Ah ben si certains se plaignent d'un recrutement Clermontois qui fait pas rêver, sans me vanter, je pense qu'on fait encore moinsse rêver
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Mais bon, croivons nondidiou, croivons.
L'excès de salary pas dans le cap sans.doute !
Posté 14 juillet 2025 - 00:32
Ah ben si certains se plaignent d'un recrutement Clermontois qui fait pas rêver, sans me vanter, je pense qu'on fait encore moinsse rêver
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Mais bon, croivons nondidiou, croivons.
Posté 14 juillet 2025 - 04:00
Ah ben si certains se plaignent d'un recrutement Clermontois qui fait pas rêver, sans me vanter, je pense qu'on fait encore moinsse rêver
Mais bon, croivons nondidiou, croivons.
C'est pas grave vous récupèrerez le meilleur pilier droit écossais en milieu de saison et surprise il sera Jiff et surprise suivante, il viendra bénévolement
Posté 14 juillet 2025 - 08:56
Tatafu,je préfère Tatafolle avec lui dans la cage on est jamais déçu...après j'ai entendu (de source sûre, apparemment) que Colombe n'a que peu joué cette saison à LAR car il ne bossait pas comme le staff voulait. C'est pas pour le critiquer mais si c'est le cas, et ça semble clairement le cas: son poids, ses attitudes parfois, son incapacité à renforcer des points faibles, ses sourires sur le terrain... ; mais je me demande si même Toulouse va réussir à inverser la tendance. Bref.
Le plus prometteur de tous me semble Tatafu, et ensuite Bamba. Et je ne comprends pas qu'on ne lui donne pas plus sa chance, à lui en particulier. Qd il est blessé, très bien, mais là, il est en NZ. On sait qu'il tient (amplement) la mêlée intle, et dans le courant c'est une tornade.
Posté hier, 06:03
Posté hier, 07:23
Posté hier, 08:11
Une composition assez intéressante avec des retours attendus, en revanche, j'ai quelques craintes sur le cinq de devant même s'il était difficile de faire vraiment mieux en l'état actuel. C'est notamment vrai au poste de pilier droit où le forfait de Montagne est très handicapant... J'aurai également apprécié revoir Duguid et Jauneau dans les 23.
Posté hier, 08:13
Pour nos clermontois, fortunes diverses :
Tixeront a marqué des points (et encore plus si il est sur le banc samedi). Malgré un poste où le vivier est immense;
Montagne aura marqué des points. Et je pense qu'il aurait encore été sur la feuille sans sa blessure. Peut être même titulaire
Darricarrere 0 feuille c'est dommage mais l'expérience aura servi pour un jeune comme lui
Le perdant semble être Jauneau, et son entrée très très moyenne dans un match serré. Surtout si Daubagna lui est encore préféré samedi. Ca va peut être lui faire mal à la tête cette tournée ...
En tous cas, ils auront leurs vacances obligatoires. Mais avec leurs temps de jeu respectifs, on peut espérer les revoir sans trop tarder dans la prépa.
Posté hier, 09:11
L'équipe probable des Bleus
15. Barré ; 14. Attissogbe, 13. Depoortere, 12. Fickou (cap.), 11. Villière ; 10. Hastoy, 9. Le Garrec ; 7. Brennan, 8. Guillard, 6. Fischer ; 5. Halagahu, 4. Auradou ; 3. Slimani, 2. Bourgarit, 1. Erdocio.
Remplaçants : 16. Barlot, 17. Mallez, 18. Bamba, 19. Taofifenua, 20. Tixeront ou Bochaton, 21. Vergnes-Taillefer ou Van Tonder, 22. Daubagna, 23. Gailleton.
