7077 réponses à ce sujet

[zorro]

Joli changement de titre du topic au passage!!! Quelle réactivité!

Faudrait ouvrir un topic Plummer surtout !

[Gourine63]

La vidéo de présentation du joueur est très sympa, la com de l'ASM a fait un gros progrès de ce côté là.

[Tchou]

Quelqu'un peut-il nous partager l'entretien de Plummer paru ce jour sur La Montagne svp ??

[Babé03]

Entretien exclusif avec Harry Plummer : "Signer à l'ASM Clermont était une décision facile" Article réservé aux abonnés

Publié le 20/11/2024 à 16h00

 

Arnaud Clergue

Harry Plummer n’a pas caché son impatience de découvrir le Top 14 et un pays où il rêvait de vivre étant plus jeune. © HANNAH PETERS

Écouter l'article

00:00

[Exclusivité La Montagne] L’ASM a donc officialisé ce mercredi l’arrivée d’Harry Plummer. Le futur et tant attendu ouvreur clermontois nous a réservé, ce mercredi, ses premiers mots depuis son lieu de vacances, en Egypte. Après avoir découvert le club, la ville et ses environs la semaine dernière, l’actuel joueur des Auckland Blues s’est dit impatient de débuter ce nouveau challenge en France.

Son arrivée était très attendue par tous les supporters clermontois. Ses premiers mots le sont donc tout autant. Harry Plummer, le futur ouvreur de l’ASM, a accepté de nous confier ses premières impressions sur le club, la ville et une certaine Yellow Army, dont la réputation a visiblement traversé le globe.

 

La première question est finalement très simple : pourquoi avoir choisi l’ASM Clermont ?

La première des choses, c’est qu’il s’agissait d’abord d’une opportunité très excitante. La semaine dernière (jeudi et vendredi), j’ai pu visiter avec ma famille les installations du club ainsi que les environs de Clermont-Ferrand. Comme je l’ai signifié aux dirigeants, ce qui est important pour moi, c’est d’évoluer dans un environnement familial. J’ai vraiment ressenti cela quand je suis arrivé à Clermont. Nous avons été accueillis à bras ouverts. Le fait que ce club possède une base de fidèles supporters a également pesé dans la balance. C’est quelque chose d’énorme. La Yellow Army fait vraiment partie intégrante de l’univers de l’ASM et cela a résonné en moi. Cela correspond à ma conception du rugby. Clermont est une équipe avec beaucoup d’histoire et de fierté. C’est le club avec lequel je voulais évoluer pour aller de l’avant. En fin de compte, c’était une décision facile à prendre.

Vous êtes passionné de golf. Comment avez-vous trouvé le parcours des Volcans ? (Rires).

Oui c’est vrai que le club m’a emmené visiter le golf d’Orcines. J’ai trouvé le lieu incroyable. D’ailleurs, je suis vraiment excité à l’idée de venir y jouer. Ce sera certainement l’un des endroits où je vais passer pas mal de mon temps libre lorsque je serai à Clermont-Ferrand.

"Vern (Cotter) m’a fait l’éloge du club et de la ville"

 

Est-ce que vous avez parlé de l’ASM et de Clermont-Ferrand avec votre entraîneur actuel Vern Cotter ?

Oui bien sûr. J’ai appelé Vern il y a quelques jours maintenant. Comme c’est mon entraîneur (aux Auckland Blues), je l’ai informé de ma décision et il était vraiment content pour moi. Bien sûr, Vern ressentait aussi une certaine déception de me voir partir mais il m’a félicité pour cette opportunité. Il n’a d’ailleurs pas hésité à me faire l’éloge de Clermont, du club et de la ville. Vern possède évidemment une très riche histoire avec ce club où il est d’ailleurs très reconnu. Avant de prendre l’avion et de déménager sur Clermont-Ferrand, j’ai une saison à terminer avec les Blues et j’ai hâte de travailler avec Vern Cotter encore pour quelque temps.

Quand est-ce que vous allez pouvoir commencer votre aventure avec l’ASM ?

