115 réponses à ce sujet

[Buckaroo]

En effet. Voici le passage en question :

 

L’ASM, la plus performante sur les ballons portés. 

« Quand nous sommes tous dans le même sens, on devient diabolique. C’est diabolique. Cela fait partie de notre identité de jeu. » Après quatre essais passés à Castres sur ballons portés (sur les huit en cette fin novembre), Christophe Urios s’était montré dithyrambique concernant le travail de ses avants. Le manager n’a pas eu tort en utilisant le terme « diabolique » tant son équipe fait peur sur ses mauls. À mi-championnat, l’ASM est en effet l’équipe la plus efficace sur ces phases-là avec 17 essais inscrits. Seul le Stade Toulousain rivalise avec 16 réalisations. Le ballon porté est même devenu l’identité forte du jeu auvergnate puisque cela représente 39,5 % des essais clermontois en Top 14.

[pims]

Le ballon porté est même devenu l’identité forte du jeu auvergnate puisque cela représente 39,5 % des essais clermontois en Top 14.

cette fois-ci je vais vraiment me foutre en l'air

[Codorplusàvie]

En effet. Voici le passage en question :
 
LASM, la plus performante sur les ballons portés. 
« Quand nous sommes tous dans le même sens, on devient diabolique. Cest diabolique. Cela fait partie de notre identité de jeu. » Après quatre essais passés à Castres sur ballons portés (sur les huit en cette fin novembre), Christophe Urios sétait montré dithyrambique concernant le travail de ses avants. Le manager na pas eu tort en utilisant le terme « diabolique » tant son équipe fait peur sur ses mauls. À mi-championnat, lASM est en effet léquipe la plus efficace sur ces phases-là avec 17 essais inscrits. Seul le Stade Toulousain rivalise avec 16 réalisations. Le ballon porté est même devenu lidentité forte du jeu auvergnate puisque cela représente 39,5 % des essais clermontois en Top 14.

Avant le match contre le MHR on était à 20 essais marqués par les avant, 18 par les 3/4 et 4 par Depénalité.

[xdderf63]

Attention aux stats
Fourcade et Tixeront marquent des essais d'ailier

[Buckaroo]

Attention aux stats
Fourcade et Tixeront marquent des essais d'ailier

Oui, et de même, Raka marque un essai "opportuniste". C'est pour cela qu'il faudrait sans doute faire des catégories, suivant comment l'essai est construit.

[Codorplusàvie]

Attention aux stats
Fourcade et Tixeront marquent des essais d'ailier

Les fumiers !

[Make ASM Great Again]

DEHORS les ailiers !

Pas de ça chez nous !!

[Bad Zé]

Qu'est-ce que vous entendez exactement par "ailiers"?

[Codorplusàvie]

Qu'est-ce que vous entendez exactement par "ailiers"?

Pompes fluo, prothèse et peigne dans le shorts ?

[Gourine63]

En effet. Voici le passage en question :
 
LASM, la plus performante sur les ballons portés. 
« Quand nous sommes tous dans le même sens, on devient diabolique. Cest diabolique. Cela fait partie de notre identité de jeu. » Après quatre essais passés à Castres sur ballons portés (sur les huit en cette fin novembre), Christophe Urios sétait montré dithyrambique concernant le travail de ses avants. Le manager na pas eu tort en utilisant le terme « diabolique » tant son équipe fait peur sur ses mauls. À mi-championnat, lASM est en effet léquipe la plus efficace sur ces phases-là avec 17 essais inscrits. Seul le Stade Toulousain rivalise avec 16 réalisations. Le ballon porté est même devenu lidentité forte du jeu auvergnate puisque cela représente 39,5 % des essais clermontois en Top 14.

[ELSAZOAM]

Pompes fluo, prothèse et peigne dans le shorts ?

Dans la poche revolver un peigne pour mon cran...

Choubidou choubidou ouah !  

[Babé03]

"Il ne faut pas une seule tête en l’air" : comment l'ASM Clermont a fait du ballon porté un de ses (gros) points forts Avec un tiers de ses essais inscrits sur cette phase de jeu, les avants de Clermont ont fait du ballon porté (ou maul) une spécialité maison. Un peu moins efficaces depuis trois matchs, ils voudront retrouver cette arme presque fatale, ce dimanche soir face à Vannes.

