386 réponses à ce sujet

[gregouarrrr]

le score ne reflete pas le niveau de toulon d apres mouaaaa ...

[Codorplusàvie]

Toulouse devrait battre notre record de plus de points marqués sur la saison. 
Notre record est de 830 sur la saison 2020/2021 et Toulouse est à 778 et il reste 3 journées. 

2019/20 plutôt non ?

[Paolinito]

Confirmation de l’inexistence d’un top 14, quand la B’ d’un club explose le 3ème

 

Toulon va grandir de ce match. Bordeaux en prend 60 l'année dernière ils s'en sont remis et ça leur a servi de motivation. A voir ce que ça va donner en fin de championnat. Si Toulouse écrase les phases finales, alors effectivement l'elimination à Bordeaux n'aura été qu'un épiphénomène, et on tiendra le PSG du rugby. Mais ce n'est pas encore fait

[Caplan]

2019/20 plutôt non ?

 

Non non c'est bien la saison 2020/2021, on fini 5eme mais on met 830 points, c'est énorme. 

[Codorplusàvie]

 
Non non c'est bien la saison 2020/2021, on fini 5eme mais on met 830 points, c'est énorme. 

C'est donc l'année ou Urios nous nique en barrage ?

[Caplan]

C'est donc l'année ou Urios nous nique en barrage ?

 

Oui, la dernière fois qu'on a été qualifié, il y a 4 ans. 

[Vert]

Je n'aime pas Serin.

[Silhouette]

C'est donc l'année ou Urios nous nique en barrage ?

"Les anti-Urios vous etes vraiment penibles a constamment tout ramener a Urios"   

 

 Mais oui c'est l'annee ou l'ASM est leader du championnat sur plusieurs journees, finit 5eme, perd en barrage contre l'UBB qui eux-meme s'inclineront en demi face au ST - https://fr.wikipedia.org/wiki/Championnat_de_France_de_rugby_%C3%A0_XV_2020-2021 

 

Stat marrante aussi: on marque 88 essais contre 92 pour le ST, et pourtant on finit avec 830 points contre 767, le tout en ayant pas le meilleur realisateur de la saison (Lopez 4eme) et aucun marqueur d'essai dans le Top10. Mais on met d'enormes cartons type 73-3 face a Bayonne ou 59-19 face au CO.

[Underscore]

Ha le temps où on mettait de bonnes cartouches meme a l'extérieur contre Dax, Agen ou Albi 😔

[Silhouette]

Ha le temps où on mettait de bonnes cartouches meme a l'extérieur contre Dax, Agen ou Albi

Cette saison la c'est surtout Bayonne qui visiblement avait du mal a l'exterieur: 73-3 chez nous, 62-10 a Lyon (!), 40-3 a LR, mais victoire 32-28 chez les futurs champions toulousains (comme quoi..). Je me souviens pas si ca faisait beaucoup tourner sur certains de ces matchs a l'exterieur en vrai. Agen en prends quelques belles a l'exterieur cette saison la, et finit la saison avec deux (2) points et zero (0) victoires ou match nul    

[marco43]

Ha le temps où on mettait de bonnes cartouches meme a l'extérieur contre Dax, Agen ou Albi

vivement que l'on soit en pro D2 pour revoir ça

[el landeno]

« Scénario fou... Comme dans tous les coins de la France » : en Top 14, la lutte pour le maintien devient irrespirable En arrachant la victoire contre le Stade Français alors que Vannes s'est incliné après la sirène sur un drop de La Rochelle, Perpignan a pris un petit avantage dans la lutte à trois équipes qui se joue pour le maintien. Mais l'apnée est loin d'être finie.

 

 

Pour rendre encore plus dingue le scénario, il s'est presque écoulé dix minutes entre le drop victorieux de l'ouvreur rochelais Antoine Hastoy qui plongeait Vannes dans le désarroi (30-29) et la fin de match à Perpignan (20-18), tout aussi irrespirable. Quand les Vannetais s'effondraient sur la pelouse de La Rabine, le Stade Français menait encore à Aimé-Giral (18-17). Quelques secondes plus tard, Tommaso Allan redonnait l'avantage aux Catalans avant que Zack Henry ne rate sa pénalité à deux minutes de la sirène.

