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[zone et beu]

Faut aussi voir qu'en France quand un gamin dit a ses parents qu'il reve de sport à très haut niveau, c'est pas toujours bien accueillis. On commence à lui dire, "trouve toi un vrai métier, le sport c'est trop aléatoire et peu rémunéré la plupart du temps. "  En gros on aime le sport loisir, pas la compète 

De plus (exemple parmi mes proches) si le gamin (14 ans en l'occurence) est "detecté " potentiel haut niveau il quitte la sphére familiale pour aller dans une structure nationale. Un choix pas évident aussi bien pour les parents que pour le jeune ado 

[Vynce]

Faut aussi voir qu'en France quand un gamin dit a ses parents qu'il reve de sport à très haut niveau, c'est pas toujours bien accueillis. On commence à lui dire, "trouve toi un vrai métier, le sport c'est trop aléatoire et peu rémunéré la plupart du temps. "  En gros on aime le sport loisir, pas la compète 

Et ce n'est peut être pas plus mal. Non ?

[Alex chocolatines]

Et ce n'est peut être pas plus mal. Non ?

 

 

A  raison, j ai connu ça avec un de mes fils qui faisait du basket a Limoges, il a fait toutes les sélections et ils se retrouvent toujours entre eux, tu finis par connaitre tout le monde, et bien pas un n a émergé au plus haut niveau.

C'est très très aléatoire, et quand tu es parent tu penses quand même a un avenir le plus sur possible pour tes enfants même si tu veux qu ils essaient de réaliser un peu leurs réves

 

 

Ah mais ne vous y trompez pas président, je suis sur la meme ligne  Mes fils étaient un basketteur et un rugbyman, mais il a toujours été clair que c'était pour s'amuser et pour entretenir la forme plus qu'une orientation professionnelle. J'en ai vu un paquet de parents déçus pensant que le bambin était une super star mais qui n'on jamais rien fait au niveau du dessus. 

Toi tu ferais pas un bon modo, tu fais pas attention à ce qu'on dit, regarde un peu l'échange avec le président 

[l'exil]

Je confirme, en tous cas pour les écoles d'ingénieur publiques.

Oui bien sûr, mais même les grandes écoles d'ingénieur privées (ESTP par exemple) ont des droits d'entrée n'atteignant pas ceux des écoles de commerce, encore moins ceux des grandes universités américaines.

[zeguest]

Tout est question de retour sur investissement. Quand tu fais une grande école, tu as d excellents profs et la carrière qui va bien par la suite. Quand tu réussis à passer la sélection des concours des grandes écoles avec tout le travail intellectuel que cela représente, je trouverai ça injuste qu une personne qui a de bonnes performances sportives bénéficie d un passe droit.

[zone et beu]

Quoiqu'il en soit les "GRANDES" écoles c'est la plaie, un centre d'insémination et de reproduction d'une soit disant élite qui se recrute entre elle, qui pense que le nom de l'école suffit pour démontrer ses qualités, qui a du mal à avoir des contacts sains avec la piétaille des ateliers ou avec leurs collègues d'écoles moins "prestigieuses" Bref moi qui sort d'une école moins huppée, j'ai du mal avec eux 

[ELSAZOAM]

Quoiqu'il en soit les "GRANDES" écoles c'est la plaie, un centre d'insémination et de reproduction d'une soit disant élite qui se recrute entre elle, qui pense que le nom de l'école suffit pour démontrer ses qualités, qui a du mal à avoir des contacts sains avec la piétaille des ateliers ou avec leurs collègues d'écoles moins "prestigieuses" Bref moi qui sort d'une école moins huppée, j'ai du mal avec eux 

Je pense aux pauvres bougres qui sont sortis de leur école communale avec le seul certificat d'études comme bagage...
Et pourtant, ils ont fait leur vie avec avec !

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[Alex chocolatines]

Je pense aux pauvres bougres qui sont sortis de leur école communale avec le seul certificat d'études comme bagage...
Et pourtant, ils ont fait leur vie avec avec !

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Je connais plusieurs anciens qui disent " nous on a fait HEC" et puis suit, " ouais, Hautes Etudes Communales" 

[Le vieux Tullois]

Je pense aux pauvres bougres qui sont sortis de leur école communale avec le seul certificat d'études comme bagage...
Et pourtant, ils ont fait leur vie avec avec !

Envoyé de mon SM-A505FN en utilisant Tapatalk

Il fut un temps (que les moins de 80 ans ne peuvent pas connaître) où le certificat ( le sanctificat... disait-on dans les campagnes  profondes de ma Corrèze natale) était un diplôme qui avait sa valeur sur le marché de l'emploi ....

