423 réponses à ce sujet

[Codorplusàvie]

Jaurais aimé voir mey sur une compo mais sil napparaît pas avec 5 blessés à larrière, il ne doit pas être bien haut dans la hiérarchie

Il est surtout njiff.
Et ca n'aide pas par chez nous en ce moment.

[Tibaldo]

Il était dans le groupe contre le Leinster!

 

 

Comme Newsome l'est également , donc poste pour poste cela ne pose pas de problème 

 

Je vois plusieurs intérêts à titulariser Mey à l'arrière:

 

-Newsome est polyvalent il pourrait glisser au centre si besoin

-Il enchaîne beaucoup, cela lui permettrait de souffler et de se concentrer sur les prochains matchs

-Pour le piquer après sa boulette sur l'essai

-Rentrer un jeune qui à priori avait bien plus au staff et qui a du potentiel, qui plus est avec un gros jeu au pied ce qui nous fait défaut en ce moment

 

Et puis Mey peut également jouer centre...A suivre mais cela ne me paraîtrait pas incongru au vu des blessures actuelles de rentrer ce type de joueur

[devangeli]

Tout à fait d'accord.
Si ils sont aptes, ce serait intéressant de voir jouer à La Rochelle des Massa, Montagne,Rixen, Gritti, Hemery, Giral, Fall, Belaubre et Mey...
Les voyages forment la jeunesse

[Le vieux Tullois]

Tout à fait d'accord.
Si ils sont aptes, ce serait intéressant de voir jouer à La Rochelle des Massa, Montagne,Rixen, Gritti, Hemery, Giral, Fall, Belaubre et Mey...
Les voyages forment la jeunesse

Il me semble que Gritti  a été opéré du genou  il y a quelques semaines .... en novembre je crois .... donc il ne faudrait pas trop compter sur lui cette saison  ....

[Silhouette]

Il me semble que Gritti  a été opéré du genou  il y a quelques semaines .... en novembre je crois .... donc il ne faudrait pas trop compter sur lui cette saison  ....

Effectivement, annonce blesse fin Octobre, out jusqu'a la fin de saison:  https://www.lamontag...ncais_14585395/

 

Grave blessure pour Gritti. Alors qu’il s’entraînait avec les pros la semaine dernière, le 2e ligne italien Piero Gritti s’est blessé à un genou. Victime d’une rupture d’un ligament croisé, il s’est fait opérer ce jeudi et sera indisponible jusqu’à la fin de saison.

[auvergnat34]

Je ne suis pas pour une impasse!
On envoie ce que lon a de mieux et essayer une grosse perf, sur un malentendu..
Certes La Rochelle est un gros morceau mais ce nest pas Toulouse. Ils ont eux aussi laissé des plumes en coupe dEurope donc il faut tenter
Si défaite, on est dans lordre des choses.
Si victoire, on remet clairement les choses en question et on franchit un énorme cap
Ça vaut le coup de tenter, on a rien à perdre et très gros à gagner

[el landeno]

ENTRETIEN. Rémi Talès (Stade Rochelais) : « On doit réussir à soulager un peu plus nos avants »
Rémi Talès est en charge de l’attaque du Stade Rochelais aux côtés de Sébastien Boboul. © Crédit photo : Xavier Leoty/SUD OUEST

 

 

Alors qu’il s’évertuait à pratiquer un jeu plus aéré depuis le début de la saison, le Stade Rochelais est revenu à son style frontal et puissant avec succès en Champions Cup. Rémi Talès, en charge de l’attaque, explique en quoi évoluer est un travail de longue haleine

Vous avez été formé à l’école montoise avant de passer par La Rochelle et Castres, où la culture du combat est forte, puis vous êtes allé au Racing… Si on devait faire un condensé du technicien que ça a fait de vous, qu’est-ce que ça donnerait ?

J’ai eu la chance de connaître quatre clubs. Et tous avaient des identités différentes. C’est le jeu qui m’anime en priorité, je suis baigné par l’école montoise. Mais pour avoir joué à haut niveau, j’ai vu que « le beau jeu » n’était pas toujours la bonne solution. À La Rochelle, on avait plutôt un style offensif avec Serge (Milhas) et « Darri » (David Darricarrère). À Castres, c’était beaucoup plus rugueux, dans la stratégie. Au Racing, j’ai joué avec des grands joueurs. Tout ça m’a forgé. En tant que coach, j’essaie de mettre le tout à ma sauce. De l’exigence des Néo-Zélandais à la philosophie des Fidjiens, en passant par la rugosité des « Sud-Afs », le tout animé par le jeu à la montoise. On est soumis au résultat dans ce métier, mais ça n’empêche pas de rechercher du plaisir. Ça reste un jeu.