Il n’y a pas encore de calendrier bien arrêté. Mais je pense que cela pourrait être vers la mi-juillet. Avec les Blues, notre saison de Super Rugby se passe pour le moment plutôt bien. Si nous y parvenons, la finale se déroulera à la fin du mois de juin (le 21 juin). Mais je vais essayer de venir le plus tôt possible pour m’installer et d’être rapidement disponible pour la préparation de la prochaine saison.

 

Récemment, vous avez honoré votre première cape avec les All Blacks. La décision de laisser la sélection pour venir en France n’était-elle pas trop difficile ?

Quand vous prenez la décision de quitter votre pays, ce n’est jamais évident. J’y ai évidemment beaucoup réfléchi. J’ai eu énormément de discussions avec des gens dont j’écoute et respecte les opinions. C’était une expérience inoubliable de jouer avec les All Blacks. Représenter mon pays est un rêve devenu réalité. Mais à ce moment de ma carrière, il est temps de saisir une nouvelle opportunité. Je vais avoir la chance de disputer une des meilleures compétitions au monde : le Top 14. J’ai la possibilité de voyager dans un pays différent dans lequel jamais je n’aurais pensé me rendre quand j’étais plus jeune. C’était un rêve pour moi de vivre en Europe. Pouvoir jouer au sein d’une équipe compétitive dans une compétition incroyable va me permettre d’acquérir une expérience énorme. Je suis impatient de commencer.

Que savez-vous du Top 14 ?

Je sais bien évidemment quelle est l’importance du Top 14 et à quel point cette compétition est appréciée. C’est un des meilleurs championnats au monde avec le Super Rugby. J’ai commencé à étudier davantage les matchs européens et certaines rencontres du Top 14. Dont celles de Clermont avec notamment le niveau physique que parvient à mettre l’équipe. C’est un style de jeu différent de ce que je connais et auquel nous sommes confrontés habituellement en Nouvelle-Zélande. En tant qu’ouvreur et animateur, je suis impatient de voir à quoi cela pourrait ressembler. Je pense aussi à l’opportunité de pouvoir disputer la Coupe d’Europe. C’est vraiment un challenge plutôt cool pour moi.

Quels sont vos joueurs favoris dans le Top 14 ?

Je ne veux pas me faire trop d’ennemis tout de suite (rires). Mais il y a eu énormément de joueurs néo-zélandais dans le championnat. Ils ont tous réalisé des choses spéciales ici. Honnêtement, c’est difficile de faire un choix. Je vais donc dire George Moala parce qu’il a déjà évolué dans l’équipe dans laquelle je joue actuellement (le centre clermontois a joué aux Blues de 2011 à 2018).

 

Une interview depuis l’Egypte. Après son court séjour en Auvergne, Harry Plummer a pris l’avion direction l’Egypte pour retrouver son frère professeur d’histoire. Et c’est littéralement depuis le pied des pyramides (ce fut d’ailleurs la première image qu’il nous a montrée depuis son téléphone) que le joueur a accepté de nous répondre. Rendez-vous était donc pris à 10 heures mercredi matin (11 heures au Caire). Malgré le vacarme ambiant, le joueur a pris le temps de répondre à nos questions. Des explications longues et spontanées.

Arnaud Clergue

[Tchou]

Merci pour la réactivité Barnabé 

[Silhouette]

 

Il n’y a pas encore de calendrier bien arrêté. Mais je pense que cela pourrait être vers la mi-juillet. Avec les Blues, notre saison de Super Rugby se passe pour le moment plutôt bien. Si nous y parvenons, la finale se déroulera à la fin du mois de juin (le 21 juin). Mais je vais essayer de venir le plus tôt possible pour m’installer et d’être rapidement disponible pour la préparation de la prochaine saison.

 

 

La partie la plus importante a priori: pas de NPC prevu pour lui, et il pense arriver apres le Super Rugby ?