ça voulait dire qu'on savait très bien lire , écrire et compter , qu'on savait qu'un décimètre cube équivaut à un litre et qu'un hectare ça fait 100m X 100m (ce que notre cher Ministre actuel de l'Economie et des Finances B Lemaire ignorait totalement il y a quelques années quand il était Ministre de ...  l'Agriculture sous le règne de Nicolas Sarkozy)

 

Aujourd'hui, tu prends tous les élèves de terminales de France et de Navarre, tu leur fais passer les épreuves du certif des années 30 avec un zéro élimlnatoire en dictée ( 5 fautes en 15 lignes environ) ... et tu as à peu près 30% de reçus ... Mais ils auront le bac à 95 % ...un bac qui ne leur donnera aucun moyen d'insertion dans l'emploi ....

[el landeno]

Louvre, Invalides, château de Versailles, Grand Palais, tour Eiffel, Conciergerie... Les grands monuments parisiens ont été bien plus qu'un élément de décor pendant les JO. Et certains seront encore à l'honneur lors des Jeux Paralympiques, à partir de mercredi.

Vincent Hubépublié le 25 août 2024 à 06h30

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Une publicité géante et continue de seize jours en Mondovision. Du 26 juillet au 11 août, entre les cérémonies d'ouverture et de clôture ainsi que les compétitions, les plus grands monuments parisiens ont été exposés comme jamais : la tour Eiffel dès le premier jour avec Céline Dion puis grâce au beach-volley, les Invalides avec le tir à l'arc, le marathon ou le cyclisme, le Grand Palais, écrin 1900 de l'escrime et du taekwondo, Versailles et les épreuves équestres, mais aussi le Louvre et la Conciergerie lors du spectacle inaugural de Thomas Jolly, etc.

 

 

Et certains sites seront encore au coeur des Jeux Paralympiques, qui débutent mercredi et s'achèveront dimanche 8 septembre. « Qui ne serait pas content ? On a passé quinze jours absolument formidables, se félicite d'entrée Corinne Menegaux, directrice générale de Paris je t'aime, l'office de tourisme de la capitale. C'est la meilleure campagne de promotion de Paris dont on puisse rêver. Les stades ayant été choisis exprès dans le coeur de Paris, on s'attendait à ces images-là. »

« On a vibré avec les épreuves sportives. Pendant le tir à l'arc, on entendait les hourras du public. Et on avait des visiteurs souriants ! »

Sylvie Leluc, directrice de la conservation du musée de l'Armée, aux Invalides

 

 

 

Une joie « olympique » partagée par Sylvie Leluc, directrice de la conservation du musée de l'Armée, aux Invalides : « On appréhendait un peu l'événement, finalement on est ravis et très fiers. On a vibré avec les épreuves sportives. Pendant le tir à l'arc, on entendait les hourras du public. Et on avait des visiteurs souriants ! » L'administrateur général du château de Versailles, Pierre-Emmanuel Lecerf, évoque, lui, « une grande fierté. On a baigné dans l'enchantement des Jeux. Vous avez vu les images ? Elles sont mythiques. »

 

Le podium du marathon masculin avec les Invalides en fond. (A. Martin/L'Équipe)

 

 

Avant les Jeux, on savait que les Invalides, Versailles, la tour Eiffel ou la place de la Concorde joueraient un rôle central à partir du 26 juillet. Pour d'autres monuments, le coup de projecteur a été plus inattendu. Comme la Conciergerie, sur l'île de la Cité, théâtre d'une des scènes les plus mémorables de la cérémonie d'ouverture, avec le groupe de metal Gojira et la pauvre Marie-Antoinette décapitée.

 

« Nous avons fait le pari d'être audacieux et cette performance restera dans l'histoire du monument, assure Guillaume Lachaussée, directeur général par intérim du Centre des monuments nationaux (CMN, dont dépend la Conciergerie). Elle a permis une forme de réappropriation et de fierté. Elle a aussi montré que nos monuments pouvaient être une source d'inspiration pour les artistes. »

Si le CMN ne donne pas de chiffres de fréquentation, il signale cependant que le site Internet de l'ancien palais de la Cité a connu une fréquentation « qui a bondi au lendemain de la cérémonie avec quatre fois plus de flux par rapport à la semaine précédente » : + 288,2 %, avec 18 119 visites sur la période 25-31 juillet, dont 6 000 rien que le 27 juillet.