14 essais sur ballons portés en 15 rencontres?! La statistique est éloquente et dit beaucoup d’une des forces principales de cette équipe de l’ASM. Depuis deux ans, un boulot spécifique aux entraînements a été mis en place et on peut dire que, cette saison, « le travail paie ».

« C’est vrai que c’est une force, confirme Thibaud Lanen, mais on n’est pas performant non plus tous les matchs comme on le voudrait. Les adversaires travaillent aussi la défense de nos mauls. Même si on marque un essai la semaine dernière sur un porté, Montpellier nous a bien contrés par exemple ».

Sur pénaltouches, près de l’en-but, le pack de l’ASM a souvent fait mouche cette saison, le sommet ayant été la large victoire (54-10) sur Castres, avec quatre des huit essais marqués sur cette phase de jeu. Mais comment se déclenche un ballon porté ?

« C’est notre sauteur sur la touche qui me dit "garde, garde", détaille Baptiste Jauneau. Là, je sais qu’ils vont chercher à finir dans l’en-but. Sur ces mauls, en début de saison, je mettais vite les mains sur le ballon. J’avais pas mal de choses à apprendre sur cette phase de jeu. Après, pour savoir si je dois sortir le ballon ou laisser les avants avancer, c’est un peu au ressenti ».

Ce dimanche soir, face à un pack de Vannes, certes solide, mais peut-être pas aussi dense, compact et expérimenté que ceux du Leinster, de la Rochelle ou de Montpellier, l’ASM va forcément essayer de jouer sur son point fort. D’autant plus que les conditions climatiques annoncées pourraient contrecarrer d’éventuelles velléités d’un rugby plus aéré et au large.

Si Clermont est devenu très performant dans ce domaine, c’est qu’il maîtrise les paramètres à réunir pour exécuter un bon ballon porté. L’exercice est avant tout une œuvre collective, qui dépend aussi de la parfaite exécution de chaque joueur.

"Un bon ballon porté, c’est déjà une excellente prise de balle en l’air"

« Un bon ballon porté, dissèque pour nous Christophe Urios, c’est déjà une excellente prise de balle en l’air. Si tu as un ballon pas très bien maîtrisé, un soutien pas précis, c’est difficile de démarrer un maul efficace. Après, c’est la vitesse, la réactivité et la justesse avec lesquelles les mecs se placent sur le porté. Ensuite, il faut rester collectif. Et pour cela, il ne faut pas une seule tête en l’air. Offensivement, mais aussi défensivement, moins tu as de tête en l’air, plus ton maul est performant. Comme une mêlée, quoi ».

Les joueurs de l’ASM seront forcément attendus ce dimanche à la Rabine, dès qu’ils seront en position d’enclencher un maul. Surtout qu’au match aller, au Michelin, les promus avaient cédé à trois reprises sur ces fameux ballons portés. Les Vannetais sont avertis. 

[Codorplusàvie]

[quote name="Babé03" post="3419799" timestamp="1736074770"]

"Il ne faut pas une seule tête en lair" : comment l'ASM Clermont a fait du ballon porté un de ses (gros) points forts

Les Vannetais sont avertis. [/size] [/font] [/quote][/quote]

Merci Babé03.

Le ballon porté est aux avants, ce que la cadrage débordement est aux ailiers.
Pour ce soir Yapluka.

[Buckaroo]

Il y a quelque chose que j'essaie de formuler depuis un moment, sans vraiment y parvenir. On parle constamment de projet en deux temps, qui consisterait à d'abord mettre en place le jeu d'avants, la défense, pour dans un deuxième temps mettre en place un jeu d'arrière, fait de jeu large, de passes, bref, de tout ce qui entre dans la catégorie "beau jeu". Alors, on exprime ça de nombreuses manières (ou poncifs) différentes : ne pas mettre la charrue avant les bœufs, le rugby commence devant, et j'en passe.

 

Dit comme ça, ça paraît marqué du sceau de l'évidence. Seulement, je ne suis vraiment pas persuadé que ce soit le cas. Il y a quelque chose qui m'embête avec ce raisonnement, sans que je sache exactement l'expliquer. Par exemple, qu'est-ce qui nous force à travailler l'un puis l'autre ? Ou bien, en termes de recrutement, à d'abord faire venir des joueurs pour la premiere partie du projet, puis des joueurs pour la deuxième partie (les fameux "joueurs de score").

