
JO 2024
#976
Posté 09 août 2024 - 12:20
#977
Posté 09 août 2024 - 12:27
#979
Posté 09 août 2024 - 12:40
Faure, Potin, Lechat, Hilahungrokiqui
Bravo les gars
#980
Posté 09 août 2024 - 12:41
#981
Posté 09 août 2024 - 12:50
Avec une musique française en plus.
Bravo mesdames
#982
Posté 09 août 2024 - 13:08
#984
Posté 09 août 2024 - 13:38
La table dans le jardin, le filet au milieu du salon, les raquettes et les balles omniprésentes à la maison... On sait à quel point Alexis et Félix Lebrun, médaillés de bronze olympiques par équipes ce vendredi, après le bronze du cadet en simple dimanche, ont baigné dans le ping depuis leur plus jeune âge. Immergés dans le club de leur père Stéphane, à Montpellier, dès leurs premiers pas, même s'ils se sont essayés au tennis ou au basket.
Ils n'ont en revanche rien des champions biberonnés à la performance. « Ce qui transpire vraiment le plus chez eux, c'est la simplicité, le plaisir du jeu, décrit Christophe Legoût. Ils ont toujours plaisir à partager, à discuter de ping, inviter du monde à la maison, tout est simple, fluide... » Lui était l'exception jusqu'ici, le « tonton champion », comme le nomme la fratrie Lebrun, membre des « mousquetaires » des années 1990-2000 et ex-14e mondial. « J'ai commencé à jouer parce que ma mère a gagné une coupe sur un bateau de croisière, raconte le frère jumeau de Dominique Lebrun, la maman d'Alexis et Félix. La tradition est plus chez Stéphane (Lebrun, le papa). À mes premiers Championnats de France, en 1984, j'étais en admiration devant cette tête blonde, il gagnait tout ! Mais il s'est très vite tourné vers l'entraînement. »

Resté fidèle à son premier club, Manosque (Alpes-de-Haute-Provence), qu'il a dû quitter à 12 ans pour la structure plus adaptée de Montpellier, qu'il dirige aujourd'hui, Stéphane Lebrun a l'association chevillée au coeur. « Le fait d'être ensemble est plus important que les résultats individuels, assure-t-il. Le club dans son ensemble représente une famille. » Que l'on a pu voir à l'oeuvre lors des Championnats de France, en mars dernier, à Montpellier, autour des Lebrun. La soeur aînée, Roxane, la maman, la grand-mère maternelle notamment, en bénévoles. Margaux, la soeur cadette, à la manoeuvre, en tant que chargée de projet événementiel. « Pendant une semaine, j'avais l'impression d'être en famille pour de vrai, raconte-t-elle. C'est papa qui a monté tout ça, et maintenant, il laisse un peu la main aux plus jeunes. »
« Le partage, l'entraide... ce sont des valeurs associatives, et celles de mes parents »
Margaux, la soeur cadette
Le ping n'était pourtant pas sa tasse de thé, plus jeune. « J'étais heureuse pour mes frères, mais ça ne m'intéressait pas, et je n'aimais pas trop aller dans les salles de ping », se souvient Margaux. D'abord bénévole, pour accompagner la famille, elle a créé, il y a quelques années, des entraînements accessibles aux sourds, dans le cadre d'un diplôme en alternance. « N'importe qui peut frapper à la porte du club, on l'accueille. Le partage, l'entraide... ce sont des valeurs associatives, et celles de mes parents. » Aujourd'hui, elle suit même les matches pendant les cours... « Les profs sont à fond aussi, donc parfois on fait la pause pendant les matches de Félix », rit-elle.

Son amoureux, Laurent Cova, analyste vidéo dans le staff de l'équipe de France, et entraîneur à Montpellier, proche de longue date d'Alexis et Félix, décrit « une famille très accueillante, toujours à vouloir aider les gens. Combien de fois ils ont hébergé des joueurs qui venaient faire des stages... Ils veulent donner leur chance à tout le monde. » C'est dans cet environnement que les deux champions de 20 et 17 ans évoluent encore, où se faire plaisir et se sentir bien dans ses baskets priment. « Quand on est au club, on a l'impression qu'ils ne sont pas vraiment des stars, même si difficile de prononcer ce mot pour moi, car je ne les vois pas comme ça », sourit la maman, enseignante en école maternelle, qui a obtenu sa mise en disponibilité en avril pour suivre l'aventure (et l'administratif !) de ses fils.