« Le public des Jeux, moins familial, plus jeune, n'a pas un comportement touristique classique. On vient pour soutenir son pays, pour être dans l'ambiance... On n'est pas du tout dans une logique de consommation culturelle »

Corinne Menegaux, directrice générale de Paris je t'aime, l'office de tourisme de la capitale

 

 

 

Les autres grands musées parisiens, eux, ont connu une baisse de fréquentation pendant la quinzaine, à l'image de ce qui s'était déjà passé à Londres en 2012 : - 22 % pour le Louvre par rapport à la même période en 2023, près de - 25 % à Versailles, - 28 % pour le Centre Pompidou, - 29 % pour le musée d'Orsay, entre - 20 % et - 25 % pour les Invalides...

« On avait anticipé ces baisses, reconnaît Corinne Menegaux. Le public des Jeux, moins familial, plus jeune, n'a pas un comportement touristique classique. On vient pour soutenir son pays, pour être dans l'ambiance... On n'est pas du tout dans une logique de consommation culturelle. Mais c'était important de rester ouvert et accueillant pendant les Jeux. »

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Pas de surprise non plus au Louvre. « Le retour d'expérience de nos collègues du British Museum (- 25 %) et de la National Gallery (- 40 %) sur les Jeux de Londres en 2012 laissait présager cette légère baisse », indique-t-on au sein du musée le plus fréquenté au monde (8,9 millions de visiteurs en 2023). En réalité, quand on regarde en détail les chiffres, la période des Jeux, du 26 juillet au 11 août, n'a pas été la plus terrible.

La quinzaine précédente, avec la mise en place des sites de compétition, la préparation de la cérémonie d'ouverture le long de la Seine et la fermeture de plusieurs axes de circulation dans Paris, s'est soldée par des baisses plus significatives. Par exemple, - 45 % pour le Louvre du 15 au 26 juillet...

 

Le Grand Palais a servi d'écrin majestueux, notamment pour les compétitions d'escrime. (P. Lahalle/L'Équipe)

Parfois aussi, au sein d'un même établissement, des disparités peuvent exister. Ainsi à Versailles, en partie à cause d'une météo capricieuse, les jardins ont plus souffert que le château lui-même. « Et on a eu énormément de monde dans le parc, ne serait-ce que pour les compétitions (40 000 spectateurs pour le cross-country du concours complet notamment) », précise Pierre-Emmanuel Lecerf. Quant à l'exposition Cheval en majesté (ouverte jusqu'au 3 novembre prochain), déjà vue par 430 000 personnes, elle a connu un petit boost pendant les Jeux. « Je remercie Paris 2024, déclare l'administrateur général du château de Versailles. Les animateurs du stade équestre citaient régulièrement l'exposition, quelques touristes olympiques ont dû venir. »

Le domaine versaillais a également reçu la visite de plusieurs champions engagés aux Jeux, et pas seulement des cavaliers, comme Teddy Riner, Pauline Ferrand-Prévôt ou Katie Ledecky. La nageuse américaine, sportive la plus titrée de l'histoire des Jeux (9 médailles en or, comme la gymnaste soviétique Larissa Latynina), a ainsi tenu à faire des photos, non pas dans le château ou dans les jardins, mais au hameau de la Reine si cher à Marie-Antoinette. Sur son compte Instagram, Ledecky a d'ailleurs posté un cliché avec ses quatre médailles parisiennes (2 en or, 1 en argent et 1 en bronze) sur fond de fermette versaillaise.

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Aux Invalides, au-delà de la baisse de fréquentation ponctuelle, on a également d'autres motifs d'optimisme. « C'est un petit battement d'ailes mais notre exposition Duels, l'art du combat (qui s'est achevée dimanche dernier) a connu une augmentation de 7 % pendant les Jeux, avec 460 visiteurs par jour en moyenne, contre 400 auparavant, révèle Sylvie Leluc. Pendant les épreuves d'escrime, notre service de communication mettait régulièrement sur les réseaux des petits posts sur nos collections. Ça a probablement donné envie aux amateurs de sport qui suivaient les épreuves à proximité de venir au musée. »

« Pas besoin de dépenser l'argent public dans une campagne de communication à outrance, on a fait le plein là ! »

Corinne Menegaux, directrice générale de Paris je t'aime, l'office de tourisme de la capitale

 

 

 

Les JO désormais terminés, les monuments parisiens devraient engranger les dividendes de leur surprésence médiatique estivale. « Dès le lundi, les gens ont retrouvé un comportement touristique normal », estime ainsi la directrice générale de l'office de tourisme, Corinne Menegaux. Au Louvre, on se veut ainsi optimiste : « En attendant les Jeux Paralympiques, on peut d'ores et déjà dire que le succès des JO 2024 a offert un tel rayonnement à Paris et au Louvre que l'on peut s'attendre à des effets positifs sur la fréquentation du musée à la rentrée. »

