638 réponses à ce sujet

[RCV06]

A défaut d'être brillant, je ne le trouve pas mauvais pour ma part. 

 

Il sort tout de même d'une saison éprouvante avec le Racing, qu'il a porté à bout de bras avec de très belles prestations, et doit maintenant enchaîner sur une tournée difficile, avec peu d'automatismes, un nouvel ouvreur et l'absence de la quasi totalité des cadres. Malgré cela, il a su accélérer le jeu et animer proprement, derrière un pack globalement dominé lors de ces deux premières rencontres. Sur ce second test, il était difficile de faire vraiment mieux et peu d'arrières se sont mis en valeur malgré leur talent respectif. 

 

On connait le talent et le potentiel de Le Garrec, et c'est à travers ce genre de rencontres qu'il progressera pour franchir un nouveau palier sur la scène internationale. S'il est à nouveau titularisé la semaine prochaine avec les meilleurs joueurs de la tournée, je suis sûr qu'on verra déjà un tout autre visage. 

Ni bon ni mauvais, transparent !

[clum63_]

Fallait s'attendre à ce que les coiffeurs ramassent

 

Galthié aurait dû conserver l'équipe 1

[tekilapaf]

Fallait s'attendre à ce que les coiffeurs ramassent
 
Galthié aurait dû conserver l'équipe 1

C'était voulu, l'équipe 1, ca sera sans doute celle du prochain test.

Si on peut parler d'équipe 1. Y a sans doute un ou deux des joueurs des deux test qui serait aligné en test cet automne. Guillard ou Atisogbe?

[biball]

C'était voulu, l'équipe 1, ca sera sans doute celle du prochain test.

Si on peut parler d'équipe 1. Y a sans doute un ou deux des joueurs des deux test qui serait aligné en test cet automne. Guillard ou Atisogbe?

Guillard, il a fait forte impression en 2e ligne. En 3e ligne pas mal du tout, donc je pense qu'il va se faire une jolie place.
Atisogbe, avec un banc à 3 arrières, aura sa chance.
Montagne en doublure ?

[el landeno]

Un sursaut en guise de trompe-l'oeil : les All Blacks ont infligé aux Bleus un brutal retour à la normale

S'ils peuvent se féliciter d'avoir fait match nul en seconde période, les joueurs du quinze de France ont d'abord été balayés par une équipe de Nouvelle-Zélande impressionnante, samedi à Wellington (43-17).

 

 

Qu'est-ce que le respect ? Vaste programme. Vous avez 80 minutes. En bons premiers de la classe, les All Blacks ont rendu leur copie dans le temps imparti. Oui, c'est vrai, après quarante minutes et en ayant à peine transpiré, ils avaient déjà répondu à la question. Une première période de tempête noire, inexorable et lancinante, et au bout de la soirée : un succès confortable contre la France, ce samedi à Wellington (43-17), qui comptera à présent comme la plus large défaite du double mandat en cours de Fabien Galthié.

 

 

Contrairement à la semaine précédente, cette équipe de France remaniée aux deux tiers n'a fait illusion que pendant une période, la seconde, après s'être fait rouler dessus toute la première. Elle a été courageuse, mais bien trop naïve et brouillonne dans ses intentions défensives pour espérer autre chose. Le sélectionneur avait annoncé que les Néo-Zélandais progresseraient en une semaine. Cette fois non plus, il ne s'est pas trompé en lisant dans le jeu de son adversaire.

lire aussiLes notes de Nouvelle-Zélande - France

Le plan des locaux était parfait, d'abord en acculant les Tricolores dans leur camp, puis en les maintenant sous pression par de petits rasants. Des coups de pied dans les coins, comme des uppercuts au foie, pour mieux leur couper l'air, les mettre en difficulté sur leurs sorties de camp, déjà médiocres la semaine dernière, malgré le pied pourtant très long de Joris Segonds à l'ouverture. Ils ont surtout profité de leur conquête quasi parfaite pour lancer le jeu, sinon l'emballer à la moindre occasion.

Le pack tricolore a souffert de la comparaison

Cette défaite, à la bonne échelle compte tenu de la physionomie globale de la rencontre, a pris ses racines en première période. Il y eut certes cette occasion dilapidée sur un premier temps fort (4e), qui aurait pourtant permis aux Bleus de démarrer sur les mêmes bases qu'à Dunedin. Quatre minutes d'un jeu dynamique et léché, avec un tempo parfait sur les soutiens, pour se terminer par un en-avant de Georges-Henri Colombe. Une maladresse tombée sur lui, mais qui aurait pu échoir à un autre, et empêchait les Français de prendre le score d'entrée, comme la semaine passée.