 

Sinon un peu surprenant que La Montagne fasse une interview via telephone depuis l'Egypte, alors qu'il etait a Clermont il y a moins d'une semaine pour signer.. pas un cadeau fait au journaliste 

[Ptolémée]

 

Entretien exclusif avec Harry Plummer : "Signer à l'ASM Clermont était une décision facile" Article réservé aux abonnés

Publié le 20/11/2024 à 16h00

 

Arnaud Clergue

Harry Plummer n’a pas caché son impatience de découvrir le Top 14 et un pays où il rêvait de vivre étant plus jeune. © HANNAH PETERS

Écouter l'article

00:00

[Exclusivité La Montagne] L’ASM a donc officialisé ce mercredi l’arrivée d’Harry Plummer. Le futur et tant attendu ouvreur clermontois nous a réservé, ce mercredi, ses premiers mots depuis son lieu de vacances, en Egypte. Après avoir découvert le club, la ville et ses environs la semaine dernière, l’actuel joueur des Auckland Blues s’est dit impatient de débuter ce nouveau challenge en France.

Son arrivée était très attendue par tous les supporters clermontois. Ses premiers mots le sont donc tout autant. Harry Plummer, le futur ouvreur de l’ASM, a accepté de nous confier ses premières impressions sur le club, la ville et une certaine Yellow Army, dont la réputation a visiblement traversé le globe.

 

La première question est finalement très simple : pourquoi avoir choisi l’ASM Clermont ?

La première des choses, c’est qu’il s’agissait d’abord d’une opportunité très excitante. La semaine dernière (jeudi et vendredi), j’ai pu visiter avec ma famille les installations du club ainsi que les environs de Clermont-Ferrand. Comme je l’ai signifié aux dirigeants, ce qui est important pour moi, c’est d’évoluer dans un environnement familial. J’ai vraiment ressenti cela quand je suis arrivé à Clermont. Nous avons été accueillis à bras ouverts. Le fait que ce club possède une base de fidèles supporters a également pesé dans la balance. C’est quelque chose d’énorme. La Yellow Army fait vraiment partie intégrante de l’univers de l’ASM et cela a résonné en moi. Cela correspond à ma conception du rugby. Clermont est une équipe avec beaucoup d’histoire et de fierté. C’est le club avec lequel je voulais évoluer pour aller de l’avant. En fin de compte, c’était une décision facile à prendre.

Vous êtes passionné de golf. Comment avez-vous trouvé le parcours des Volcans ? (Rires).

Oui c’est vrai que le club m’a emmené visiter le golf d’Orcines. J’ai trouvé le lieu incroyable. D’ailleurs, je suis vraiment excité à l’idée de venir y jouer. Ce sera certainement l’un des endroits où je vais passer pas mal de mon temps libre lorsque je serai à Clermont-Ferrand.

"Vern (Cotter) m’a fait l’éloge du club et de la ville"

 

Est-ce que vous avez parlé de l’ASM et de Clermont-Ferrand avec votre entraîneur actuel Vern Cotter ?

Oui bien sûr. J’ai appelé Vern il y a quelques jours maintenant. Comme c’est mon entraîneur (aux Auckland Blues), je l’ai informé de ma décision et il était vraiment content pour moi. Bien sûr, Vern ressentait aussi une certaine déception de me voir partir mais il m’a félicité pour cette opportunité. Il n’a d’ailleurs pas hésité à me faire l’éloge de Clermont, du club et de la ville. Vern possède évidemment une très riche histoire avec ce club où il est d’ailleurs très reconnu. Avant de prendre l’avion et de déménager sur Clermont-Ferrand, j’ai une saison à terminer avec les Blues et j’ai hâte de travailler avec Vern Cotter encore pour quelque temps.

Quand est-ce que vous allez pouvoir commencer votre aventure avec l’ASM ?

Il n’y a pas encore de calendrier bien arrêté. Mais je pense que cela pourrait être vers la mi-juillet. Avec les Blues, notre saison de Super Rugby se passe pour le moment plutôt bien. Si nous y parvenons, la finale se déroulera à la fin du mois de juin (le 21 juin). Mais je vais essayer de venir le plus tôt possible pour m’installer et d’être rapidement disponible pour la préparation de la prochaine saison.

