaires d'entraînements.

Mais c'est bien au sein du Duendes Rugby Club, véritable fabrique à Pumas (28 internationaux y sont passés) qu'il éclôt. Ses dirigeants ? Les Imhoff et les Boffelli. « Tous ses frères ont joué. Le père, la mère, les soeurs, ce sont des dingues de rugby », raconte Ramiro Moyano, qui a côtoyé « Emi » en sélection jeunes, en A et à Édimbourg. L'image de la grand-mère de Juan Imhoff, actuel coéquipier d'Emiliano, rouspétant après chaque en-avant de son petit-fils, illustre la fièvre qui lie les deux familles.

La prophétie paternelle s'est très vite réalisée. Talent précoce, prisé pour sa polyvalence, Boffelli participe à trois Mondiaux des moins de 20 ans. Une rareté. « La première fois que je l'ai rencontré, c'était en 2013 avec les Pumitas. C'était un jeune de 18 ans, très nerveux, mais il se démarquait déjà par un jeu au pied énorme, long et précis, relève Moyano. Il peut tout faire. C'est sûrement l'un des meilleurs au monde sous les ballons hauts ! On a l'impression qu'il avance à deux à l'heure, en slow motion, mais il est très rapide. »

 
 
En 2021, l'idylle avec le Racing 92 a tourné court

Son talent avait tapé dans l'oeil du Racing 92, qu'il rejoint en 2021. Malgré une première brillante, auréolée de l'essai de la gagne, l'idylle tourne court, pas aidée par l'interruption de la saison (Covid). Coach à l'époque, Laurent Travers garde le souvenir d'un « très bon joueur, l'un des meilleurs dans les airs, les tirs au but et le jeu au pied ». « Il est arrivé en cours de saison (mi-janvier), ce n'est pas facile pour l'intégration, surtout qu'il ne parlait pas français. Il a rapidement été gêné aux adducteurs, ce qui l'empêchait de buter. Juan Imhoff a essayé d'accélérer le processus mais ce n'est pas simple et quand les choses s'enclenchent comme ça, l'expérience n'est concluante pour personne. »

Boffelli se relance en Écosse, à Édimbourg, où il enchaîne les titularisations entre l'arrière et l'aile, toujours plébiscité pour ce coup de patte de mammouth qu'il travaille avec acharnement. « C'est marrant, sur le terrain il est très pro, c'est quelqu'un qui s'attache beaucoup aux détails. Le genre qui arrive avant, reste après tout le monde, vient te voir pour dire "on va travailler ça" et faire du rab. Alors qu'en dehors, il est relax, il passe beaucoup trop de temps sur son téléphone. Ce qui n'empêche pas qu'il ne te réponde pas quand tu l'appelles », se marre Moyano.

Ce perfectionnisme doit lui permettre d'éviter de retrouver le goût amer laissé par cette pénalité de la gagne loupée contre la France lors de la phase de poules du Mondial 2019 (victoire des Bleus, 23-21). « Il l'a mal vécu », confirme Delguy. « J'ai passé beaucoup de temps à me défaire de cet échec contre la France. C'était très difficile », appuie l'intéressé.

D'autant qu'il n'est plus seulement l'artilleur lointain qu'on sollicite autour des 50 mètres. Boffelli a récupéré le flambeau du duo Sanchez-Urdapilleta. Avec succès. Ses six tirs au but ont été cruciaux pour remporter un succès historique en Nouvelle-Zélande en 2022, et il a marqué 16 points pour assommer les Gallois en quarts de finale (29-17). Il en faudra au moins autant pour renverser les All Blacks. « Il a montré à quel point on pouvait compter sur lui dans les grands matches. Il jouera forcément un rôle très précieux pour les Pumas vendredi », prévient Moyano. Encore plus avec un temps pluvieux à en masquer les larmes.

 
 

Avant d'affronter les Argentins en demies, les All Blacks ne sont pas rassasiés Victorieux des Irlandais samedi dernier au terme d'un match à l'intensité extrême, les All Blacks assurent s'être remobilisés pour affronter les Argentins, qui se présentent ce vendredi (21 heures) en travers de leur chemin vers la finale.

La peur est un bon stimulant naturel, le fluide essentiel de tout sport de combat. À condition de savoir la réguler. Une goutte permet d'élever le niveau d'acuité et de détermination. À trop forte dose, elle s'avère un curare inhibant. Samedi dernier, les All Blacks ont trouvé la juste posologie pour affronter l'Irlande, première nation mondiale. Ils ont joué comme des déments.

 
 

Leur engagement a été à la mesure de la frousse qu'ils avaient de se faire sortir en quarts de finale de Coupe du monde. Ils ont pioché, comme dans un pilulier, dans tous ces fragments d'humiliation et de douleur vécus l'an passé, après deux matches perdus à domicile. Au Stade de France, ils ont pris leur revanche sur la bande à Sexton (28-24), mais à quel coût ! Certains ont terminé le match face contre terre, d'autres cherchant l'air tant ils avaient livré d'eux-mêmes.