Si vous aviez un précepte, quel serait-il ?

Joue ce que tu vois, joue dans l’espace libre, fais vivre le ballon.

SurLe Stade Rochelais est marqué par une grosse culture du jeu d’avants. Est-ce difficile de faire passer ce message ?

Je suis arrivé dans un cadre où l’équipe roulait sur tout le monde. On a un des meilleurs packs au monde, c’est normal de jouer avec la force de ses joueurs. Ce que j’ai essayé d’amener, et ce pour quoi je me bats toujours, c’est la volonté de faire évoluer notre jeu, derrière, pour bénéficier des avancées que nous offrent les avants qu’on a la chance d’avoir. On a énormément de qualités derrière, on doit être un peu moins lisible que par le passé. Même si ça fonctionnait.

Le Stade Rochelais n’a-t-il pas tendance à se réfugier dans le culte de sa toute-puissance lorsqu’il est contré ?

C’est un peu le piège. Malheureusement, notre équipe est de plus en plus étudiée. On crée une forme de peur, nos adversaires ont donc toujours tendance à faire le match de leur vie face à nous. Et du coup, on avance un peu moins. C’est pour ça qu’on doit réussir à soulager un peu plus nos avants et à prendre le relais derrière. C’est ce vers quoi on tend.

SN’est-ce pas compliqué de faire passer un tel message à des joueurs qui ont gagné deux titres en Champions Cup grâce à cette méthode ?

Je ne le pense pas. On a les joueurs pour pratiquer les deux types de jeu. Uini (Atonio) ou Will Skelton sont des monstres. Mais techniquement, ils sont aussi capables de gestes dont eux seuls ont le secret. Ils ont grandi en Nouvelle-Zélande et en Australie, où on travaille en priorité les skills, qu’on soit avant ou trois-quart. Ils savent faire vivre le ballon dans n’importe quelle position. C’est ce qu’on doit apprendre à faire évoluer pour être dans l’anticipation plutôt que de passer par le sol comme on pouvait le faire avant. Je pense le groupe en attente de faire évoluer son jeu. Je ne ressens pas un frein. J’ai la sensation qu’il a envie de prendre des initiatives, de faire vivre le ballon. On le pousse à se libérer parce qu’effectivement, par moments, on joue encore avec le frein à main.

Lorsque vous entendiez l’année dernière que le Stade Rochelais se résumait à un jeu à une passe, était-ce un constat logique ou une offense pour vous ?

Pas du tout, parce qu’ils ont gagné comme ça ! À mes yeux, il n’y a pas de vérité sur le type de jeu susceptible de faire gagner. On est un peu comme les « Sud-Afs » : ils sont très costauds, donc on les caricature comme un jeu d’avants frontal. Or ils font évoluer leur jeu et jouent très bien maintenant au rugby. Ce qu’on veut avant tout, c’est gagner. Si on doit faire du jeu à une passe lors de certains matchs, ça me va.

Les Boks, c’est aussi l’exemple d’une transition réussie vers un jeu plus complet désormais. Où se situe la clé alors ?

Ça vient d’une prise de conscience collective. Je pense que les joueurs ont basculé vers ça. On est encore brouillon. Notamment sur le début de saison où on tentait toujours le offload. Des ballons tombaient par terre, c’est ce qui nous a poussés à nous réfugier dans le jeu à une passe. Il faut réussir à trouver le juste milieu.

Un match du Stade Rochelais vous a-t-il déjà laissé l’impression que vous vous rapprochiez du but ?

Jamais pendant 80 minutes. On n’est pas encore assez constant en dépit des qualités qu’on a. Contre Toulon, on se complique la tâche, mais on fait un super match offensivement. À Toulouse ou à Castres, c’est la même chose en deuxième mi-temps. Il y a plein de matchs où on fait de bonnes choses, mais aucun complet. On n’a vu qu’un avant-goût de ce qu’on est capable de faire.