 

Récemment, vous avez honoré votre première cape avec les All Blacks. La décision de laisser la sélection pour venir en France n’était-elle pas trop difficile ?

Quand vous prenez la décision de quitter votre pays, ce n’est jamais évident. J’y ai évidemment beaucoup réfléchi. J’ai eu énormément de discussions avec des gens dont j’écoute et respecte les opinions. C’était une expérience inoubliable de jouer avec les All Blacks. Représenter mon pays est un rêve devenu réalité. Mais à ce moment de ma carrière, il est temps de saisir une nouvelle opportunité. Je vais avoir la chance de disputer une des meilleures compétitions au monde : le Top 14. J’ai la possibilité de voyager dans un pays différent dans lequel jamais je n’aurais pensé me rendre quand j’étais plus jeune. C’était un rêve pour moi de vivre en Europe. Pouvoir jouer au sein d’une équipe compétitive dans une compétition incroyable va me permettre d’acquérir une expérience énorme. Je suis impatient de commencer.

Que savez-vous du Top 14 ?

Je sais bien évidemment quelle est l’importance du Top 14 et à quel point cette compétition est appréciée. C’est un des meilleurs championnats au monde avec le Super Rugby. J’ai commencé à étudier davantage les matchs européens et certaines rencontres du Top 14. Dont celles de Clermont avec notamment le niveau physique que parvient à mettre l’équipe. C’est un style de jeu différent de ce que je connais et auquel nous sommes confrontés habituellement en Nouvelle-Zélande. En tant qu’ouvreur et animateur, je suis impatient de voir à quoi cela pourrait ressembler. Je pense aussi à l’opportunité de pouvoir disputer la Coupe d’Europe. C’est vraiment un challenge plutôt cool pour moi.

Quels sont vos joueurs favoris dans le Top 14 ?

Je ne veux pas me faire trop d’ennemis tout de suite (rires). Mais il y a eu énormément de joueurs néo-zélandais dans le championnat. Ils ont tous réalisé des choses spéciales ici. Honnêtement, c’est difficile de faire un choix. Je vais donc dire George Moala parce qu’il a déjà évolué dans l’équipe dans laquelle je joue actuellement (le centre clermontois a joué aux Blues de 2011 à 2018).

 

Une interview depuis l’Egypte. Après son court séjour en Auvergne, Harry Plummer a pris l’avion direction l’Egypte pour retrouver son frère professeur d’histoire. Et c’est littéralement depuis le pied des pyramides (ce fut d’ailleurs la première image qu’il nous a montrée depuis son téléphone) que le joueur a accepté de nous répondre. Rendez-vous était donc pris à 10 heures mercredi matin (11 heures au Caire). Malgré le vacarme ambiant, le joueur a pris le temps de répondre à nos questions. Des explications longues et spontanées.

Arnaud Clergue

 

 

 

merci Barnabe pour le partage 

[Sushi]

Bon, si l interview est fidèle aux propos de Harry, il semble être un bon communiquant! Hâte de le découvrir d avantage !☺️

[RCV06]

 

Entretien exclusif avec Harry Plummer : "Signer à l'ASM Clermont était une décision facile" Article réservé aux abonnés

Publié le 20/11/2024 à 16h00

 

Arnaud Clergue

Harry Plummer n’a pas caché son impatience de découvrir le Top 14 et un pays où il rêvait de vivre étant plus jeune. © HANNAH PETERS

Écouter l'article

00:00

[Exclusivité La Montagne] L’ASM a donc officialisé ce mercredi l’arrivée d’Harry Plummer. Le futur et tant attendu ouvreur clermontois nous a réservé, ce mercredi, ses premiers mots depuis son lieu de vacances, en Egypte. Après avoir découvert le club, la ville et ses environs la semaine dernière, l’actuel joueur des Auckland Blues s’est dit impatient de débuter ce nouveau challenge en France.