 

 

 

 

Les avants français ont beaucoup souffert face au pack néo-zélandais, samedi à Wellington. (A. Mounic/L'Équipe)

Anecdotique au final, car la réalité de ce premier acte restera que le pack tricolore dans son ensemble a souffert de la comparaison, et davantage encore dans tous les secteurs. Le pari du staff de miser sur l'agressivité et la fraîcheur de nouveaux capés bien frappés s'est heurté à son colossal déficit de puissance et à son manque d'expérience collective. Deux lacunes vertigineuses quand il faut résister à un exosquelette formé par Codie Taylor, Sione Tuipulotu, Fabian Holland et Ardie Savea. Battu en conquête, avec ses trois premiers ballons perdus en touche, le pack français a été pénalisé sur la seule mêlée qu'il a eue à jouer. Il a surtout été malmené et naïf sur les mauls, au point de concéder trois essais : le premier sur un furtif avec départ dans le fermé de Savea puis Roigard, et deux autres en force.

lire aussiFabien Galthié : « On a été un peu spectateurs »

Sur cette pelouse de Windy Welly, franchement bien nommée pour l'occasion, il n'y avait pas que les coups de boutoir de l'attelage Tuipulotu-Holland qui se chargeaient de fendre l'armure tricolore. Il y avait aussi cette résurrection de la maestria all black : leur agilité incarnée, cette faculté à créer des gestes impossibles, à trouver des angles de course pour garder le ballon vivant, toujours, le tout symbolisé par le quatrième essai du soir, celui de Vaa'i, juste avant la mi-temps, et qui plaçait la marque à 29-3. Un modèle.

Chants euphoriques et masque noir

Une démonstration de force et un écart insurmontable à ce niveau, qui pliait le destin de cette rencontre dès la pause, sans laisser supposer cette tout autre résistance française lors du second acte. Pour commencer, l'entrée du « bombinette squad » autour de Régis Montagne, Paul Mallez, Cameron Woki et Bastien Vergnes-Taillefer devant, ou même celle d'Antoine Hastoy à l'ouverture, ont eu pour vertu de rééquilibrer les débats en conquête et sur la discipline. Tout est loin d'être devenu plus simple, mais les Bleus ont enfin pu garder quelques munitions, avancer, et ils ont inévitablement été moins sanctionnés.

 

Ce qui rendra cette partie encore un peu plus frustrante, c'est que chaque fois que les attaquants tricolores ont trouvé de l'avancée, créé des brèches dans la défense adverse, ils ont été dangereux, voire efficaces en seconde période. Ils sont entrés deux fois dans l'en-but et ont inscrit deux essais par Léo Barré (46e) et Joshua Brennan (76e), pour finalement faire jeu égal parfait avec les Blacks sur cette deuxième moitié de match (14-14). Trompe-l'oeil ou source d'encouragement dans la perspective du dernier test, alors que la tournée est déjà perdue ? Le score parle de lui-même.

Près d'une heure après le coup de sifflet final, la joie fracassante du vestiaire néo-zélandais résonnait puissamment sur les murs de la conférence de presse de Fabien Galthié et Gaëtan Barlot. Des chants euphoriques mutant en vacarme. Ils posaient un masque noir sur le visage de l'entraîneur des Bleus devant ce manque de tact involontaire et malvenu. Malvenu parce qu'il appuyait le trait d'un retour à l'ordinaire brutal pour cette équipe de France. On le redoutait un peu sans l'annoncer, par patriotisme du bout du monde. Parce que tout là-bas, face à une nation si fière d'elle et qui vous le fait savoir même sur un trajet de deux étages en ascenseur, on se sent seul, donc un peu solidaire. Il faudra beaucoup plus que cela, dans une semaine, pour que l'ordinaire ne vire pas au calvaire.

 

 

[Alex chocolatines]

Ni bon ni mauvais, transparent !

Et transparent, c'est moins grave que pipasse 

[el landeno]

« Après ce 29-3 en première période, tenir un 14-14 en seconde, il fallait le faire » : le sursaut de l'équipe de France, un motif d'espoir pour le 3e test ?

Si l'équipe de France s'est lourdement inclinée pour le second test en Nouvelle-Zélande (43-17) après une première période ratée, la seconde, plus aboutie, peut-elle laisser espérer une issue plus favorable lors du troisième et dernier match face aux All Blacks samedi prochain ?