« On sait qu'il y a une forte fréquentation à Paris au moment des fêtes, dès la fin de l'année, des touristes auront envie de découvrir, en vrai, les monuments qu'ils ont vus et appréciés pendant les Jeux, prévoit de son côté Sylvie Leluc. On aura des retombées positives, j'en suis convaincue. » Ces retombées, Pierre-Emmanuel Lecerf en a déjà une petite preuve, avec une hausse de 3 % de visites au château de Versailles dans la semaine post-JO par rapport à 2023 : « On sent qu'il y a un frémissement positif. »

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Reste à entretenir cet « effet Jeux », pour que tout ne retombe pas après le 8 septembre. Pour Corinne Menegaux, « ça se fait un peu tout seul. Pas besoin de dépenser l'argent public dans une campagne de communication à outrance, on a fait le plein là ! » Certains musées vont cependant continuer à présenter leurs expositions autour du sport lancées dans le cadre de l'Olympiade culturelle. Ainsi, celle du Louvre, l'Olympisme, une invention moderne, un héritage antique, est encore ouverte jusqu'au 16 septembre. De son côté, l'expo Militaires et sportifs, ça match !, au musée de l'Armée, aux Invalides, ne fermera ses portes que le 31 mai 2025 !

Quant à la Monnaie de Paris, elle a même décidé de prolonger d'un mois et demi son exposition D'or, d'argent, de bronze, une histoire de la médaille olympique. Elle devait s'achever le 22 septembre, elle sera encore visible jusqu'au 3 novembre, date de fin des vacances de la Toussaint. Pour l'établissement installé quai de Conti, qui a frappé et qui expose les médailles olympiques et paralympiques dessinées par Chaumet, les Jeux sont un triomphe : + 62 % de fréquentation lors de la quinzaine par rapport à la précédente. Ça mériterait bien une médaille.

 

Les Champs-Élysées seront arpentés par les coureurs du marathon paralympique, le 8 septembre. (J-B Autissier/L'Équipe)

L'Arc de triomphe, au coeur des Paralympiques

La place de la Concorde sera le théâtre de la cérémonie d'ouverture des Jeux Paralympiques, mercredi. La cérémonie de clôture, le dimanche 8 septembre, se tiendra, elle, au Stade de France. Mais beaucoup d'autres grands monuments parisiens seront également bien en vue pendant les « Paras ». La tour Eiffel servira de décor au tournoi de cécifoot, le Grand Palais accueillera les épreuves d'escrime-fauteuil et de para-taekwondo, Versailles celles de para-équitation, les Invalides celles de para-tir à l'arc. « On attend beaucoup des Jeux Paralympiques, affirme Sylvie Leluc, la directrice de la conservation du musée de l'Armée, aux Invalides. Mercredi, la flamme traverse le site avec trois relais. Pour nous, c'est important, on oublie toujours qu'aux Invalides, il y a des invalides (près de 80 pensionnaires actuellement, des vétérans pour la plupart). Un des relayeurs sera d'ailleurs un des pensionnaires. »

L'esplanade des Invalides servira également de ligne d'arrivée au marathon paralympique, qui partira de La Courneuve le 8 septembre. Sur le parcours, les coureurs auront l'occasion de découvrir la basilique de Saint-Denis et de finir par un lieu emblématique de Paris, plutôt moins mis à l'honneur que d'autres lors des JO : les Champs-Élysées. Comme les coureurs du Tour de France, ils effectueront même un tour de l'Arc de triomphe. Le monument accueille d'ailleurs à son sommet les Agitos, l'emblème des Jeux Paralympiques. Enfin, plus loin des sites de compétition, le Panthéon présente jusqu'au 29 septembre l'exposition Histoires paralympiques, de l'intégration sportive à l'inclusion sociale (1948-2024).

 

 

[gregouarrrr]

Belle mise en scène cette place de la concorde..

[gregouarrrr]

Qu il est beau l hymne joué ainsi..

[el landeno]

j'ai entendu que le tir à l'arc serait aux Invalides. vous croyez qu'il reste des places ?

[gregouarrrr]

Le joue où la naation veut faire taire tous les préjugés, y en a toujours un qui sort du lot...

Bref

[Codorplusàvie]

j'ai entendu que le tir à l'arc serait aux Invalides. vous croyez qu'il reste des places ?

Avant les épreuves, j'en doute mais pendant c'est certain.