Son arrivée était très attendue par tous les supporters clermontois. Ses premiers mots le sont donc tout autant. Harry Plummer, le futur ouvreur de l’ASM, a accepté de nous confier ses premières impressions sur le club, la ville et une certaine Yellow Army, dont la réputation a visiblement traversé le globe.

 

La première question est finalement très simple : pourquoi avoir choisi l’ASM Clermont ?

La première des choses, c’est qu’il s’agissait d’abord d’une opportunité très excitante. La semaine dernière (jeudi et vendredi), j’ai pu visiter avec ma famille les installations du club ainsi que les environs de Clermont-Ferrand. Comme je l’ai signifié aux dirigeants, ce qui est important pour moi, c’est d’évoluer dans un environnement familial. J’ai vraiment ressenti cela quand je suis arrivé à Clermont. Nous avons été accueillis à bras ouverts. Le fait que ce club possède une base de fidèles supporters a également pesé dans la balance. C’est quelque chose d’énorme. La Yellow Army fait vraiment partie intégrante de l’univers de l’ASM et cela a résonné en moi. Cela correspond à ma conception du rugby. Clermont est une équipe avec beaucoup d’histoire et de fierté. C’est le club avec lequel je voulais évoluer pour aller de l’avant. En fin de compte, c’était une décision facile à prendre.

Vous êtes passionné de golf. Comment avez-vous trouvé le parcours des Volcans ? (Rires).

Oui c’est vrai que le club m’a emmené visiter le golf d’Orcines. J’ai trouvé le lieu incroyable. D’ailleurs, je suis vraiment excité à l’idée de venir y jouer. Ce sera certainement l’un des endroits où je vais passer pas mal de mon temps libre lorsque je serai à Clermont-Ferrand.

"Vern (Cotter) m’a fait l’éloge du club et de la ville"

 

Est-ce que vous avez parlé de l’ASM et de Clermont-Ferrand avec votre entraîneur actuel Vern Cotter ?

Oui bien sûr. J’ai appelé Vern il y a quelques jours maintenant. Comme c’est mon entraîneur (aux Auckland Blues), je l’ai informé de ma décision et il était vraiment content pour moi. Bien sûr, Vern ressentait aussi une certaine déception de me voir partir mais il m’a félicité pour cette opportunité. Il n’a d’ailleurs pas hésité à me faire l’éloge de Clermont, du club et de la ville. Vern possède évidemment une très riche histoire avec ce club où il est d’ailleurs très reconnu. Avant de prendre l’avion et de déménager sur Clermont-Ferrand, j’ai une saison à terminer avec les Blues et j’ai hâte de travailler avec Vern Cotter encore pour quelque temps.

Quand est-ce que vous allez pouvoir commencer votre aventure avec l’ASM ?

Il n’y a pas encore de calendrier bien arrêté. Mais je pense que cela pourrait être vers la mi-juillet. Avec les Blues, notre saison de Super Rugby se passe pour le moment plutôt bien. Si nous y parvenons, la finale se déroulera à la fin du mois de juin (le 21 juin). Mais je vais essayer de venir le plus tôt possible pour m’installer et d’être rapidement disponible pour la préparation de la prochaine saison.

 

Récemment, vous avez honoré votre première cape avec les All Blacks. La décision de laisser la sélection pour venir en France n’était-elle pas trop difficile ?

Quand vous prenez la décision de quitter votre pays, ce n’est jamais évident. J’y ai évidemment beaucoup réfléchi. J’ai eu énormément de discussions avec des gens dont j’écoute et respecte les opinions. C’était une expérience inoubliable de jouer avec les All Blacks. Représenter mon pays est un rêve devenu réalité. Mais à ce moment de ma carrière, il est temps de saisir une nouvelle opportunité. Je vais avoir la chance de disputer une des meilleures compétitions au monde : le Top 14. J’ai la possibilité de voyager dans un pays différent dans lequel jamais je n’aurais pensé me rendre quand j’étais plus jeune. C’était un rêve pour moi de vivre en Europe. Pouvoir jouer au sein d’une équipe compétitive dans une compétition incroyable va me permettre d’acquérir une expérience énorme. Je suis impatient de commencer.