 

 

« Scénario fou... Comme dans tous les coins de la France, j'ai l'impression », en souriait David Marty, l'entraîneur de l'attaque de Perpignan. Victoire face à Paris et défaite de Vannes, c'est le scénario idéal qui s'est dessiné samedi pour l'USAP : « Un week-end positif, confirmait Marty. Il y a deux semaines, on prend zéro point à Montpellier (13-19), Vannes en prend cinq contre Toulon (29-19)...Là, le Stade Français rate la pénalité de la gagne à deux minutes de la fin chez nous et La Rochelle gagne sur un drop à Vannes. Ça va être comme ça jusqu'à la fin, il va falloir être costaud mentalement. »

lire aussiPerpignan enfonce le Stade Français, La Rochelle crucifie Vannes à la sirène

Résultat des courses à trois journées de la fin : Perpignan a doublé le Stade Français et pris la douzième place avec trois longueurs d'avance sur les Parisiens, eux-mêmes un point devant Vannes, toujours lanterne rouge. Et qui pourra encore se mordre les doigts d'avoir laissé filer un match que les Bretons avaient très mal commencé (0-12 après dix minutes de jeu), pensaient avoir renversé sur un essai transformé de Thomas Moukoro (29-27, 77e), avant de voir La Rochelle lui piquer le renvoi et imposer une longue séquence conclue par le drop de Hastoy.

 

La joie des joueurs de La Rochelle, vainqueurs de Vannes sur le fil. (K.Guyot/Ouest France)

 

 

Un scénario cruel qui n'est pas sans rappeler celui de la fin mars face à... Perpignan, tout heureux d'arracher un nul en Bretagne alors qu'il avait dix points de retard à cinq minutes de la fin (20-20). Dans la quête des points perdus bêtement, le promu breton en a rajouté trois à sa collection samedi. « On est quand même abattus, reconnaissait le manager de Vannes, Jean-Noël Spitzer. La situation aurait pu être bien pire, on aurait pu être loin, on aurait pu encaisser une lourde défaite. Rien n'est joué. »

lire aussiLe classement du Top 14

 

« On est toujours dans cette zone rouge, on le sait. Rien ne change, c'est une urgence tous les week-ends »

Morgan Parra, entraîneur adjoint du Stade Français

 

 

 

Vannes a un calendrier peu enviable (déplacement à Bayonne, réception de Pau et voyage à Bordeaux) et l'inconvénient de différences particulières défavorables sur ses deux concurrents, Perpignan et le Stade Français. Les Parisiens, justement, continuent eux de s'enfoncer, avec une quatrième défaite consécutive en Top 14, à Aimé-Giral.

 

L'USAP s'est imposé au forceps face au Stade Français, samedi soir. (M.Clementz/L'Indépendant)

Si l'entraîneur adjoint Morgan Parra et ses joueurs ont voulu retenir un bon état d'esprit, un gros engagement (trop gros presque pour une équipe qui a pris trois cartons jaunes) et le point de bonus défensif, la situation est tout sauf rose. « On est toujours dans cette zone rouge, on le sait, affirmait à chaud Parra. Rien ne change, c'est une urgence tous les week-ends. Mais on va travailler pour bien aborder la réception de Lyon (samedi prochain). On sait que ce sera un match particulier, contre une équipe qui vient de perdre chez elle (contre Pau, 27-29, voir page 24), et bien sûr avec le retour de Karim (Ghezal, licencié du Stade Français fin septembre et désormais entraîneur du LOU)... »

lire aussiMorgan Parra, entraîneur adjoint du Stade Français, après la défaite à Perpignan : « C'est une urgence tous les week-ends »

Du piment, toujours du piment, dans cette lutte pour le maintien... Perpignan, qui n'a pas encore gagné un match à l'extérieur cette saison, va, lui, enchaîner des voyages à Clermont et à La Rochelle avant de recevoir Toulouse. La dinguerie n'est pas finie.