Qu'on ne s'y trompe pas, Alexis et Félix Lebrun ne vivent et ne s'entraînent pas comme le commun des pongistes montpelliérains, puisqu'ils bénéficient d'une structure professionnelle montée autour d'eux. « Ils font autre chose, tout en gardant l'histoire, résume leur père, qui a préféré s'extraire de l'entraînement de ses fils. S'ils n'avaient pas eu les conditions pour progresser, ils seraient partis à l'Insep. Mais rentrer à la maison le soir, c'est bien. Ce n'est pas la structure qui fait avancer, ce sont les hommes ou les femmes. Qu'on soit dans une belle salle, ou plus petite, avec climatisation ou pas, c'est peanuts. »
Il y a trois ans, les Lebrun ont élargi la famille, ajoutant notamment au quotidien des garçons l'entraîneur Nathanaël Molin, artisan essentiel de leur réussite. Il les connaissait pour les avoir accompagnés autour des tables petits, il est revenu pour accompagner leur ascension, jusqu'à ces premiers coups d'éclat olympiques, sans doute pas les derniers. Lui aussi parle « bien être », « chemin plus important que les résultats ». Saluant la facilité d'adaptation des deux phénomènes. « Vous les mettez n'importe où, ils viennent juste jouer au ping-pong », rappelait-il encore il y a quelques jours. Bien utile lorsqu'il s'agit de dompter la pression d'un événement à la maison.
- Pottok aime ceci
#985
Posté 09 août 2024 - 13:42
On peut finir aussi à 3 seulement si ça veut pas rigoler...
4e malgré une remontée incroyable de Beaugrand...immense déception.
50/52 au final pas plus.
Cassandre était meilleure en prévisions non?
#986
Posté 09 août 2024 - 13:47
Il y a l'anneau vasque, les trois coups de théâtre avant le début des épreuves et la cloche du Stade de France sur le podium des VBI (vraies bonnes idées) de Paris 2024. Les spectateurs et téléspectateurs ont découvert et entendu cette dernière lors du tournoi de rugby à 7, lorsque la bande à Antoine Dupont est venue la sonner et fêter son titre olympique de chaque côté de son présentoir, violet comme la piste d'athlétisme. « Le capital sympathie est né grâce à Antoine Dupont », sourit Leslie Dufaux, responsable de la présentation sportive de Paris 2024.
« À Noël dernier, je cherchais qui fabrique des cloches, car il y a toujours des cloches dans l'athlétisme, poursuit-elle. Et je suis tombée sur cette fonderie », la Cornille Harvard. Un lieu « spécialisé dans la fabrication de cloches et de bronzes d'Art », selon son site internet. Située à Villedieu-les-Poêles-Rouffigny dans la Manche, elle produit une centaine de cloches en bronze chaque année dans son atelier créé en 1865. Dès le départ, l'idée du comité d'organisation des Jeux est de la léguer dans le cadre de son « programme de seconde vie ». Il faut dire aussi que l'objet est difficile à stocker. À qui offrir une cloche de 500 kg si ce n'est à la plus emblématique des cathédrales parisiennes ?
« C'est l'occasion d'inscrire la cloche des Jeux dans le patrimoine parisien »
Véronique Creissels, directrice de la communication de Notre-Dame
« Les frères Naudet, qui réalisent le film officiel de Paris 2024, avaient déjà signé un documentaire sur l'incendie de Notre-Dame. J'en ai parlé à Jules (un des deux réalisateurs), qui a contacté le régisseur de Notre-Dame », poursuit Leslie Dufaux. De quoi surprendre quelque peu Véronique Creissels, directrice de la communication des lieux : « Le COJO est venu nous voir au printemps dernier pour nous expliquer leur politique de recyclabilité et leur volonté de nous donner la cloche qu'il avait fait fondre pour les Jeux », détaille-t-elle. La démarche tombe à pic, car Véronique Creissels explique que suite à l'incendie d'avril 2019, trois cloches devaient être remplacées dans la cathédrale.
« On a accepté avec plaisir, c'est un beau geste. On partage les valeurs de rassemblement et d'unité de l'olympisme », poursuit la porte-parole. Elle cite en exemple la messe oecuménique organisée dimanche dernier sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame en présence du président du CIO, Thomas Bach, et celui de Paris 2024, Tony Estanguet. « C'est l'occasion d'inscrire la cloche des Jeux dans le patrimoine parisien », abonde Leslie Dufaux qui parle d'un beau « symbole ». Avant ça, la cloche du Stade de France va encore résonner pendant les Jeux Paralympiques qui se terminent le 8 septembre.
Elle ne sera pas tout de suite transférée à Notre-Dame, mais repassera par l'atelier de la fonderie normande afin d'être accrochée à deux autres cloches que les dirigeants de la cathédrale ont commandé, similaires à celle du Stade de France. Le trio de cloches sera ensuite placé à l'intérieur de l'édifice et sonnera pendant les offices de la cathédrale qui réouvrira ses portes au public le 8 décembre prochain. Pour reconnaître la cloche des Jeux Olympiques et Paralympiques, il faudra de bons yeux ou des jumelles afin de distinguer l'inscription Paris 2024.
#987
Posté 09 août 2024 - 14:21
début de journée cata avec la nage en eau libre et le taekwondo.... la journée s'annonce mal.
Cata en nage libre, je ne suis pas d'accord, ils ne sont pas à la rue, ils ont fait leur course. On peut accepter que d'autres compétiteurs soient plus forts que nos gars. Par contre, en taekwondo, alors là oui, se faire sortir au premier tour pour la championne du monde 2023, c'est effectivement la cata...
#988
Posté 09 août 2024 - 15:11
Donc supprimé le karaté par des gens qui dansent sur la tête avec des présentateurs qui ont la casquette à l'envers et des grosses lunettes le tout en parlant anglais.
C'est bien n'importe quoi
#989
Posté 09 août 2024 - 15:14
Heu, qui a eu cette idée géniale de dégager le Karaté pour mettre du break dance ? Je vais peut-être passé pour un vieux con mais là, c'est risible. Cet art n'a rien à faire aux JO, s'il veut une exposition, qu'il aille se montrer aux X Games. D'ailleurs, les Ricains ont sifflé la fin de la récré, le Break dance ne sera pas au programme de LA 2028 et j'approuve.
Taekwondo et Escrime par équipe sont des déceptions
Donc supprimé le karaté par des gens qui dansent sur la tête avec des présentateurs qui ont la casquette à l'envers et des grosses lunettes le tout en parlant anglais.
C'est bien n'importe quoi
Clairement. Côté escrime par équipe, je pense qu'ils ont dû bouffer une quantité d'énergie mentale pas possible sur les épreuves individuelles et qu'ils sont arrivés cuits pour les équipes. Par contre, côté Taekwondo, c'est clairement le crash après les 5 médailles aux derniers championnats du monde...
- Silhouette et Bart Simpson aiment ceci
#990
Posté 09 août 2024 - 15:17
En escrime, la France n'est plus une nation leader, l'arbre qui cache la forêt.
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