Source Rugbyrama
Erdocio je comprends pas, n'a rien montré contre Angleterre et le 2e test alors que Beria a été solide lors du 1er test
Dommage pour Montagne probablement titulaire sans son souci à la cheville
Posté hier, 09:32
Pour nos clermontois, fortunes diverses :
Tixeront a marqué des points (et encore plus si il est sur le banc samedi). Malgré un poste où le vivier est immense;
Montagne aura marqué des points. Et je pense qu'il aurait encore été sur la feuille sans sa blessure. Peut être même titulaire
Darricarrere 0 feuille c'est dommage mais l'expérience aura servi pour un jeune comme lui
Le perdant semble être Jauneau, et son entrée très très moyenne dans un match serré. Surtout si Daubagna lui est encore préféré samedi. Ca va peut être lui faire mal à la tête cette tournée ...
En tous cas, ils auront leurs vacances obligatoires. Mais avec leurs temps de jeu respectifs, on peut espérer les revoir sans trop tarder dans la prépa.
faut esperer que ce soit l'inverse.
il faut etre factuel, tant qu'il a pas de jeu au pied performant il ne peut pas postuler à ce niveau.
Donc au contraire ca doit le motiver à bosser son jeu au pied, il est jeune mais il doit faire vite car y a aussi bcp de monde à ce poste. Lucu, Serin Couilloud et Daubagna ne sont pas l'avenir ou pas dans les petits papiers de Galthier mais y en a d'autres qui vont arriver donc faut pas perdre de temps non plus.
Posté hier, 09:37
il est de Bidart et joue chez Altrad l'argentier de
Erdocio je comprends pas, n'a rien montré contre Angleterre et le 2e test alors que Beria a été solide lors du 1er test
Dommage pour Montagne probablement titulaire sans son souci à la cheville
Posté hier, 10:24
Posté hier, 11:03
Et dire que certains soutenaient que c'était pas une sanction de mettre daubagna plutôt que Jauneau lors du dernier match..
Galthié aime pas tourner et expérimenter à la charnière. Sur ces postes, il aime les groupes très restreint. Ce qui n'est pas le cas en 3eme ligne où là il voulait tester son réservoir.
Bon au moins Jauneau doit bosser les mêmes choses que chez nous pour grandir. Il sait le travail qu'il lui reste à accomplir...
oui clairement Galthié le trouve encore jeune et vert. Qu'il est forcément au niveau inter et de manière générale, d'ailleurs. On sent qu'il veut trop en faire, trop vite. Ce qui est compréhensible pour un joueur si talentueux et si jeune. Maaaaais... il va apprendre toutes les subtilités du poste, graduellement.
Posté hier, 16:14
Posté hier, 16:39
Il y a presque dix ans, en octobre 2015, Sonny Bill Williams remportait sa deuxième Coupe du monde consécutive de rugby avec la Nouvelle-Zélande. Dès le match d'ouverture face à l'Argentine, il était entré à la 46e minute et avait effectué pas moins de 11 passes après contact en 34 minutes. Preuve de son brio.
Ce joueur né à Auckland, doté d'un beau gabarit (1,91 m pour 110 kg), a su imposer son style en rugby : attaquer la ligne, mobiliser l'attention des défenseurs puis étendre ses longs bras pour assurer la passe à un coéquipier venu à sa hauteur.
À Twickenham, en 2015, durant le tour d'honneur des All Blacks, un môme qui était entré sur le terrain pour le saluer s'était fait plaquer par un stadier. Sonny Bill Williams l'avait pris dans ses bras puis lui avait offert sa médaille.
« Le coach m'a dit après coup qu'elle était en or véritable, confessait SBW. Bof, tant pis... La médaille ne fait pas tout. J'étais fier d'avoir gagné, je me suis dit : "Pourquoi ne pas faire la soirée de ce petit gars ?" Il pourra raconter l'histoire à ses enfants. C'est mieux que de la laisser prendre la poussière suspendue à un mur. »
Détaché des apparats et de ce titre de champion du monde d'un sport qu'il avait découvert sept ans auparavant au RC Toulon. C'est Mourad Boudjellal qui avait fait venir SBW en 2008, il était inconnu en France, mais une star du rugby à XIII en Australie. Un centre alliant puissance brute, agilité et intelligence de jeu, devenu l'attraction de la National Rugby League (NRL) australienne.