Replacer un Teddy Thomas au centre ou un Jonathan Danty en troisième ligne, est-ce que ça y participe ?

Ça amène des profils différents. Teddy Thomas au centre, c’est beaucoup plus de vitesse que lorsqu’on joue avec UJ (Seuteni) et Jo (Danty). Il mange les espaces, fixe les défenseurs par sa simple présence. Il apporte de la variété à notre jeu. « Jo » en troisième ligne, ça nous offre un trois-quart de plus. Il arrive à jouer dans les couloirs, c’est justement ce qu’on travaille au quotidien. Mais ce que je veux en priorité, ce sont des joueurs intelligents ayant des repères communs pour qu’ils jouent les situations de la même manière.

Vous estimez que votre équipe en est où de cette transition ?

Au début. Ça fait un an que je travaille sur ça. C’est un travail de longue haleine, mais ça commence à prendre. On doit insister pour aller à fond dedans et vraiment se lâcher.

 

 

 

 

 

 

Après huit saisons à La Rochelle, Kerr-Barlow veut s'en aller la tête haute Arrivé en 2017 à La Rochelle, le demi de mêlée néo-zélandais Tawera Kerr-Barlow dispute sa dernière saison chez les Jaune et Noir avant de rejoindre le Stade Français. Avec l'objectif de marquer un peu plus un club auquel il s'est profondément attaché.

 

Il est le plus discret des cadres du Stade Rochelais. Mais son futur départ, l'été prochain, risque de laisser un vide qui permettra de mesurer l'impact que Tawera Kerr-Barlow (34 ans) a eu chez les Maritimes. Arrivé il y a sept ans sur les bords de l'Atlantique, le Néo-Zélandais quittera la région à la fin de la saison pour rejoindre le Stade Français.

 

 

L'ancien All Black (27 sélections), qui arrivait en fin de contrat, se serait pourtant bien vu poursuivre son aventure à La Rochelle, mais le club, qui a attiré le demi de mêlée international français Nolann Le Garrec (7 sélections, 22 ans), ne l'a pas prolongé.

« Parfois, on oublie que le rugby est un business. »

Tawera Kerr-Barlow

 

 

 

« Tawera est magnifique, c'est un énorme champion, j'aurais aimé le garder, presqu'à tout prix, nous assurait Ronan O'Gara il y a deux semaines. Mais un Nolann Le Garrec n'arrive pas à chaque saison. J'aurais aimé avoir les deux dans le groupe. Mais on n'avait pas l'argent pour. »

Kerr-Barlow s'est, lui, retrouvé impuissant face à cette situation : « Je n'avais pas de contrôle, la décision était prise et j'avais besoin de trouver un boulot, admet-il. C'est difficile. J'ai passé de belles années ici. Mais j'ai trouvé une très belle opportunité. Parfois, on oublie que le rugby est un business. Ça en est un. L'esprit du rugby et celui du business sont différents. »

 

 

« La Rochelle restera toujours dans mon coeur. C'est un club spécial. »

Tawera Kerr-Barlow

 

 

 

Débarqué à La Rochelle avec un statut de champion du monde (en 2015, avec la Nouvelle-Zélande), Kerr-Barlow a activement participé aux premières conquêtes du club à la Caravelle (Coupe des champions 2022 et 2023), devenant, après des débuts timides, un élément clef du groupe.

Lui clame désormais son attachement à la ville : « Mes enfants sont nés là, ils sont Rochelais. Ils le seront toujours. La Rochelle restera toujours dans mon coeur. C'est un club spécial. J'ai passé presque autant de temps à La Rochelle qu'en Nouvelle-Zélande (il y était arrivé à l'âge de 13 ans après avoir grandi en Australie). C'est énorme. On se sent très bien ici, on est contents, c'était un privilège de passer des années ici. »

« Je me sens en forme, j'ai encore du feu dans le ventre »

Tawera Kerr-Barlow

 

 

 

À 34 ans, Kerr-Barlow, qui passe cette année son DE (diplôme d'État) d'entraîneur, n'a pas songé à raccrocher. « Je me sens en forme, j'ai encore du feu dans le ventre, lance-t-il. J'ai envie de jouer. Je suis un compétiteur, j'adore le rugby. Honnêtement, si je n'étais pas un rugbyman professionnel, je jouerais en amateur pour mon village. »

Son village attendra, le Néo-Zélandais aura pour terrain de jeu Jean-Bouin après Marcel-Deflandre. De son prochain projet parisien, le Néo-Zélandais dit sobrement qu'il le trouve « excitant » mais ne souhaite pas s'étendre dessus « par respect pour le Stade Français comme pour La Rochelle, qui ont encore un job à faire cette saison. » Et pas n'importe quel travail, puisque Kerr-Barlow a l'intention de quitter les Maritimes par la grande porte.