 

 

« On fait match nul sur la seconde période alors qu'on était la tête au fond du seau, il y a une belle réaction... » À chaud, seulement quelques minutes après la défaite de son équipe face aux All Blacks, ce samedi (43-17), Fabien Galthié a lâché ces quelques mots au micro de Canal+. Un peu plus tard, en conférence de presse, le sélectionneur des Bleus, a réitéré : « Il faut féliciter les joueurs car après ce 29-3 en première période, tenir un 14-14 en seconde, il fallait le faire. »

 

 

Un maigre lot de consolation alors qu'il s'agit du plus lourd revers de l'ère Galthié (26 points d'écart et 6 essais encaissés). Mais dans ces moments-là, alors qu'un troisième test se jouera samedi prochain (9h05), le positivisme ne coûte pas grand-chose. Après le 4 essais à 0 de la première période, les Bleus ont inscrit deux essais comme les All Blacks. Ils ont surtout réussi une bonne entame, bien aidés par un coaching rapide. « À la mi-temps, je leur ai dit de faire abstraction des difficultés, de ne pas se poser de questions, a dévoilé Galthié. On est reparti à fond, je suis heureux de la seconde période. »

Avec un essai de Léo Barré (47e), après un beau mouvement français où les avants ont d'abord resserré la défense néo-zélandaise avant qu'Antoine Hastoy ne trouve enfin une brèche pour servir son arrière. Les Bleus sont encore allés dans l'en-but adversaire, mais Joshua Brennan n'a pas réussi à aplatir (57e). Ils ont gâché une autre offensive, sauvée par Will Jordan devant Théo Attissogbe (68e). Mais leur persévérance a fini par payer avec l'essai de Brennan (77e), validant la bonne fin de match des Tricolores.

Le gratin samedi prochain ?

Pour passer de Dunedin à Wellington, Galthié et ses adjoints avaient copieusement remanié leur quinze de départ avec au total dix changements. Pour ce deuxième test, les Bleus alignaient une équipe jeune (24 ans) mais surtout inexpérimentée (4 sélections de moyenne). Et cela s'est vu, essentiellement durant cette première période cauchemardesque. « On a de la matière pour performer samedi prochain », lançait le sélectionneur.

lire aussiL'oeil de Renaud Bourel

 

 

 

Mais avec qui ? Certains ont été à la peine, en particulier devant, à l'image des piliers Baptiste Erdocio, encore un peu tendre, et Georges-Henri Colombe, dépassé par le rythme. Le Racingman Demba Bamba, pas encore utilisé, aura-t-il sa chance ? Hugo Auradou retrouvera-t-il une place en deuxième ligne ? À l'ouverture, Joris Segonds a, lui, souffert de la comparaison avec l'entrée en jeu d'Antoine Hastoy qui, comme le reste des remplaçants dont le troisième-ligne Bastien Vergnes-Taillefer, a fait du bien.

 

Pierre-Louis Barassi a livré une belle prestation contre les All Blacks. (A. Mounic/L'Équipe)

« Je ne veux pas porter de jugement sur les comportements des joueurs, a déclaré Galthié lorsqu'il a été interrogé sur la nouvelle performance de sa charnière Segonds-Le Garrec. Les joueurs ont fait ce qu'ils pouvaient. Mon conseil a été de ne pas se juger, je ne vais pas donc le faire à leur place. On va se construire pendant la semaine pour arriver en état de performance samedi. » La logique voudrait que l'encadrement remette sur le terrain ceux qui ont brillé à Dunedin dont Mickaël Guillard et Alexandre Fischer. L'expérience de Gaël Fickou, capitaine de cette tournée, devrait également être un atout même si Nicolas Depoortere et Pierre-Louis Barassi ont été intéressants ce week-end.

« On sait que Fabien souhaite mettre de la continuité mais il a peut-être été pris au piège des engagements avec les clubs car il s'était engagé à faire jouer les gars »

Thomas Lièvremont, consultant sur Canal+

 

 

 

Thomas Lièvremont, l'ancien troisième-ligne international (37 sélections) aujourd'hui consultant sur Canal +, se veut plutôt confiant. « À condition de corriger les errements d'aujourd'hui (samedi). On a perdu trop de duels, on a été trop tendres, trop passifs. On a pourtant tenu un peu plus le ballon que la semaine précédente mais avec plus de déchet ». Surtout, Lièvremont pointe la défaite tactique. « On s'était préparé à améliorer ce qui nous avait fait défaut sur le premier test, la défense autour des rucks, dans la zone du 10 et le jeu dans le dos des Blacks. Mais ils nous ont proposé autre chose avec du jeu au pied. Ils se sont adaptés. Nous, on n'a pas su le faire et la gestion des duels et de l'impact physique a pesé ».