Entre rugby à XV et XIII, Sonny Bill Williams a multiplié les aller-retours, comme s'il refusait de se laisser enfermer. Il a remporté le Super Rugby en 2012 avec les Chiefs et un titre de NRL avec les Sydney Roosters en 2013, cumulé 58 sélections avec les All Blacks, mais aussi 12 sélections avec les Kiwis, l'équipe nationale de XIII, avec laquelle il a disputé la finale de la Coupe du monde en 2013.
Insatiable et soucieux de marquer le sport néo-zélandais de son empreinte, Sonny Bill Williams a aussi tenté l'expérience du rugby à 7, accumulant 12 sélections au sein des All Blacks Sevens, au point d'être sélectionné lors des Jeux olympiques de Rio en 2016. Mais dès le premier match face au Japon, il se rompt le tendon d'Achille et doit abandonner la compétition.
Boulimique d'efforts, animé d'un grand besoin de reconnaissance, ce fils d'une Néo-Zélandaise et d'un Samoan avait, en parallèle, entamé une carrière en boxe professionnelle, catégorie poids lourds, dès mai 2009. Il y compte aujourd'hui dix combats (9 victoires, 1 défaite) face à des adversaires modestes, hormis le Sud-Africain Frans Botha (ancien adversaire de Mike Tyson), qu'il avait battu en dix rounds en février 2013 à Brisbane. Ou encore face à Mark Hunt, star néo-zélandaise de la boxe pied-poings, face auquel il a subi un K.O., d'une droite à la pointe du menton, en novembre 2022 à Sydney.
Sonny Bill Williams n'a plus combattu depuis. Il aura 40 ans le 3 août prochain, mais s'apprête à remonter sur un ring mercredi soir à la Qudos Arena de Sydney, une arène de près de 20 000 places. En tête d'affiche. Et en pay-per-view. Il a été pesé hier soir à 106 kilos contre 105 pour son adversaire Paul Gallen.
Au plan pugilistique, ce combat n'a pas grand intérêt. Malgré tous ses efforts, SBW n'est jamais parvenu à convertir l'agilité, l'explosivité et le coup d'oeil dont il faisait preuve sur le terrain entre les cordes d'un ring. Mais ce combat intrigue et fascine l'Australie, la Nouvelle-Zélande et toute l'Océanie par son storytelling : la rivalité et l'animosité avec son opposant australien, lui aussi ancienne figure du XIII.
En 2013, Sonny Bill jouait pour les Bulldogs et les Roosters ; Paul Gallen, lui, était une icône des Cronulla Sharks, avec lesquels il a remporté le titre NRL en 2016.
La comparaison permanente de leurs performances et de leur aura a fait naître un antagonisme d'autant plus fort que Gallen, lui aussi, s'est aventuré sur les rings, où il compte 18 combats (15 victoires, 2 défaites, 1 nul). Face à des adversaires indigents, hormis Mark Hunt _ encore lui _ qu'il a battu aux points en six rounds en décembre 2020.