Son début de saison a pourtant été mitigé, comme celui de son club, mais le demi de mêlée a semblé monter en puissance ces deux dernières semaines avec le retour de la Coupe des champions (victoires à Bath puis contre Bristol). « J'ai eu des petites blessures en début de saison, notamment une déchirure à une cuisse dès la première journée, contre Toulon. Mais à part ça, je me sens bien, je suis content de ma saison, sauf de mon match à Montpellier, où je n'étais pas du tout content de ma performance. »

lire aussiÀ l'extérieur, La Rochelle peine en Top 14 mais performe en Coupe des champions

Son futur départ trotte-t-il déjà dans sa tête ? « Je n'y pense pas trop, balaye-t-il. Je vis toujours dans le présent. Quand arrivera la fin de saison, ça sera le moment de penser à toutes ces choses. » Ses coéquipiers sont quant à eux conscients de vivre leurs derniers mois en compagnie du Néo-Zélandais.

« On apprécie encore plus sa présence cette année, on profite de chaque moment avec lui, assure le deuxième-ligne Will Skelton. Tawera est un joueur majeur de cette équipe, l'un de nos leaders, l'un des meilleurs du groupe. Mais ce n'est pas seulement un bon joueur, c'est une bonne personne. J'espère qu'il aura droit à une belle sortie. »

 

 

[anje]

Je ne suis pas pour une impasse!
On envoie ce que lon a de mieux et essayer une grosse perf, sur un malentendu..
Certes La Rochelle est un gros morceau mais ce nest pas Toulouse. Ils ont eux aussi laissé des plumes en coupe dEurope donc il faut tenter
Si défaite, on est dans lordre des choses.
Si victoire, on remet clairement les choses en question et on franchit un énorme cap
Ça vaut le coup de tenter, on a rien à perdre et très gros à gagner

 

Tout à fait d'accord mais il ne faut rien perdre. D'où le fait pour moi de ne pas emmener les joueurs qui ne sont pas à 100%.

Déjà que vu le jeu Rochelais du moment et le notre, on va se concasser de part et d'autres pendant 80 minutes.

Déjà que tu risques de ramener un ou deux blessés comme à chaque matchs.

 

Et comme je l'ai dit hier, pour moi les 6 matchs suivants sont plus importants: Dans ces 6 matchs, il y a 3 déplacements intéressants (Vannes, Pau et Bath en champions) où tu as plus de chances de ramener quelque chose.

 

De toutes façons même si la Montagne nous annonce des retours, comme déjà dit, on a pas en ce moment un effectif nous permettant des impasses.

[exilé-sud-ouest]

Il était dans le groupe contre le Leinster!

 

 

Comme Newsome l'est également , donc poste pour poste cela ne pose pas de problème 

 

Je vois plusieurs intérêts à titulariser Mey à l'arrière:

 

-Newsome est polyvalent il pourrait glisser au centre si besoin

-Il enchaîne beaucoup, cela lui permettrait de souffler et de se concentrer sur les prochains matchs

-Pour le piquer après sa boulette sur l'essai

-Rentrer un jeune qui à priori avait bien plus au staff et qui a du potentiel, qui plus est avec un gros jeu au pied ce qui nous fait défaut en ce moment

 

Et puis Mey peut également jouer centre...A suivre mais cela ne me paraîtrait pas incongru au vu des blessures actuelles de rentrer ce type de joueur

...Où le quota JIFF ne compte pas....

[julien]

L'impasse n'est pas dans la culture d'Urios. 

...Où le quota JIFF ne compte pas....

 

On est largement dans les clous côté jiff.

Si Mey devait jouer il y pas de souci.