Les Bleus avaient effectué trop de changements. « On sait que Fabien souhaite mettre de la continuité mais il a peut-être été pris au piège des engagements avec les clubs car il s'était engagé à faire jouer les gars », explique Lièvremont, qui estime que certains retours devraient améliorer les choses. « Je suppose qu'on va revenir à une compo d'équipe un peu plus dense avec les retours de Fickou, de Guillard, de Fischer... »

En tout cas, ce troisième test permettra de dresser un bilan. « En terminant après le premier test, la tournée aurait été positive, veut croire Lièvremont. Mais si le troisième test ressemble au deuxième, ce sera une tournée ratée. »

 

 

[stag]

Et transparent, c'est moins grave que pipasse

grosse recrue que vous avez fait en signant Colombe ........... Bravo à vous !

[Alex chocolatines]

grosse recrue que vous avez fait en signant Colombe ........... Bravo à vous !

Des potes bien informés m'ont dit que le staff était au courant et qu'ils allaient commencer par l'affuter sérieusement, salades, carottes, légumes vapeur,  pas de cassoulet, et il va suer 

 

Je pense qu'on peut le remettre dans la course.

[RCV06]

Des potes bien informés m'ont dit que le staff était au courant et qu'ils allaient commencer par l'affuter sérieusement, salades, carottes, légumes vapeur,  pas de cassoulet, et il va suer 

 

Je pense qu'on peut le remettre dans la course.

Aucun rapport, mais t as vu ça craint a Clermont, il y a un bidasse qui s'est fait dessouder 

[Alex chocolatines]

Aucun rapport, mais t as vu ça craint a Clermont, il y a un bidasse qui s'est fait dessouder 

non pas vu les infos. 

[RCV06]

non pas vu les infos. 

Les militaires, qui ne portaient pas leur uniforme au moment des faits, ont été blessés au dos et au ventre. «Vive émotion en apprenant que l’un d’entre eux est décédé», écrit le ministre des Armées Sébastien Lecornu sur X, indiquant que deux suspects ont été interpellés.
 

Terrible drame à Clermont-Ferrand. Deux militaires en repos ont été violemment agressés au couteau dans la ville du Puy-de-Dôme, dans la nuit de jeudi à vendredi, a appris Le Figaro de source policière ce 11 juillet. L’un d’eux est mort, a annoncé le ministre des Armées Sébastien Lecornu.

 

Cette nouvelle manie des couteaux ça craint !

[Alex chocolatines]

Les militaires, qui ne portaient pas leur uniforme au moment des faits, ont été blessés au dos et au ventre. «Vive émotion en apprenant que l’un d’entre eux est décédé», écrit le ministre des Armées Sébastien Lecornu sur X, indiquant que deux suspects ont été interpellés.
 

Terrible drame à Clermont-Ferrand. Deux militaires en repos ont été violemment agressés au couteau dans la ville du Puy-de-Dôme, dans la nuit de jeudi à vendredi, a appris Le Figaro de source policière ce 11 juillet. L’un d’eux est mort, a annoncé le ministre des Armées Sébastien Lecornu.

 

Cette nouvelle manie des couteaux ça craint !

Quelle époque de merde ! 

Pour les couteaux, j'en ai souvent eu dans ma poche, mais c'était juste pour casser la croute ou bricoler un truc façon Mac Gyver, jamais j'aurais eu l'idée de planter un mec, on faisait tout à la main.

Et puis à l'armée on nous avait dit " un bon militaire a toujours sur lui sa bite et son couteau". 

[el landeno]

encore la faute à Urios. A force de recruter des seconds couteaux ...

[RCV06]

Quelle époque de merde ! 

Pour les couteaux, j'en ai souvent eu dans ma poche, mais c'était juste pour casser la croute ou bricoler un truc façon Mac Gyver, jamais j'aurais eu l'idée de planter un mec, on faisait tout à la main.

Et puis à l'armée on nous avait dit " un bon militaire a toujours sur lui sa bite et son couteau". 

Moi jamais, j étais con, mais je le savais et donc assez malin pour ne pas avoir sur moi de quoi me mettre dans la merde en cas de pétage de plomb.

J ai été élevè à l ancienne, peur de flics et de la taule.