Que savez-vous du Top 14 ?

Je sais bien évidemment quelle est l’importance du Top 14 et à quel point cette compétition est appréciée. C’est un des meilleurs championnats au monde avec le Super Rugby. J’ai commencé à étudier davantage les matchs européens et certaines rencontres du Top 14. Dont celles de Clermont avec notamment le niveau physique que parvient à mettre l’équipe. C’est un style de jeu différent de ce que je connais et auquel nous sommes confrontés habituellement en Nouvelle-Zélande. En tant qu’ouvreur et animateur, je suis impatient de voir à quoi cela pourrait ressembler. Je pense aussi à l’opportunité de pouvoir disputer la Coupe d’Europe. C’est vraiment un challenge plutôt cool pour moi.

Quels sont vos joueurs favoris dans le Top 14 ?

Je ne veux pas me faire trop d’ennemis tout de suite (rires). Mais il y a eu énormément de joueurs néo-zélandais dans le championnat. Ils ont tous réalisé des choses spéciales ici. Honnêtement, c’est difficile de faire un choix. Je vais donc dire George Moala parce qu’il a déjà évolué dans l’équipe dans laquelle je joue actuellement (le centre clermontois a joué aux Blues de 2011 à 2018).

 

Une interview depuis l’Egypte. Après son court séjour en Auvergne, Harry Plummer a pris l’avion direction l’Egypte pour retrouver son frère professeur d’histoire. Et c’est littéralement depuis le pied des pyramides (ce fut d’ailleurs la première image qu’il nous a montrée depuis son téléphone) que le joueur a accepté de nous répondre. Rendez-vous était donc pris à 10 heures mercredi matin (11 heures au Caire). Malgré le vacarme ambiant, le joueur a pris le temps de répondre à nos questions. Des explications longues et spontanées.

Arnaud Clergue

 

 Il vient plus aux soirées Buckaroo ?

 

La Yellow Army fait vraiment partie intégrante de l’univers de l’ASM et cela a résonné en moi. Cela correspond à ma conception du rugby. Clermont est une équipe avec beaucoup d’histoire et de fierté. C’est le club avec lequel je voulais évoluer pour aller de l’avant.

 

Ils sont forts les attachés de presses quand même

Bon, si l interview est fidèle aux propos de Harry, il semble être un bon communiquant! Hâte de le découvrir d avantage !☺️

Je serais quand même curieux un jour de lire le script original de l intw pour voir ce que ça donne avec le rendu final

[layathollah]

En tout cas ils ont mis les petits plats dans les grands et semblent en faire la tête de gondole du recrutement (ou une des). Y a plus qu'à confirmer sur le pré.

[clum63_]

Je ne sais pas comment ça s'est passé pour les autres recrues avant Plummer, mais lui a semble t-il été reçu comme un prince... 

Visites en tout genre, restos à gogo et pas n'importe lesquels, bref que du bon ; c'est sûrement que l'ASM compte énormément sur ce garçon !

Et célibataire ( ) en plus ; il y a bien une jeune et belle auvergnate qui va le faire craquer et si c'est le cas, dans quelques années il sera peut-être à moitié Auvergnat ! 

 

 

L'accueil réservé à Haz c'est aussi une opération de communication pour donner une meilleure image et contribuer à redorer l'attractivité du club, il le fallait 

[La Berthe]

On peut dire que l'attractivité du club passe par l'armée jaune

[steph]

Il dégage un bel optimisme, puisse t'il être communicatif !

[SEB ASM]

Qui a dit que la communication du club était nulle ?!!!!

[zorro]

On peut dire que l'attractivité du club passe par l'armée jaune

Ben oui l'engouement du public compte. Les joueurs prèfèrent jouer dans des stades pleins ac un public passionné plutôt que de jouer dans un hangar de banlieue.