Nos boxeurs ne vont pas chercher l or...
Ils ont juste des adversaires plus fort qu'eux ... c'est pas déshonorant ...
Posté 08 août 2024 - 22:00
Nos boxeurs ne vont pas chercher l or...
Ils ont juste des adversaires plus fort qu'eux ... c'est pas déshonorant ...
Posté 08 août 2024 - 22:41
Même ceux du nord ? Parce que bien qu'habitant la verte Erin ils n'en demeurent pas moins britanniques d'un point de vue légal.
Au pire ça fait quand même 3 pays , c'est un peu de la triche leur truc là.
Posté 09 août 2024 - 04:48
Ben pour moi la Grande Bretagne, c'est la grande île seule 😃
C'est le Royaume Uni qui compte l'Ulster
Posté 09 août 2024 - 06:10
Pour une fois qu'ils sont tous d'accord, ce serait dommage que le projet n'aboutisse pas. « J'aimerais beaucoup qu'elle reste », disait la maire de Paris Anne Hidalgo à propos de la vasque olympique il y a quelques jours. « Une évidence », pour Valérie Pécresse, présidente de la Région Île-de-France. « Une très belle idée », selon le Premier ministre démissionnaire Gabriel Attal. Et même Emmanuel Macron y « réfléchit ». Le président de la République devrait être le décideur final, dit-on au sein des services de l'État. Attraction de ces Jeux, la structure qui incarne la flamme olympique (le feu venu de Grèce est dans une lanterne juste à côté), installée dans le jardin des Tuileries, fait l'unanimité.
Si Londres avait offert à chacune des délégations présentes, en 2012, un des 204 pétales composant sa vasque, la capitale française ne serait pas la première à garder ce vestige du plus grand raout sportif de la planète. Los Angeles a gardé son chaudron olympique utilisé en 1984 au Coliseum. Et sur le front de mer de Vancouver, la structure qui avait accueilli la flamme des JO d'hiver 2010 est toujours visible. Mais aucune vasque n'est encore allumée (on y reviendra).
Au-delà d'une volonté politique nécessaire, il faut aussi que les différents acteurs impliqués s'accordent, qu'il y ait un budget (il y aura obligatoirement un coût) et que ce soit techniquement réalisable. C'est là que ça se complique un peu. La vasque n'a pas été conçue dans le but de durer. Puisque c'est la première flamme olympique qui n'utilise pas d'énergie fossile, l'idée était même de pousser totalement cette dimension « écologique » et tout a été étudié dès le départ pour que les éléments qui la composent soient recyclés. Aucune étude n'a été réalisée pour tester la résistance de la vasque aux conditions hivernales, par exemple.
Pour que l'élan populaire se concrétise (une pétition a été créée pour que la vasque reste là où elle est), il faudra donc le temps que ces études de faisabilité soient réalisées. Il faudra aussi se mettre d'accord sur ce que l'on garde. Ce qu'on appelle la vasque et qui enchante les spectateurs en s'élevant dans le ciel de Paris tous les soirs à partir de 22 heures se compose de la flamme électrique (un jeu de leds et d'eau), de l'anneau qui l'entoure et du ballon. A priori, vouloir conserver la vasque, c'est vouloir tout conserver mais on parle d'un anneau de 7 m de diamètre et d'un ensemble avec ballon qui pointe à 30 m de haut et qui redessine le lieu qui l'accueille. En ce moment, c'est le jardin des Tuileries et dans l'esprit de la maire de Paris, invitée mercredi soir du journal de France 2, elle doit rester là. « Ailleurs, ça n'aurait pas la même signification », disait-elle.
L'ensemble peut-il rester à cet endroit, qui dépend du ministère de la Culture, et donc de l'État, et pas de la mairie de Paris, ou faut-il le déplacer, quitte à lui faire perdre un peu de son attrait en l'exposant dans un lieu au charme moindre ? Encore une question sur laquelle les acteurs concernés devront se pencher. Conserver la vasque « a minima », sans le ballon par exemple, changerait considérablement le spectacle qui attire les foules aujourd'hui. Conserver la totalité entraînera forcément la création d'un organisme dédié et un budget puisque la montée du ballon dans le ciel sollicite chaque soir une dizaine de personnes.
Autre enjeu, et de taille : la possibilité de continuer à allumer la vasque. Le CIO est plutôt heureux de l'initiative qui permettrait aux JO 2024 de laisser une trace durable dans Paris. Mais a préféré « ne pas faire de commentaires car les discussions sont en cours » sur la question de l'allumage. L'idée lancée à la volée mettra donc un peu de temps à se concrétiser et pour le moment, aucun calendrier n'est indiqué. Ce qui est sûr, c'est que la flamme sera éteinte dimanche à la fin des JO avant d'être rallumée pour les Paralympiques (28 août-8 septembre). Avant d'être définitivement éteinte ? Pour le moment, il n'y a pas de réponse.
Posté 09 août 2024 - 08:37
début de journée cata avec la nage en eau libre et le taekwondo.... la journée s'annonce mal.
Posté 09 août 2024 - 09:49
Posté 09 août 2024 - 09:57
début de journée cata avec la nage en eau libre et le taekwondo.... la journée s'annonce mal.
Posté 09 août 2024 - 10:28
début de journée cata avec la nage en eau libre et le taekwondo.... la journée s'annonce mal.
Posté 09 août 2024 - 10:31
Bizarrement on t'a pas entendu au moment de la qualification des volleyeurs, des basketeurs et des handballeuses, synonyme de 3 médailles supplémentaires assurées.
A l'instar de certains animaux de basse cour Julien ne chante que lorsqu'il a les pieds dans la merde
Posté 09 août 2024 - 10:35
A l'instar de certains animaux de basse cour Julien ne chante que lorsqu'il a les pieds dans la merde
Faut admettre que les Lebrun en chient pour couler leur bronze
Posté 09 août 2024 - 11:20
début de journée cata avec la nage en eau libre et le taekwondo.... la journée s'annonce mal.
Bizarrement on t'a pas entendu au moment de la qualification des volleyeurs, des basketeurs et des handballeuses, synonyme de 3 médailles supplémentaires assurées.
Posté 09 août 2024 - 11:56
Posté 09 août 2024 - 12:14
Posté 09 août 2024 - 12:16
Il assure Félix. Le coach le met en 5e pour jouer le match décisif.
Lui 17 ans il est en train d'exploser le japonais.
Il a fallu tout poser sur la table hein
wow ces points
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