[cocotte 63]

L'impression qu'à la suite de cette bonne période, où les mecs se sont bien donnés, mais aussi bien usés, je nous imagine revenir de ce match avec une belle branlée, La Rochelle ayant redressé la tête et devant faire le plein de points chez eux... Bref, j'y vois pas trop beau pour tout vous dire.

[RCV06]

L'impression qu'à la suite de cette bonne période, où les mecs se sont bien donnés, mais aussi bien usés, je nous imagine revenir de ce match avec une belle branlée, La Rochelle ayant redressé la tête et devant faire le plein de points chez eux... Bref, j'y vois pas trop beau pour tout vous dire.

Quitte a prendre une branlée autant que ce soit a LR plutôt qu à Vannes

[jm12]

La Rochelle dans la foulée de la C.C va préparer ce match avec, bcp...de "sérieux", n 'en doutons pas...et cerise sur la gâteau ASM 32 points et La Rochelle 28 points au classement.....au moins , c 'est clair !

 

Evidemment que Urios ne fera aucune impasse et pourquoi d'ailleurs ? 

 

La problématique de notre effectif sur certaines lignes , on la connait ,mais faut faire: sans !

 

Vouloir défier les Maritimes chez eux, suppose à la base un engagement maximal et tout ce que cela suppose !

 

L 'implication des joueurs en prépa d'avant match doit nous donner qqs indications pour ce week-end , y compris sur la stratégie adoptée par Urios , où je pense que l 'accent sera mis sur la défense , la discipline , la conquête en particulier en mêlée !

[xdderf63]

Il était dans le groupe contre le Leinster!

 

 

Comme Newsome l'est également , donc poste pour poste cela ne pose pas de problème 

 

Je vois plusieurs intérêts à titulariser Mey à l'arrière:

 

-Newsome est polyvalent il pourrait glisser au centre si besoin

-Il enchaîne beaucoup, cela lui permettrait de souffler et de se concentrer sur les prochains matchs

-Pour le piquer après sa boulette sur l'essai

-Rentrer un jeune qui à priori avait bien plus au staff et qui a du potentiel, qui plus est avec un gros jeu au pied ce qui nous fait défaut en ce moment

 

Et puis Mey peut également jouer centre...A suivre mais cela ne me paraîtrait pas incongru au vu des blessures actuelles de rentrer ce type de joueur

 

C'est quand même un problème car si Mey joue dans un premier temps ça passe d'abord par une place sur le banc, et c'est gaspiller un non Jiff pour 15 min 

Avec possiblement Newsome dans l'équipe pour couvrir si problème 

 

Pour Mey, le vrai problème et c'est paradoxal, la blessure de Hamdaoui retarde son entrée dans l'équipe 

 

Pour tenir la moyenne de NON JIFF, Mey n'est pas en concurrence qu'avec Newsome mais aussi avec Urda Kremer Simmons Lee au moment de faire l'équipe 

[anje]

L'impasse n'est pas dans la culture d'Urios. 

 

 

 

je suis allé voir ses saisons castraises et j'ai pris au hasard 2017-2018 (en plus l'année du titre mais j'ai pas fait exprès)

en coupe d'europe, 

il prennent 54 points à Leicester qui finira dernier de la poule, et 48 au Munster. 

Si t'appelles pas ça des impasses.

Par contre c'est vrai qu'en championnat, il n'en avait pas fait. Avec à la clé des victoires à Bordeaux, Toulouse, Clermont, La Rochelle et Oyonnax. Mais par contre 3 défaites à domicile contre le Racing, Montpellier et Pau.

Du coup je me demande si il a déjà fait une saison invaincu à domicile, je les ai pas toute regardée mais j'ai pas l'impression.

 

 

 

C'est quand même un problème car si Mey joue dans un premier temps ça passe d'abord par une place sur le banc, et c'est gaspiller un non Jiff pour 15 min 

Avec possiblement Newsome dans l'équipe pour couvrir si problème 

 

Pour Mey, le vrai problème et c'est paradoxal, la blessure de Hamdaoui retarde son entrée dans l'équipe 

 

Pour tenir la moyenne de NON JIFF, Mey n'est pas en concurrence qu'avec Newsome mais aussi avec Urda Kremer Simmons Lee au moment de faire l'équipe 

 

Pour Mey le problème ne serait il pas plus dans le nombre de non jiffs allignés (d'ailleurs les clubs fournissent ils une liste) que dans la moyenne?