Une grosse crise surmontée en 2022

La science médicale sait régénérer les corps, la régénération émotionnelle est une tout autre affaire. L'an dernier, les All Blacks ont vécu une grosse crise. Après deux défaites à domicile face aux Irlandais, ils avaient surpris tout le monde en allant s'imposer en Afrique du Sud (35-23, le 13 août 2022). Cet exploit avait sauvé la tête de Ian Foster, leur sélectionneur. Mais le match suivant, patatras : ils s'étaient effondrés contre les Argentins, vainqueurs pour la première fois de leur histoire en Nouvelle Zélande (18-25, le 27 août).

Comme ils le seront assurément ce soir, les Pumas s'étaient montrés d'une férocité rare en défense. Le talonneur Julian Montoya avait la bave aux lèvres dans les rucks. Emiliano Boffelli avait enquillé six pénalités, puni l'indiscipline récurrente des Néo-Zélandais qui avaient terminé la rencontre à quatorze après le carton jaune de Shannon Frizell (70e).

 
 

« On n'est pas venus battre l'Irlande en quarts, mais gagner la Coupe du monde. »

Anton Lienert-Brown, centre néo-zélandais

 
 
 

Samedi dernier, les Blacks sont allés puiser profond en eux. « On avait le feu dans le ventre, reconnaît Richie Mo'unga. Tout le monde nous voyait perdre. Ce quart de finale, on y pensait depuis si longtemps. On a tenu, vingt minutes à quatorze, pff... Il faudra bien savoir appuyer sur "reset" avant d'affronter les Argentins. »

Le dimanche, lendemain de match, a été consacré aux soins. Et il a vite fallu oublier la victoire car déjà se profilait la demie face aux Argentins. « On n'est pas venus battre l'Irlande en quarts, mais gagner la Coupe du monde », tranche Anton Lienert-Brown. Le centre fait partie des onze joueurs, sur les vingt-trois alignés ce soir, qui ont vécu l'élimination face à l'Angleterre (7-19), il y a quatre ans au Japon. « Un tas d'entre nous ressentent encore les cicatrices d'avoir été éliminés par les Anglais en demies », a avoué Sam Cane.

Attention à l'excès de confiance

L'écueil, ce vendredi soir, c'est que sur le papier, la victoire semble acquise. Le 8 juillet, les All Blacks ont roulé sur les Argentins à Mendoza, en ouverture du Rugby Championship : 41-12, avec sept essais à la clé. « La Coupe du monde est une autre histoire », prévient Ian Foster. Il se souvient encore que les Blacks avaient été accrochés par les Argentins lors du Mondial 2015. Menés à la mi-temps (12-13) , ils s'étaient imposés 26-16 à Wembley, malgré deux cartons jaunes (McCaw, 29e et Conrad Smith, 37e).

Les cartons, c'est le « piège à cons » qui a récemment fait basculer des matches en défaveur des Blacks. Les Argentins de Michael Cheika sont certes sortis ric-rac des phases de poules, mais ils savent inoculer la rage et faire déjouer. Quand bien même ils ont perdu Pablo Matera, un Puma version chien de la casse.

La finale tend les bras aux All Blacks, comment éviter d'y penser ? Dan Coles, le Black au tempérament le plus « latin », a expliqué le traitement préventif qu'il s'appliquait : « Voir la France se faire éliminer, ça remet la tête à l'endroit. Et puis on n'a pas envie de revivre la même semaine de merde qu'il y a quatre ans au Japon, de devoir jouer le match pour la troisième place. » La formule peut sembler arrogante, elle a le mérite d'être cash : « Plus que l'adversaire, on entretient la faim d'aller en finale, assure le talonneur. C'est dans cet état d'esprit qu'il faut être. Et c'est bien de se mettre un peu les boules. Avoir peur, ça file de l'énergie. »



#27 Eria

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Posté 20 octobre 2023 - 08:55

Et le vainqueur sera.... ?

C'est trop dur...

#28 Tchou

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Posté 20 octobre 2023 - 14:10

Victoire des Blacks avec le retour de nos Argentins qui feront beaucoup de bien à notre pack et à l'aile.

 

Bien dommage que Boffelli ait prolongé jusqu'en 2025 à Edimbourg, je l'aurai bien vu chez nous....



#29 julien

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Posté 20 octobre 2023 - 14:17

Victoire des Blacks avec le retour de nos Argentins qui feront beaucoup de bien à notre pack et à l'aile.

 

Bien dommage que Boffelli ait prolongé jusqu'en 2025 à Edimbourg, je l'aurai bien vu chez nous....

 

ils joueront la 3e place vendredi prochain puis des congés, on les verra pas avant fin novembre.



#30 Ptolémée

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Posté 20 octobre 2023 - 14:45

çà sera serré au moins en première mi-temps , après les Blacks devraient prendre le dessus 

par contre une sainte horreur des supporters Argentins , du même tabac que les footeux ..






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