« Je veux boxer Sonny, mais il ne répond jamais », martelait Gallen en 2013. Diplomate, Williams répondait alors : « Je respecte Paul en tant qu'athlète, mais je choisis mes combats en fonction de ma progression. » Nouvelle punchline de Gallen en 2015 : « Sonny parle beaucoup de foi et d'honneur, mais il fuit le ring. »
« Je n'ai jamais esquivé un combat. Je veux juste que ce soit le bon moment »
Sonny Bill Williams
Et il est revenu à la charge en 2019, conscient qu'il y a une bonne bourse à prendre vu l'enjeu médiatique : « Sonny est un bon athlète, mais pas un vrai boxeur. Il choisit des adversaires faibles. Il n'osera jamais m'affronter. Trop d'ego, trop d'image à protéger. » SBW était alors sorti de son mutisme, sur un ton plutôt défensif : « Je n'ai jamais esquivé un combat. Je veux juste que ce soit le bon moment. »
En mai dernier, le combat a été signé. Donc, ces dernières semaines, Gallen a poursuivi son travail de sape mental : « Sonny parle de droiture, mais il a admis avoir pris de la drogue pour gérer le stress. »
Une allusion aux confessions de SBW dans sa biographie You Can't Stop the Sun from Shining, parue en 2021. Williams y confesse avoir pris des somnifères, bu de l'alcool, consommé de la cocaïne et des antidouleurs. Être aussi parfois parti en « bender », ces virées de défonce prolongée, « du vendredi soir au lundi matin ». Cette période l'a mené à un profond sentiment de vide intérieur qui explique sa quête spirituelle et sa conversion à l'islam.
« T'es une ordure, t'es une merde ! »
Paul Gallen au sujet de Sonny Bill Williams
Comme un hacker mental et à l'aise dans le rôle du « bad guy » Gallen a porté d'autres piques lundi en accusant Sonny Bill Williams de vanter ses actions communautaires tout en profitant des petites entreprises. « Tu gagnes des centaines de milliers de dollars, t'es millionnaire - et tu fais payer les gens pour faire des critiques culinaires sur les réseaux sociaux ? Tu vas dans des petits commerces, tu es censé les aider, mais de ce qu'on m'a dit, tu les factures entre 2 000 et 3 000 dollars. T'es une ordure, t'es une merde ! »
Williams est resté impassible. « Pour moi, tout se jouera mercredi sur le ring. La boxe n'est pas ma vie, le rugby non plus. Je suis moi-même, un homme libre et en quête de progrès. Ce n'est pas naturel pour moi de dénigrer quelqu'un. Je ne suis peut-être pas le meilleur boxeur, mais je sais que je peux battre ce gars. Mercredi soir, ce sera le cas. Je suis ultraconcentré, et je sais que si je le suis, je vais montrer à quel point il est limité. »
Posté hier, 19:57
Thèse, antithèse et maintenant... la synthèse ! Il y a belle lurette que l'encadrement tricolore ne joue plus à cache-cache avec ses compos d'équipe, et l'entraînement collectif de ce lundi offrait d'ores et déjà à voir ce qui ressemblera au quinze de départ pour affronter la Nouvelle-Zélande, samedi, à Hamilton, dernier test de cette tournée d'été 2025. Une formation avec neuf nouveaux changements par rapport à celle qui s'est lourdement inclinée à Wellington le week-end dernier (43-17).
Passée complètement au travers de sa première période, elle avait arraché un nul symbolique en seconde, histoire de soulager son ego et avancer vers l'ultime rencontre avec un petit matelas de confiance. « On a fait un premier match cohérent avec un investissement de tous. On a eu une jolie rotation à effectuer sur le second avec les finalistes du Top 14 qui rentraient sur la compo et nous avons trouvé de l'émulation à l'intérieur du groupe pour préparer également ce troisième match, disait William Servat, entraîneur en charge des avants, à l'issue de cette séance. Même si notre entame a été difficile sur la première mi-temps, on finit le deuxième mi-temps à 14-14. Et c'est un peu sur ce score-là que l'on va bâtir pour la suite. »
Le staff a commencé par réinjecter tout ce qu'il compte d'expérience en réserve, en titularisant au centre le capitaine du séjour Gaël Fickou (95 sélections) et en replaçant Rabah Slimani (58) au poste de pilier droit. Deux éléments d'influence sur le groupe, qui ont le meilleur comme le pire en bleu, et seront à même de remobiliser les traumatisés de « Windy Welli », même si on nous assure que le moral est resté bon.