 

J'essaie vraiment de comprendre. Est-ce une question de priorité donnée à la défense, par exemple, lors des entraînements ? Du genre : on travaillera l'attaque une fois que les mécanismes seront bien en place en défense ? Mais n'a-t-on pas le temps de travailler les deux ? Et ne pourrait-on justement pas soulager le travail défensif en faisant moins de fautes, d'en avants, en ayant un meilleur jeu au pied, une meilleure stratégie offensive, des combinaisons travaillées ?

 

Pour tout dire, si j'essaie de me projeter dans un, deux ou trois ans, je m'imagine au mieux le même jeu de destruction, avec au mieux çi et là un essai assez joli, un peu par hasard, par exemple en fin de match, une fois l'issue du match décidée.

 

Et ce que je vois de notre recrutement va en ce sens : Plummer, il est clairement fait pour animer un jeu de destruction, physique. Il n'est pas bon en dehors. Muarua, qui vient remplacer Lee, Urios le fait justement venir parce qu'il est plus physique que Lee : de ce que j'en comprends, c'est un porteur de balle, frustre techniquement.

 

Pour résumer, j'ai un peu l'impression qu'on nous demande de patienter, que ce n'est que la phase 1 d'un projet plus grand, que chaque année est celle du renouveau, mais qu'au final, il n'y a aucune phase 2 de prévue, et que ce qu'on voit, c'est ce qu'on aura.

[RCV06]

Il y a quelque chose que j'essaie de formuler depuis un moment, sans vraiment y parvenir. On parle constamment de projet en deux temps, qui consisterait à d'abord mettre en place le jeu d'avants, la défense, pour dans un deuxième temps mettre en place un jeu d'arrière, fait de jeu large, de passes, bref, de tout ce qui entre dans la catégorie "beau jeu". Alors, on exprime ça de nombreuses manières (ou poncifs) différentes : ne pas mettre la charrue avant les bœufs, le rugby commence devant, et j'en passe.

 

Dit comme ça, ça paraît marqué du sceau de l'évidence. Seulement, je ne suis vraiment pas persuadé que ce soit le cas. Il y a quelque chose qui m'embête avec ce raisonnement, sans que je sache exactement l'expliquer. Par exemple, qu'est-ce qui nous force à travailler l'un puis l'autre ? Ou bien, en termes de recrutement, à d'abord faire venir des joueurs pour la premiere partie du projet, puis des joueurs pour la deuxième partie (les fameux "joueurs de score").

 

J'essaie vraiment de comprendre. Est-ce une question de priorité donnée à la défense, par exemple, lors des entraînements ? Du genre : on travaillera l'attaque une fois que les mécanismes seront bien en place en défense ? Mais n'a-t-on pas le temps de travailler les deux ? Et ne pourrait-on justement pas soulager le travail défensif en faisant moins de fautes, d'en avants, en ayant un meilleur jeu au pied, une meilleure stratégie offensive, des combinaisons travaillées ?

 

Pour tout dire, si j'essaie de me projeter dans un, deux ou trois ans, je m'imagine au mieux le même jeu de destruction, avec au mieux çi et là un essai assez joli, un peu par hasard, par exemple en fin de match, une fois l'issue du match décidée.

 

Et ce que je vois de notre recrutement va en ce sens : Plummer, il est clairement fait pour animer un jeu de destruction, physique. Il n'est pas bon en dehors. Muarua, qui vient remplacer Lee, Urios le fait justement venir parce qu'il est plus physique que Lee : de ce que j'en comprends, c'est un porteur de balle, frustre techniquement.

 

Pour résumer, j'ai un peu l'impression qu'on nous demande de patienter, que ce n'est que la phase 1 d'un projet plus grand, que chaque année est celle du renouveau, mais qu'au final, il n'y a aucune phase 2 de prévue, et que ce qu'on voit, c'est ce qu'on aura.

Pour moi, avoir un pack dominateur est la condition sine qua non pour avoir du jeu. Il semble qu on y soit parvenu et qu on cherche encore a le densifier.

Donc pourquoi ne tente t on pas d envoyer un peu de jeu sur les ballons propres qu on a en touche ou en mêlée, c'est un mystère.

Quelque soit notre 10 ça ne change rien, nos centres de combinent rien, pas de redoublement, pas de croisées, pas de leurre, pas de lancement intérieur du 10, pas de 15 dans la ligne.