« Non, il n'a pas du tout été touché, assure l'ancien talonneur international. Bien évidemment que quand vous prenez 30 points sur une mi-temps, c'est difficile. Mais la deuxième période nous a donné la possibilité - pas de nous rassurer parce que le score était suffisamment large pour être déçu - mais de nous conforter dans ce qui n'a pas marché et dans les choses qui pourraient éventuellement marcher à l'avenir. On n'est pas ressortis abattus, sans projet ou sans trop savoir où on allait. On a de vraies convictions. On essaie de travailler au mieux pour les mettre en place avant ce dernier match. »
Sur le terrain du King's College d'Auckland, rafalé par le vent et la pluie, les Français ont tranquillement remonté le curseur de l'intensité avec un pack presque intégralement remanié. Au poste de talonneur, le 100e capitaine de l'histoire du quinze de France, Gaëtan Barlot, cédera sa place de titulaire à Pierre Bourgarit, après deux entrées en jeu intéressantes. En deuxième ligne, la blessure de Cameron Woki à un genou, même sans gravité, le prive d'une titularisation acquise suite à sa belle performance lors du second acte de Wellington. Le néo-Bordelais avait immédiatement réglé le problème de l'alignement.
Hugo Auradou retrouvera donc le numéro 4, comme au premier test, et les galons de capitaine de touche. Le Palois avait d'ailleurs été crédité d'un sans-faute dans l'exercice à Dunedin. Il sera associé à Matthias Halagahu, dont la première sélection, le week-end dernier, a été saluée par les entraîneurs, notamment au niveau de l'engagement et de la qualité de ses duels.
Cette association en deuxième ligne conduit au replacement de Joshua Brennan au poste de numéro 7. Lui aussi séduisant dans les tâches obscures, option précieuse en touche, il a gagné le droit à une deuxième cap mais à un poste qu'il n'a occupé que 119 minutes cette saison au Stade Toulousain, soit moins de deux matches mais à chaque fois en tant que titulaire à La Rochelle (22-19) et à Clermont (18-35). « Sur nos situations, aux postes de troisième ligne, deuxième ligne, il peut largement y évoluer puisqu'on cherche quand même de la densité physique. On a pu voir la semaine dernière que les Blacks en ont et que la densité physique est importante pour les équipes qui sont aujourd'hui en haut du classement mondial. »
La densité physique, c'est justement ce que Fabien Galthié et ses adjoints semblent vouloir réinjecter pour ce dernier rendez-vous, puis Brennan sera associé au solide Mickaël Gillard (1,97 m, 113 kg) au poste de numéro 8, et à l'infatigable défenseur Alexandre Fischer, crédité de 31 plaquages au premier test.
Derrière aussi, un lifting est en cours. Joris Segonds était ménagé hier, mais dans tous les cas, le Rochelais Antoine Hastoy devrait démarrer au poste de demi d'ouverture. Pour épauler Gaël Fickou au centre, sans doute qu'un long débat aurait eu lieu si Pierre-Louis Barassi avait été opérationnel. Touché à un mollet, le Toulousain sera préservé, et c'est le Bordelais Nicolas Depoortère qui attaquera au milieu du terrain.
Convaincant à Dunedin, Gabin Villière devrait retrouver son couloir gauche, Théo Attissogbe, révélation de la tournée jusqu'à maintenant, gardera sa position à droite, et Léo Barré sa place à l'arrière, malgré une autocritique assez sévère samedi soir après la partie : « J'ai fait des erreurs individuelles qui ont coûté cher sur des ballons hauts, sur un petit par-dessus contré (...) Je suis très frustré. C'est normal, quand on porte ce maillot, on doit le ''rendre fier ''. Je n'ai pas été à la hauteur. Je suis passé à côté. C'est un résumé de ma saison, c'est compliqué mais c'est comme ça. À moi de rebondir la semaine prochaine si je suis reconduit. »
Cela sera donc le cas. « Léo est quelqu'un de lucide et intelligent, décrit Servat. Il a su se remettre en question et se donner la possibilité de préparer ce troisième test de la meilleure manière qui soit. »
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